taf95

Bonjour à tous, Vous trouverez des choses intéressantes sur ce sujet, en fouillant dans le livre : "Guide des Groupements végétaux de la région parisienne", par Marcel Bournérias, Gérard Arnal et Christian Bock, paru aux Editions Belin en 2001 (640 p). Marc

Bonjour à tous, Vous êtes invités à prendre connaissance d'une discussion intéressante sur des TAF, initiée le 21 novembre de cette année par 'Dammatrix' sur le topic du suivi mensuel du temps en Ile-de-France pour novembre 2015 (#82), puis reprise par divers intervenants comme 'Météo78' et d'autres, et dans laquelle j'ai mis hier mon grain de sel au #139 où vous trouverez en post-scriptum une récapitulation simplifiée du fil de cette discussion : /topic/87038-suivi-du-temps-en-ile-de-france/#entry2635893'>http://forums.infoclimat.fr/topic/87038-suivi-du-temps-en-ile-de-france/#entry2635893 Plus tard cela permettra de la retrouver plus facilement grâce à une référence sur un topic dédié à des TAF. Marc

Bonjour 'Dammatrix' et 'Météo78', Je reviens vers vous deux. C'est tout à fait ça ! Tout d'abord, comme 'Météo78' l'indique bien sur son croquis (#134), la station de 'Dammatrix' est positionnée en haut d'un versant. Puisque cet endroit est de forme convexe, il est très dégagé. C'est ce qui le rend particulièrement sensible aux moindres mouvements de l'atmosphère ambiante. Aussi, il est affecté par le vent presque sans arrêt. On observerait le contraire en descendant au fond de la vallée située juste en contrebas, puisque c'est une forme de relief concave et que de ce fait la plupart du temps le vent a du mal à s'y faire sentir. Ces mouvements correspondent surtout à la circulation générale. Et on sait combien elle est rarement en paix sur la région parisienne, compte tenu de sa position géographique à proximité relative de la mer. En effet, à vol d'oiseau la distance minimale entre Combs-la-Ville et le littoral de la Manche n'est que d'environ 175 km, et en plus il n'y a pas d'obstacles majeurs entre les deux. Ensuite, comme ce qui nous intéresse ici est uniquement la nuit en conditions radiatives, c'est le moment de rappeler l'existence d'un vent particulier qui peut affecter le lieu. Le vent catabatique est le résultat de l'inévitable soutirage ou purge partielle, que la gravité fait subir par moment à la fine pellicule d'air froid formée sur le plateau et qui déborde alors. La formation de cet air froid a pour origine le rayonnement du sol et il arrive à se maintenir sur place grâce à l'absence de pente. A l'endroit de la station météo de Dammatrix il y a donc durant la nuit une alternance continuelle entre un léger vent lié à la circulation générale de l'atmosphère et ce vent catabatique qui arrive à s'imposer et vient souffler de façon intermittente. Ce qui produit à la station météo d'inévitables fluctuations de la température. Et bien sûr, ce site est beaucoup trop en hauteur pour pouvoir être affecté par l'épaisse couche d'air glacé qui stagne au fond de la vallée. C'est la pire situation qu'on puisse imaginer, pour quelqu'un qui cherche à enregistrer de basses températures. Pour cette raison, cette zone particulière des hauts de versant porte un nom, celui de ceinture thermique (thermal belt). La nuit par conditions radiatives il y fait plus chaud que partout ailleurs ! Et par intégration, ces excès se répercutent sur le climat local pour le réchauffer. Le croquis de 'Météo78' montre la vallée remplie d'air froid sur une grande profondeur, le plateau où stagne une mince pellicule d'air froid, et la position intermédiaire entre les deux de la station météo de 'Dammatrix' située en haut de versant. Ce croquis me fait beaucoup penser à une situation analogue qu'on trouve en forêt de Montmorency. Une opposition de même type fait ressortir une vallée, la vallée de la Cailleuse, séparant deux plateaux parallèles. En haut de leurs versants on trouve une succession de positions très privilégiées au point de vue de la température. Que ce soit sur le plan météorologique ou de façon intégrative sur le plan de la climatologie. Il s'agit entre autres d'un éperon qui s'avance sur la vallée et carrément au-dessus de la cuvette de la Cailleuse, située immédiatement en contrebas. La butte des Pins Brûlés ! Le contraste est saisissant entre le climat local du sommet de cette butte et celui du fond de la cuvette. Si on avait l'intention de relever de basses températures en forêt de Montmorency, que ce soit d'un point de vue purement météorologique ou pour une étude de climatologie, c'est bien au fond de cette cuvette qu'il faudrait installer une station météo, mais surtout pas au sommet de la butte voisine. Edit (27/11/2015 : Pour que cette discussion sur des TAF, initiée par 'Dammatrix' le 21 novembre sur ce topic de suivi mensuel du temps en Ile-de-France (voir son post, #82, relatant l'installation de sa VP2, toute neuve), puis reprise par 'Météo78' et d'autres ('mash' etc), enfin par moi-même, ne finisse pas par devenir carrément introuvable, noyée dans le forum d'IC au milieu du flot croissant des mots, je vais en signaler l'existence ailleurs sur ce forum. Précisément sur le topic dédié aux trous à froid en France au sous-forum de Climatologie. Mais en attendant, voici une récapitulation jusqu'à ce post-ci, de ceux les plus significatifs à mes yeux de cette discussion en cours. Je dirai : #82, 94, 97, 111, 113, 115, 118, 119,134 et 137... Voilà ! Si j'omets quelque chose d'important, pardonnez-moi ! Marc

