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Statistiques et anomalies climatiques globales


Sam82

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Je reviens sur ce sujet mal placé dans le national car c'est global. "Le réchauffement climatique en pause : records de chaleur mondiaux, c'est fini !" http://www.lameteo.org/index.php/news/2822

Ok, je rajoute donc une couche dans la "censure" de cet énergumène...     Et du coup, Infoclimat va pouvoir me verser une prime supplémentaire.

Beaucoup d'erreurs élémentaires et incroyables pour des pro dans tout ce que je viens de lire, que ce soit dans l'édito de Fred sur "Où en est le RC", https://www.lameteo.org/index.php/news/3149-ou-en

Images postées

Un mois de janvier 2013 assez froid sur le nord de l'Asie, le centre nord du Canada et la côte ouest américaine, mais chaud en Arctique, en Alaska, au Groenland, ou encore au sud-est des Etats-Unis.

post-2200-0-73851900-1359827719_thumb.png

Par contre, les relevés UAH de la basse troposphère ont semble t-il bien déraillé, probablement encore un truc tenu par un réchauffiste qui cherche à exagérer la situation :

post-2200-0-39207900-1359827811_thumb.png

J2013.png.70f8a1b9146c4cca250931a54533b5

UAH.png.95c6b81e7d6e509180576b39e5a4edae

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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

UAH chauffe dans ce mois de janvier, au point qu'aucun parieur n'avait prévu une valeur supérieure à l'observation :

http://rankexploits....leaps-to-0-51c/

Mais bon le mois dernier cette série avait été 0.16° plus chaude que la 2 ème série la plus chaude et 0.23° que la plus froide.

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UAH chauffe dans ce mois de janvier, au point qu'aucun parieur n'avait prévu une valeur supérieure à l'observation

Je dirais même que UAH surchauffe, et que ce n'est pas que sur ce mois de janvier mais que cela fait déjà plus d'un an que ses relevés sont systématiquement beaucoup plus chauds que les autres bases.

Maintenant, le "saut" par rapport aux valeurs de décembre semble confirmé par RSS, tout comme par les réanalyses du NCEP :

post-2200-0-37888800-1360087016_thumb.png

NCEP.png.48611a9eaf09c2796a96477b757430e

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Curieux ce graphique du Ncep . D' après ce dernier ,il me semble voir que les températures des années 80 auraient été plus élevé que celles des Années 90 .

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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Je dirais même que UAH surchauffe, et que ce n'est pas que sur ce mois de janvier mais que cela fait déjà plus d'un an que ses relevés sont systématiquement beaucoup plus chauds que les autres bases.

Oui il faudra attendre la version 6, mais bon UAH 5.5 n'a pas dépassé systématiquement les autres séries en 2012 (3 mois inférieurs à la moyenne des 5 séries), sinon UAH n'afficherait pas une moyenne 2012 équivalente à GISS (quelques millièmes de moins que GISS en recalant sur la même base). C'est surtout l'écart avec RSS qui est important, la valeur hors catégorie c'est RSS qui est nettement la plus froide sur 2012 avec la Nina qui impacte habituellement plus les sat (en 2012 : 0.078° pour RSS contre 0.145° pour GISS, 0.142° pour UAH, 0.134° pour NOAA, 0.125° pour HAD4 et 0.125° de moyenne pour les 5 séries, mais bon pas de différences significatives entre les 5 séries, ce sont "les mêmes" valeurs)Là pour ce mois de janvier, 0.33° pour RSS contre 0.49° pour UAH sur la même base (/ à la dernière normale calculée à la fin du mois précédent), mais c'est RSS qui a effectué un bond un peu plus important entre décembre 2012 et janvier 2013.
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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Les derniers papiers sur le soleil au cours du dernier atelier SSN en janvier 2013 :

http://ssnworkshop.wikia.com/wiki/Presentations_3

Une comparaison des cycles solaires les plus proches de l'actuel, mis à jour par Leif Svalgaard :

http://www.leif.org/research/SC5-14-24.png

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  • 3 weeks later...
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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Mise à jour du modèle simplifié de Tamino qui est assez pédagogique :

http://tamino.wordpr...-is-not-enough/

Bonne performance pour un modèle aussi simple :

model2box_soi.jpg?w=500&h=322

On voit avec le graphe de l'influence de l'ENSO,

tt.jpg?w=500&h=322

que pendant plus de 20 ans (autour de 1980 -2000) , l'ENSO a généré un bruit qui avait rendu la tendance visuellement plus forte qu'elle ne l'est réellement sur le fond, maintenant c'est l'inverse qui se passe d'où la stagnation visuelle des anomalies annuelles sans que la tendance de fond soit différente.

