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Arkus

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Tout ce qui a été posté par Arkus

  1. Costaud l'épisode pluvieux dans les coins exposés, avec des cumuls assez marquants pour un épisode océanique. On a notamment 82.2 mm pour Prat-de-Bouc, haut mais pas exceptionnel pour le coin, la station n'a que 10 ans et on a un record mensuel à 120.5 mm, par contre c'est tombé juste sur l'après-midi, en moins de 10h, donc bien moins qu'une journée. En revanche aux Salces dans l'Aubrac, 89 mm ça commence à causer : 35 ans d'archives et on bat le record mensuel de 78.5 mm. Et là aussi c'est tombé bien concentré, 8h d'affilée avec des cumuls horaires entre 8 et 14 mm.
  2. Même topo que pour l'IDF, épisode de neige exceptionnel pour la saison. Pour comparaison, voici les records de hauteur de neige au sol au 21 novembre au plus tard (hors épisode actuel). Il sera intéressant de faire la comparaison avec l'épisode actuel quand les données seront dispo (samedi normalement). Pas de filtrage donc les valeurs basses correspondent évidemment à des séries de données trop courtes.
  3. Magnifique épisode et exceptionnel par la combinaison précocité et intensité ! Pour comparaison, j'ai sorti à partir de l'open data les records de neige au sol au jusqu'au 21 novembre (épisode actuel non inclus). C'est en vrac sans filtrage donc très hétérogène en fonction de la longueur des séries de données, ce qui explique pas mal de valeurs à 0. L'important est de se focaliser sur les valeurs hautes, qui remontent pour beaucoup loin en arrière, 1952 pour les plus hautes (Villacoublay, Brétigny, Orly, Chartres, en Seine et Marne). Sinon on a 1962 pour Montsouris, Trappes, et 1966 pour Toussus :
  4. Pluies sans interruption le long des Pyrénées depuis ce matin, avec à la fin de bons cumuls, on a notamment depuis minuit, d'est en ouest : 37 mm à St-Girons 66.5 mm à Laruns 57 mm à Socoa Mais c'est surtout derrière la frontière que c'est le déluge puisque San Sebastian relève pas moins de 129.2 mm, dont plus de 60 mm en 4h !
  5. Eh oui encore et encore des intensités pluvieuses hors saison cette année ! Si on regarde l'archive des relevés horaires à la station, disponibles depuis 1993 comme sur à peu près toutes les stations principales : 21.8 mm en 1h à Melun aujourd'hui, évidemment un large record pour un mois de novembre. Précédent record 11.0 mm le 5 novembre 1994. Sur l'année entière le 21.8 mm d'aujourd'hui se place 8ème au classement pour un record à 37.5 mm le 19 juin 2013. Les 7 premières valeurs sont toutes en juin-juillet.
  6. Ça parait fou mais avec une masse d'air exceptionnelle qui a survolé l'île, +8°C à 850 hPa (+3 sigmas d'anomalie), avec un gradient adiabatique dû au foehn, ça donne mécaniquement du 23-24°C au niveau de la mer, sous le vent des montagnes. Le flux de SO était très marqué : Sur la capitale, même sans foehn, c'est très doux depuis le début du mois. Sur les 11 derniers jours la moyenne est équivalente aux valeurs d'une fin septembre / fin mai. Anomalies chaudes pas vues depuis un moment là-bas : Par contre ça ne va pas durer, le basculement vers un flux de nord vigoureux est imminent, et va faire replonger les températures, en plus d'apporter une belle tempête de neige sur le Nord et Nord-Est de l'ile :
