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adri34

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Tout ce qui a été posté par adri34

  1. 9.7 ce matin actu 10.8 ça se rafraîchit bien bien depuis 2 jours (hier 13.1/17.8) 7.6 au cefe ce matin 7.1 à fabregues 7.1 marsillargues 8.5 Fréjorgues 5.1 prades 5.2 saint andre 3.9 vic le fesc
  2. 17.2 sur montpellier en ce moment ça change des autres jours. 8 degrés de moins qu'hier
  3. adri34

    Meteoz

    Prends ton temps au plus ce sera travaillé au mieux sera le rendu. Ok très bien pour les précipitations et nébulosité vent ... ce sera intéressant d'avoir une sortie globale des modèles suivant la maille plus ou moins grande. Pour les températures il me semble plus intéressant de mettre en commun les différents modèles plutôt que moyenner les alentours tu perds en précision finalement. Quoi que le modèle Arome sort de ces âneries des fois qu'on se demande d'où sortent les chiffres. Donc c'est un compromis
  4. adri34

    Meteoz

    Alors moyenner c'est bien et pas bien. Pourquoi ? Parce que le modèle maille fine est la pour être prendre en compte les particularités locales au mieux. En effet le dernier arome a une maille de 1.3 km. Si tu moyenne tu vas augmenter la maille et réduire la "précision" ou l'effet micro climat. Mais comme tout modèle est faux (suffisamment juste pour être utilisable les lois dont sortent les valeurs sont des lois statistiques de détermination probabiliste) parfois les différences imaginées peuvent être fortes et ne correspondre à rien à l'arrivée. Donc la maille fine c'est bien mais la chance de se tromper est plus grande sur une maille. Le meilleur exemple étant les précipitations. Donc moyenner peut être bien. Voilà mon point de vue. Mais quitte à moyenner, moyenner les modèles ou faire une sorte d'évaluation statistique avec un intervalle de confiance plutôt qu'une valeur exacte. Dire demain sur ce carré d'1.3 km il pleuvra 34 mm est un doux rêve. Il peut en pleuvoir 0 comme 200 (cf dernier épisode dans l'Hérault)
  5. Ah ben oui nettement c'est une bonne classe 2 dans un champ avec un abri socrima. Plus rien à voir avec l'autre emplacement classe 5. En effet juste après 2003. Ils se sont peut être rendu compte que quelque chose clochait ^^ tiens il fait 3 degrés de plus que mon voisin c'est bizarre ^^
  6. 5.2 à prades le lez 5 saint martin 7.5 fabrègues 8.6 cefe 9.4 Fréjorgues 7.2 saint andre 4.5 vic le fesc 6.2 le vigan
  7. 9.2 à pezenas 9.5 vias 9.3 beziers la courtade 7.3 à coursan (19m) dans l'aude (tnn de l'aude ?) A noter -0.1 à cornus à 718 m (aveyron à 10 km du caylar). A noter également -3.5 à saint alban dans le massif central à 930m.
  8. Eh oui l'exemple le plus flagrant et connu sont les 44.1 à conqueyrac et saint Christol les ales tous deux équipés d'un cimel en classe 4. Donc ces valeurs ne valent pas plus de 41.5 je pense.