Ah, superbe, Jérémie. Merci !

Bonjour, Dépression fermée ? Oui ! La preuve ? Sur la carte IGN présentée ici les isohypses 1000 m, 995 m et 990 m (pointillés bleus) l'attestent, en dessinant des boucles complexes incluses les unes dans les autres. Comme c'est bien la signature d'une dépression fermée ! Le col est au sud-est, mais son altitude ne semble pas très élevée. D'après les isohypses 1000 m et 1010 m, elle est justement entre 1000 m et 1010 m. Quant à la profondeur de l'espace clos de cette dépression fermée, si l'on admet que le point bas est à 982 m d'alt (ce que je ne puis affirmer), elle est comprise entre 18 et 28 mètres. Si cette fourchette est correcte, une telle profondeur me semble raisonnable pour accueillir un lac d'air froid suffisamment épais et par conséquent favorable à l'établissement de basses Tn. A noter au-delà du périmètre de cette vaste dépression fermée de dimension kilométrique, d'autres dépressions fermées, mais secondaires puisque de dimension plutôt hectométrique. Quelques-unes sont situées sur le vaste plateau juste au sud du col et aux alentours du lieu-dit les Taillis. Une autre se trouve à environ 2 km du col, mais en direction du sud-ouest : le Creux de Lachat. Tout ceci confirme une tendance du secteur à l'affaissement karstique, ce qui n'est pas étonnant puisqu'il se trouve dans le massif préalpin des Bauges, essentiellement calcaire. On va attendre l'expertise de Josélito. Marc

Bonjour Jérémie, Et bravo ! D'après photolive ta photo a été prise d'Ouarville (28) le 8 octobre 2015 à 01h51 et en direction du nord. Ce fut à la faveur d'une éclaircie. Si tu pouvais le signaler sur SpaceWeather.com. Marc

Bonjour Philippe, Maintenant je me rappelle cet épisode. Lors de celui-ci j'étais allé au fond de la cuvette de la Cailleuse au moins une fois. Je me souviens justement du 17 mars. J'y étais descendu pour faire quelques photos de la tourbière, alors que le temps se radoucissait et que la neige fondait déjà. A pied, j'avais continué par la vallée de Chauvry jusqu'à la cuvette du marais de Stors en forêt de L'Isle-Adam (autrement dit la tourbière du Vieux Moûtiers), pour voir comment la neige avait tenu au sol sur le parcours. A cette époque le thermographe Richard-Peckely qui avait été installé au fond de la cuvette de la Cailleuse était encore en place. Je constate sur le graphe, que j'ai noté au niveau du 15/03/1979, du lendemain et du surlendemain : Neige. Marc

Bonjour, Un sacré fan club dont bien sûr je ferai partie. Marc

Bonjour, Oui, il fallait éviter que les -11,4°C mentionnés pour Romorantin puissent être pris pour une Tn puis repris comme tels. Marc

