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lc30

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  1. à propos de la mesure de la constante solaire ( une des lois de Murphy prétend : toutes les constantes sont essentiellement variables), il n'y a pas que l'évolution de la teneur en C14 qui donne des résultats. La corrélation paléopalynologique ( étude des pollens anciens) corrobore des courbes semblables. L'étude des boisements anciens montre aussi des évolutions semblables. Donc malgré quelques réserves sur la radiodatation, qui donna lieu il y a peu à une courbe rectificative des datations, on est obligé de tenir compte de cela. La position du soleil par rapport au barycentre du système solaire est certainement fondamentale en raison de l'interaction spin-orbite sur "l'atmosphère" solaire ( un drôle de gaz ionisé, dans un drôle de champ magnétique) : c'est de la mécanique élémentaire par la composition des vitesses dans un repère ( le centre du soleil) qui n'est plus galiléen. Coriolis existe même si cela déplait à un certain nombre de gens. -- lc30
  2. je relisais ce matin un texte de Pierre Kohler qui a été publié sur ce forum ( il date, semble-t-il de début 2004) : et Torrent avec Hohler, comme d'autres dont je me flatte de faire partie, dénonçons toujours les mêmes méconnaissances scientifiques. ce qui me fait conclure : Qui n'écoute qu'une cloche n'écoute qu'un çon ( avec ou sans cédille). Or actuellement tout ce que l'on avance en matière de réchauffement ne se réalise pas, alors que ce qui ressemble fort à une influence solaire majeure, est nié parce que cela gène. Quant on me parle de GIEC, et qu'on oublie que le I est l'initiale d'Intergouvernemental ( et non d'international) on commence à comprendre beaucoup de choses. Sur ce plan bien des scientifiques compétents ( et non pas "the concerned scientists" qui ne sont que des scientifiques inquiets, mais pas nécessairement compétents) sont mis à l'écart, et leurs idées rejetées avant même d'aoir été présentées. Evidemment comme le dit Torrent au sujet du débat sur les "économistes distingués" ( et dans économistes il y a une syllabe qui choque et si on écrit DistINGUES en omettant trois lettres ), il y a un débat philosophique... et on ne peut le mener ni ici, ni héals sur des forums moins privés car il serait vite étouffé sous une avalanche ( encore une catastrophe) de critiques politiciennes. -- lc30
  3. lc30