  9. Ben ce sont les valeurs manuelles qui sont recueillies quant il y a une panne. Ou les données d'une sonde secondaire de secours suivant si le poste est "habité". Donc ces valeurs sont bonnes. Actu 16.2 en bas 18.2 en haut grosse différence ce soir belle tn à attendre demain. Peut être le premier moins de 10 à Fréjorgues et ici pourquoi pas bien que j'en doute. Tx 25.6 vent de nord léger
  10. C'est juste pas la même marque la cimel c'est une station globale mais en voulant économiser sur l'abri on se retrouve avec une mauvaise station (même si les capteurs et l'emplacement sont bons). L'abri fait 8 cm de diamètre dans mes souvenirs et est en alu, il en faudrait 20 et du plastique et ça ressemblerait à un 7714 qui coûte moins cher que le cimel. Donc pour une station pro ça fout les boules quoi ! Des milliers d'euros pour rien à cause d'un truc bidon
  11. Comme l'ancienne saint martin de londres En effet les stations cimel ont la qualité d'un abri en carton ! Surchauffe de 0.7 par 5 m/s de vent (au niveau de l'abri) et 1.5 avec 1 m/s donc en environnement fermé on comprendra bien que ça surestime très fortement. Des écarts entre une classe 4 équipée d'un cimel et une classe 2 en abri ventilé on donné des écarts de 5 degrés. Voir site et posts de ChristianP. C'est juste une honte cet abri. Le socrima de météo france surchauffe quand même 2 fois moins.
  12. Oui mais c'est normal de calculer un indice avec des paramètres mesurés. Mais ce que cherche à faire Antoine c'est de calculer l'amplitude annuelle (avec entre autre la hauteur du soleil). Donc il ne faut pas les avoir comme variable. C'est que du théorique. En effet si on compte tout c'est très compliqué mais on peut arriver à quelque chose de correct bien qu'approché en considérant déjà la terre comme une sphère plate. Bien entendu un océan n'a pas la même influence. Mais il sera intéressant de voir les résultats.
  13. Tu as bien l'amplitude annuelle que tu cherches dans la formule :-) donc c'est le chien qui se mord la queue selon moi. Par contre prendre des variables géographiques qui n'ont rien à voir put effectivement être une vraie approche mathématique. Plus fort encore si tes connaissances en physique peuvent t'y emmener un modèle de bilan radiatif global (ce que j'ai approché avec mon cos^2 sur mon modèle simpliste de tm qui prend en compte l'inclinaison du sol (cos) pour déterminée l'énergie reçue et le deuxième cos pour l'absorption de l'atmosphère considérée comme plate compte tenu du rapport épaisseur rayon de la terre. On peut faire la même choses avec les hauteur de soleil en appliquant un correctif avec la continentalité géographique. J'avais fait un modèle complet il y a 3/4 ans qui s'avérait correct mais pas toujours précis donc il est faux). Ca m'intéresse tout autant que toi donc c'est avec plaisir que j'apporte mon aide :-)
  14. Bonne question. Ça se détermine statistiquement. Tu prends plein de stations (suffisamment neutres topographiquement et si possible bien placées) pour de multiples latitudes et distances de la mer et tu traces une courbe. Il faut aussi prendre en compte la circulation des vents dans chaque hémisphère (ouest en est dans l'hémisphère nord et inversement dans l'hémisphère sud). En effet une station sur la côte est américaine sera bien plus continentale qu'une station de l'ouest de la France. Exemple New York et Bordeaux. Ça se fait assez bien je pense. Je ferai ça le week end prochain si tu veux :-)
  15. Analyse et explications très complètes bien que très mathématiques (il faut être un peu baigné dans ce flots de référentiels produits vectoriels ...). La où ça coince pour ma part bien que ta formule soit tout à fait valable, c'est que l'ica c'est calculé avec l'amplitude thermique que tu veux justement déterminer. C'est comme si je calculais une vitesse en prenant en compte la vitesse. C'est la l'erreur. L'ica étant une valeur calculée à partir de données que l'on veut calculer ce n'est pas un paramètre. La continentalité pourrait être représentée par la distance de ton lieu par rapport à la mer ou l'océan dans un premier ordre, puis par les variations d'altitude dans un second ordre. Autre chose l'ica englobe tout, les températures et les précipitations. Chez moi ya des stations assez continentales pour leur position mais dont les précipitations hivernales trop copieuses réduisent l'indice à 0.98/1.00 au lieu de 1.15 je pense avec un régime équilibré.
