jbaf Posté(e) 2 décembre 2007 Drancy (93), à environ 50 mètres d'altitude Partager Posté(e) 2 décembre 2007 /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> Là ou on met les gens, cela s'appelle une voiture. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 2 décembre 2007 Partager Posté(e) 2 décembre 2007 Voiture? On appellait autrefois les carosses "voitures"; je pense que c'est ce que Didier à voulu dire Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
charles.muller Posté(e) 2 décembre 2007 Partager Posté(e) 2 décembre 2007 (...) Il y a des données des 6 stations RCS en France et la liste des toutes les stations ici : http://cdo.ncdc.noaa.gov/pls/plclimprod/cd...asetabbv=GSNMON (...) J'en trouve dix fonctionnant encore en 05-2005 (date de la mise à jour) quand je cherche sur France. Sais-tu quelles sont les six stations de référence parmi ces dix ? Cela m'intéresserait de lancer un topic spécifique à ce sujet, permettant à chacun de poster des infos sur l'évolution historique des 6 stations de référence et de leur environnement. Au moins, on parlerait sur du concret en terme d'instrumentation et d'influence de l'usage des sols. PS : à moins que cela ne soit fait ailleurs, dans la perspective envisagée (c'est-à-dire climato et non pas météo, s'intéressant aux évolutions décennales des sites et des instruments - surtout des sites puisque les moyennes mensuelles elles-mêmes et les éventuelles ruptures sont homogénéisées de manière rigoureuse, pour ce que j'avais lu, mais j'ai plus de doute pour les modifications progressives du budget de surface aux alentours). Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Marot Posté(e) 2 décembre 2007 Partager Posté(e) 2 décembre 2007 On appellait autrefois les carosses "voitures"; je pense que c'est ce que Didier à voulu dire Voitures mais pas automobiles.Moyen, mode de transport. Le bateau est une voiture fort commode. Voiture par eau. Avoir voiture. Avoir une voiture et un attelage personnel à sa disposition. Trésor de la langue française Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Didier Posté(e) 2 décembre 2007 Pechbonnieu (31), mais Luz Saint-Sauveur et Gavarnie pour des relevés climatologiques Partager Posté(e) 2 décembre 2007 On appellait autrefois les carosses "voitures"; je pense que c'est ce que Didier à voulu dire En fait, j'ai récupéré ces infos à la bibliothèque de MF lors d'un passage à Paris. Elles sont issues d'un mémorial consacré aux hivers rigoureux en France donc ce n'est pas moi qui est écrit ces textes (vous l'aurez compris) d'autant plus qu'il s'agit de vieux français. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">Par contre j'ai voulu montrer qu'en période de réchauffement, en l'occurence ici l'optimum climatique du Moyen Age, la France pouvait connaître malgré tout des hivers très rigoureux. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
raymiss Posté(e) 6 décembre 2007 Partager Posté(e) 6 décembre 2007 en raison du rechaufement climatique, est ce que des hivers tres tres froid comme celui de 1956 pourrait se reproduire en france(…) Je n'ai pas compris la question. Il y a eu un réchauffement climatique en 1956 qui permette de comparer les deux époques ? Ou bien réchauffement est synonyme de très très froid ? /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 6 décembre 2007 Dax (40) Partager Posté(e) 6 décembre 2007 Je n'ai pas compris la question. Il y a eu un réchauffement climatique en 1956 qui permette de comparer les deux époques ? Ou bien réchauffement est synonyme de très très froid ? /emoticons/ph34r@2x.png 2x" width="20" height="20"> T'es allé cherché midi à quatorze heures ! La question, c'était "Avec le réchauffement climatique actuel, est-ce qu'il est encore possible en France d'avoir des hivers très froids comme par exemple en 1956 ?". Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