Il faut bien être conscient que pour faire disparaître le bruit dû à l'ENSO afin de ne plus voir de stagnation visuelle du niveau des anomalies annuelles, il faudrait un RCA monstrueux ( une variation négative de 0.20° en un an à cause de l'ENSO, ne peut pas être effacée par un RCA de 0.015°/an, ni même par 0.04°/an, soit 4° /100 ans et c'est bien pour cette raison qu'on observera TOUJOURS à certaines périodes, des stagnations au pas annuel même dans le cadre d'un RCA de 4°/100 ans, ce qui est loin d'être le cas actuellement)

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Je ne sais plus si le lien avait été partagé ici, peu importe, un rappel sur les simulations françaises contributives au nouveau rapport du GIEC, rien à faire l'écart type reste considérable selon les scénarios, toujours 2 a 5°C de modélisés d'ici 2100, malgré l'affinage, en attendant de lire le rendu plus précisément: Vous l'aurez compris, ce rappel face à ce qu'on peut lire et voir fleurir un peu partout ces derniers temps...

Dossier-presse-changements-climatiques pdf

Autre rappel et j'y tiens!, l'évolution de l'énergie stockée (10^22J) par les océans, record battu en 2012, que ce soit entre 0 et 700m, ou 0 à 2000m:

energie_stockee_oceans_dlh9.PNG

http://www.nodc.noaa...basin_data.html

C'est probablement ici que l'essentiel du bruit climatique se cache

heat_content2000m_fyc4.png

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Aussi, tant que je suis en train de faire un tour sur les indicateurs océaniques, j'en profite pour poser la question suivante; Est-il possible que l'Enso explique à lui seul une variation d'environ 2;5cm sur l'évolution moyenne du niveau des océans entre fin 2010 et fin 2012, soit sur une période de 2 ans, ou faut il y voir un bais de mesure, suite a un dysfonctionnement technique, un ré étalonnage ou autre? sachant qu'il y a 3 sources de relevés pour arriver à ce suivi, mais que nous avons déjà connu des variations de l'enso plus marquées comme en 2008, et qui n'avaient pas eu un tel impact sur le niveau des océans. Voilà, j'ai trouvé cela étonnant:

MSL_Serie_MERGED_Global_IB_RWT_GIA_Adjust_jzh3.png

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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

L'anomalie UAH de février 2013 est de 0.18°, bien plus faible que celle de janvier 2013 (0.51°)

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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Mise à jour d'un graphe de Leif Svalgaard.

TSI-not-following-SSN-F107.png

La divergence entre la mesure réelle de la TSI et celle calculée d'après les tâches, s'accentue (autour de l'équivalent d'un cycle à 80 en puissance réelle si les mesures de SORCE sont bonnes, pour une puissance équivalente à environ 50 d'après les tâches )

lsvalgaard says:

March 6, 2013

In comparing predictions with observations there is an important caveat, namely that the process whose outcome is predicted is still going on in qualitatively the same manner. This may not be the case with the Sun at present.

Here is a plot comparing TSI with the sunspot number and F10.7 http://www.leif.org/...ng-SSN-F107.png TSI has been scaled to match SSN and F10.7 during solar cycle 23 and you can see that in SC24, too few spots and too little F10.7 are observed. My interpretation of this is that the magnetism is there, but not concentrated enough to produce visible spots with attendant F10.7 emission. This is the Livingston&Penn effect in action. So what should the prediction be? if the sunspot number no longer is a good measure for solar activity. I speculate that something like this is not unprecedented, but also happened 400 years ago, so the Maunder Minimum was not a lack of solar activity [and low TSI], but just a lack of visible spots: http://www.leif.org/...Svalgaard14.pdf and http://www.leif.org/...Svalgaard12.pdf

Quelques réponses intéressantes de LS :

Is there any discussion of why solar cycle 24 is different from other solar magnetic cycles among specialists?

Yes, the prevailing view is that the cycle is not special in the past couple of centuries. I disagree with that in thinking that we may be in for a qualitative different regime as we had during the Maunder Minimum. There are lots of theories explaining the MM. [too many IMHO].

Do we currently see an asymmetry forming between the northern and southern hemisphere fields with this cycle?

Here http://www.leif.org/...oups-Months.png is the activity plot for cycle 14 and for cycle 24 separately for hemispheres. North is blue and South is red. The thin lines are for monthly means and the thick lines are for a centered yearly mean. You can see that early in cycle 24, the North was much more active. Now the South has caught up [still some variation down in the noise]. I expect the South to eventually overtake the North to restore some balance [as it usually does], but with the Sun, you never know for sure….