  16. Alors en effet deux choses sont à prendre en compte. L'altitude et la courbure du relief (creux ou bosse). Le froid s'accumule au point le plus bas puisqu'il est plus lourd. Il dévale les pentes et s'accumule aux endroits ou il est arrêté soit dans les cuvettes. Mais sur les reliefs en bosse c'est l'effet inverse qui se produit avec une diminution logique en prenant de l'altitude. Ce gradient vaut 0.5 en air saturé à 15 degrés (plus s'il fait plus froid et moins s'il fait plus chaud). A un moment le gradient s'inverse donc c'est ce que l'on appelle une inversion. Pour te donner un ordre d'idée ici dans l'herault entre deux stations l'une située à 155 m sur une bosse et l'autre à 115 m dans un creux, j'observe une différence de 2/2.2 degrés de moins en bas en moyenne (donc nuits nuageuses claires ventées calmes... Lors des plus favorables nuits ce gradient est monté à 5.6 ! En 40 m ! Soit 14 degrés par 100 m en descendant ! Cela explique largement le phénomène que tu observes. A contrario les températures diurnes n'évoluent que dans un sens (sauf cas particulier d'effet venturi ou d'ombres, mais considérons un terrain suffisamment plat pour ne pas avoir d'ombres). Le gradient est de l'ordre de 0.8/1 par 100 m en air sec. Voilà. Donc en 150 m observer 1/1.5 est normal si l'air est sec.
  17. D'accord je n'avais pas saisi le fait que l'échelle soit différente. Je reste donc dans le sujet maintenant que j'ai tous les éléments. Pour ajouter une composante à tes fluctuations, le fait d'être dans un environnement avec beaucoup d'obstacles fait que l'on peut plus ou moins sous estimer le vent selon la direction (milieu pas neutre et homogène). Il se peut donc qu'une année ayant eu un vent en moyenne dans une direction défavorable à la mesure (fermé) pour biaiser la valeur par rapport à une année avec une dominante favorable pour toi (en considérant orly comme parfaite). C'est une sorte de bruit qui peut biaiser les comparaisons. Ça rentre dans ton sujet qui est la comparaison inter-annuelle pour déceler une rupture peut être. J'ai remarqué que tu n'étais pas proportionnel à orly et c'est pour moi la meilleure explication.
  18. Comment tu calcules ta moyenne ? Être plus élevé qu'un aéroport pour un amateur c'est difficile. Tu utilises la ws2300 donc elle ne calcule pas de vent moyen mais un vent instantané. Donc si tu fais une moyenne de x valeurs au pif à moins d'en avoir toutes les 8 s (pas minimal) dur de faire une vraie moyenne. Alors plus il y a de données et plus c'est précis je m'étais amusé à le faire mais mes valeurs étaient 2/4 fois plus faibles que l'aéroport sur des périodes de 24:00 (je prends mieux certains vents). Les valeurs sont en km/h logiquement.
  19. Non mais il faudra que je tente de trouver une formule suffisamment valable. Cette valeur dépendra de la résolution que l'on prendra dans le relief alentour. En clair cette variable nous dira si le relief est creux, plat ou bombé au niveau de la station. Ce n'est autre que l'effet colline/coteau ou taf bien connu. Pour répondre la question d'amplitude annuelle ça depend aussi de la distance à ma mer/océan. En effet une station au bord de l'océan (edimbourg par exemple aura une amplitude clairement moins forte qu'à Moscou pourtant situés sous la même latitude et donc ayant une hauteur de soleil identique). Si tu veux j'ai déjà une approximation de la tm annuelle : T = 27 * cos (Lat)^2 au sol (auquel on ajoute le facteur d'altitude - a *0.0065 en france avec a en m). Ca donne 11.4 pour paris, 10.8 Boulogne sur mer 14.1 montpellier donc ça semble juste. 27 à l'équateur bien sur. Le cos^2 vient et de l'inclinaison moyenne du soleil par rapport à la surface du lieu et de l'atmosphère que les rayons traversent. Avec cette base on peut ensuite calculer les tmx et tmn en mettant en place une formule en fonction déjà de la distance de la mer en considérant le sol plat. En fait ce ne sont que des facteurs que l'on additionne au fur et à mesure que l'on souhaite plus de précision.
