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La météo, une passion frustrante ?


PaRaDoX
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Messages recommandés

Tout est dans le titre. La question peut paraître un peu philosophique, mais cela m'arrive souvent de me questionner là-dessus.

Ne trouvez-vous pas qu'on est peu rassasiés dans cette passion, en comparaison des multiples flops que l'on peut connaître ? Quand je parle de flops, je pense aussi aux désillusions des modèles, qui nous promettent souvent la Lune alors que le résultat final est somme toute banal. Combien de fois les cumuls de précipitations ont-ils diminué sensiblement à l'approche de l'échéance (cela n'arrive quasiment jamais dans l'autre sens) ? Combien de descentes froides hivernales ou de remontées chaudes estivales ont été annulées pour être remplacés par un vieux temps crasseux ? Bien sûr le maître mot dans tout cela est la patience, et après une longue attente on est souvent récompensé. Mais à une bonne surprise l'on doit payer le prix de multiples flops, ce qui revient bien cher payé au final (exemple récent de la VDF de 2012 qui a suivi une des années les plus horribles de tous les temps = 15 jours d'extase pour 400 de poisse).

Ce sujet peut passer comme une nouvelle lamentation inutile, mais c'est une question réellement sérieuse. Paix avait répondu une fois que la passion quelle qu'elle soit était de nature à inspirer la frustration, et bien pour ma part aucune de mes autres passions ne m'a paru réellement frustrante, il n'y a que la météo qui en 4 ans de passion m'a apporté bien plus de déceptions que de bonnes surprises. J'irai même jusqu'à dire que depuis que j'ai débuté cette passion, je suis devenu quelqu'un d'assez pessimiste, sans doute à force de regarder trop les modèles.

Et vous ?

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Invité Guest

Tout est dans le titre. La question peut paraître un peu philosophique, mais cela m'arrive souvent de me questionner là-dessus.

Ne trouvez-vous pas qu'on est peu rassasiés dans cette passion, en comparaison des multiples flops que l'on peut connaître ? Quand je parle de flops, je pense aussi aux désillusions des modèles, qui nous promettent souvent la Lune alors que le résultat final est somme toute banal. Combien de fois les cumuls de précipitations ont-ils diminué sensiblement à l'approche de l'échéance (cela n'arrive quasiment jamais dans l'autre sens) ? Combien de descentes froides hivernales ou de remontées chaudes estivales ont été annulées pour être remplacés par un vieux temps crasseux ? Bien sûr le maître mot dans tout cela est la patience, et après une longue attente on est souvent récompensé. Mais à une bonne surprise l'on doit payer le prix de multiples flops, ce qui revient bien cher payé au final (exemple récent de la VDF de 2012 qui a suivi une des années les plus horribles de tous les temps = 15 jours d'extase pour 400 de poisse).

Ce sujet peut passer comme une nouvelle lamentation inutile, mais c'est une question réellement sérieuse. Paix avait répondu une fois que la passion quelle qu'elle soit était de nature à inspirer la frustration, et bien pour ma part aucune de mes autres passions ne m'a paru réellement frustrante, il n'y a que la météo qui en 4 ans de passion m'a apporté bien plus de déceptions que de bonnes surprises. J'irai même jusqu'à dire que depuis que j'ai débuté cette passion, je suis devenu quelqu'un d'assez pessimiste, sans doute à force de regarder trop les modèles.

Et vous ?

Plus exactement que c'était une souffrance default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pour la météo', on ne maitrise pas grand'chose. C'est aussi une formidable leçon d'humilité.
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Tout est dans le titre. La question peut paraître un peu philosophique, mais cela m'arrive souvent de me questionner là-dessus.

Ne trouvez-vous pas qu'on est peu rassasiés dans cette passion, en comparaison des multiples flops que l'on peut connaître ? Quand je parle de flops, je pense aussi aux désillusions des modèles, qui nous promettent souvent la Lune alors que le résultat final est somme toute banal. Combien de fois les cumuls de précipitations ont-ils diminué sensiblement à l'approche de l'échéance (cela n'arrive quasiment jamais dans l'autre sens) ? Combien de descentes froides hivernales ou de remontées chaudes estivales ont été annulées pour être remplacés par un vieux temps crasseux ? Bien sûr le maître mot dans tout cela est la patience, et après une longue attente on est souvent récompensé. Mais à une bonne surprise l'on doit payer le prix de multiples flops, ce qui revient bien cher payé au final (exemple récent de la VDF de 2012 qui a suivi une des années les plus horribles de tous les temps = 15 jours d'extase pour 400 de poisse).