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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Les négativistes des bases scolaires élémentaires ne prennent même plus la peine de tracer une véritable tendance linéaire, inutile sans se préoccuper de l'absence de changement significatif ou de la non significativité sur ces courtes durées pour faire croire à des stagnations/refroidissements, maintenant c'est plus vite fait, ils tirent un simple trait !

http://tamino.wordpr...-watts-edition/

http://www.skeptical...al-warming.html

Sinon concernant l'océan, malgré cette accumulation énorme d'énergie, il ne faut pas oublier qu'il dispose d'un stock considérable de froid capable de stabiliser réellement la T de surface de la mer et donc la T de l'air pendant très longtemps et donc plus que l'accumulation dans les profondeurs, il est important de savoir exactement comment l'océan va réagir (s'il temporise bien plus que prévu et que la chaleur qui s'accumule dans les profondeurs n'est pas transférée "normalement" en surface, on ne verra pas du tout le problème à notre échelle humaine de la même façon, et inversement s'il se produit même uniquement par moments et localement des transferts brutaux non prévus de cette chaleur à la surface, ça ferait tout drôle.)

Je vois aussi encore traîner régulièrement ce type de graphe qui leur vaudrait un bon 0 en première année d'analyse statistique :

http://www.woodfortr...0.5/offset:-0.2

Pourquoi ? Parce que mathématiquement les tendances plates qu'ils souhaitent mettre en avant pour faire croire qu'il n'y a plus de réchauffement pendant que le CO2 progresse, n'existent pas dans le fond, vu qu'elles ne sont pas significatives parce qu'il n'y a pas eu de changement significatif de tendances depuis 75.

La tendance n'ayant pas changé significativement depuis 75 (dernier changement significatif), elle est considérée comme mathématiquement identique, donc on ne doit surtout pas la tronquer tant qu'il n'y a pas eu un changement significatif. En attendant le prochain point de changement significatif, c'est ce type de graphe qui débute vers 1975 (le point précis du changement significatif varie très légèrement selon le pas de temps et les séries utilisées) :

http://www.woodfortr...0.5/offset:0.05

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  • 2 weeks later...
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Cherbourg-L'aigle

On en parle pas beaucoup, mais voilà, ça vient de sortir ... Pas de moi, ni de ce que l'on nomme " climat-spetique " ou d'autre personne n'ayant pas cet avis:

http://www.contrepoints.org/2013/02/26/116205-le-giec-reconnait-17-ans-sans-rechauffement

C'est le président du GIEC qui le dot en personne. Après je n'irai pas plus loin dans mon message.

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Posté(e)
Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

On en parle pas beaucoup, mais voilà, ça vient de sortir ... Pas de moi, ni de ce que l'on nomme " climat-spetique " ou d'autre personne n'ayant pas cet avis:

http://www.contrepoi...s-rechauffement

C'est le président du GIEC qui le dot en personne. Après je n'irai pas plus loin dans mon message.

Tu ne t'améliores vraiment pas avec le temps, tant que tu y es, rapporte nous les discussions du bistrot du coin.Tu peux écouter Pachauri dans les liens à la fin de cet article (et lire l'article), au lieu de gober n'importe quoi.

http://www.skeptical...al-warming.html

Enfin même s'il avait dit ça exactement dans ce sens, ça n'a aucune valeur scientifique, tout le monde fait un jour ou l'autre ce genre d'approximation hors processus scientifique. J'ai même vu un scientifique du GIEC dire devant les caméras françaises en 2008 juste après un mois froid au niveau global, que si on observait un mois "froid" de plus, il faudrait se poser des questions (enfin j'espère qu'il s'en pose avant !). Et c'est pourtant un pur réchauffiste qui a dit ça ! Il n'y a rien de plus absurde pour un scientifique de ce calibre de dire ça, comme si un mois froid de plus en pleine Nina, allait changer une tendance climatique.

Si tu ne comprends toujours pas la différence entre le bla-bla dans les médias et la rigueur des débats dans les publications scientifiques, on ne peut plus rien faire pour toi.

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On en parle pas beaucoup, mais voilà, ça vient de sortir ... Pas de moi, ni de ce que l'on nomme " climat-spetique " ou d'autre personne n'ayant pas cet avis:

http://www.contrepoi...s-rechauffement

C'est le président du GIEC qui le dot en personne. Après je n'irai pas plus loin dans mon message.

En fait, plutot que de ne pas aller plus loin, tu aurais pu ne pas le commencer du tout, ton message. Si untel te dit qu'un autre a dit que celui ci aurai entendu cela.... alors cela doit être vrai? Un peu d'esprit critique (ou bien même sceptique) t'aurai amener a bien lire l'article, et a constater que bizarrement, la phrase accrocheuse affichée en sous titre: "Aveu de Rajendra Kumar Pachauri, président du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) : « Il n’y a pas de réchauffement depuis 17 ans. »", n est même pas citée dans l'article lui même... Ça ne t’étonne pas?Ca ne sort pas de ce que l'on nomme Climato-sceptique???

Euhh bin si en fait, un peu, voir beaucoup, il suffit de rechercher un peu sur le net le nom de l'auteur de l'article, un journaliste, ainsi que le nom de l'auteur de l'article auquel le premier se réfère...