Bonjour, Certes c'était clair ! Il s'agit donc bien du Td à l'instant du message de 'Canada Goose', un instant donné de l'après-midi de ce 8 mars. Et non de la Tx bien sûr ou même de la Tn pour ce jour, mentionnées plus tard sur ce topic par 'anecdote' puis 'Max86/19'. Merci 'imaginee' d'avoir précisé !* (*) PS : ainsi que 'Bofix' ! Marc

Bonjour, Petite précision ! Concernant cette mention de -11.4°C, répétée par 'imaginee', on ne sait plus trop à quoi ils correspondent. En effet dans un premier temps 'Canada Goose' avait fait part de la même chose à propos de Romorantin, mais avec une mention de Td, soit le point de rosée : Je n'ai pas cherché davantage. Aussi, s'agit-il bien du point de rosée ? Marc

Bonjour, Pour moi la luge et le ski, ce fut uniquement dans la butte témoin de Montmorency. En effet j'ai habité une trentaine d'années à Saint-Leu-la-Forêt. La maison était sur le coteau, en lisière des bois et le parc donnait au nord sur la route de Chauvry. Bien sûr nous faisions de la luge dans le domaine restreint du jardin, mais c'était surtout sur la route de Chauvry, en forte pente (jusqu'à 5%), ainsi que dans les petites rues autour de la maison. Nous allions aussi en forêt, où il y avait beaucoup de pentes qui s'y prêtaient. Je pense aux monticules qui entouraient l'Etang Neuf, aujourd'hui disparu par comblement. Et surtout aux pentes d'un éperon du premier plateau, la butte des Pins Brûlés située au coeur de la forêt. Quant au ski alpin, ça se passait avant tout aux Pins Brûlés bien évidemment. A cette époque je n'étais pas un adepte du ski de fond et pas encore équipé pour. Mais cela aurait été encore plus facile d'en faire, car seulement quelques centimètres de neige au sol sont nécessaires. En janvier 1985 mon épouse en a fait un peu en forêt, je l'ai accompagnée mais à pied. Je vais vous amuser sans doute, en disant que tout ça peut encore se pratiquer dans toutes les buttes témoins du centre du Bassin Parisien. En effet il y a partout beaucoup de relief. Et fort heureusement on peut de nos jours encore y trouver de la neige ; comme ce fut le cas récemment dans la butte témoin d'Halatte, ce que montre bien les photos prises par 'bernardt60' en haut du Mont Pagnotte. C'était lors d'une balade aux champignons dans la butte témoin de Carnelle à l'automne 1983. A partir de Noisy-sur-Oise, situé en contrebas de la butte et au bord de l'Oise, nous avons remonté à pied au milieu de grands hêtres un versant orienté plein nord. Ce qui, à la fin d'une montée d'un dénivelé de près de deux cents mètres, nous a conduits sur le plateau culminant vers 210 m d'altitude. C'était par une petite route forestière tout droite et en forte pente, rappelant un peu un toboggan. Lors de cette montée je me suis dit que ça pourrait faire une belle descente en luge et même à ski. Mais je n'y suis pas retourné. Avis aux amateurs ! Peut-être est-ce possible de trouver sur le versant nord de la butte témoin d'Halatte un itinéraire ressemblant. Quelque chose qui, au départ par exemple de Pont-Sainte-Maxence situé de la même façon en contrebas de la butte et au bord de l'Oise, aboutirait en haut du Mont Pagnotte, au terme d'une montée par un versant également orienté au nord et par conséquent plus enneigé que le reste de la butte. Je suis allé une seule fois à Halatte ; c'était jusqu'en haut du Mont Pagnotte, mais tout en voiture. Là aussi avis aux amateurs ! Tout ceci montre que, si on cherche un peu, on peut trouver où faire de la luge et même du ski alpin au centre du Bassin Parisien. Sans parler du ski de fond, qui peut se faire partout à condition qu'il y ait de la neige. Marc

Bonjour, Les buttes témoins d'Halatte, Carnelle, L'Isle-Adam, Montmorency etc, petits massifs de sable meuble mais couronnés de meulières qui en ont limité l'érosion, forment au centre du Bassin Parisien comme de petites montagnes culminant vers 200 m d'altitude. Le climat y est différent. Dans le temps j'y ai fait de la luge et même du ski (alpin). Ce regain d'altitude permet en effet qu'il y neige davantage et que cela tienne plus longtemps que plus bas dans la plaine et notamment qu'à Paris. A un même moment le contraste peut être stupéfiant, comme je l'ai parfois observé autrefois en haut du massif de Montmorency, dans lequel se trouve justement la poche à air froid de la tourbière de la Cailleuse (autrement dit le TAF de la Cailleuse). Marc