Ce sujet peut passer comme une nouvelle lamentation inutile, mais c'est une question réellement sérieuse. Paix avait répondu une fois que la passion quelle qu'elle soit était de nature à inspirer la frustration, et bien pour ma part aucune de mes autres passions ne m'a paru réellement frustrante, il n'y a que la météo qui en 4 ans de passion m'a apporté bien plus de déceptions que de bonnes surprises. J'irai même jusqu'à dire que depuis que j'ai débuté cette passion, je suis devenu quelqu'un d'assez pessimiste, sans doute à force de regarder trop les modèles.

Et vous ?

Une passion est un domaine dans lequel tu te lance sans limite.

Dans la météo on peut très bien étudier le ciel bleu (???) mais les orages et phénomènes violents son rares donc tu ne peu pas aller à fond dans ce que tu fais vu que pas d'orage = pas d'action donc frustration.

Tu rencontrera ca dans toutes les passions que tu auras, moi j'ai été très longtemps passionné d'astronomie ba quand il y avait un ciel pourri j'étais frustré et il y à également les moyen financiers qui peuvent êtres frustrant quant on vois le prix du matériel default_thumbdown.gif

Si tu été passionné de pêche tu serais frustré quand il n'y à pas de poisson ou lorsque tu est passionné de voiture c'est les bouchons qui te frustre : pirate:

Je pense que le principe d'une passion c'est d'être frustré régulièrement afin d'être encore plus à fond lorsque tu a l'occasion de l'exercer default_rolleyes.gif

edit: lorsque tu t'interesse pas à la météo tu à l'impression de prendre souvent des orages parceque tu ne compte pas les jour de ciel bleu mais les prévision impliquent de se rendre compte qu'il faut atendre des jours ou des semaines et tu les compte réèlement là les jours et c'est cette attente qui est frustrante par ce que tu espère et rien ne se passe default_thumbdown.gif

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Posté(e)
Marseille (13) (alt : 40m) et Gap (05) (alt : 780m)

Pour ma part je ne trouve pas que ce soit une passion frustrante. Certains vont surement mal le prendre mais je trouve que quand on est vraiment passionné on l'est par tout les temps. Quelque soit le nombre de jours sans pluie, et quelque soit les possibles déceptions.

Après si on est que passionné par les phénomènes extrêmes c'est sur qu'on est souvent déçu. Mais pour moi être passionné de météo c'est savoir profiter du soleil quand il est là, savoir profiter des fortes pluies, de la neige ou des orages. Alors certes mes explications sont peut être un peu biaisé par le fait que j'habite Marseille qui est une ville plutôt " riche " en météo. Car c'est vrai que quand on habite plus dans le nord les phénomènes " extrêmes " sont surement moins fréquent et le temps morose plus courant. Par conséquent je trouve normal qu'il y est plus de passionné dans le sud que dans le nord puisque le temps y est plus riche en évènement météo. ( Je vais m'attirer les foudres de certains mais pour moi de la pluie stratiforme et le brouillard ce n'est pas vraiment passionnant )

Par exemple sur Marseille il n'est presque pas tombé de pluie depuis Novembre et pourtant je suis toujours autant passionné.

A force on apprend à être patient et à savoir que la nature " récompense " bien souvent les longues attentes default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

La preuve c'est que durant l'année 2007 il n'y a pas eu un seul orage sur Marseille pendant 375 jours. Certains en ont peut être eu marre mais c'est comme ça. La nature fait ce qu'elle veut et il faut bien l'accepter.

A bon entendeur default_flowers.gif

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Je vis dans la région de Suisse la plus sèche avec 500mm/an. Si l'hiver nous sommes assez gâtés en neige grâce à un lac d'air froid, l'été les orages nous contournent souvent en passant 30km plus à l'Ouest.

Une passion c'est souvent prendre le risque aussi de connaitre beaucoup d'échecs et de désillusions, et de souffrances.

Mais les phénomènes météo comme les orages sont difficilement prévisibles ce qui explique tant de flop.

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Posté(e)
Toulouse (quartier Lardenne)

Pour ma part je ne trouve pas que ce soit une passion frustrante. Certains vont surement mal le prendre mais je trouve que quand on est vraiment passionné on l'est par tout les temps. Quelque soit le nombre de jours sans pluie, et quelque soit les possibles déceptions.