Et sortir ca aprés (3 messages plus haut), une série de liens qui te démontre mathématiquement, à quel point ce genre d'affirmations ( quel que soit la personne qui les prononcent) sont sans fondement, c'est au mieux de la provocation, au pire de la bêtise.

Vu la qualité des arguments des "sceptiques", ça ne tient même plus de la discussion de comptoirs, mais de 2 mètres plus bas, dans les égouts...je me demande si le terme de climato-septique ne serais pas plus adapté à ce courant de pensées...

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Et encore un...

Combien de fois sur les topics réservés au climat devrons nous encore lire et répondre a des posts de négationnistes climatiques cherchant juste a diffuser leur propagandes ?

Il est demandé de poster ici des chiffres, des études, des références sérieuses; et l'on nous sert a la place des âneries repêchées dans les poubelles ultralibérales a tendances sectaires d'Internet, quand ce ne sont pas des "révélations" obtenues par le petit fils du cousin a la tante de la concierge de la belle sœur du gardien de l'immeuble ou avais habité il y a dix ans Claude Allègre...

C'est le président du GIEC qui le dot en personne. Après je n'irai pas plus loin dans mon message.

Je ne dis rien, mais je dis tout... La preuve s'auto-suffit a elle même et on ne doit surtout pas se justifier ou argumenter..

La mauvaise foi des négationniste climatiques, ou climatosepteux, n'a apparemment pas de limites... Une video sur la theorie du complot au sens large du terme : http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dRG7rhVU00M#!

Je demande a la modération que cette propagande soit bannie de ces topics... car entre toi, jocelyn qui fait ses propres auto-questions/réponses sous des pseudos différents et rcaman (l'homme du Rechauffement Climatique Antropique), je trouve que vous nous pourrissez bien trop souvent les topics avec des théories qui n'en sont pas.

L’extraterrestre de Roswell nie le réchauffement climatique… Si si ! c'est d'ailleur un article a lire jusqu'au bout (malgré le titre provocateur) : http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2012/08/01/rejet-science-theories-complot-climatosceptiques/

Propagande donc, qui n'a certainement pas sa place ici !

La modération peux aussi enlever ce post qui n'a, lui aussi, rien a faire sur ce topic.

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Beauvoir (Manche/Mt st Michel

Un réchauffement sans précédent depuis 11 000 ans

LE MONDE | 08.03.2013 à 14h42

• Mis à jour le 08.03.2013 à 16h56

Par Stéphane Foucart et Pierre Le Hir

A ceux qui douteraient encore que le réchauffement en cours a franchi les limites de la variabilité naturelle du climat, une nouvelle étude, publiée vendredi 8 mars dans la revue Science, en apporte une preuve dont la force tient à son recul historique. Les températures terrestres actuelles sont plus chaudes que celles enregistrées durant la plus grande partie des onze derniers millénaires. Et, sur l'ensemble de cette période, le réchauffement présent est inédit par sa rapidité.

Faute de mesures directes et d'observations satellitaires, la reconstitution des climats passés est un exercice complexe. Pour les périodes proches, les chercheurs ont notamment recours à la dendrochronologie, c'est-à-dire aux cernes annuels de croissance des arbres. Pour les temps plus reculés, les témoins du climat sont les sédiments marins, les carottes glaciaires, les pollens ou des composés organiques produits par les algues. Leurs caractéristiques physico-chimiques permettent à la fois de les dater et de connaître les conditions environnementales qui prévalaient alors.

C'est cette méthode qu'ont utilisée Shaun Marcott (université d'Etat de l'Oregon) et ses collègues pour reconstruire les températures à la surface de la Terre depuis onze mille trois cents ans. C'est-à-dire, peu ou prou, depuis le début de l'holocène, la période interglaciaire dans laquelle nous vivons, qui a succédé au dernier âge glaciaire. Ils ont ainsi reconstitué des séries de données sur 73 points du globe : 29 dans l'hémisphère Nord, 33 dans la zone équatoriale et 11 dans l'hémisphère Sud, moins documenté.

HAUSSE BRUTALE DEPUIS LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE

Le tableau qu'ils dressent est celui d'un réchauffement moyen de la planète de 0,6 oC au début de l'holocène, suivi d'un long plateau stationnaire de quatre millénaires, puis, à partir de - 5 000 ans, d'un refroidissement progressif de 0,7 oC, le plancher étant atteint il y a environ deux cents ans, avec le "petit âge glaciaire". Enfin, au cours du dernier siècle, la colonne de mercure grimpe en flèche.