    Température glaciale

    grosse surprise jier en revenant de ( la cave de) Bourdic à Nîmes, en passant sur le pont de russan sur le Gardon : celui-ci était gelé. Il y a longtemps que je ne l'avais pas vu ainsi en ce lieu où certes il est calme ( hors incident cévenol bien sûr), mais gelé.... -- lc30
  4. au sujet des clarthrates : ne pas oublier qu'au messinien ( moins 6 millions d'années la méditerranée avait un niveau situé 2.000 mètres plus bas... ( j'ai bien écrit deux mille). ne pas oublier non plus que depuis cette période les alpes se sont surélevées, ( érosion comprise), de 3.000 mètres et que tous les niveaux sont donc relatifs.... ce qui est aussi valable pour d'autres massifs En géologie le problème de l'isostasie est fondamental pour bien mesurer les hauteurs réelles. -- lc30
  5. pour préciser la pensée de Rémi, dont l'intervention avec photos est très intéressante, j'ai lu il y a deux ou trois ans un article d'un glaciologue italien, mis sur le net ( faudrait que je le retrouve..!) disant la chose suivante : Les glaciers alpins sont malades, ils le sont surtout à cause de la pollution essntiellement automoble qui se dépose en surface et constitue une couche absorbante du rayonnement solaire. Une vérification intéressante de cette proposition serait, localement, de voir l'influence éventuelle qu'a eu la fermeture du tunnel du Mont Blanc sur la fusion en basse altitude. Sur les chutes de sérac.... C'est vers le début des années 90 ( en mars) qu'il y a eu une belle chute sur le glacier des Bossons ( ou de tacconaz) emportant les deux principales alimentations électriques de Chamonix. Les blocs de glace étaient encore là fin juin. Les Cartes de localisation probable des avalanches (CLPA) , pourtant très précises ne comportaient pas une extension aussi importante des avalanches surtout de glace. depuis il y a eu de gigantesques ttravaux et extension de la zone non constructible. Pour ma part j'ai toujours pensé, que cet événement était dû à un petit séisme intervenant sur la faille de Bionnassay, vers 3000 m d'altitude. -- lc30
  6. par contre ce qui est curieux c'est la concentration d eglace que l'on voit sur le site de la Navy, notamment dans le détroit du Danemark, alors que le Spitzberg rest en eau libre. La carte des températures du même site montre depuis des années une anomalie de température de l'eau de mer dans cette zone, pas très grande, sans que l'on donne d'explication ( on se trouve certes sur la dorsale médio-atlantique, mais cela n'explique pas tout à mon avis) -- lc30
  7. la lecture de la dépèche montre plusieurs choses : - on ne sait pas si l'accroissement de salinité est une cause ou une conséquence d'un éventuel changement climatique. - les eaux sont plus salées et plus froides, donc deux raisons d'être plus denses bien qu'on ne se trouve pas au point de saturation avec dépôt de sel. - nécessairement la formation de glace est plus difficile du fait de l'accroissement de la teneur en sel ( voir lois de Raoult), lorsque ces eaux viennent en surface, par exemple au contact des autres glaces. Il est difficile, à moins de connaissances nouvelles en géochimie, de mettre en cause le gaz carbonique, quoique la teneur de l'eau en gaz divers s'accroit lorsque la température diminue, mais de là à mettre en cause une réaction entre quoi et quoi cela parait difficile ( attention mes connaissances en chimie sont assez limitées, et encore plus en chimie de l'eau domaine très spécial de la chimie) -- lc30
  8. constat nîmois : idem à celui de Ced30330; ici non plus nous n'avons pas eu les précipitations qui ont touché l'Hérault et les P.O.. Hier matin quelques flocons pendant 10 mn puis le mistral a balayé le ciel ! -- lc30
  9. ce matin entre 9h50 et 10 heures, à Nîmes-Vacquerolles : surprise ! de gros flocons par 2° C -- lc30
  10. enfin un peu de prudence et de réflexion scientifique.... ! il est vrai qu'il ya encore des personnes qui prennent la terre pour le centre de l'univers et qui pensent que leurs actions rythment le cours du soleil -- lc30
  11. attention sur le faux ami "concerned" : Union of concerned scientists" ne veut pas dire Union des scientifiques concernés, mais Union des scientifiques inquiets. Ils ne sont pas nécessairement concernés..... et pas nécessairement informés correctement ( par exemple un géographe de formation parlant de biologie moléculaire) -- lc30
  12. lc30

    Hiver neigeux

    grosse erreur : 27 novembre 1982... excusez du dérapage ! -- lc30
  13. lc30

    Hiver neigeux

    souvenirs personnels : 27 novembre 1997 60 cm sur la route du chasseur entre St Chamond et St Etienne. La plupart des lignes électriques out juin 1966 : le Guizay tout blanc pendant une journée le neige bloquant la ville c'est fréquent, mais effectivement cela ne s'est pas produit depuis quelque temps ! -- lc30
  14. lc30

    Le Yellowstone

    en ce qui concerne les films catatstrophe mettant en cause une éruption vocanique il y a eu l'excellent "Dante's peak" qui fait beaucoup plus référence à la Caldera de Long Valley qu'à celle de Yellowstone -- lc30
  15. lc30