  7. En fait c'est déjà le cas, tout ce que j'ai montré là vient des données open data MF, et tout est traité à la maison sur un PC de bureau basique avec du code python. Même pas besoin de logiciels spécifiques, il y a justement des librairies super efficaces pour faire ce boulot (notamment "pandas"). Beaucoup seraient étonnés à quel point c'est facile aujourd'hui de faire ce genre de traitement, et avec peu de moyens. Pour donner une idée, voici un code minimal qui permet d'afficher les records de chaleur pour chaque station de la Côte d'Or, à partir du fichier de l'open data qui contient les données de 1950 à 2022 : import pandas data_table = pandas.read_csv('Q_21_previous-1950-2022_RR-T-Vent.csv', sep=';') data_table_record = data_table.groupby('NUM_POSTE').max() print(data_table_record[['NOM_USUEL', 'TX']]) Ce n'est pas plus compliqué ! Et maintenant si on veut faire une carte avec le résultat, il suffit de récupérer un fichier shapefile avec les limites de départements, et voici le code à faire tourner : import geopandas import matplotlib.pyplot as plt departements = geopandas.read_file('departements.shp') ax = departements.plot() ax.scatter(data_table_record['LON'], data_table_record['LAT'], c=data_table_record['TX']) plt.show() On peut ensuite rajouter plein de choses : lire et concaténer les données de tous les départements, calculer des moyennes / cumuls, filtrer par date, par dispo de stations, mais c'est dans la même veine. Et modulable à l'infini, donc pas vraiment de limite sur les stats qu'il est possible de calculer.
  8. J'ai regardé pour les records de première décade, effectivement toutes les stations à l'ouest de Paris, hormis la Bretagne, ont battu leur record bas. Carte filtrée uniquement sur les stations ayant au moins 30 ans d'historique :
  9. Grímsstaðir dont on parlait il y a moins d'un mois pour des températures glaciales a relevé la nuit dernière une Tx de 16.5°C, explosant son record mensuel qui était de 13.5°C en 1975. A Akureyri, la Tx s'établit à 21.2°C. J'ai un doute si la station dont on a les archives mensuelles est la même, mais elle mentionne un record mensuel de de 17.5°C. On sera dans tous les cas fixés à la fin du mois lors de la mise à jour du fichier.
  10. Effectivement je ne pensais pas que ça monterait aussi haut, le modèle islandais voyait 17-18°C max, mais c’est monté au plus à 22.9°C à Ólafsfjarðarvegur við Sauðanes, près d’Akureyri. Il y a eu pas mal de records mensuels battus voire explosés comme à Grímsstaðir, qui ironiquement avait frolé son record de froid en octobre.
  11. Tu as plus d'infos là-dessus ? Car j'ai effectivement vu des bizarreries de mesures autour de cette période, mais seulement sur quelques années, car les données d'avant semble assez cohérentes avec les données récentes. Oui sur l'ensoleillement aussi la période est exceptionnelle dans certains coins de la moitié nord, on a des records pour la saison voire absolus. Pour autant attribuer ça à l'évolution climatique me semble compliqué, dans la mesure où la tendance long terme de l'HR est clairement à la baisse, même s'il est vrai que cette baisse est surtout à attribuer à la saison chaude. En saison froide le bilan radiatif restera toujours ce qu'il sera, favorisant la formation de nuages bas, mais même si on rajoute de la vapeur d'eau, l'air plus doux rend aussi plus difficile la condensation, donc difficile de projeter un effet évident. Je pense qu'ici on a pas mal d'éléments conjoncturels avec un blocage anticyclonique qui est arrivé sans que les basses couches n'aient été préalablement purgées de leur humidité, qui a été piégée de manière durable. Pour illustrer la complexité de la relation entre ces différents paramètres, on a une antithèse de l’épisode actuel en décembre 2015 avec des Td bien hauts mais un ensoleillement excellent.