"La température moyenne de la décennie 2000-2009 n'a pas encore dépassé le pic de l'holocène, notent les auteurs. Mais elle est plus chaude que pendant 75 % de cette période." La profondeur de champ, couvrant pour la première fois l'ensemble de l'holocène – alors que les précédents panoramiques ne portaient que sur un ou deux millénaires –, n'en rend que plus saisissante la hausse brutale du thermomètre depuis la révolution industrielle. "La température globale est passée du niveau quasiment le plus froid au plus chaud durant le siècle passé", soulignent les chercheurs.

"Ce qu'il faut retenir, c'est que le rythme du réchauffement en cours apparaît sans précédent aussi loin que les auteurs peuvent remonter, c'est-à-dire jusqu'à la frontière du dernier âge glaciaire, commente le climatologue Michael Mann (université de Pennsylvanie). Or, le vrai problème, en termes d'impacts du réchauffement, est la vitesse du changement, car c'est ce qui met au défi notre capacité d'adaptation."

"SINGULARITÉ DU DERNIER SIÈCLE"

Regardant cette fois le futur, les auteurs ajoutent que, dans tous les scénarios du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, qui prévoient, à l'horizon 2100, un réchauffement moyen compris entre 2 oC et 4 oC, le maximum de l'holocène sera dépassé. Et même pulvérisé.

"C'est une étude importante, fruit d'un gros travail de compilation et de calibration des archives paléoclimatiques, pense Edouard Bard, professeur au Collège de France, coauteur d'un récent travail similaire sur la déglaciation qui a précédé l'holocène. Elle montre clairement la singularité du dernier siècle par rapport aux variations climatiques, d'assez faible amplitude, des onze mille ans passés."

On pourra objecter qu'il est difficile de comparer les températures actuelles, mesurées sur une année ou une décennie, avec des moyennes établies sur des durées pluriséculaires. Pour Valérie Masson-Delmotte, chercheuse au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (CEA, CNRS, université de Versailles - Saint-Quentin, Institut Pierre-Simon - Laplace), cette étude n'en confirme pas moins que "le climat, en cent ans, est sorti complètement de la gamme de variabilité de la période interglaciaire".

ATTAQUES INCESSANTES

Selon Michael Mann, les conclusions de ce travail pourraient même être "plus fortes encore que celles que tirent les auteurs". Car ceux-ci pourraient avoir sous-estimé des biais liés au changement de l'obliquité de la Terre – c'est-à-dire de son inclinaison – au cours des derniers onze mille trois cents ans. De ce fait, dans les hautes latitudes de l'hémisphère Nord, les étés sont censés être plus frais aujourd'hui que par le passé. En tenant compte de ce refroidissement naturel attendu, "il est possible que la situation actuelle n'ait pas de précédent depuis onze mille ans", explique le chercheur américain. Dans ce cas, "il faudrait remonter jusqu'à la période interglaciaire précédente, il y a cent vingt-cinq mille ans, pour trouver des températures rivalisant avec celles d'aujourd'hui".

M. Mann se dit "certain" que "les professionnels du déni du changement climatique attaqueront cette nouvelle étude et ses auteurs". Il sait de quoi il parle. En 1998, il avait publié la première reconstruction des températures au cours du dernier millénaire, celle-ci suggérant que la dernière décennie du XXe siècle était très probablement la plus chaude depuis l'an mil.

La courbe qu'il en avait tirée, saisissante, avait été surnommée la "crosse de hockey" en raison de sa forme particulière. Elle a valu à son auteur une décennie d'attaques incessantes, de menaces, d'accusations de fraude ou d'incompétence, racontée dans un livre paru en 2012 (The Hockey Stick and the Climate Wars, Columbia University Press).

"Parce qu'elle confirme la "crosse de hockey" et qu'elle en étend les conclusions, cette nouvelle étude, prédit le chercheur, sera attaquée par ceux qui ont intérêt à continuer de nier la réalité du changement climatique anthropique."

Stéphane Foucart et Pierre Le Hir

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Bonjour à tous,

sur cette carte , la courbe est à l'envers par rapport à la "normale" des dernières années ou les températures étaient au-dessus des normales de plusieurs degrés aux poles surtout aux pole nord,c'est étonnant.

février 2013:

http://data.giss.nasa.gov/cgi-bin/gistemp/nmaps.cgi?year_last=2013&month_last=2&sat=4&sst=3&type=anoms&mean_gen=02&year1=2013&year2=2013&base1=1951&base2=1980&radius=1200&pol=reg

janvier 2013 et les mois précédent:

http://data.giss.nasa.gov/cgi-bin/gistemp/nmaps.cgi?year_last=2013&month_last=2&sat=4&sst=3&type=anoms&mean_gen=01&year1=2013&year2=2013&base1=1951&base2=1980&radius=1200&pol=reg

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  • 2 weeks later...
Posté(e)
Cherbourg-L'aigle

Bonjour à tous,

sur cette carte , la courbe est à l'envers par rapport à la "normale" des dernières années ou les températures étaient au-dessus des normales de plusieurs degrés aux poles surtout aux pole nord,c'est étonnant.

