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miniTAX

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  1. C'est certes séduisant et plausible comme théorie mais je n'ai vu personne l'utiliser pour expliquer l'effondrement de Larsen B! Celui-ci qui est dû à l'infiltration de l'eau dans la base de la plateforme, qui se trouve SOUS le niveau de la mer (contrairement par exemple aux glaciers Groenlandais) ce qui l'a fragilisé. L'effet "bouchon" ne peut pas avoir joué d'autant que la banquise antarctique elle, n'a pas diminué en surface depuis 30 ans, mais curieusement, on oublie d'en parler alors que ça représente quand même 1 pôle sur 2?! Les phénomènes naturels ne sont pratiquement jamais linéaires, notion théorique inventée par l'homme pour se faciliter le raisonnement et les calculs. Un emballement possible dans un sens comme dans l'autre n'est donc pas un scoop.
  2. On ne se rend compte de rien du tout! Si tu avais bien lu l'article que tu as cité, l'effet de la suie n'est qu'une hypothèse, non quantifiée, qui ne permet en aucun cas d'expliquer des fluctuations rapides annuelles, ni pourquoi on ne constate pas d'accélération de fonte au Groenland (qui devrait recevoir autant de suie), ni pourquoi dans les années 50, 60 où il y avait plus de suie que maintenant (puisque les émissions étaient bien plus polluantes), on n'avait pas de problème de fonte, ni pourquoi dans les années 30 où l'économie mondiale était en crise, donc peu d'émission, l'Arctique et le permafrost subissaient une fonte "inquiétante" et relatée dans de multiples rapports ...***modéré***
  3. De toute façon, avant 1975, on n'avait aucune mesure de l'extent de l'Arctique, alors. Il suffit de se rappeler que le Groenland (pour l'Arctique, c'est bête, on n'y avait pas planté de station de mesure) a été en moyenne plus de 1°C plus chaud dans les années 50 que maintenant et on n'en avait pas fait une catastrophe interplanétaire (quoique...), ça permet de replacer un peu les choses dans leur contexte. De toute façon, il semble illogique d'attribuer la baisse de cette année à un réchauffement global: la température de la troposphère n'augmente plus depuis 6 ans. On ne peut pas l'attribuer à l'amplification polaire non plus puisque la température de l'Antarctique n'augmente PAS.
  4. Pour absorber 150 Gt alors que l'absorption annuelle est de 3 GTc, il faudrait 50 ans et non 120 ans. Quand bien même, où sont tes sources & références ? Je ne vois nulle par de références donc ce que tu dis ne sont que des affirmations sans preuve, en plus de ne pas coller à un simple règle arithmétique. De plus, personne ne peut dire que cette quantité de 150 Gt vient des émissions humaines: avec 150 Gt, on aurait un dosage isotopique C13/C12 d'environ -1,4% alors que celui réellement observé est autour de -0,9%, en partant d'environ -0,6%). Même le Wood Hole RC reconnaît le "missing sink" qui fait plus du tiers des puits carbone, cf graphique Notion "ultra-simples" que tu n'as toi-même pas comprises puisque tu n'as pas défini ce qu'est "le temps de vie", en te contentant de citer une définition confuse du GIEC dont on attend toujours la traduction en langage compréhensible pour le commun des mortels, définition que tu as de toute façon appliquée incorrectement en donnant des valeurs inconsistantes et non documentées. Je rappelle cette définition "toute simple" (sic) et polymorphe du GIEC pour cette fameuse durée de vie :
  5. La durée de vie de n'importe quel réactif est toujours infinie par définition, dans quel que système que ce soit et non seulement dans un système saturé, puisque c'est une décroissance expontielle: au bout d'1 million d'année, il en reste théoriquement toujours des traces. Par exemple avec la formule utilisée par le GIEC montrée page précédente, au bout de 1000 ans, il resterait encore 20% d'une quantité de CO2 injectée en l'an 0, comment alors définir la "durée de vie" ?C'est pour cela même qu'on définit la notion de DEMI-DUREE de vie pour n'importe quelle substance, radioactive ou non. En résumé, quand on injecte dans l'atmosphère 6 GT co2 par an et que 3 GT sont absorbés la même année, - la demi-durée de vie, c'est 1 an, - le