Je suis tout à fait d'accord, quel que soit le temps qu'il fait, c'est toujours aussi passionnant de le voir et de l'étudier (sécheresse, vague de chaleur, pluies stratiformes ou orageuses, formation des nuages, vagues de froid, tempêtes, gel, etc).

Pourtant il ne se passe pas grand chose à Toulouse (Voir ma signature pour les infos sur les 3 dernières années).

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Posté(e)
Megève (1106 m)/Saint-Gervais (808 m) en semaine - Samoëns (716 m) les WE

Honnêtement, être passionnée de météorologie est intéressant car la situation n'est jamais deux fois identique. C'est un point très important qui contribue au fait que l'on ne se lasse pas ou peu.

Je me rappelle de certaines soirées passées devant les modèles, les radars...Et même lors d'énormes flops (ici c'est souvent pour les orages), la situation est toujours passionnante à analyser.

En revanche, il est vrai que lors de récurrences sèches, anticycloniques...ma passion passe au second plan. Mais sachez que, quelque que soit le temps, la première chose que je fais le matin est de regarder la température.

Enfin, la météorologie est un thème plus large que l'on ne le pense, qui s'ouvre sur la nature, l’environnement..

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Chacun son point de vue. Tout dépend à quel point vous êtes passionnés.

Bien sur, les déceptions sont nombreuses en météorologie, et la frustration est un sentiment bien familier ( je suis bien placé pour vous le prouver, j'habite à Toulouse default_thumbup.gif ). Mais dans mon cas, et certainement pour de nombreux autres, ce n'est pas le découragement qui m'envahit, mais plutôt l'enthousiasme.

L'évènement tant attendu pourra alors se savourer avec un plaisir bien plus intense ( je parle bien de météo, hein.. default_innocent.gif ).

Après, un problème survient, c'est le déplacement. Bon nombre de passionnés, possédant une voiture, ne veulent pas saisir la possibilité de se déplacer, ne serait-ce que quelques dizaines de km, pour aller à l'assaut de l'orage. C'est un choix ( et je le respecte, l'essence devient hors de prix aujourd'hui ). Mais lorsque l'on est passionné, ceci ne doit pas être un obstacle.

Je ne vous incite pas à traverser tout le pays non plus, mais lorsque je lis régulièrement " Quel gros flop, tout passe à côté de chez moi", cela m'irrite un peu. On ne peux tout avoir, sinon la lassitude règnerait. Mais si l'orage ne vient pas à votre rencontre, alors allez à la rencontre de celui-ci default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

Allez, nous sommes en avril, la saison estivale ne devrait pas tarder à débuter réellement. Alors souhaitons à toutes et à tous une très belle saison default_flowers.gif

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Posté(e)
Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m

Quand on est passioné par la météo, on l'est souvent à la fois par le coté théorique (les prévisions, apprendre les concepts etc.) et par tout ce qu'il se passe sur le terrain. On assouvit donc déjà une grosse partie de cette passion en étudiant minutieusement, interprétant, décortiquant les modèles de prévision dont nous avons la chance d'avoir de nombreuses résolutions, noyaux et champs différents disponibles à tout moment ! Passer plusieurs heures par jour à établir les prévisions et à les confronter avec ce qu'il se passe, flop ou pas, c'est déjà une belle source d'épanouissement.

Après pour ce qu'il en est sur le terrain, si l'on reste sur un point fixe on diminue effectivement drastiquement nos chances d'observer des choses intéressantes, mais c'est la règle du jeu. Même lors d'épisodes extraordinaires, orages, grêle, neige, fortes pluies etc. restent des phénomènes ponctuels et ne tomberont jamais uniformément sur 10 000km² pour satisfaire tous les observateurs fixes. Si dès qu'une dégradation est annoncée vous vous imaginez la totale sur votre jardin, vous avez tout faux et c'est je pense la principale source de frustration de beaucoup...

Je dis souvent que si les passionés européens faisaient autant de km que les américains, on aurait des chasseurs polonais en Espagne et les français iraient jusqu'en Scandinavie ou en Turquie... Et à une telle échelle de déplacement, il devient aisé d'assister très régulièrement à un peu près tout ce que la nature peut proposer puisqu'il ne se passe pas une ou deux semaines sans phénomènes intéressants (pour prendre aujourd'hui, vous auriez le choix entre des giboulées neigeuses sur le Danemark ou de beaux orages sur l'Espagne).