Bonjour, Cela vient de sortir. Le trou à froid de la tourbière de la Cailleuse (partie 2), Plaidoyer pour la sauvegarde de la tourbière de la Cailleuse, par Jean-Pierre Auger, Quel statut juridique pour la Cailleuse ?, par Pascal Thoyer, au Bulletin d'information de IASEF - Numéro 22 - Décembre 2014, pages 6 - 9 : http://www.iasef.fr/pdf/bulletin22.pdf Marc

Bonjour, Cela vient de sortir. Le trou à froid de la tourbière de la Cailleuse (partie 2), Plaidoyer pour la sauvegarde de la tourbière de la Cailleuse, par Jean-Pierre Auger, Quel statut juridique pour la Cailleuse ?, par Pascal Thoyer, au Bulletin d'information de IASEF - Numéro 22 - Décembre 2014, pages 6 - 9 : http://www.iasef.fr/pdf/bulletin22.pdf Marc

Bonjour, Cela vient de sortir. Le trou à froid de la tourbière de la Cailleuse (partie 2), Plaidoyer pour la sauvegarde de la tourbière de la Cailleuse, par Jean-Pierre Auger, Quel statut juridique pour la Cailleuse ?, par Pascal Thoyer, au Bulletin d'information de IASEF - Numéro 22 - Décembre 2014, pages 6 - 9 : http://www.iasef.fr/pdf/bulletin22.pdf Marc

Bonjour Philippe, 1) Je me rappelle que la vague de froid sur la France de février 2012 a été précédée par des prévisions météo qui faisaient peur à cause des centres d'action mis en jeu et de l'origine géographique de l'air advecté. Par son intensité (la valeur du froid) elle aurait pu s'approcher de celles de février 1956 et janvier 1985 davantage qu'elle ne l'a fait, s'il y avait eu moins de vent et moins de nuages et s'il y avait eu plus de neige au sol. Elle a donc péché par une quasi-absence de conditions radiatives et de neige au sol. C'est pourquoi elle ne fut pas une grande vague de froid, contrairement à février 1956 et janvier 1985. Mais ça a failli ! Bien voir qu'historiquement les grandes vagues de froid sur la France ne sont pas si fréquentes qu'on le penserait. Entre celle de février 1956 et celle de janvier 1985 il n'y en a pas eu d'autres. Et pourtant il s'est écoulé une trentaine d'années. Même les coups de froid à répétition de l'hiver 1962-1963, n'ont pas valu en intensité février 1956 et janvier 1985. En intensité il n'y aurait que le court épisode de janvier 1966 ainsi que les coups de froid de janvier 1971 et janvier 1979 pour faire penser au grandes vagues de froid de février 1956 et janvier 1985. Et janvier 1985 remonte à trente ans ! 2) Merci pour tous ces souhaits ! Marc

Hello Philippe ! Est-ce même possible aujourd'hui ? Je me pose de plus en plus de questions, à force de voir que le temps sur la France est de plus en plus insipide, mis à part quelques rares évènements comme celui justement qu'on vient de vivre. Cette dérive rend le temps bien sûr de plus en plus inintéressant. Aussi, je me demande comment le fond du TAF de la Cailleuse peut encore s'en sortir et faire étalage de quelques nuits de très fort gel (<-10°C), comme ce fut le cas semble-t-il dernièrement, notamment la nuit du 28/29 décembre et celle du nouvel an. Je profite de ce message pour te souhaiter une bonne année 2015. Et que janvier 1985 fête ses 30 ans ! Et qu'on finisse l'hiver sur la lancée de cet anniversaire... On peut toujours rêver. Marc

Bonjour à tous, Avant celles de Josélito des mesures avaient déjà été faites au fond de Pla de Boum. Par conséquent on avait déjà une idée. Peut-être avez-vous vu qu'on trouve sur ce topic des discussions approfondies sur le topo-climat du fond de Pla de Boum. Certes celles-ci remontent à plusieurs mois. Elles ont suivi l'annonce, faite fin 2013 par un membre ('Thundik81'), qu'un reportage venait d'être déposé sur le forum de "tiempo.com". Cette annonce est au message #2245. A partir de ce message suivre le fil et voir notamment mes interventions aux #2280, 2305, 2316 et 2321. Voilà. Vu ces résultats, on peut déjà dire que ce lieu est extraordinaire. Jour après jour les données de Josélito vont le confirmer. Marc