  12. S'il y a bien un élément qui va marquer l'année 2024 en France, c'est l'humidité particulièrement élevée. Il ne fait désormais quasiment aucun doute que l'année va finir sur un large record de Td moyen, rebattant le record établit l'année dernière. Déjà sur la période janvier - octobre, la marge de progression en 2024 est considérable : La période des dernières semaines y contribue bien sûr, mais sur la dernière quinzaine en particulier vient s'ajouter un autre élément : la présence des inversions anticycloniques ayant eu tendance à freiner la hausse des températures, cela s'est accompagné d'une humidité relative particulièrement haute : Le fait que cette période arrive relativement tôt dans le calendrier, fait qu'elle conduit à une anomalie particulièrement notable. Mais le plus marquant, c'est quand on regarde la série complète, sachant qu'on a une tendance lourde de long terme à la baisse de l'humidité relative, cette séquence dénote vraiment nettement :
  13. La France est effectivement coupée en deux sur l'ensoleillement des derniers jours. C'est frappant sur la carte de durée d'ensoleillement, en prenant la période du 29 octobre au 8 novembre, pour toutes les stations MF qui relèvent ce paramètre. On a même deux stations à 0 sur cette période, Beaucouzé et Chateaudun. En vision temporelle, à partir d'un panel de 30 stations, avec le cumul sur 11 jours glissants, on voit bien le grand écart qui s'est opéré avec des anomalies remarquablement hautes d'un côté, exceptionnellement basses de l'autre, alors qu'en moyenne nationale, on est proche du neutre : J'en profite pour revenir sur les valeurs d'ensoleillement de l'ensemble de l'année au niveau national. Malgré cette impression d'année très grise, aucune période n'a véritablement été catastrophique, à part justement les 10-15 derniers jours dans la moitié nord, et peut-être la première décade de septembre, mais sinon on a globalement eu un ensoleillement modérément médiocre un peu tout du long. En revanche, un point qui frappe c'est surtout la faible occurrence de périodes durablement ensoleillées à l'échelle du pays. On le voit bien sur la courbe d'ensoleillement quotidien moyen au niveau national : A comparer avec les deux années précédentes, ça n'a vraiment rien à voir : Si on passe en ensoleillement relatif, on peut même quantifier ça, on a 19 jours qui ont dépassé les 80%. C'est un seuil qui laisse un peu de marge, mais de toute façons on ne peut pas atteindre 100% en raison des masques. Et on peut estimer que le chiffre est probablement définitif car c'est très difficile à atteindre arrivé en novembre, on le voit bien actuellement. Si on regarde le décompte année par année, on voit que ce chiffre est effectivement bien bas par rapport aux années récentes, on était par exemple à 53 en 2022, plus de 30 l'année dernière, et il faut remonter à 2008 pour trouver moins bien :
  14. Rennes a enregistré exactement 1 minute de soleil sur les 11 derniers jours. On tombe juste dans le cas que j'évoquais dans le topic CO : avec les relevés passés, cette minute aurait été arrondie à 0 (résolution de 6 minute). Donc si on prend un critère homogène (nombre de jours consécutifs avec strictement moins de 3 minutes), Rennes bat son record de plus longue série sans soleil, qui était précédemment de 10 jours, atteint à 2 reprises : 3 au 12 décembre 1956, puis 28 décembre 2010 au 6 janvier 2011. Dans tous les cas c'est un record de faible ensoleillement sur cette durée, ainsi qu'une des anomalies de faible ensoleillement les plus marquées à la station. Constat relativement similaire à Nantes, ou ce n'est pas seulement la période strictement sans soleil (10 jours du 29 octobre au 7 novembre) qui est exceptionnelle, mais l'ensemble des 13 jours allant du 26 octobre au 7 novembre avec seulement 1.3 h de soleil :
  15. Arkus