février 2013:

http://data.giss.nas...us=1200&pol=reg

janvier 2013 et les mois précédent:

http://data.giss.nas...us=1200&pol=reg

C'est vrai, pour une fois que le pôle se retrouve plutôt dans le bleu et non dans le rouge !
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Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Comme le sujet a dérivé vers le soleil dans le forum du suivi de l' Arctique, je poursuis ici ces histoires : /topic/40159-suivi-de-lenglacement-au-pole-nord/page__st__2700#entry2106344'>http://forums.infocl...00#entry2106344

ChristianP je ne vois pas pourquoi tu me saute dessus comme tu tentes de le faire et que tu dis que je parle de ma théorie alors que je ne parle pas du lien entre le barycentre du Système-Solaire et l'activité solaire .

Je parle du cycle de Suess reconnu par les scientifiques et voir du G.O. reconnu par les scientifiques et que c'est même la raison pour laquelle qu'en 2006 quand la NASA a prévu l'activité solaire N°24 elle en a fait de même pour le cycle N°25 malgré que le cycle solaire N°24 n'avait même pas encore commencé.

Puis pour voir si oui ou non l'activité solaire est 2 fois plus basse que le cycle précédent on peut se baser sur différents éléments (taches solaires, constante solaire, champs magnétique...). Donc ce n'est pas la peine de jouer la dessus pour montrer que les autres ont tors comme tu fais toujours.

Williams

Ben voyons, c'est toujours pareil avec toi, pour faire illusion c'est classique, tu utilises des notions solaires reconnues pour les tordre et les mélanger avec divers éléments invalides, pour nous resssortir tes théories invalides pour faire dire à ces paramètres connus, ce qu'ils ne peuvent dire.

Il faut vraiment être gonflé pour affirmer que tu ne sous-entends plus rien d'autre et que tu ne bricoles pas ces éléments avec l'effet des planètes, le barycentre... Les mensonges ne t'étouffent pas, vu que tu nous communiques un lien vers ton site où tu n'as pas changé un mot sur ce sujet. Tout le monde pourra constater que tu les mélanges bien la loi G-O :

Les violations de la loi de G-O ont lieu près d'une période où le mouvement orbital du Soleil autour du barycentre est rétrograde et quand l'élan angulaire orbital du Soleil diminue beaucoup et rapidement. A ces périodes là on a approximativement un alignement de Jupiter-Soleil-Saturne-Uranus-Neptune donc le barycentre est près du centre du Soleil puis inverse avec un alignement du Soleil-Jupiter-Saturne-Uranus-Neptune environs 6 ans après à plus ou moins un an près. Donc une variation rapide de la distance entre le Soleil et le barycentre. Car quand Saturne-Uranus-Neptune sont du même côté du Soleil alors Jupiter qui a une période orbitale plus courte fait varier très rapidement la distance entre le Soleil et le barycentre.

http://la.climatolog...eil/soleil2.htm

Donc évite de continuer ici à propager ce genre de tambouille maison (sans conditionnel/sans même préciser que c'est une hypothèse sans aucune preuve scientifique), comme si c'était des faits scientifiques aussi certains que l'effet de serre et que la terre est ronde.

On voit bien dans ta page la citation de Hathaway que tu places pour essayer de donner du poids à ce que tu dis plus bas.

Les méthodes de prévis des différents spécialistes sont données encore dans ce papier diffusé il n'y a pas très longtemps dans un des ateliers SSN: http://www.leif.org/...SSN/Pesnell.pdf

On ne peut pas dire que la loi G-O et le cycle de Suess soient particulièrement utiles et Hathaway pour sa prévis erronée de 2006 a utilisé l'aa index, en prevoyant un cycle fort (avec la loi G-O, dite effet pair-impair, il n'aurait pas dû prévoir un cycle 24 plus fort que le 23), je ne vois pas où il utilise la loi G-O dans son papier des prévis de 2006 :

http://solarscience....yWilson2006.pdf

J'avais vu qu'il en avait parlé en 2010, mais son utilité est minime vu le paragraphe sur ce sujet et son absence dans la conclusion de ce document sur la prévis du cycle solaire : http://solarphysics....10-1Color.pdf

Il est très loin de balancer tes affirmations à propos de son utilité et de ton faux cycle d'environ 180 ans basé sur le barycentre pour sa violation.

Il est a des années lumières d'afficher tes certitudes dès que tu parles de ces sujets et je ne vois aucun de tes éléments dans ceux utiles donnés dans la conclusion.

8 Conclusions

Understanding the solar cycle remains as one of the biggest problems in solar physics. It is also

one of the oldest. Several key features of the solar cycle have been reviewed here and must be

explained by any viable theory or model.