Nous devons donc nous contenter de ce que l'on peut faire avec nos moyens, nos envies, nos contraintes. Tôt ou tard, tout le monde finit toujours par vivre quelque chose de toute façon !

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Invité Guest

Quand on est passioné par la météo, on l'est souvent à la fois par le coté théorique (les prévisions, apprendre les concepts etc.) et par tout ce qu'il se passe sur le terrain. On assouvit donc déjà une grosse partie de cette passion en étudiant minutieusement, interprétant, décortiquant les modèles de prévision dont nous avons la chance d'avoir de nombreuses résolutions, noyaux et champs différents disponibles à tout moment ! Passer plusieurs heures par jour à établir les prévisions et à les confronter avec ce qu'il se passe, flop ou pas, c'est déjà une belle source d'épanouissement.

Après pour ce qu'il en est sur le terrain, si l'on reste sur un point fixe on diminue effectivement drastiquement nos chances d'observer des choses intéressantes, mais c'est la règle du jeu. Même lors d'épisodes extraordinaires, orages, grêle, neige, fortes pluies etc. restent des phénomènes ponctuels et ne tomberont jamais uniformément sur 10 000km² pour satisfaire tous les observateurs fixes. Si dès qu'une dégradation est annoncée vous vous imaginez la totale sur votre jardin, vous avez tout faux et c'est je pense la principale source de frustration de beaucoup...

Tout à fait d'accord avec cela default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Je dis souvent que si les passionés européens faisaient autant de km que les américains, on aurait des chasseurs polonais en Espagne et les français iraient jusqu'en Scandinavie ou en Turquie... Et à une telle échelle de déplacement, il devient aisé d'assister très régulièrement à un peu près tout ce que la nature peut proposer puisqu'il ne se passe pas une ou deux semaines sans phénomènes intéressants (pour prendre aujourd'hui, vous auriez le choix entre des giboulées neigeuses sur le Danemark ou de beaux orages sur l'Espagne).

Nous devons donc nous contenter de ce que l'on peut faire avec nos moyens, nos envies, nos contraintes. Tôt ou tard, tout le monde finit toujours par vivre quelque chose de toute façon !

Après, un problème survient, c'est le déplacement. Bon nombre de passionnés, possédant une voiture, ne veulent pas saisir la possibilité de se déplacer, ne serait-ce que quelques dizaines de km, pour aller à l'assaut de l'orage. C'est un choix ( et je le respecte, l'essence devient hors de prix aujourd'hui ). Mais lorsque l'on est passionné, ceci ne doit pas être un obstacle.

Je ne vous incite pas à traverser tout le pays non plus, mais lorsque je lis régulièrement " Quel gros flop, tout passe à côté de chez moi", cela m'irrite un peu. On ne peux tout avoir, sinon la lassitude règnerait. Mais si l'orage ne vient pas à votre rencontre, alors allez à la rencontre de celui-ci default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

Pour moi, on passe là dans une forme de démeusure qui n'a plus rien de rationel. Faire quelques dizaines de kilomètre, pourquoi pas. Mais après, cela sert à quoi ? On crame de l'énergie, on pollue, on perd du temps au volant sans pouvoir profiter ; tout cela pour un phénomène météo. Perso, même si je n'ai jamais couru sus aux orages (sauf une fois, où je me suis laissé surprendre. Je suis rentré tellement trempé que je ne devais pas avoir loin de mon poids de flotte sur le dos default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> ), avec le fidèle biclou je cravache quand même pour profiter du paysage et cela ne me dérange d'avaler mon content de kilomètres. Mais je ne me verrais jamais m'acheter une bagnole pour cela, ni même je ne me verrais jamais m'acheter une bagnole tout court default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Même pour le névé du Tanet, tant que faire ce peux j'y va' en train. Pour moi, c'est complétement aberrant de faire 2 heures de bagnole pour monter pelleter de la neige.
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Je ne vous incite pas à traverser tout le pays non plus, mais lorsque je lis régulièrement " Quel gros flop, tout passe à côté de chez moi", cela m'irrite un peu.

C'est peut-être parce qu'ils n'ont tout simplement pas encore la voiture, comme dans mon cas...si je crie au scandale parce qu'un orage est passé 10 km trop à l'est ou à l'ouest (ou au nord......ou au sud default_wacko.png ), c'est généralement parce que ma mère ne m'autorise pas à y aller avec mon père. C'est vraiment dommage car elle ne se rend pas compte comme je suis dégoûté !Elle me dit, "Yen aura d'autres". Bien sur maman, bien sur default_chris.gif

Voilà pourquoi je réagis sur cette phrase.