temps de séjour, qui concerne TOUT le CO2 de l'air et ce indépendamment des émissions humaines, c'est 5 à 10 ans d'après diverses méthodes de mesure (cf la recension de Segalstad) - la durée de vie, c'est ... comme on veut puisque ça ne veut rien dire (c'est pour ça que le GIEC parle "d'adjustment time", notion toute poétique pour faire comme si on sait comment la Terre s'ajuste alors qu'on n'en sait rien, cf ta définition initiale). Donc s'il devait y avoir une confusion, c'est de parler de "durée de vie de 100 ans du CO2", qui jusqu'à nouvel ordre n'a pu être montrée dans aucun papier. La confusion vient du fait que les tenants de l'effet de serre anthropique ont beaucoup de mal à reconnaître que la demi-durée de vie du CO2 anthropique n'est que d'un an.
  6. Il s'agit ici de flux annuels, donc +1,8 ppm pour +0,3°C, c'est chaque année càd qu'un palier de 0,3°C pendant 5 ans entraînerait un accroissement de 1,8 ppm la première année, puis 1,8 pmm pour la 2e année...et non une fois pour toute, ce qui masquerait totalement les émissions anthropiques (là je sens que ces chiffres te vont nettement moins ). Je parle bien sûr au conditionnel car il s'agit de valeurs transitoires et non d'équilibre, n'empêche que la variabilité naturelle due à El Nino & La Nina est considérable.
  7. Tout dépend comment on regarde ces fluctuations. Quant on regarde l'influence de la température sur la hausse d'accumulation de CO2, il y a une fluctuation très nette suivant les années El-Nino & La Nina (source: http://icecap.us/images/uploads/CO2_study.pdf ) donc éminemment aléatoire. On voit que la hausse annuelle moyenne est de 1,8 ppm pour les années El Nino (les plus chaude) 1% ppm pour les années La Nina (années froides) 0,6% ppm pour les années d'éruption volcanique (les plus froides) Donc suivant la température terrestre, la quantité de CO2 supplémentaire dans l'atmosphère peut varier du simple au triple. Le premier facteur de hausse de CO2 dans l'atmosphère et de très loin, c'est donc la température et non les émissions humaines (qui sont monotoniques). Pour en revenir à la durée de vie du CO2, j'ai trouvé cette compilation d'une trentaine de papiers (faite par Segalstad) qui, par différentes méthodes, conduisent à une durée de vie (residence time) entre 5 et 10 ans mais certainement pas 100 ans. D'ailleurs, on a déjà vu que le GIEC n'a pas vraiment justifié une "durée de vie", vu l'incertitude énorme sur les puits et les sources.
  8. Euh non, ton raisonnement de la "dissolution à une vitesse suffisante" est vraiment bizarre ! La cinétique de mélangeage (convection, diffusion, vent) du CO2 dans l'air est bien plus rapide que la cinétique de son absorption. Par exemple selon Freeman Dyson, "un champ de maïs en plein soleil à midi consomme tout le CO2 à 1 mètre du sol en 5 minutes". La diffusion dans l'air est toujours bien plus rapide que dans l'eau.
  9. Pourquoi prendre le cas extrême du réservoir au lieu des émissions annuelles? Si on émets 6 GT fossiles et que 3 GT sont absorbés en 1 an, ça voudrait dire que la durée de vie du CO2 serait plus proche de 2 ans que de 100 ans. Non ?
  10. Alain,J'ai beau regardé le GIEC, je ne vois rien qui affirme que le recyclage du CO2 est "20x plus lent" (soit 100 ans), encore faudrait il définir, ne serait ce que pour Meteor, ce que tu entends par "recyclage". Pierre Ernest avait cité le GIEC parlant de temps de séjour de 5 à 200 ans dans le TAR. Moi, j'ai regardé le 4AR du GIEC 2007. D'après Fig7.6 du 4AR, l'océan représente un puits de carbone de -2,2 +- 0,5 GT/an, les continents un puit de -0,7 +- 0,5 GT/an. Dans un cas, on a une erreur de 25%, dans l'autre de 70% (!), eh oui les données sont aussi mauvaises que ça ! Il est donc difficile de prétendre qu'on connaît la durée de vie du CO2. Le rapport 4AR du GIEC 2007 tente de résumer l'estimation de cette durée de vie (ici, c'est bien "l'adjustment time", ie réponse à un pulse initial) par la formule taux=0,217+0,259*EXP(-t/172,9)+0,338*EXP(-t/18,51)+0,186*EXP(-t/1,186) (table 2-14, t en années) Ce qui donnerait une durée de 1/2 vie à 30 ans. Après 100 ans - si on applique toujours la formule, - il resterait 36% de CO2 d'une