    Cartes insolites #2

    Insolite dans le climat actuel alors :
  16. Oui de belles lames d'eau encore sous ces pluies peu mobiles. Mont-de-Marsan est à 37 mm dont 32 mm en 2h ! En novembre ... La lame d'eau radar atteint les 60 mm dans le secteur. Après vérif dans la climato les 2 cumuls horaires consécutifs de 10h et 11h ce matin battent chacun le record mensuel à Mont-de-Marsan. On a eu respectivement 20.2 mm puis 12.4 mm, le record sur 1h pour un mois de novembre était de 11.0 mm le 10 novembre 1994. Il n'y avait jamais eu de cumul horaire aussi haut en dehors de la période mai-octobre. Edit : Au tour de Cos en Ariège avec 27 mm en 1h ! Dont plus de 12 mm en 12 minutes et 21 mm en 30 minutes. Comme un bel orage d'été. La station est relativement jeune (ouverte en 2003), mais là aussi on explose les records pour la saison : précédent max en 1h en novembre de 14.2 mm. Avec 27 mm c'est même la 5ème place tous mois confondus. Les 4 premières places sont toutes entre juillet et septembre.
  17. Je reviens là-dessus maintenant qu'on a passé la période en question, et sur la moyenne des 30 stations de l'ITN (pas l'indicateur officiel pour la pluvio), on a bien une séquence de 9 jours pas vue cette année. Il n'y a que le début d'année (charnière janvier - février) qui a été sec pendant plus longtemps mais pas aussi fortement. Alors qu'en 2023 on avait eu février puis début octobre :
  18. A noter qu'il y a une petite subtilité pour les périodes record sans soleil : à supposer que les mesures soient homogènes (ce qui est déjà faux avec les changements d'instruments), la résolution de la mesure a changé, elle était de 6 minutes (0.1h) par le passé, et est de 1 minute maintenant. Du coup si on considère que 3 minutes de soleil (0.05h) auraient été arrondies à 0.1h, les journées du passé avec 2 minutes ou moins sont comptées dans la climato à 0. Pour faire donc un classement plus homogène, le critère n'est pas le nombre consécutifs de jours à 0, mais le nombre consécutifs de jours strictement inférieurs à 0.05h. Là pour le haut du classement à Nantes, ça ne change pas la série de décembre 1956, ni la deuxième place de cette année à 10 jours, mais sur le reste du classement il y a pas mal de points à 8 jours ou moins dans les 30 dernières années qui apparaissent ou montent :
  19. Arkus

    Cartes insolites #2

    +21°C à 850 hPa fin novembre en Allemagne :
  20. J’allais poster justement, c’est monté à 18.7°C à Birtavarre - Holmen au nord de la Norvège (69.5°N) à la faveur d’un effet de foehn sur la masse d’air qui contourne le blocage anticyclonique.
  21. On baigne totalement dans l'humidité depuis quelques semaines. Que dire des 17°C de Td max à Agen aujourd'hui, et 18°C hier ! Valeurs évidemment record aussi tard dans la saison. Du coup orages d'évolution diurne, un début novembre ... il y a des endroits dans la région où la lame d'eau radar dépasse les 50 mm cet aprèm.
  22. Arkus

    Pluviométrie en 2024

    Voilà ce que ça donne en écart relatif à la moyenne : On voit bien l'anomalie du Languedoc-Roussillon où par endroits on a à peine dépassé la moitié de la moyenne. Et on voit également la zone d'influence de cette anomalie qui s'étend des Pyrénées centrales à la Provence. Ailleurs on a aussi des excédents en retrait sur les côtes de la Manche, hors Pas de Calais. C'est surtout une bande centrale qui a eu des cumuls exceptionnels allant jusqu'à 2 fois la moyenne. Il est intéressant aussi de regarder l'écart relatif de l'année glissante la plus arrosée depuis 2023, par rapport aux records passés. Ici en prenant toutes les stations qui ont au moins 30 ans de données, histoire d'avoir un record qui tienne un peu la route. L'échelle est avec un seuil tranché à 100% pour mettre en évidence les stations qui ont battu leur record : Le souci c'est que la profondeur des archives varie d'une station à l'autre, ce qui peut donner des records enregistrés sur des événements différents en fonction des stations. Si on veut quelque chose de plus homogène, on peut regarder les records avec un critère plus strict : par exemple, uniquement depuis 1980 et pour les stations qui ont des données complètes depuis cette date. Forcément ça réduit un peu le nombre de stations. Et si on veut regarder plus loin, on peut faire la même chose depuis 1950, mais là le réseau devient très disparate. En revanche on voit bien qu'en allant chercher plus loin on a des records plus élevés qui rétrogradent certains des cumuls récents. Au final dans les zones qui restent record de longue date il y a principalement sud IDF, Bourgogne, Centre-Ouest, et quelques zones en facade est + est Massif Central.
  23. Arkus