& pour moi, la météo est bel et bien une belle frustration. J'ai chaque fois l'impression de ne pas avoir eu assez. Comme la grosse période de douceur qui s'achève, ou la VDF de février ou encore décembre 2010.

La réaction du "t'as qu'à déménager au Canada, ou en Afrique" est la remarque la moins construite que j'ai entendu depuis que je fais/m'intéresse à cette passion (irritante) et pourtant je l'ai encore lue aujourd'hui même (pas sur IC, mais sur LCM)

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Invité Guest

En tous les cas c'est une vraie drogue cette passion, plusieurs fois j'ai voulu tout laisser tomber, mais au bout de 2 jours c'est repartit à donf. default_tongue_smilie.gif

Une belle dorsale, un bel Oméga, une grosse patate et zou, je suis gonflé à bloc. default_laugh.png

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Je trouve ta question désolante PaRaDoX : tu es arrivé dans la passion météo avec une mauvaise référence. (et entre nous, c'est bien ce que je reproche au forum depuis quelques années : on propage de mauvaises références, et résultat on en vient à dégoûter les gens de leur passion, j'espère juste que Paradox est un cas exceptionnel)

Quand tu dis : "15 jours d'extase pour 400 de poisse", et bien au moins tu les as eu tes 15 jours de rêve.

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Pour moi, on passe là dans une forme de démeusure qui n'a plus rien de rationel. Faire quelques dizaines de kilomètre, pourquoi pas. Mais après, cela sert à quoi ?

Le trip paix, le trip default_thumbup.gif S'imaginer dans une situation irrationnelle, c'est le but default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
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Posté(e)
Montpellier (34), Montreuil (93) ou Ciran (37)

Je trouve ta question désolante PaRaDoX : tu es arrivé dans la passion météo avec une mauvaise référence. (et entre nous, c'est bien ce que je reproche au forum depuis quelques années : on propage de mauvaises références, et résultat on en vient à dégoûter les gens de leur passion, j'espère juste que Paradox est un cas exceptionnel)

Quand tu dis : "15 jours d'extase pour 400 de poisse", et bien au moins tu les as eu tes 15 jours de rêve.

Je l'aurais pas dit de manière aussi abrupte, mais je partage assez cet avis. Vous êtes passionné de météo, vous prenez le package complet, grands moments et grandes désillusions compris. Si vous n'acceptez pas les "flop" et autres "pshiiitt", c'est que vous n'êtes pas passionnés de météo puisque n'acceptez pas ce qui en fait l'essence même et tout son charme: la part d'imprévisibilité!

Et quand on prend le package complet, c'est de la période anticyclonique à l'apocalypse cévenol, en passant par les averses de mars, le brouillard et même la chute de neige fondante. Et si jamais le package complet ne vous plait pas, et comme on est quand même un peu "scientifique" dans cette communauté, soyons rationnels: on n'y peut rien! C'est d'ailleurs pour cela que les voeux, les prières, les lamentations et autre délires ésotériques incantatoires qui se multiplient sur ce forum me dépassent complètement. whistling.gif

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Posté(e)
Alès - St Hilaire de Brethmas (30)

Frustrant ? une passion ?

Sans doute doit-on passer par des déceptions lorsque l'on est passionné mais c'est aussi l'attente, la recherche, la rareté qui entretien la passion.

J'ai de la chance, j'aime la chaleur et la sécheresse... je n'ai sans doute pas grand chose à faire pour les vivres régulièrement, mais en même temps j'ai choisi de vivre à Nîmes pour le climat. On a tous cette possibilité de se rapprocher de ce que l'on aime. Ce n'est souvent qu'une question de temps et d'investissement (dans tous les sens du terme).

En revanche quand je cherche un papillon rare (je suis passionné aussi), de nuit, dans un coin reculé, que je passe la nuit entière à attendre autour de ma lampe UV et qu'il ne vient pas, je suis déçu mais je positive toujours. Certes je vais devoir attendre surement 1 an avant d'espérer le trouver dans un autre secteur (ou pas) mais en même temps j'ai cherché, je peux analyser pourquoi je ne l'ai pas vu, je peux en profiter pour regarder les paramètres météo, la présence de la plante hote tous le restant de l'année... bref, passionné, on ne s'arrête jamais, tout est prétexte à se plonger dans sa passion ; rien n'est démoralisant, tout est enrichissant.