quantité initiale émise. Le problème avec cette formule, c'est qu'au bout de 1000 ans (!), il resterait toujours 20% de CO2, ce qui est totalement délirant quand on sait que les émissions anthropiques ne représentes que 3% des échanges naturels annuels, que certaines années, la quasi totalité du CO2 d'origine fossile est absorbée et d'autres, à peine 1/3 est absorbé (cf graphique), ie que la variabilité des puits de CO2 varie d'un rapport de 1 à 3 et est grandement gouvernée par El Nino donc totalement imprévisible. Comment peut-on prétendre savoir ce qui se passe à 100 ans en réduisant l'évolution du CO2 à un fit à 7 coefficients quand on ne sait même pas expliquer la variabilité annuelle (je sais, je sais, l'excuse fourre-tout du "météo n'est pas climato")??? La conclusion la plus raisonnable de tout ça, c'est que la "durée de vie" de 100 ans qu'on entend souvent avancer pour le CO2 ne correspond à pas grande chose (pourquoi pas alors 30, 200, 1000 ans?), que le GIEC ne s'est pas hasardé à l'annoncer contrairement à ce qu'affirme certain et que la science actuelle n'en sait pas grande chose, en particulier au niveau de la réaction de la biosphère comme on peut le lire dans les premiers paragraphes du chapitre 7 du 4AR. Au passage, le GIEC s'était planté en prévoyant une croissance du méthane encore dans le TAR 2001 alors que ça s'est stabilisée depuis 10 ans sans qu'on ne sache trop pourquoi, donc rien ne dit qu'il ait raison sur le CO2 avec sa formule (qui n'est qu'un fit exponentiel) déconnectée de la réalité. Par conséquent, même si certaines conclusions de Segalstad sont dures à admettre, elles ont le mérite de montrer que cette affaire du bilan carbone est loin d'être une science acquise. D'ailleurs, Futura Sciences (qu'on ne peut pas accuser de sceptique) a récemment présenté une étude qui met en doute les bilans de CO2 actuels: "selon une équipe de scientifiques internationale coordonnée par Britton Stephens, du National Center of Atmospheric Research, USA, les modèles de régulation de la teneur en CO2 atmosphérique par les "puits de carbone" sont entachés de défauts d'observation et à revoir." Je rappelle que les conclusions de cette étude sont faites à partir de vraies mesures et non de modèles.
  11. Tant qu'on en est au HS, il est évident que la probabilité que les économistes + plus de 2 milliards de Chinois et Indiens qui veulent de la croissance aient tort que toi seul (plus quelques autres) qui prône une idéologie qui s'est avérée invariablement fausse depuis Malthus aient raison est quasiment proche de zéro. Si on devait aller droit au mur, ce serait non pas à cause des Chinois, mais à cause de notre arrogance à vouloir dicter aux autres notre idéologie qu'elle est juste qu'elle est la meilleure. Quant à la planète, elle n'est PAS en péril même si ça t'arrange de le faire croire ainsi. Elle a survécu aux météorites cataclysmiques, au déluge de feu des volcans, à trop de CO2, à pas assez de CO2, à la dérive des continents, aux dinosaures (qui ne sont pas très futés côté conscience écologique à ce qu’on me dit), aux âges glaciaires, aux mamouths, aux éléphants, aux souris, aux insectes… et elle vivra très bien avec et après l'homme, petite poussière insignifiante qui se complaît dans sa vanité à gonfler son importance.
  12. Tentative de diversion classique. La température n'augmente plus depuis 5 ans (CRU, Satellite, GHCN). Il n'y a que le GISS qui prétend que 2005 a été plus chaude que 1998 mais il s'est rendu compte il y a une semaine qu'il s'est fourvoyé dans ses algos de correction de température avec le passage à l'an 2000, cf le climateaudit.org. Et 2007, annoncée début d'année comme record par la Met Office ne battra pas les records, dixit récemment... la Met Office (qui ne fait que répéter le Hadley Centre). Fichue température qui refuse de monter ! Alors on nous pond une nouvelle prédiction meilleure qu'elle est mieux que les précédentes avec l'échéance 2009, histoire de s'acheter 2 ans de répit. Mais bon, avec le cycle 24 du soleil qui tarde toujours à commencer (donc un soleil faiblard), les tenants du réchauffement anthropique ferait mieux de se préparer un plan B.
  13. miniTAX