    Pluviométrie en 2024

    Une carte qui complète bien la précédente, celle du cumul maximal sur une année glissante depuis le début de l'année dernière. Vu le mois de novembre de l'année dernière et comment se profile celui de cette année, le maximum est probablement passé pour pas mal d'endroits. Cette fois on réduit drastiquement l'étendue des zones qui n'ont pas dépassé les 1000 mm, qui se réduisent principalement aux zones habituellement peu pluvieuses. On peut toutefois s'étonner d'y trouver aussi des stations du littoral breton. En région toulousaine, la petite taille de la zone < 1000 mm ne doit pas pour autant laisser penser qu'on est proche du seuil : pas plus de 713.2 mm au mieux à Blagnac ! Sur le littoral méditerranéen, on n'a pas non plus éliminé les zones à moins de 500 mm, loin de là : Torreilles n'est qu'à 336.0 mm ! A l'inverse, on note que le seuil des 1500 mm a gagné pas mal d'endroits, y compris des zones de plaine.
  24. Quand j'avais posté il y a presque une semaine les cartes de cumuls de pluie, j'avoue que je m'étais un peu trompé (involontairement) de topic puisqu'elle concernaient la semaine (désormais) écoulée. Force est de constater que si on reprend les mêmes sorties pour la semaine prochaine, qui concernent cette fois bel et bien le présent topic, ce n'est pas loin d'un copier-coller ! On note la probabilité significative (> 50%) de pluies sur le Languedoc et peut-être le Roussillon, ça tombe bien ce sont quasiment les seules zones qui en ont encore besoin (cumuls annuels encore très en dessous des 500 mm par endroits). La carte au 90ème centile nous montre qu'il y a une probabilité plus faible mais existante que des pluies périphériques à l'agitation méditerranéenne remontent sur toute la moitié sud. Au nord le régime sec est quasiment assuré, surtout sur le NE.
  25. Arkus

    Pluviométrie en 2024

    Je pense que le critère par région n'a pas trop de sens vu la taille de certaines et la diversité climatique qu'elles englobent. L'IDF est une toute petite région, plate, et homogène sur la pluviométrie. La Nouvelle Aquitaine par exemple est 7 fois plus étendue, et le seul département de la Gironde est presque aussi grand à lui seul que l'IDF tout entière. Même au niveau départemental il y a vite de grande disparités. Ici en Haute Garonne les 1000 mm sont dépassés sur le piémont pyrénéen, alors qu'en région toulousaine on vient seulement de franchir la barre des 500. Autant dire qu'on sera loin des 1000 à la fin décembre. Et je ne parle même pas du gradient très marqué entre les Cévennes et la cote héraultaise. Pour illustrer, j'ai sorti une carte seuillée des cumuls à fin octobre. J'ai pris toutes les stations qui ont au moins 99% de données dispo sur la période, par contre il n'y a pas de filtre pour les données erronées. On voit que les zones < 1000 mm restent vastes (à vu de nez plus de la moitié du territoire), et souvent certains départements n'ont que quelques stations à leur bordure au dessus du seuil. J'ai ajouté pour info deux autres seuils : 500 mm qui n'est pas atteint à certains endroits du pourtour méditerranéen, principalement en Languedoc et Roussillon. Le plus bas cumul avec les critères utilisés est à 306.6 mm à Torreilles, suivi de 324.4 mm à Leucate. 1500 mm qui reste réservé aux reliefs, à l'exception de la côte Basque (tout de même très proche des Pyrénées).
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