C'est comme les orages, on les prévoit, on les cherches mais on les trouve ou pas. Pourquoi ? Tant d'éléments à analyser, tant de temps gagné pour préparer la prochaine sortie et se dire qu'on ne ratera pas l'occasion... comment peut-on être frustré dans notre passion ?

Notre passion n'est qu'émerveillement perpétuel default_smile.png/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Invité Guest

Paradox : tu habites une ville dont le nom évoque l'exact contraire de ce que tes messages véhiculent ! C'est paradoxal ! default_thumbup.gif

La frustration, c'est la vie ! Je n'imagine même pas une vie sans frustrations, ça n'aurait aucun intérêt.

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Posté(e)
Sainte-Croix-aux-Mines (68) - 340 m

Pour moi, on passe là dans une forme de démeusure qui n'a plus rien de rationel. Faire quelques dizaines de kilomètre, pourquoi pas. Mais après, cela sert à quoi ? On crame de l'énergie, on pollue, on perd du temps au volant sans pouvoir profiter ; tout cela pour un phénomène météo. Perso, même si je n'ai jamais couru sus aux orages (sauf une fois, où je me suis laissé surprendre. Je suis rentré tellement trempé que je ne devais pas avoir loin de mon poids de flotte sur le dos default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> ), avec le fidèle biclou je cravache quand même pour profiter du paysage et cela ne me dérange d'avaler mon content de kilomètres. Mais je ne me verrais jamais m'acheter une bagnole pour cela, ni même je ne me verrais jamais m'acheter une bagnole tout court default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Même pour le névé du Tanet, tant que faire ce peux j'y va' en train. Pour moi, c'est complétement aberrant de faire 2 heures de bagnole pour monter pelleter de la neige.

C'est justement cette part de démeusure et d'irrationalité propre à la météo, comme n'importe quelle autre passion en comporte également. Est-il plus rationnel de prendre l'avion pour aller pêcher le saumon au Canada ou pour comptempler une pyramide d'Egypte ou Maya par exemple? Les magnifiques photos ou vidéos que l'on peut comptempler, ont parfois été prises par ce genre d'individus qui ont passé des nuits ou des jours entiers sur les routes. Nonobstant les quelques désagréments que tu listes et qui se défendent, ça permet également de nombreuses observations, des images, du partage, des infos etc. Et puis, partir des heures sur les routes sans savoir où l'on va finir, en dehors de la recherche du phénomène au sens strict, il y a toute une ambiance d'aventure, de road trip comme disait Simon, ou de découverte également. Le train c'est chouette mais tu ne peux pas l'arrêter sous prétexte de vouloir casser la croûte sur cette jolie colline que tu vois par la fenêtre... C'est peut être un concept de liberté devenu un peu désuet et sans doute même amené à disparaitre sous peu dans le contexte énergétique et écologique actuel et à venir je te l'accorde.
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Une frustration ? Oui et non je dirais.

Bien sûr qu'une passion engendre forcément des frustrations, comme chaque chose où on ose investir ne serait-ce qu'un quantum de ses émotions. Vous aimez la bonne chaire ? Alors le fait de ne pas pouvoir faire un bon repas sera forcément un peu agaçant au moins sur le moment. Vous aimez faire des kilomètres en moto ? Alors forcément quand la bécane doit être en révision au garage ça va faire deux ou trois jours où l'absence de l'aimé compagnon à deux roues va se faire sentir. Vous aimez votre chat ou votre chien ? Alors la perte de ce dernier se fera forcément douloureuse, et ne parlons pas quand il s'agit d'être humains à qui on est attaché. Tout investissement émotionnel dans un être ou une chose implique un risque et je dirais même une quasi-certitude de se ramasser des sentiments négatifs. Dès le moment où nous sommes des êtres vivants décidés à ne pas nous murer dans une blase complète en se désintéressant des choses autour de nous, alors nous sommes voués à souffrir forcément et l'ataraxie ne sera jamais possible.

Est-ce une tare pour autant ? Non, comme l'a dit Yann76 la vie est une suite de frustrations. Notre société de consommation, de la satisfaction immédiate et rapide (on pourrait même presque dire du "principe du plaisir") considère que la frustration est une chose en soi mauvaise, qu'être frustré c'est ne pas tourner rond. C'est bien tout le contraire, être frustré c'est tout simplement être humain avec ses plaisirs mais aussi ses peines.