    Le Yellowstone

    les caldera nord-américaines, et plus particulièrement U.S., sont toutes inquiétantes. J'ai un souvenir récent ( fin 1997 si ma mémoire est bonne, où sans alarmisme, tous les scientifiques qui surveillent la caldera de long valley en californie étaient hyper inquiets compte tenu de signes graves, avec en particiulier harmonic tremors de magnitude supérieure à 4, donc montée de lave.... La caldera de Yellowstone n'échappe pas à la règle d'être aussi inquiétante... Le volcan three sisters ( qui doit être situé dans l'Oregon - à vérifier) montre aussi des signes inquiétants de boursoufflure... Le Mount Rainier est loin d'être en sommeil, tout au plus une sieste légère... -- lc30
  16. de mémoire, mais je peux me tromper, il y a eu il y a moins de 200.000 ans des taux supérieurs au taux actuel, et ce à plusieurs reprises : dès que j'aurais retrouvé les renseignements dans ma doc paperassière je les mettrai sur le forum -- lc30
  17. en tant que défenseur de l'influence solaire primordiale sur le climat général ( pas sur les cas particuliers des grandes agglomérations ou des grandes conurbations comme la région parisienne ou le complexe turino-milanais), je ne peux qu'être totalement satisfait de voir enfin l'argent correctement utilisé. les travaux de Michel MAGNY à l'université de Besançon ( laboratoire de paléo palynologie) ont mis en évidence des cycles longs ( de l'ordre de 2300 ans). Ces travaux, corroborés par d'autres travaux internationaux sont niés par les tenants à tout crin des GES sont tout à fait dignes de la meilleure méthodologie possible. inversement, mais les niçois pourront peut-être me contredire ou apporter des précisions complémentaires : Il y a 500.000 ans Terra Amata, site protohistorique, était située au bord de la mer et j'ai entendu dire que la mer était donc 25 mètres plus haut. Voilà le genre d'erreur à ne pas commettre car en 500.000 ans les Alpes, donc les actuelles Alpes dites maritimes, ont été soulevées de plusieurs dizaines de mètres ( en moyenne pour la partie centrale alpine, érosion comprise, 250 mètres en 500.000 ans) . Tirer des conclusions climatiques hasardeuses d'une recherche archéologique d'ultra-qualité est quelquefois dangereux ! -- lc30
  18. certes on voit apparître beaucoup de températures records à toutes les époque, mais cela a-t-il une signification ? je m'explique : un record de tempéaure c'est un instant, un jour ou deux. Il me semble infiniment plus intéressant de comparer les dates de premières nouaisons , qui intègrent à la fois les notions de luminosité ( floraison) et de température ( nouaison). Egalement parce que ces plantes sont moins sensibles à la luminosité et plus à la température la floraison des plantes à bulbe en pleine nature (tulipes, narcisses,...) Pour ma part, malgré un entretien constant, donc qui améliore l'état des arbres, je constate depuis plusieurs années un glissement de plus en plus prononcé de la floraison et de la nouaison de l'olivier ( avecdeux pas en avant un pas en arrière, mais douze jours de décalage entre 1994 et 2004, soit en myenne un jour par an). -- lc30
  19. pour répondre à Virgile de façon publique en ce qui concerne mes compétences je tiens à préciser que j'enseigne les risques naturels à l'ENSM St Etienne, après avoir exercé les fonctions sd'attaché risques ur le terrain pendant plus de vingt ans ( et rappelé de temps en temps par mon ancienne société pour plusieurs activités sur le risque naturel) . Quand je parle d'escroquerie, je crois savoir de quoi je parle. Quand aux incidents cévenols, en tant que nîmois, y habitant et professionnel du risque, je crois aussi savoir de quoi je parle, tant sur la prévision ( facile), la prédiction ( quelquefois possible à 24 heures) et la prévention( qui demande de l'argent). Et je ne parle pas de ma formation, je reste très discret là-dessus. __ lc30
  20. petit désaccord avec Killbrice qui écrit " le protocole de kyoto est purement politique" : il est seulement politicien et marchand car cela revient à donner des droits à polluer et à les revendre en bourse. c'est vachement moral, donc c'est avant tout politicien. En ce qui concerne un calendrier, et compte tenu de la raréfaction du pétrole, comment cela est il pris en compte . Soyons sérieux les équations de la mécanique des fluides sont des pièges mathématiques, et on y tombe dedansles deux pieds et les deux mains, comme dans un cloaque. -- lc30
  21. Le texte d'Antonello Pasini met en cause la méthodologie de toutes les études, et en connaissance de cause, vu sa spécialité. on n'est pas capable de décrire mathématiquement les volutes de fumée d'une cigarette, à paretir de concepts simples et on constate tout au plus qu'un jeu d'équations différentielles, d'apparence sympathique, pourrait représenter ces volutes... l'ennui c'est qu'on n'est pas capable de raccorder la tout. Lorsqu'on a un peu touché à ces systèmes mathématiques "sympathiques" dont les solutions varient de 100 % pour des conditions iniitales variant de 1 % on est en droit de se demander ce qu'il advient dans un système terrestre avec des variations journalières supérieures à 1% et ce pour 30 ou 40 ans en avant. Pour faire un parallèlle avec la mécanique "dure", celle de Lagrange, ou d'Hamilton, qu'on se rappelle ds problèmes posés par la résonnace paramétrique sur les variations de vitesse, ou de positon lorsque l'un des paramètres varie dans le temps ( sur le sujet on peut voir soit le vieux Landau- toujours aussi excellent et en français si on le trouve encore, ou le Feynman en anglais, qui constituent les bibles des mécaniciens) Si on avait des programmes de mécanique des fluides aussi précis que certains physiciens le prétendent, ferait-on encore des modelisations à l'échelle pour des écoulements d'eau ( avec équations de similitude à l'appui; lesquelles sont tout sauf linéaires), ou ferait-on encore des essais en soufflerie, même pour des objets de faible dimension ? C'est pour cela que je doute, et même plus. oin vesement lorsqu'on connait les principes d ela mécanique "dure" et ses principaux résultats notamment sur l'interaction spin-orbite on comprend qu'il puisse se passer quelque chose dans le plasma solaire en raison de la variation de position du soleil par rapport au barycentre du système solaire : là, à qulques centaines d'années, on sait bien calculer. -- lc30
  22. lc30

