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Pourquoi n'allez vous pas sur son site? l'adresse en a été donnée ici même... /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">Quand vous l'aurez visité vous verrez les dizaines de publications qu'il a réalisées, et comme je le souligne, certaines financées par l'OMM... Comment prétendre que le débat n'a pas eu lieu, comment prétendre que les théoriciens du CNRS et de MF n'ont pas lu et pas pris en compte ses travaux, qu'ils n'ont pas lu La recherche où il a publié aussi; Il aurait même donné des conférences à MF....y'avait personne pour l'écouter? Faut-il, pour montrer l'intérêt qu'on a eu à apprécier ses travaux, uniquement adhérer à ses thèses? A-t-on le droit de penser autrement, sans tyranie? Il m'a fallu moins d'une heure de recherche pour connaître ses travaux et comprendre que ses théories mises au point dès 80, et certainement longuement réfléchies, étaient forcément dépassées. Quelles étaient les connaissances de l'atmosphère dans les années 70 quand il fit mûrir ses précepts?. Je vous rappelle quand même qu'à cette époque, mêmes si elles existaient depuis une dizaine d'années, les photos satellites n'étaient disponibles qu'à Paris MN et à Lannion MN ; qu'on enseignait toujours que le jet était un courant Est-Ouest parallèle à l'Equateur, et rarement sous la tropopause A cette époque, 2 autre théoriciens m'ont soumis des travaux à corriger : Un était statisticien proposait aussi un modèle de circulation, et sa théorie portait en germe les notions de tourbillon potentiel. Il était MF, chef d'une station militaire du Sud et décédé depuis plus de 5 ans sans gloire non plus, mais qui sait si ses travaux ne sont pas à l'origine des théories actuelles /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Ses recherches datent des années 80... Un autre, dont nombre d'amateurs ont les ouvrages, s'est battu pour faire avancer ses concepts de vent thermique et d'influence des jets, a toujours eu l'impression que ses pairs ne l'écoutaient pas . Aujourd'hui, on se rend comptes que ses concepts sont largement repris par la théorie actuelle.... c'était aussi les années 80... Beaucoup de monde a participé à cet essor du savoir atmosphérique, et en particulier les mathématiciens, ceux de Jussieu et d'ailleurs... Il n'est, alors, pas étonnant de voir le Cerfacs sur le site MF de Toulouse. Croyez vous que les travaux des enseignants en météorologie des universités françaises sont inconnus de la cellule de recherche Prévi ou météo-géné? Qui a prétendu que ce Docteur en géographie était un rigolo? A t on traité de rigolos les 2 ingénieurs des travaux, certe moins diplomé, mais qui ont reçu le même accueil? Et les dizaines d'autres qu'on ne cite pas? Pourtant ils ont tous participé au progrès de la science...
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Je me garderai bien de telles généralités sur notre multiple communauté /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">Certains côtés désagréables mais faciles sont rapidement mis en exergue par les politiques et surtout les journaliste
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C'est que pour défendre sa théorie, il est rudement agressif, le bougre /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">Apparemment, c'est lui qui tire sur tout ce qui bouge /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Bon puisqu'il s'agit, dans sa théorie, une fois de plus de l'oeuf et de la poule, je vous invite à lire la 4ème édition de Météo plein-ciel de René-Vaillant. (quand elle sortira, elle est encore dans les circuits de validation de MF). On peut y lire : "La rotation de la Terre, les déséquilibres énergétiques entre Equateur et Pôles (apports différenciés du rayonnement solaire), entre sol et altitude, sont la cause de l’existence d’un courant-jet en altitude qui est lui-même un état d’équilibre instable".... et autres démonstrations de la nouvelle théorie météorologique...: Cest le jet qui crée la circulation générale... pas les AMP. (c'est ma conclusion provisoire) /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Je revois encore Beysson au journal télé le soir de la première tempête de décembre 99 dire au journaliste : "demain c'est la même chose pour la moitié sud de la France". L'incrédulité générale n'engendra pas de commentaires sur le plateau. pourtant le lendemain, c'était pas 170 km/h mais plus de 200 qui étaient relevé à St Raphael. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Y s'étaient encore trompés de 30...vraiment nuls, normal que les journalistes ne les croient pas... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Le SPIEA de la photo précédente est gradué jusqu'à 100mm mais peut accepter sans trop de risque 130mm à 150mm en lecture directe ou à transvaser dans la fameuse éprouvette MF de 8 mm. Le Pierron a l'air similaire, donc même capacité.