Bien entendu plus on s'investit plus la frustration risque d'être présente mais c'est le jeu ma pauv' Lucette ! La passion, quelle qu'elle soit, est un théâtre d'émotions ardentes et l'enthousiasme que l'on peut connaître lors d'un Cévenol, d'une vague neigeuse à la Décembre 2010 ou d'une vague de froid à la Février 2012 se paye forcément par de l'énervement vis-à-vis d'un Patator. Pour avoir et vivre sa passion, il faut une certaine dose de courage ou tout au moins une maturité suffisante pour accepter, braver, et même transformer sa frustration en quelque chose de positif. Être passionné, c'est aussi paradoxalement ( default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) prendre soin de l'enfant qui est en nous, mettre une certaine "magie" sur de simples lignes d'isobares ou de simples gouttes de pluie. Regardez simplement ceux qui font le projet NEVE II : quel adulte rationnel irait se casser la tête à vouloir trouver un site, acheter le matériel, prendre de son temps, puis user ses muscles et se cailler les miches pour au final un simple gros tas de neige ? Tout simplement un passionné ayant gardé son âme d'enfant et sachant encore mettre de la magie sur des choses simples, et peu en importe le prix de certaines frustrations.

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Invité Guest

C'est justement cette part de démeusure et d'irrationalité propre à la météo, comme n'importe quelle autre passion en comporte également. Est-il plus rationnel de prendre l'avion pour aller pêcher le saumon au Canada ou pour comptempler une pyramide d'Egypte ou Maya par exemple? Les magnifiques photos ou vidéos que l'on peut comptempler, ont parfois été prises par ce genre d'individus qui ont passé des nuits ou des jours entiers sur les routes. Nonobstant les quelques désagréments que tu listes et qui se défendent, ça permet également de nombreuses observations, des images, du partage, des infos etc. Et puis, partir des heures sur les routes sans savoir où l'on va finir, en dehors de la recherche du phénomène au sens strict, il y a toute une ambiance d'aventure, de road trip comme disait Simon, ou de découverte également. Le train c'est chouette mais tu ne peux pas l'arrêter sous prétexte de vouloir casser la croûte sur cette jolie colline que tu vois par la fenêtre... C'est peut être un concept de liberté devenu un peu désuet et sans doute même amené à disparaitre sous peu dans le contexte énergétique et écologique actuel et à venir je te l'accorde.

Je ne vois pas les choses de la même façon.

D'une part, triper sur un vélo, ça le fait avec. J'ai déjà pris le biclou, et pédaler au hasard, jusqu'au bout du monde j'aurais envie de dire (à pince aussi d'ailleurs, une fois je me suis retrouvé à 5 km de chez moi, pas compris comment default_laugh.png ). Et c'est dans ce genre de moment que je ressens l'exaltation de la liberté et de l'aventure. J'aime bien aussi le vélo, parce que parfois on morfle, on n'en peux plus, et pourtant on continue à pédaler, on se dépasse et coup de pédale après de coup de pédale, on continue à avancer. Ce n'est pas masochiste, perso je ne me suis jamais en danger en forçant sur un vélo, mais c'est aussi cela le road trip pour moi.

Plus fondamentalement, on a maintenant tant de facilités qu'on semble perdre un peu le sens des réalités. Aujourd'hui, tant que vous pouvez trouver une station essence, vous pouvez parcourir des milliers de bornes. Je ne penses pas que ce soit une idée de la liberté qui se perd, au contraire je dirais même. Ce n'est pas saillant sur cet exemple de la bagnole, mais comme vous le dites, quand on prend l'avion c'est encore plus marquant. En quelques heures, vous pouvez être à l'autre bout du monde. Peut être qu'on peut trouver cela cool, mais je maintiens, c'est quoi l'intérêt ? Si j'ai réagis ainsi, c'est bien parce que je ne vois pas en quoi il y a un intérêt à profiter de toutes ces libertés, au delà même de toutes considérations écolo/économique. Nous sommes dans une société de l'insatisfaction, prise d'une frénésie collective, et je ne me sens pas du tout partie de cette folie.

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Posté(e)
La Tronche (260 m)

Frustrante certainement pas, les phénomènes extrêmes, on sait bien qu'ils ne peuvent pas arriver tous les jours ! Et heureusement sans doute, ce serait difficilement vivable !