    Neige en juillet ?

    de mémoire dans "l'histoire du climat depuis l'an mil", il me semble qu'il est cité un "miracle" à Rome où il neigea au mois d'août ( 7ème siècle ?) En ce qui concerne les années 50 je crois me souvenir d'un été particulièrement froid en 1952 où la SNCF avait dû faire fonctionner le chauffage des trains en plein été, et pas seulement sur Nîmes-Clermont. Il serait peut-être bon de voir cela avec le forum misc sur les problèmes de transport ferroviaire. A propos de variation de climat , il y a longtemps que l'on n'avait pas vu annuler autant de compétitions sportives sur les stades gelés ( foot et rugby). -- lc30
  23. toralement d'accord avec Torrent sur le manque de lucidité dans le raisonnement d'échelle : là-dessus j'ai mis un message sur une autre question relevant d'un réchauffement double de celui prévu ( message initial de Nyko),; le problème d'un étude d'un élément en laboratoire et celui d'une extension au système terrestre relève au mieux de l'incompétence au pire de l'escroquerie. -- lc30
  24. j'adore que l'on cite "Nature" ( les cannibales adorent les missionnaires ), certes il y a des articles intéressants, mais je n'oublie surtout pas que c'est cette revue qui s'est distinguée avec la célèbre mémoire d el'eau. En ce qui concerne le réchauffement climatique je suis allé chercher un article sur le site "Nimbus" en italien, où j'ai lu sous la plume électronique d'Antonello Pasini, physicien du CNR ( équivalent du CNRS), spécialiste de météorologie, expert en modellisation climatique et des systèmes complexes, un article dont je cite quelques extraits qui me vont droit au coeur : " Qu'on pense, par exemple, que les quelques équations par lesquelles nous décrivons ces phénomènes et processus - comme les équations de Navier-Stokes- de la dynamique des fluides- ( i.e. NdT : modelisation du climat) ne sont pas résolubles analytiquement, sinon dans des cas simplissimes ( NdT : je garde le superlatif absolu de l'italien même si cela conduit à un néologisme) et irréalistes. On comprend alors comment dans ce contexte on ne puisse reconstruite la complexité climatique en laboratoire et la comprendre avec des méthodes standard" "Habituellement l'activité de décomposition d'un système pour en étudier les éléments simples et leurs interactions de base ne pose pas de problèmes particuliers : en laboratoire, par exemple nous mouvons allègrement étudier l'absorption du rayonnement infrarouge par une molécule d'anhydride carbonique - qui contribue au soi-dusant effet de serre- ou encore en considérant l'air comme un fluide ou un mélange de gaz et et de vapeur d'eau, nous pouvons analiser le mouvement de parties de cett atmosphère dans des cas simples ou étudier les les principaux processus theromdynamiques qui interviennent dans l'atmosphère Quand en laboratoire on cherche à reconstruire le puzzle dans sa totalité, alorsq ue cela est possible pour des systèmes mécaniques ( NdT : en résistance des matériaux , en cinématique, ) ce résultat est extrèmenent diffoicile dans le cas de l'atmosphère du système terrestre." plus loin dans l 'article l'auteur envisagerait la contribution des théories fractales, en d'autres termes l'intervention d'espaces de dimensions fractales, c'est à dire non entière. Sur ce point là il ya selon moi des interventions intéressantes en raison par exemple des équations de base liées aux phénomènes adiabatiques qui font intervenir des exposants non entiers, mais pour l'instant le problème fractal reste le plus souvent - il y a des cas particuliers inverses- au niveau de la recherche théorique, laquelle est loin de plaire à tout le monde parce que cela coûte cher, et ne permet pas d'effet d'annonce ou d'inauguration chez les politiques. En conclusion personnelle : toute étude au dela de quinze jours relève au moins du floklore sinon de l'escroquerie. Que ce soit dans "Nature " ou dans toute autre revue ou journal -- lc30
  25. nîmes-vacquerolles altitude 120 m, hors ville : 1,5°, vent du nord, mais ciel largement couvert avec un plafond haut. Pas de précipitations. -- lc30
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