lc30

erreur en 2003 d'accord mais au cours des années précédentes pas mal de concordance : je suis leurs prévisions depuis 1994 et je dois dire que ce n'est pas une erreur qui peut faire changer une vérité qui n'est que statistique. Même si c'est la grosse erreur.... Ils ne travaillent pas l'un et l'autre, et leurs équipes, sur ce seul problème det ils ont fait accomplir pas mal d eprogrès dan sbien des domaines à commencer par la pédagogie. pour ce qui est la température de l'eau, ce n'est pas parce que les ouragans atlantiques naissent dans le golfe de Guinée qu'il faut tou associer à la célèbre température de 26 °, laquelle reste sujette à caution. Disons qu'en dessous de 20 ° il n'y a plus de risque, c'est préférable ! -- lc30

on est assez éloigné de la climatologie mais pour la séismicité alpine voir "Sismalp". la faille nord-pyrénéenne court de l'Ille sur Tête aux pyrénées-atlantiques donc rien d'anormal dan sla localisation des séismes. -- lc30

tiens un petit désaccord avec Torrent; c'est rare mais cela arrive ! Il y a là comme en bien d'autres domaines un appel..... qui aà défaut d'être un appel d'air, est un appel aux fonds, si possibles militaires par exemple : ah si on pouvait clouer une armée sur place avec un bel incident cévenol, ou lui enlever toute vélléité de camper avec une tempête de sable, ou de neige qui arrache les tentes, obstrue toutes les prises d'air des engins, des avions. Comme je ne connais pas Xfiles je ne peux juger de l'appréciation de Torrent, mais l'appel aux fonds, à la relecture de l'article me parait très clair. -- lc30

pour aller un peu plus loin que Torrent, on transforme un service public purement scientifique en une entreprise commercial, comme s'il y avait d'autres enjeux que la connaissance... cela me fait penser qu'un jour in aur une mise en concurrence commerciale de la relativité et de la mécanique quantique.... -- lc30

j'ai lu l'article; le titre est plus accrocheur que son contenu ! on pense que... on fera ceci..... on enverra chez le voisin ! cela me fait penser à la vieille tactique en cours jusqu'aux travaux de B. FRANKLIN sur le paratonnerre et qui consistait à faire sonner les cloches à toute volée en cas d'orage.... l'histoire n'a pas gardé trace de l'éfficacité du procédé. -- lc30

(Pr. W. GRAY - Université du Colorado et Dr. Christopher LANDSEA université de Miami) ont dégagé les facteurs suivants générant cyclones et tempêtes tropicales sur la côte atlantique U. S. - 1) existence du phénomène "El Nino" (El Nino Southern Oscillation) phénomène climatique et océanique complexe affectant le Pacifique Sud, qui minimalise le nombre de cyclones sur la côte Est des U.S.A. alors que le phénomène inverse (La Nina) tend à en faire croître le nombre. 2) pluies sur le Sahel Ouest africain : l'activité cyclonique est réduite lors des années de sécheresse au Sahel, 3) oscillation stratosphérique quasi-biennale : les vents équatoriaux stratosphériques soufflent alternativement de l'est pendant 12 à 15 mois ce qui est corrélé avec une réduction de l'activité et à contrario l'instauration d'un régime d'ouest entraîne une recrudescence de cyclones, 4) les anomalies de pression au niveau de la mer sur la zone des Caraïbes : des faibles pressions favorisent l'activité cyclonique, l'altitude de l'isobare 200 mb. pour la même zone est un facteur qui entre aussi enjeu. Ils en ont tiré une formule qui donne assez bien le nombre de cycolnes qui frapperont la zone Floride-Golfe du Mexique. Comme on le voit le système est complexe et fait inervenir aussi bien un phénomène du Pacifique qu'un critère africain et un critère des caraïbes... -- lc30