    1998-2007

    En toute logique, on ne peut pas prouver que quelque chose n'existe PAS comme par la non-existence de Dieu ou la non-existence de "risque climatique"-dû-aux-émissions-de-GES (car le risque climatique existe et a toujours existé).Alors minimiser cette "dénonciation des imprécisions" comme quelque chose de secondaire voire négatif dans le processus scientifique alors que le principe de la réfutation est la base même des sciences modernes, ça relève d'un discours politique et n'a rien à voir avec la science. Car le diable est dans le détail : c'est justement en enquêtant sérieusement sur la manière de mesurer la température de surface (en prenant les photos des stations comme celles quelques posts plus haut) que les sceptiques ont montré il y a une semaine que la NOAA a commis des erreurs grossières sur les température (dans le sens que tu peux deviner) avec le passage à l'an 2000, erreur reconnue sur son site même. D'ailleurs, ce travail, montré sur ClimateAudit, est passé évidemment à la trappe par les médias. Du coup, pour la NOAA, l'année record du chaud aux USA n'est plus 2005 mais 1934, en pleine période où l'économie mondiale était en récession et où il y avait un creux dans les émissions de GES. Si l'agence de Hansen, avec les énormes moyens dont elle dispose, n'est même pas capable de checker un rapport de 3 et laissé propagé une erreur arithmétique grossière pendant des années, comment peut-on faire confiance à sa température globale dont les méthodes de correction (qui peut changer la valeur brute de plus de 1°C !) ne sont pas rendues publiques ?
  14. ***Post modéré car hors sujet : ce topic traite de l'élaboration d'une conférence sur le réchauffement climatique, et non d'une nouvelle confrontation entre théories sceptiques et théories sur le réchauffement. Pour ce genre de débat, merci de vous reporter sur les topics dédiés***
  15. miniTAX

    1998-2007

    1. Je l'ai pourtant dit : toutes les stations vérolées montrées sont des stations utilisées par le GISS et le GHCN pour compiler la température mondiale. Tu as les identifiants et tu peux TOUTES les retrouver sur le site du GISS qui liste nommément les stations utilisées. Il n'y a aucun doute sur le fait que la température mondiale a été compilée avec ces données non conformes, on ne peut pas être plus clair.2. Le problème de mauvaise implantation des stations n'a rien à voir avec l'effet urbain (qui concerne l'urbanisation dans les environs). Les données d'une mauvaise implantation sont impossibles à corriger, calcul ou pas calcul car il est impossible de déterminer le flux de chaleur apporté par une clim, un mur adjacent, un 4x4 fumant à 2 m ou un parking goudronné, et encore moins leur évolution dans le temps. Ce qu'on sait par contre à coup sûr, tous ces éléments sont des biais positifs pour la température. Quant à l'amplitude de ce biais, Dieu seul le sait. Mais là on quitte la science pour rentrer en religion. On aurait aimée que ces stations soient exclues de la détermination de la température globale comme tente de le justifier désespérément Gavin Schmidt sur RC en disant que la température globale pourrait être représenté par quelques dizaines de points (!) . Mais ce n'est pas le cas. Garbage in, garbage out.
  16. miniTAX

    1998-2007

    Alain,Ce "machin minuscule", c'est une station MMTS standardisée qui équipe une grande partie du réseau de capteurs sur le territoire américain du GHCN utilisés dans la compilation de la température globale de surface (celle qui montre que la Terre s'est réchauffé de 0,7°C depuis 1 siècle ou que 2005 aurait été plus chaude que 1998). Des implantations "délirantes" comme ça, il y en a des dizaines (pour l'instant) sur ce site, photos à l'appui, et elles font bien parti du réseau climatologique mondial, avec les identifiants GHCN et GISS fourni. Et malgré cela, on nous annonce que l'effet d'ilot de chaleur urbain, qu'on prétend savoir calculer, est négligeable. C'est la réalité qui est délirante, pas celui qui l'annonce. Que ceux qui refusent de la voir aient au moins l'honnêteté d'attaquer le message au lieu du messager (je ne te vise pas). /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  17. miniTAX