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Si vous faites comme moi, en interrogeant le centre de Trappes, vous appendrez que les pluies d'hier n'ont pas été significatives, mais que le pluvio automatique a été défaillant il y a une quinzaine de jours et a nécessité, à l'époque l'intervention des services de maintenance.
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Je ne voudrai pas confier au prévisioniste le soin de débrayer mes grues, ni celui d'interdire les routes dangereuses, ou de limiter les trains.Chacun chez soi à faire son travail...
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Me rappelle une anecdote:Dans les année 80, lors d'une expertise, j'ai surpris la jeune et jolie agent de la Météorologie Nationale, à contrôler un pluvio automatique genre Précis Méca sur station-radio en vidant le contenu de ses 8 mm de l'éprouvette dans l'appareil. Elle s'est excusé de la panne radio qui fit qu'on eu pas le résultat de son contrôle. Je me suis contenté de sourire en pensant à sa surprise de constater qu'elle n'a du mesurer que 2,5 fois moins de précipitations puisque la bague du SPIEA est de 400cm2 alors que celle du précis méca est de 1000cm2. C'est juste pour dire : vous pouvez récupérer une éprouvette gratis en faisant le siège de votre centre MF le plus proche. Mais ne l'utilisez que pour des bagues de 400cm2. Mais pour moi, le contrôle le meilleur est de verser la quantité d'eau calculée pour 50 basculements, avec une paille dans l'écoulement, pour en allonger le temps à 5 mn, puis de règler au plus près. J'ai pensé pendant très longtemps à faire régler à 51 ou 52 (à cause des pertes par éclaboussures), jusquà ce que MF sorte une méthodologie qui tolère entre 46 et 50...allez savoir pourquoi...
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Comme vous le dites, tout dépend de l'utilisation: Si par rapport à vos moyennes, vous publiez sur un site internet : cette nuit la pluie a été forte, votre station à 200€ est largement suffisante, et certainement plus pertinente qu'une station Radome sur un aérodrome vide de personnel et de traffic. Si vous dites : j'ai un record de 123,5 mm cette nuit avec la même station, c'est limite désinformation.
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Y'a une différence entre :mesurer l'atmosphère pour engendre un modèle et éventuellement des prévisions, et adapter la connaissance de l'atmosphère aux besoins de la population. On a besoin des deux : des mesures en classe 1 et en altitude jusqu'à la trpopause; et d'autre part, des adaptations tels que les nouveaux indices de "ressenti"(humain) du temps.
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Sur l'aéroport de Grenoble la station doit être de catégorie 1 ou max 2.Au centre départemental dans le parc universitaire, près des hôtels de la sortie Est de Grenoble, le classement serait autour de 6 si ça existait. Je soutiens leur choix entre ces 2 Grenoble, dont les noms ont été choisi par les responsables politiques, et pas par les personels de MF.
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Les protocoles de mesure ont commencé à être mis au point par les français autour des années 1860. A cette époque la météo concernait une poignée de scientifiques parisiens, et les militaires, qui se rendirent compte, après la bataille de Sébastopol, de l'utilité d'un réseau de mesure. Certains postes de mesure ne pouvaient libérer du personnel (non formé) qu'une à 2 fois par jour. C'est toujours le cas pour les gendarmes qui ne font q'une mesure à 06h. Si c'était 2 fois c'était 06 et 18h, je suppose qu'on voulut valoriser ces mesures en donnant ces bornes. Il fallut attendre 1936 pour voir un premier réseau de mesure organisé (Marine) avec des gens formés, mais qui ne faisaient pas que de la météo : radios, sémaphoristes, en général personnels des communications - ce qui est resté une tradition sur les navires. C'est calqué sur la méthode de l'occupant américain, mais dans le secteur civil, que l'état français libéré, se dote de tours de contrôle aerienne avec du personnel civil chargé de l'atmosphère, et de ce qui y circule. Dans les années 80, toutes les mesures trihoraires deviennent automatiques, mais le protocole des journées météorologiques ne change pas . Comme je l'ai déjà posté, c'est une ânerie de concerver les bornes 06h et 18h, et ça introduit pas mal d'erreurs.