(Pr. W. GRAY - Université du Colorado et Dr. Christopher LANDSEA université de Miami) ont dégagé les facteurs suivants générant cyclones et tempêtes tropicales sur la côte atlantique U. S. - a) existence du phénomène "El Nino" (El Nino Southern Oscillation) phénomène climatique et océanique complexe affectant le Pacifique Sud, qui minimalise le nombre de cyclones sur la côte Est des U.S.A. alors que le phénomène inverse (La Nina) tend à en faire croître le nombre. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> pluies sur le Sahel Ouest africain : l'activité cyclonique est réduite lors des années de sécheresse au Sahel, c) oscillation stratosphérique quasi-biennale : les vents équatoriaux stratosphériques soufflent alternativement de l'est pendant 12 à 15 mois ce qui est corrélé avec une réduction de l'activité et à contrario l'instauration d'un régime d'ouest entraîne une recrudescence de cyclones, d) les anomalies de pression au niveau de la mer sur la zone des Caraïbes : des faibles pressions favorisent l'activité cyclonique, l'altitude de l'isobare 200 mb. pour la même zone est un facteur qui entre aussi enjeu. Ils en ont tiré une formule qui donne assez bien le nombre de cycolnes qui frapperont la zone Floride-Golfe du Mexique. Comme on le voit le système est complexe et fait inervenir aussi bien un phénomène du Pacifique qu'un critère africain et un critère des caraïbes... -- lc30

Entre l'adaptabilité des espèces, dont nous avons largement parlé cet été àpropos des cigales et la conclusion que la terre se réchauffe j'oppose la mécanique céleste et la non variation de la durée de rotation de la Terre alors que lar la dissipation d'énergie due aux marées celle-ci à tendance à ralentir. Donc il y a autre chose. je renvoie maintenat en plus, au problème solaire, qui a été évoqué largement par Torrent le plus souvent et boien d'autres; dans le "pour la Science" d'octobre il ya un article très clair là-dessus, mais la conclusion sur les effets depuis 1980 comporte une grande lacune méconnaisant la mécanique de l'atmosphère : à savoir que les retombées du Béryllium ne sont pas instantanée ... et que pour savoir ce qui s'est passé depuis 25 ans, dans une période où l'activité soliare a été bien plus intense avec le raccourcissement du cycle dit "undécennal".. Il convien de ne pas affoler inutilement les calculs et ne pas prendre le Pirée pour un homme -- lc30

Dove sono situati Calamazza e Corniviglio -- lc30

Dov'è sono situati Calamazza e Corniviglio ? ( Où sont situés Calamazza et Corniviglio) -- lc30

je reviens systématiquement sur le problème d'un réchauffement ou d'une montée du niveau moyen de la mer : si cela se faisait alors il y aurait un ralentissement de la rotation de la terre que le bureau des longitudes constatetrait et après constat il rajouterait une seconde par-ci par-là comme il le fit dans le passé. or depuis sept ou huit ans il n'y a plus d'ajout après un ralentissement dans le nombre d'ajouts. c'est clair ! Mathématiquement il suffit de dériver J(w^2)/2 pour arriver au résultat que dR/R= dT/T où R est le rayon terrestre et T la période de rotation ici 86400 secondes. La terre ralentit naturellement par dissipation de l'énergie en raison des marées. or s'il n'y a plus d'ajout cela veut dire ( exception faite de la variation d'inertie relative à la réorganisation inertne des couches profondes du globe) qu'il y a refroidissement. Ges ou pas Ges, à supposer que ceux-ci conduisent au même comportement en mileiu ouvert que dans une serre : c'est un problème classique des conditions aux limites, et cela n'est pas vu. -- lc30

bonne précision de Bolam 6,5 pour les environs du Vidourle annonce de la pluie le mardi 1' de 9 h TU à 23 TU avec 30 à 40 mm. Pour Nîmes-Vacquerolles ( 15 km du Vidourle), les heures sont exactes, la hauteur mesurée est de 27 mm..... -- lc30