raymiss Posté(e) 6 décembre 2007 Partager Posté(e) 6 décembre 2007 T'es allé cherché midi à quatorze heures ! La question, c'était "Avec le réchauffement climatique actuel, est-ce qu'il est encore possible en France d'avoir des hivers très froids comme par exemple en 1956 ?". Ouuuups ! Pardon. Dans ce cas la réponse est simple : OUI 1744 : " L'an 1744 commença par un beau temps. On eut très peu de neige. Les mulets roulaient facilement toute la commune aussi librement qu'au mois d'août. Jamais homme vivant n'avait vu un temps si agréable dans cette saison. L'hiver commença le 9 mai... 50 ans plus tard : 1794. Il est tombé à Annecy et sur le Genevois une neige abondante qui fit verser les moissons et subsista pendant deux jours. L'hiver fut long et dur. Du 17 décembre 1794 au 5 mars 1795, le froid fut presque continuel et il tomba tant de neige que les routes de la région annecienne furent impraticables. http://virtedit.free.fr/vivian_dern.html Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
lozere Posté(e) 6 décembre 2007 Partager Posté(e) 6 décembre 2007 1744 : " L'an 1744 commença par un beau temps. On eut très peu de neige. Les mulets roulaient facilement toute la commune aussi librement qu'au mois d'août. Jamais homme vivant n'avait vu un temps si agréable dans cette saison. L'hiver commença le 9 mai... Hum, les Mémoires de l'académie des sciences de 1744 citées par Arago donnent un son de cloche un peu différent : "la Seine se prend le 11 janvier au matin, par un vent de nord-est faible et un temps serein, le thermomètre affichant -8,7°C. Le plus grand froid eut lieu le 14 janvier avec -10°C"De la difficulté à trouver des données fiables pour les données anciennes... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
ChristianP Posté(e) 6 décembre 2007 Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer) Partager Posté(e) 6 décembre 2007 J'en trouve dix fonctionnant encore en 05-2005 (date de la mise à jour) quand je cherche sur France. Sais-tu quelles sont les six stations de référence parmi ces dix ? Cela m'intéresserait de lancer un topic spécifique à ce sujet, permettant à chacun de poster des infos sur l'évolution historique des 6 stations de référence et de leur environnement. Au moins, on parlerait sur du concret en terme d'instrumentation et d'influence de l'usage des sols. PS : à moins que cela ne soit fait ailleurs, dans la perspective envisagée (c'est-à-dire climato et non pas météo, s'intéressant aux évolutions décennales des sites et des instruments - surtout des sites puisque les moyennes mensuelles elles-mêmes et les éventuelles ruptures sont homogénéisées de manière rigoureuse, pour ce que j'avais lu, mais j'ai plus de doute pour les modifications progressives du budget de surface aux alentours). Toutes, mais 4 stations sur les 10 ne sont pas en France, d'où "mes" 6 stations RCS en France .Je n'ai pas vu de sujets lancés ailleurs pour les RCS, qu'il serait bon de décortiquer. J'aimerais bien savoir pourquoi on ne trouve pas une tendance mondiale calculée et publiée uniquement avec ces 1000 et quelques stations RCS (c'est certain qu'on ne peut pas faire du temps réel avec ce réseau car l'homogénéisation de qualité prend du temps. Mais c'est assez gênant de voir des tendances publiées quelques jours avant ou après la fin de l'année alors que l'évolution de milliers de stations utilisées n'est pas maîtrisée). Autant être rigoureux et utiliser ce qui se fait de mieux (pour le moment) en sélection et suivi des stations, et en technique d'homogénéisation. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
miniTAX Posté(e) 7 décembre 2007 Partager Posté(e) 7 décembre 2007 Toutes, mais 4 stations sur les 10 ne sont pas en France, d'où "mes" 6 stations RCS en France /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Je n'ai pas vu de sujets lancés ailleurs pour les RCS, qu'il serait bon de décortiquer. J'aimerais bien savoir pourquoi on ne trouve pas une tendance mondiale calculée et publiée uniquement avec ces 1000 et quelques stations RCS (c'est certain qu'on ne peut pas faire du temps réel avec ce réseau car l'homogénéisation de qualité prend du temps. Mais c'est assez gênant de voir des tendances publiées quelques jours avant ou après la fin de l'année alors que l'évolution de milliers de stations utilisées n'est pas maîtrisée). Autant être rigoureux et utiliser ce qui se fait de mieux (pour le moment) en sélection et suivi des stations, et en technique d'homogénéisation. Oui mais bon, quand on rentre dans le détail du machin, c'est la franche rigolade !Je suis allé chercher les données pour la France sur le site de la NOAA et on voit vite à quel point l'entretien des données est lamentable. Dans la base GHCN, il y a 15 stations attribuées à la France, dont 6 en métropole. Ces 6 stations sont toutes situées en zone urbaine (et pas qu'un peu) excepté Aigoual mais dont les données s'arrête en 2000. Mont Aigoual, une des stations les mieux entretenues en France et on ne peut plus rural n'est même plus utilisée. Donc la température de toute la France est en fait la température urbaine mais ça on le savait déjà depuis que le CRU (fournisseur de température officielle du GIEC) a publié sa liste des stations en septembre dernier. Quant aux 9 autres stations de "référence" hors métropole, c'est bien simple, on n'a PAS de température moyenne, sauf pour le Raizet dont la température s'arrête en ... 