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On peut pas valider comme celà ce type de capteur.Y'a des ingénieurs qui se sont cassés la tête à calculer des pluvios, les simuler, pour optimiser l'arrête, afin qu'elle soit tranchante, et que le bizeau éloigne franchement le morceau de goutte de pluie hors du périmètre de mesure; qui ont calculé la pente du cône pour que le rebond de la goutte reste dans le pluvio, et quand tu vois les rebonds sur la route dans certaines pluies, tu te dis que calculer un pluvio, c'est pas évidant; puis qui les ont donné à homologuer sur le site de MF à Trappes, en zone de catégorie 1 près d'un capteur étalon, avec un protocole bien défini.... Je me dis que cette station, avec son pluvio rectangulaire, et son anémo directionel entraîné par la girouette, est certe un beau jouet d'initiation (que certe, j'aurais aimé aussi avoir à 14 ans), mais à déconseiller pour exploiter des mesurer à publier. Veillez à ne publier que des mesures fiables...
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Je rappelle que le pluviomètre est le capteur qui nécessite la maintenance préventive la plus fréquente, environ tous les 6 mois. En effet, les parties mobiles de la mécanique sont constamment exposées à l'humidité, et il se produit le développement de micro-algues sur les axes. il faut donc se débarasser de ces algues fréquemment. Les modèles Précis-mécanniques, ou Socrima, ou Degréane, ont une vis de réglage de la pesée qui compense et évite le démontage fréquent. Il est quand même nécessaire de faire un contrôle tous les 6 mois pour évaluer la dérive, la compenser; et un grand nettoyage tous les 18 mois.
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Tu es complètement juste quand on considère la pluie uniforme. mais ce n'est pas le cas. Si on traçait les lignes iso-quantité de pluie, on verrait que ces lignes balaient sans cesse la zone du pluvio, et que grosso-modo on retrouve des champs de maxi dans le sens du déplacement du flux d'air. Il a été montré que 2 pluvios distant de 3 m ne donnent pas les mêmes mesures au cours de la même pluie. Par expérience, on voit que le pluvio circulaire reçoit plus d'eau qu'un autre de même surface (les mesures avaient été faites avec le bac évapo de 1 m2 de surface carrée). Je ne sais pas s'il existe toujours, j'avais visité au CTM à Trappes, un pluvio étalon circulaire au raz du sol.
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Je ne comprends pas comment on peut concevoir un pluvio de surface rectangulaire. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Généralement, la pluie ne tombe pas par temps calme. Les diverses bourasques et rotations du vent font que les gouttes ne tombent pas en suivant la verticale. Les pluvios homologuée ont la surface de réception circulaire, pour recevoir toujours la même quantité de gouttes quelque soit la direction du vent. Un pluvio de surface rectangulaire va recevoir plus de gouttes par vent parallèle au grand côté, et moins par vent perpendiculaire. Or la hauteur de précipitation est mesurée par la quantité d'eau recueillie au fond du pluvio. Cette quantité ne peut être la même, même si la pluie est la même, dans des vents tournants (cas général) :
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je poserai un doute sur 2 capteurs: l'anémo du type directionel le pluvio (si c'est ce que l'on voit sur la photo : à section rectangulaire)
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Je ne pense pas que la Vantage pro soit programmée pour gérer un modem. Sinon la solution c'est d'amener les fils du tph fixe jusqu'à la station et de les connecter au modem de la station. S'il y a quelqu'un d'autre sur la ligne faut gérer les appels comme un fax. Ton PC concentrateur devra lui aussi gérer un modem téléphonique et envoyer les données reçues dans une pile que le logiciel météo saura exploiter. En gros, des années d'études et de recherches.... Cherche plutôt un petit pc d'occase avec une carte modem à mettre sur place. hé, t'es sûr que tu peux pas faire homologuer le site?
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Menaces sur la formation des ingénieurs météos
Gombervaux a répondu à un sujet de Gombervaux dans Météo, environnement et société
Faut pas ténerver, phil, mais as tu bien compris l'objet de l'info : menaces sur la formation des IT... Ce n'est qu'une prévision, comme une autre, avec un élément grave. La menace c'est quand même de voir arriver dans les services de MF, des IT sans formation météo... sans ironie, et sans manque de courtoisie! ce serait regrettable pour tout le monde... -
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Petit résumé recherches sur temps violent en 16-17
Gombervaux a répondu à un sujet de Nicolas 17/69 dans Climatologie
Ce phénomène de "tornade blanche" a déjà été observé (par moi même en l'occurence il y a plus de 30 ans à Ajaccio) Il me semble que Mayençon l'avait décrit dans un de ses bouquins. Il ne s'agit que de phénomènes de tourbillons liés à l'orographie. Si ça avait été lié à de l'instabilité, la vapeur proche de la saturation se serait condensée sur les noyaux nombreux dans le phénomène : poussière dans ton champ, sel sur la mer en Corse. et on aurait eu un nuage.