En matière de relèvement du niveau des océans, je suis totalement d'accord avec lozère. je prends un exemple certes extrême, celui des chmaps phégréens de la baie de naples : au cours des 2000 dernières années ils se sont élevés, ou abaissés sous le niveau de la mer. Plus près de nous je cite volontiers le phare de l'Espiguette au Grau-du-Roi ( gard) : construit au bord de la mer il y aplus d'un siècle il est aujourd'hui à 800 m à l'intérieur des terres, et bien sûr le niveau de la mer.... a baissé. ( dans le cas de ce port j'ai d'autres critères montrant que le niveau a bien baissé depuis 1945... on me parle d'un réchauffement de O,6 °.... ce qui voudrait dire + 30 cm ? Où ? -- lc30

il me semble que Andrew n'était pas mal non plus : une précision, lorsqu'un ouragan a été particulièrement dévastateur le prénom qui sert à le caractériser n'est plus utilisé. -- lc30

il est 0 h 12, à Nîmes : ciel couvert, baromètre stable depuis cet après-midi -- lc30

bolam 6,5 donne en plein sur la vallée du Vidourle.... bon selon le cas j'irai faire un tour à Sommières et à Quissac mercredi matin..... je commence à en avoir l'habitude........ valeur moyenne 50 mm annoncée ce qui donnera certainement des pics locaux de l'ordre du double ou même plus. -- lc30

c'est d el'eau dont je parle : mais les échanges existent et la capacité calorifique de l'eau n'a rien à voir avec celle de l'air. même si l'interaction air-océan est très difficile à modéliser, ( échec quasiment de tous les programmes sauf dans celui que j'évoque ci-dessous) l'échange se fait par le système évaporation-précipitation. Autre argument que j'ai oublié et qui est un constat physique ( pas de l'I.A.O. - Incompétence assistée par ordinateur !) c'est que tous les chercheurs sérieux conviennent du fait suivant : si le climat se réchauffe, alors l'océan antarctique aussi donc l'évaporation sera plus intense et il y aura davantage de chutes de neige sur le continent antarctique.... hélas, .... rien ! ni dans un sens ni dans l'autre...... -- lc30

pour 1994, lorsque j'étais en activité le chiffre m'a été communiqué par la DRIRE Rhône-Alpes. -- lc30

tous calculs faits pour une terre de 6300 km de rayon avec une couche uniforme d'eau de 2500 mètres d'épaisseur, le réchauffement de 1° entraîne une montée moyenne des eaux de 50 cm...... Donc j'attends que l'on me dise où et quand et de fraçon largement étendue on a constaté une montée des eaux de 50 cm, laquelle entrainerait une augmentation de la période de rotation de la Terre... que le bureau de longitudes ne constate pas. pour moi ces deux arguments mécaniques l'emporte sur bien des matraquages médiatiques. il y a aussi le problème d e la dorsale médioatlantique, dont les variations de niveau par le seul jeu de la tectonique de splaques peut largement faire varier les échanges à commencer par la circulation du Gulf Stream. Il y a l'activité sismique de la ceinture de feu du Pacifique, dont les effets sismo-volcaniques peuvent avoir des influences importantes : - plan volcanique : on a les expériences du El Chicon et du Pinatubo mais aussi celles un peu moins documentés scientifiquement parlant du Tambora, du Krakatoa et d'un volcan islandais au nom imprononçable dont l'éruption vers 1787 pourrait avoir été la cause d'un refroidissement climatique en Europe avec en conséquence une famine en France puis la Révolution. - plan sismique : un séisme de M7 avec un mécanisme au foyer à moins de 30 km sous la surface peut avoir des conséquences topographiques énormes avec des subsidences ou des surrections supérieures au mètre.... il faut imaginer l'influence que cela peut avoir par exemple sur le détroit de Torrès ( se rappeler que le grand sésime d'Alska en juin 1964 avu le port d'Anchorage "remonter" de plus de trois mètres et dans l'arrière pays des surrections de l'ordre de 10 mètres ont été mesurées... voir les fonds marins des détroits s'ils subissent de telles variations au niveau des détroits, quel que soit le détroit, et là je pense à celui de Behring) -- lc30