  20. A quoi correspond l'axe des abscisses ? Il y a 2 maxima qui correspondent au 21 juin. Oui ce chiffre de 47 n'est autre que le double de l'inclinaison de la terre soit 23.5 degrés. La valeur moyenne correspond à la colatitude (90 degrés - latitude). C'est donc facile de calculer les valeurs extrémales pour une l'attitude donnée. Les variations sont soit en sinus soit en cosinus. C'est un peu plus compliqué que ça pour l'altitude en effet ce chiffre de 0.65 degrés par 100 m c'est valable que pour une humidité moyenne de 70/80% hr puisque le gradient humide est de 0.5 à 15 degrés et 0.55 à 10 par 100 m. Ce qui n'est pas le cas de tous les endroits en france, mais marche globalement assez bien. Il varie comme tu peux le voir avec la température et même la pression mais jusqu'à 2000 m c'est assez linéaire. Donc si tu veux considérer des températures hors france il n'est plus négligeable l'écart. Mais ensuite bien entendu pour la vourbure du relief il faut avoir une carte du relief. Ou du moins une grille. Mais la encore la précision va dépendre de la grille. 500 m 1 km 2 km ne te donnera pas les mêmes chiffres. Un modèle simple en considérant la terre plate c'est pas dur mais on reste sur du approché. Ça marche bien j m'étais amusé à faire un modèle climatique carrément ^^
  21. 10.4 saint martin de Londres, 9.9 vic le fesc et 9.6 a conqueyrac Actu 26
  22. C'est assez compliqué de prévoir une température associée à tous ces paramètres, de plus la température est en retard sur l'ensoleillement. Il y a une certaine inertie à prendre en compte, inertie plus forte à mesure qu'on se rapproche de la mer ou s'élève en altitude. Soit tu fais un modèle global purement statistique qui marche bien pour un bon nombre de stations soit un calcul purement scientifique et la c'est autrement difficile. J'avais déjà réalisé un tel modèle. Le problème qui se pose c'est le choix de stations pour calibrer le modèle. En effet plus tu veux être fin et plus il te faut de paramètres. La hauteur du soleil représente juste l'énergie que tu captes sur une surface au sol. Le soleil est le même toute l'année c'est juste l'inclinaison qui modifie l'énergie reçue au sol. J'avais pris la latitude pour déterminer la tm avec une précision dont je m'étonne encore d'ailleurs
  23. 15.8 de tn ici, le cefe n'a pas transmis Après 4/5 h donc peut être que les 14.6 à 3:00 ont été battus
  24. Qu'appelle tu variation de la hauteur angulaire ? Le problème c'est qu'avec l'ica il te faut l'amplitude annuelle donc si tu veux la calculer ya une certaine redondance. Le problème de l'amplitude annuelle c'est que c'est dépendant de plein de paramètres. L'altitude, la courbure du relief (colline ou cuvette), l'exposition au soleil, sont des éléments très influents sur les températures surtout minimles (écarts pouvant atteindre 5/6 degrés entre un coteau 40 m plus haut que le fond de cuvette en tn !). Il faut prendre en compte la mer qui radoucie le bord. Donc c'est assez compliqué d'en tirer une bonne formule
  25. Les mois de septembre octobre novembre varient beaucoup d'une décennie à l'autre et leurs moyennes dépendent de gros épisodes. Une décennie verra septembre le plus pluvieux tandis qu'une autre verra octobre et un novembre plus arrosé que septembre ... donc il vaut mieux à mon avis considérer la médiane que la moyenne, à cause de gros épisodes influant la moyenne (9 mois à 50 mm et un à 300 ça fait une moyenne de 75 et une médiane de 50). Statistiquement il doit y avoir autant de mois déficitaires qu'excédentaires. Mais nul doute que ce mois de septembre est sec par chez vous
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