    Gulf stream

    C'est ni plus ni moins ce que j'avais dit en précisant que c'était les affirmations du GIEC et en terminant par le smiley: /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Bonjour Alain, je faisais bien sûr la comparaison avec la façade océanique OUEST du Canada (et non Est) qui subit la même influence du vent d'Ouest que l'Europe de l'Ouest. Le climat y est beaucoup plus clément que sur la façade Est alors qu'il n'y a pas de Gulf Stream. Cf les articles de Seager qui ont été discuté sur IC.
  18. miniTAX

    Gulf stream

    D'abord, le Gulf Stream ne peut PAS s'arrêter, ni se retirer au large de l'Europe (101e fois !). S'il y a changement, ça concernerait la circulation thermohaline (THC).Le rapport du GIEC 2007 dit très clairement - qu'aucun modèle ne prévoit l'arrêt de la THC avec un réchauffement climatique à l'échéance 2100 (certains modèles peuvent simuler un arrêt provisoire, mais seulement avec un surge de quantité massive d'eau douce qui ne peut pas se produire dans la vraie vie) - même dans les modèles qui prévoient un ralentissement de la THC, aucun ne prévoit un refroidissement de l'Europe à cause de ce ralentissement. C'est écrit en noir sur blanc dans le rapport 2007 du WG1.
  19. miniTAX

    1998-2007

    On le voit très bien sur cette animation comment 1998 a été chaude par rapport à 2005. Comment alors faire confiance à un organisme qui affirme l'inverse, vu comment il utilise des données de surface aussi catastrophiques (on peut ouvrir un autre fil sur le "musée des horreurs" du réseau GHCN).
  20. miniTAX

    1998-2007

    Ce que je dis n'a rien de faux. A part le GISS, AUCUN autre organisme officiel chargé de compiler la température globale ne cite 2005 comme l'année la plus chaude. Or la température globale, il n'y a qu'une et une seule. Si les instituts ne sont pas d'accord entre eux, ce n'est tout de même pas la faute à la réalité. Seulement, la température du GISS est largement trop haute par rapport aux 4 autres sources pour que ce soit vraisemblable. Cette inconsistance a déjà été dite dès les premiers posts du topics, notamment en page 2 !
  21. miniTAX

    1998-2007

    Evidemment qu'ils donnent la même réponse puisque c'est la seule et unique courbe du GISS. Aucun autre organisme de mesure de la température globale ne donne 2005 comme année la plus chaude.[modéré]
  22. miniTAX

    1998-2007

    Même en supposant que la période de référence doive être de 30 ans (qui n'est qu'une convention), ça ne veut pas dire que tracer une droite de tendance sur 30 ans est "signifiante". Ce sont 2 choses différente. Lozère l'a montré, il suffit que tu décales d'un an ta droite pour changer fortement sa pente.De plus la base de données que tu utilises (du GISS, comme par hasard) est la seule qui montre que 2005 est plus chaude que 1998. Toutes les autres, satellites y compris montrent le contraire. Et puis HS de toute façon.
  23. miniTAX

    Soleil et réchauffement

    Pour rappel, le projet CLOUD, destiné à quantifier l'influence des rayons cosmiques au travers la formation des nuages, est actuellement en cours de construction et ne produira ses premiers résultats que dans 3 ans (2010). Il a été financé à hauteur de 8 millions d'euros et implique des dizaines de chercheurs internationaux et le CERN. Tout cela n'a été possible que parce que les premières expériences de Svensmark sur le rôle des rayons cosmiques (donc du soleil) sur les nuages (donc sur le climat) ont réussi. Mais bon, je m'en arrête là (et quand je le dis, je le fais) sans quoi, ça passerait pour de l'activisme. ***modéré***
  24. miniTAX

    Soleil et réchauffement

    C'est toi qui a déclaré que l'activité solaire a baissé après 1985 alors que c'est faux !
  25. miniTAX

    Soleil et réchauffement

    Je ne comprends pas ce que tu reproches à un "changement d'échelles" ? Par définition, si tu ne changes pas d'échelle, comment tu ferais une corrélation température/CO2 ou température/cycles solaires ? Pour l'instant, face à la corrélation solaire publiée par Labitzke (qui en a publié d'autres dans le Journal of Atmospheric and Terrestrial Physics) dans le GRL, tout ce que tu opposes comme argument, c'est que ce serait "pipeau". Ce n'est pas très scientifique ni très convaincant.
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