1960. Et ça, c'est pour la France, qu'est ce que ça doit être pour l'Afrique ou la Mongolie Intérieure ! Et pour toute, aucune température moyenne n'existe AVANT 1950 alors que la température globale avait augmenté très vite entre 1900 et 1940. Donc quand on vous dit la hausse de température est "sans précédent", entendez par "sans précédent depuis 1950" /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20"> D'ailleurs, quand on regarde de près la hausse, elle s'est faite pratiquement par un seul saut à partir de 1986 (que je surnomme effet Tchernobyl), donc tout sauf corrélativement à une hausse de CO2. J'ai sauvé les données & graphiques ici. Le script R pour générer les graphiques fait moins de 15 lignes. Si les promoteurs du réchauffement climatiques avaient fait moins joujou avec les modèles et s'étaient cognés un peu plus l'analyse des données, il n'y aurait pas eu autant d'exagération parce qu'il n'y a vraiment pas matière pour ça Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
charles.muller Posté(e) 8 décembre 2007 Partager Posté(e) 8 décembre 2007 Toutes, mais 4 stations sur les 10 ne sont pas en France, d'où "mes" 6 stations RCS en France /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Je n'ai pas vu de sujets lancés ailleurs pour les RCS, qu'il serait bon de décortiquer. (...) Ah OK, donc les stations de France métropolitaine sont bien : Bourges Marseille Marignane Mont Aigoual Rennes Strasbourg Toulouse Blagnac (Sauf que Mont Aigoual est signalé inactif depuis 1999, comme le dit miniTAX). Bon, ben ce serait déjà intéressant de voir depuis combien de temps les 5 stations "urbaines" sont à leur emplacement actuel, et d'analyser ensuite comment l'environnement de cet emplacement a évolué au fil du temps. A part la climathèque de MF, il y a des sites ou des articles sur ce sujet précis (l'historique des stations, et de ces 5 là en particulier) ? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alain Coustou Posté(e) 8 décembre 2007 Partager Posté(e) 8 décembre 2007 Ah OK, donc les stations de France métropolitaine sont bien : Bourges Marseille Marignane Mont Aigoual Rennes Strasbourg Toulouse Blagnac (Sauf que Mont Aigoual est signalé inactif depuis 1999, comme le dit miniTAX). Bon, ben ce serait déjà intéressant de voir depuis combien de temps les 5 stations "urbaines" sont à leur emplacement actuel, et d'analyser ensuite comment l'environnement de cet emplacement a évolué au fil du temps. A part la climathèque de MF, il y a des sites ou des articles sur ce sujet précis (l'historique des stations, et de ces 5 là en particulier) ? Oui, mais en dehors du phénoméne d'urbanisation extensive, il faudrait aussi pouvoir tenir compte de l'évolution des émissions de calories et de GES en ville.D'abord, l'amélioration de plus en plus fréquente de l'isolation des batiments réduit l'importance de la bulle chaude en région urbaine. J'ai moi-même pu ainsi réduire de moitié l'importance de mes dépenses de chauffage (et donc ses conséquences sur la déperdition de calories et sur l'effet de serre) depuis que j'ai fait l'acquisition de mon actuelle maison, à la suite des travaux d'isolation que j'ai entrepris. De plus, globalement, le recul ou la disparition des chauffages les plus émetteurs de GES dans les villes (charbon, bois, fuel domestique) au profit des chauffages électriques et au gaz naturel va également dans le sens de la réductiion des émissions de GES en zone urbaine. Et puis il y a les transports urbains dont la nature change. Ainsi, dans la communauté urbaine de Bordeaux, le développement d'un réseau moderne de tram a fait très sensiblement reculer l'usage de la voiture individuelle et donc les calories et GES émis. D'autant plus que la généralisation de véhicules peu polluants (voire électriques) sur le réseau de bus contribue à améliorer la situation. Enfin, coté activités, les industries (génératrices de GES et de calories) ont presque partout laissé la place à des activités de services. Comme quoi rien n'est simple et l'évolution actuelle de l'urbanisation est susceptible d'entraîner une sous-estimation de la tendance au RC par réduction de l'intensité de la bulle chaude en zone urbaine et périurbaine. Alain Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