pour ma part je pense que le "gros élément extérieur" possible relève de la comète qui s'écraserait sur Terre. Sur ce propos je pense à une comète de faible importance, pas un aérolithe important comme pour Rochechouart ou Chixculub, non, suffisant toutefois pour libérer ou permettre la libération des hydrates de méthane. L'activité cyclique du soleil est une donnée avérée, certes si on connait a peu près un cycle qui durre de 10 à 12 ans, on connait moins les autres cycles même si certains chercheurs, avec beaucoup de brio et des données séreises pensent qu'il y en a d'autres. mais la masse du soleil est aussi une masse vibrante, et là on peut avoir, c'est plausible, mais pas certain, des phénomèes de résonnance entre les couches inférieures et la couronne dans une structure qui est plasmique dont on connait mal ( même très mal) les propriétés physiques -- lc30

comme disent ced30330 et Treizevents : : d'après bolam cela promet pour l'apès midi de mardi ... et comme il s'agit de prévisions moyennes où seront les pics de précipitations? Ma petite idée, compte tenu de l'incendie de garrigue de Nîmes-cabrières d'août 2004, si jamais le pic se produit là, avec une terre encore chaude favorisant l'advection, des cendres de partout, il ne fera pas bon se promener entre nîmes et remoulins. Pour mémoire, depuis que la loi Catnat existe Nîmes a été cité 12 fois (source colloque SHF de juin 2004 à Nîmes)..... -- lc30

nîmes-vacquerolles ( donc à l'ouest et en gros à 1à km de nîmes-courbessac) : orage début Samedi 23h15, fin dimanche vers 0h 50, 1h 23mm -- lc30

J'ai le chiffre excat pour 1994 : la foudre a tué 24 personnes. Le chiffre de la cinquantaine me parait élevé même actuellement. pour le niveau kéraunique français on eut retenir les données suivantes pour des terrains cristallins semblables : finistère : 0,5 impact par an et par km2 haute ardèche granitique 20 à 25 impacts par an et par km2 -- lc30

une observation : si l'aigoual et sa périphérie ( hauts cantons du gard et de l'hérault) sont ouverts à tous les vents, par contre on a rarement des précipitations importantes sur la partie moyenne ou basse du Gard lorsque le vent souffle de l'Est ou de l'Est-Sud-Est. Par contre s'il tourne un peu plus vers le sud, en cette période, on peut déguster de l'embouchure du Rhône jusqu'aux plateaux dela Haute-Loire ( voir septembre 1980 et la crue de la Loire avec 9 morts à Brives-Charensac) -- lc30

Dans l'indice composite la PDO est bien sûr présente mais ce n'est pas le seul paramètres. Certes ils interagissent entre eux...., certes ils ne sont pas indépendants. En me plaçant sur le plan mathématique on peut évoquer deux concepts eux aussi eput être liés: - par exemple dans un système d'équations différentielles dit à priori "sympathique", on se trouve en présence d'un attracteur étrange, où la faible variation d'un paramètre, ou d'une condition initiale donne des résultats totalement différents - la théorie des catastrophes, où dans un ensemble de six paramètres Thom a démontré qu'il y a avait un ensemble infini possible de catstrophes ( c'est à dire de variation brutale d'un paramètre). Cela c'est le plan mathématique. Sur le plan physique, si on mesure l'énergie consommé par l'homme par rapport à l'apport solaire...... c'est largement en dessous de la variation d'énergie reçue entre été et hiver en raison de l'ellipticité de l'orbite de la terre. Donc l'influence humaine globale..... (i.e. sur le globe ) par contre il est des cas, comme par exemple les gros incendies de garrigue, comme celui de cet été au nord est de Nîmes, où là l'énergie dégagée est de dix à cent fois supérieure à celle que le soleil envoie en un mois. Là c'est un phénomène local. -- lc30