• The solar cycle has a period of about 11 years but varies in length with a standard deviation

of about 14 months.

• Each cycle appears as an outburst of activity that overlaps with both the preceding and

following cycles by about 18 months.

• Solar cycles are asymmetric with respect to their maxima – the rise to maximum is shorter

than the decline to minimum and the rise time is shorter for larger amplitude cycles.

• Big cycles usually start early and leave behind a short preceding cycle and a high minimum

of activity.

• Sunspots erupt in low latitude bands on either side of the equator and these bands drift

toward the equator as each cycle progresses.

• The activity bands widen during the rise to maximum and narrow during the decline to

minimum.

• At any time one hemisphere may dominate over the other but the northern and southern

hemispheres never get completely out of phase.

• Sunspots erupt in groups extended in longitude but more constrained in latitude with one

magnetic polarity associated with the leading (in the direction of rotation) spots and the

opposite polarity associated with the following spots.

• The magnetic polarities of active regions reverse from northern to southern hemispheres and

from one cycle to the next.

• The polar fields reverse polarity during each cycle at about the time of cycle maximum.

• The leading spots in a group are positioned slightly equatorward of the following spots and

this tilt increases with latitude.

• Cycle amplitudes exhibit weak quasi-periodicities like the 7 to 8-cycle Gleissberg Cycle.

• Cycle amplitudes exhibit extended periods of inactivity like the Maunder Minimum.

• Solar activity exhibits quasi-periodicities at time scales shorter than 11 years.

• Predicting the level of solar activity for the remainder of a cycle is reliable 2 – 3 years after

cycle minimum.

• Predictions for the amplitude of a cycle based on the Sun’s polar field strength or on geomagnetic

activity near cycle minimum are significantly better than using the climatological mean.

(A noter que la méthode de prévis de Leif Svalgaard, c'est celle donnée dans le dernier point de la conclusion)
William :

Puis pour voir si oui ou non l'activité solaire est 2 fois plus basse que le cycle précédent on peut se baser sur différents éléments (taches solaires, constante solaire, champs magnétique...). Donc ce n'est pas la peine de jouer la dessus pour montrer que les autres ont tors comme tu fais toujours.

Non pas dans ce cas où tu n'en restes pas à la météo-climato purement solaire, mais à l'action potentielle du soleil sur des paramètres climatiques (la T, l'hiver, la banquise, la neige ou autres...) dans le forum sur l'englacement.

Dans ce cas, le paramètre fondamental du soleil obligatoirement le plus utile à suivre bien avant tous les autres, c'est l'énergie du soleil qui nous parvient avant les diverses rétroactions et autres effets multiplicateurs, c'est donc la TSI (et donc aussi les UV qui sont dedans).

Si on se sert encore du nb de taches (SSN) ou d'autres paramètres indirects dans ce cadre, c'est justement faute d'instrument et de bonnes mesures directes de TSI depuis assez longtemps. C'est simplement utilisé comme un des bons proxys de la TSI en temps normal, mais ce n'est plus le cas dans ce cycle.

Actuellement dans le cadre de l'action sur les paramètres climatiques, ce n'est plus pertinent d'utiliser le SSN ou tous les autres paramètres dans les périodes où ils partent en live par rapport à la variation réelle de TSI, et par rapport à l'autre cycle la variation n'est que de 1/3 plus faible ( et non 2 fois plus faible et ni pas 0 fois à 0.x fois plus forte si quelqu'un pour x raisons non scientifiques, voulait se fixer sur la CME comme proxy de la TSI).

Les seuls paramètres solaires utiles dans notre cas pour qualifier l'activité solaire en générale, sont tous ceux qui te permettront d'en déduire le bon rapport de diminution total de variation d'activité en terme d'énergie solaire, qui est d'environ 1/3 et non de 2 !

Si tu nous communiquais d'éventuels autres paramètres qui fonctionnent bien comme proxy de la TSI actuellement pendant ce cycle particulier, pas de problèmes. Mais là en attendant, en parlant de 2 fois moins d'activité solaire dans ce forum sur l'englacement, tu veux faire croire en zappant volontairement le paramètre principal, l'énergie, que la variation totale d'activité solaire utile aux paramètres climatiques est 2 fois plus faible que dans l'autre cycle, ce qui est faux.

Après tu peux toujours étudier spécifiquement une partie des cette énergie utile aux variations plus ou moins locales du climat et voir de quel facteur ont diminué les UV par exemple (j'en sais rien, je n'ai pas regardé).