Bonjour à tous, Concernant le plateau de l'Alpette, situé dans la Grande Chartreuse, le signalement qui avait été effectué par 'oozap73' date de début janvier 2007. Récemment, j'ai relancé sur ce topic la discussion. C'était le 10 avril 2012 (#978 en page 49). Une discussion qui devait se terminer quelques jours plus tard, le 19 avril, par #999. Entre-temps s'enchaînèrent différents messages : #979, 980, 981, 982, 983 et 986. Je vous souhaite une bonne rétrospective. Et une continuation de cette discussion sur l'Alpette. Marc

Bonjour, C'était aux alentours de minuit. J'étais alors à la Meinau. Pas à l'ordi mais encore à la cuisine, dont la fenêtre donne sur le nord-est. A un moment j'ai commencé à entendre du bruit. Un bruit bizarre. Il venait de l'extérieur et croissait. Comme un train qui s'approche. Ou un camion. Tout d'abord j'ai pensé à une montée brusque du vent. Mais au bout de quelques secondes j'ai réalisé qu'il pouvait s'agir d'une averse. Alors, pour voir ce qui se passait au dehors, je me suis précipité vers une fenêtre à double vitrage et l'ai ouverte aussitôt sans trop regarder à travers. Désormais sans isolation phonique, j'eus droit à un bruit bien supérieur. Un fracas. Dehors, c'était carrément le déluge : comme une pluie tropicale. Après quelques secondes des gouttes énormes furent rabattues sur moi et le rebord intérieur par un vent léger. Elles étaient tièdes. J'ai refermé aussitôt la fenêtre. Elles continuèrent de fouetter le vitrage. Cette averse monumentale dura peu. Peut-être cinq minutes, et c'était déjà fini. Le bruit a cessé comme il avait commencé. A l'extérieur la température de l'air n'a pas baissé durant ces quelques minutes et elle n'a pas baissé non plus par la suite. Il y eut deux éclairs, avec un bruit infime, sans doute couvert par celui de la pluie. Est-ce sûr qu'on est déjà en octobre ? Marc

Bonjour 'riri vertacorien', Merci pour ces nombres de jours de gel. L'estimation pour le point bas, ça fait donc :12 (juin) + 7 (juillet) + 12 (août). Soit 31 jours de gel pour l'été météorologique. C'est du lourd ! Je me souviens bien de cette descente dans la rocaille.Ton image, en bas, me rappelle ce que j'ai découvert en sortant du couvert de la forêt, la fois où j'ai été au TAF de Darbounouze (été 2011). Et c'est aussi la dernière vue que j'ai eue des lieux. Je m'y étais attardé un moment, laissant ma compagnie poursuivre sa route vers l'auberge du Clariant. On a beau s'y attendre, la découverte du site par ce point-là est vraiment impressionnante. Mais là, c'est encore mieux, parce qu'on voit bien la limite du lac d'air froid, matérialisée par cette fine couche de brume vue de côté. Marc Photo prise par 'riri vertacorien' à Darbounouze le matin du 14 septembre 2014 :

Bonjour à tous, Et au fond du TAF de la Cailleuse en forêt de Montmorency ? Marc

Bonjour, Je me souviens bien de cette descente dans la rocaille. Ton image me rappelle ce que j'ai découvert en sortant du couvert de la forêt, la fois où j'ai été au TAF de Darbounouze été 2011. Et c'est aussi la dernière vue que j'ai eu des lieux. Je m'y étais attardé un moment, laissant ma compagnie poursuivre sa route vers l'auberge du Clariant. On a beau s'y attendre, la découverte du site par ce point-là est vraiment impressionnante. Mais là, c'est encore mieux, parce qu'on voit bien la limite du lac d'air froid, matérialisée par cette fine couche de brume vue de côté. Marc

Bonjour, Finalement il semble que personne ne sera allé voir ce matin du côté de la forêt de Montmorency. Dans les bas-fonds ça devait être superbe. Marc