the fritz Posté(e) 9 décembre 2007 Partager Posté(e) 9 décembre 2007 Oui, mais en dehors du phénoméne d'urbanisation extensive, il faudrait aussi pouvoir tenir compte de l'évolution des émissions de calories et de GES en ville. D'abord, l'amélioration de plus en plus fréquente de l'isolation des batiments réduit l'importance de la bulle chaude en région urbaine. J'ai moi-même pu ainsi réduire de moitié l'importance de mes dépenses de chauffage (et donc ses conséquences sur la déperdition de calories et sur l'effet de serre) depuis que j'ai fait l'acquisition de mon actuelle maison, à la suite des travaux d'isolation que j'ai entrepris. De plus, globalement, le recul ou la disparition des chauffages les plus émetteurs de GES dans les villes (charbon, bois, fuel domestique) au profit des chauffages électriques et au gaz naturel va également dans le sens de la réductiion des émissions de GES en zone urbaine. Et puis il y a les transports urbains dont la nature change. Ainsi, dans la communauté urbaine de Bordeaux, le développement d'un réseau moderne de tram a fait très sensiblement reculer l'usage de la voiture individuelle et donc les calories et GES émis. D'autant plus que la généralisation de véhicules peu polluants (voire électriques) sur le réseau de bus contribue à améliorer la situation. Enfin, coté activités, les industries (génératrices de GES et de calories) ont presque partout laissé la place à des activités de services. Comme quoi rien n'est simple et l'évolution actuelle de l'urbanisation est susceptible d'entraîner une sous-estimation de la tendance au RC par réduction de l'intensité de la bulle chaude en zone urbaine et périurbaine. Alain Alain , qu'est-ce que tu es entrain d'essayer de nous expliquer: que depuis 50 ans on est entrain de mettre les villes à la campagne? Tout le monde sait que nos campagnes se dépeuplent et pas seulement chez nous! Que la population augmente, qu'elle vit en ville et que par conséquent l'augmentation des depenses énergétiques observées depuis un demi siècle se situe principalement dans les villes Je te retourne ton argument comme tu voulais le faire, en disant que tout effort de réduction et d'économie d'energie est par conséquent vain, et que toutes les astuces anti gaspi dont tu parles sont anéanties par l'affairisme dans les mégalopoles. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 9 décembre 2007 Partager Posté(e) 9 décembre 2007 Alain , qu'est-ce que tu es entrain d'essayer de nous expliquer: que depuis 50 ans on est entrain de mettre les villes à la campagne? Tout le monde sait que nos campagnes se dépeuplent et pas seulement chez nous! Que la population augmente, qu'elle vit en ville et que par conséquent l'augmentation des depenses énergétiques observées depuis un demi siècle se situe principalement dans les villes Je te retourne ton argument comme tu voulais le faire, en disant que tout effort de réduction et d'économie d'energie est par conséquent vain, et que toutes les astuces anti gaspi dont tu parles sont anéanties par l'affairisme dans les mégalopoles. La réalité me parait être entre vous deux. Mais attention, l'exode rural s'est terminé depuis le début des années 70; cela fait 30 ans maintenant que le mouvement dit de "rurbanisation" (retour des urbains à la campagne) gagne les espaces ruraux de plus en plus éloignés des centres villes. Hormis quelques zones à l'écart (plateau du massif central, Alpes de haute provence...), l'espace rural francais en en pleine phase de repopulation. Pour autant, l'affairisme des métropoles a continué à gagner du terrain; mais il est plus que probable que les politiques urbaines enclanchées depuis quelques années commencent à porter leur fruits en matière de réchauffement urbain. Pour l'instant, on doit en être à un plateau, pas encore à un recul. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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