Non, pour moi la météo va de pair avec l'observation de la Nature, de le végétation, du paysage, de la lumière, des couleurs. C'est un spectacle magnifique, toujours renouvelé, rarement deux fois pareil et bien souvent inattendu default_flowers.gif

En même temps, ça ne m'empêche pas de profiter des phénomènes inhabituels lorsqu'il y en a mais je pense qu'il faut savoir prendre la météo comme elle vient et non pas telle qu'on voudrait qu'elle soit. Ca me rappelle un peu les pubs touristiques avec la mention "soleil garanti", je trouve ça complètement désolant. On promet l'état du ciel aux gens qui partent en vacances quelque part, ils n'auront même pas le charme de cette découverte !

Absolument pas frustrante donc, si c'était le cas, je crois bien que m'en serait désintéressé depuis longtemps !

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Posté(e)
Saint-Quentin-la-Poterie (30)

Je pense que ça se discute. Je suis à fond dans ma passion, elle conditionne même ma vie, mais il m'arrive d'être frustré. Ces frustrations sont temporaires, rapidement oubliées et remplacées par un autre évènement.

La réalité c'est qu'en dehors de ça, c'est même un bonheur au quotidien... Et que dire des périodes extrêmes, les vagues de froid, la neige, l'ensoleillement, les orages pluvieux, gréligènes, les inondations, les crues éclairs, les "V" à 600mm en plaine.

Bref, plus ça casse plus ça me passionne perso !

On va me dire que c'est égoiste de raisonner comme ça mais puisque chacun donne son avis, vous avez le mien.

La photo, les sorties entre passionnés, les chasses de nuit, les chasses de jour.

Polalala... Et quand on voit que certains espèrent un été pourrave.... loooool !

Je ne vois pas le pbm de chasser à des centaines de kms Paix ? on visite aussi de somptueuses régions... En vélo, pas assez rapide et bof bof le trip pour moi (et pourtant suis sportif).

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Posté(e)
Verrières-le-Buisson (91)

Plus exactement que c'était une souffrance default_happy.png/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pour la météo', on ne maitrise pas grand'chose. C'est aussi une formidable leçon d'humilité.

Et heureusement default_clover.gif Paix que l'humain n'a pas trouvé le moyen de contrôler la météo default_crying.gif !

Pour en revenir au sujet, c'est une passion frustrante car effectivement beaucoup de promesses et peu sont tenues (on n'est pas en campagne électorale ces temps-ci default_whistling.gif ). Pourtant adepte des configurations humides et/ou froides, j'avoue que des situations comme l'été 2003 caniculaire me tiennent autant en haleine que celle que la RP a connu en décembre 2010 (épisodes neigeux à répétition pour ceux qui hibernaient à cette époque).

Je conviens que la frustration naît souvent de la déception : situation entrevue exceptionnelle mais résultat décevant car simplement normal. Les topics d'observation au moment des épisodes neigeux ou orageux remarquables en plaine en sont l'illustration parfaite.

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car effectivement beaucoup de promesses et peu sont tenues (on n'est pas en campagne électorale ces temps-ci default_whistling.gif )

Mais ce ne sont pas des promesses default_biggrin.png/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

Les humains font des promesses, pas les modèles.

Et j'aimerais bien savoir le nombre de fois où les humains (prévisionnistes sérieux) ne tiennent pas leur promesse ?

Une "mauvaise référence", comme je disais à Paradox, c'est de tout de suite se focaliser sur le run favorable, en essayant de se convaincre soi et même aux autres que c'est le bon. Se convaincre soi-même qu'une situation est favorable est une attitude à proscrire, sous peine d'éternelle déception.

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Invité Guest

Vos messages sont très intéressants à lire. flowers.gif

Si vous voulez mon avis, étant bien davantage passionné de neige que de météo en général (d'où mon pseudo) il est clair que cette passion est très frustrante. Mais en revanche dès que le phénomène souhaité arrive c'est le bonheur total.

Contrairement à une époque, cette grande passion de l'hiver me fait moins souffrir lors de cette période estivale trop longue, car depuis j'ai découvert d'autres passions: le miracle de la biologie humaine, les prouesses de la médecine et de toutes ses branches, et aussi le sport comme la musculation qui procure une transformation physique spectaculaire au fil des années d'entraînement.

Ces passions d'abord "secondaires" puis désormais de plus en plus prépondérantes dans ma vie sont venues remplir les longues périodes de vide qu'impose la passion de la neige. La "neige passion" est clairement la passion la plus frustrante de toutes, surtout lors des mois entiers de patate et de sécheresse non stop. Mais trouver d'autres centres d'intérêt a modifié ma perception des choses, c'était indispensable smile.gif.

Neigepassion.

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