Si on disposait d'une très longe série de mesures directes correctes de la TSI avec de nombreux instruments, pour étudier l'impact du soleil en temps réel sur le climat, comme pour la T, où tu ne nous sors pas tres troncs d'arbres, tu ne penserais pas à nous fixer sur le nb de taches ou autres proxys qui partent en vrille, sinon IC va devoir nous pondre une carte de T en temps réel à partir de nos troncs arbres par exemple (il y aura quelques divergeances là aussi , vu qu'un proxy c'est en général moins bon qu'une vraie mesure directe, même imparfaite. Il vaut mieux utiliser un thermo en plein soleil sans abri pour suivre la T de l'air, plutôt qu'un tronc d'arbre ! )

En ce moment à priori, la divergence viendrait du fait que la TSI varie aussi en fonction de l'importance des surfaces des zones sombres (plus froides) des taches par rapport aux surfaces des facules (zones brillantes bien plus chaudes), importance qui dépend aussi du nb de chaque type/classe de taches.

Pour un même SSN, sur tout le disque solaire, si on observe plus de facules et moins de surfaces sombres et plus un même SSN nous enverra de l'énergie (l'énergie reçue, la TSI sera donc plus importante pour un même SSN).

Pour le cas récent, ça viendrait d'une diminution du nb de petites taches, avec l'hypothèse que ce soit relié à l'effet LP qui permet à certains spécialistes d'avancer l'hypothèse , d'un prochain grand mini solaire type Maunder.

Heureusement que les vrais scientifiques du soleil, se posent bien plus de questions que toi sur la signification d'un changement du nb de tache pour l'énergie qui nous parvient et qu'ils essaient d'y répondre et au lieu de faire ton genre de raccourci sous-entendu, ils avaient relevé des différences entre le cycle 22 et le 23 :

"If large spots decreased by over 50% why TSI did not change much during cycle 23 maximum ?"

(réponses à lire dans les doc disponibles des ateliers SSN. Je ne donne pas la réf du papier ça forcera Williams à lire autre chose que les doc dans les poubelles du Net, même si je sais que son esprit va zapper volontairement ou non, tout ce qui va à l'encontre de ses théories préférées)

L'énergie est le principal paramètre à suivre quand on parle d'influence solaire sur le climat et donc la TSI ( dont les UV), le reste c'est comme d'habitude du brouillard et du vent que sèment en permanence certains amateurs faussement intéressés par l'action du soleil sur le climat, malgré le fait que certains s'auto-proclament spécialistes de ce domaine !

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Il ne faut pas demander qui c’est qui détourne ce que disent les personnes quand je vois qu’en parlant du G.O tu passes au barycentre alors que je n’en parle pas dry.png

Le problème est que les ¾ du temps quand je dis une chose de suite tu interviens de cette façon. Surtout, quand je vois que tu n’as rien dit à Mister meteo qui est le premier à parler de l’activité solaire mais par contre quand je dis qu’il a raison sur ce qu’il a dit en donnant que 2 raisons pour lesquelles je suis de son avis, là oui tu tentes de me contredire sur tous et de parler de certains éléments que je ne parle pas. Car quand je dis «le cycle solaire N°25 va être encore plus faible que le cycle N°24 suivant la loi G.O.. » je ne parle pas du barycentre pour pas que certain d’entre vous réagissent ainsi… Mais voilà que comme si j’en parlais là tu en parles pour mettre le feu à la poudre.

Après pour combien de fois l’activité solaire N°24 est plus faible que le précédent je pense qu’on a raison tout les deux suivant ce que tu dis et suivant l’indice qu’on prend.

Fin de cette conversation car je ne vais pas plus loin.

Williams

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Bonjour Christian P, je sais que Wikipedia n'est pas considérée comme une référence scientifique, mais quand même, je peine à croire que personne n'aurait réagit aux affirmations suivantes si cela ne faisait pas consensus:

Ca relève d'observations statistiques finalement, on parle même d'une corrélation établie entre marée solaire et tempête solaire, avec un résultat significatif.

Capture_cycle_hhc0.PNG

Par contre, effectivement, il n'est pas dit que l'intensité de l'énergie solaire reçue par la terre a un rapport avec les tâches.

Et pour les relations intermédiaires, comme activité solaire> rayons cosmiques> ionisation> nuages/ pour le moment il est question de suggestion.

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Posté(e)
Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

Salut Sebb,

Ben oui, je connaissais cette action sur les marées solaires qui ne sont pas confondre les changements d'activité du cycle solaire, ça n'a vraiment rien à voir. Leif Svalgaard passe justement son temps dans les forums/blogs à démonter la confusion entre les deux, volontairement entretenue pas les faux sceptiques.

Quand j'aurais du temps, je te retrouverai les explications techniques.

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Posté(e)
Nord du Gard - Saint-Ambroix - Alt: 151 m

Une analyse de lachaineméteo sur ce sujet:

http://actualite.lachainemeteo.com/actualite-meteo/2013-04-04-13h24/cet-hiver-2013-est-il-exceptionnel--20431.php

Ca ne devrait pas être du gout de tout le monde, mais un peu d'objectivité sur un média Français ça fait du bien.

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