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lc30

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  1. Au fait météofrance parle d'Arpège mais il me semble, ils en ont parlé lors du colloque de Nîmes de la SHF au mois de juin, qu'il y a aussi en expérience "Arome"... et que dit ce modèle qui doit être plus performant qu'Arpège ? Quelqu'un est-il au courant ? ( d'air ?) -- lc30
  2. lc30

    El Nino

    oh là ! depuis que les espagnols sont arrivés au Pérou, vers 1530 leur administration s'est heurtée périodiquement aux populatiuons affamées parce qu'il n' y avait plus d epoisson en raison du phénomène El Nino. Les archives espagnoles ont consigné cela depuis cinq cent ans.... El Nino existait bien avant que l'on songe à une quelconque influence, entraînant des problèmes de nourriture, alors que La Nina beaucoup plus redoutable par ses effets plus au Nord ( voir par exemple la formule de Gary et Landsea pour la fréquence des cyclones, ou le remarquable travail de Connie Woodhouse) possède localement des effets bienfaisants facilitant la remontée des couches d'eau froides et favorisant la pêche locale. Alors influencede l'homme sur El Nino.... cela me rappelle quelques sujet de dissertation donnés en guise de bizuthage comme " nuit de noces d'un couple thermoélectrique". J'ignore où Williams en est de sa traduction d'un article de Landscheidt mais pour ceux qui lisent l'anglais commencer par rechercher les deux articles que john-daly a publié sur son site, puis réfléchir avant d'affirmer n'importe quoi comme je l'ai entendu en octobre 1998 lors d'un congrès à Niort de la bouche d'un dirigeant d'organisme que je ne nommerai pas et auquel il a fallu que je coupe séchement la parole parce que par politesse trop de personne laissaient dire n'importe quoi. ( puis plusieurs météorologues présents sont venus me remercier... ils n'avaient pas le courage de répondre) -- lc30
  3. pour stalbuck, mais aussi pour les autres : on sait qu'il y a un freinage dû aux marées, disons freinage sous influence Lune-Soleil, et donc on ajoutait en gros une seconde par an avant 1990, puis deux entre 1990 et 1995, puis décroissance et depuis six ans rien. Donc il ya compensation du freinage par les marées par autre chose qui ne peut être qu'une contraction, légère mais certaine. Assez curieusement ceci correspond assez bien, avec un petit décalage à ce que mesure le professeur Leroux. En suite il est vrai qu'il y a eu un cumul exceptionnel de cycles solaires très actifs et plus courts de 1950 ( en gros) à 1995 ( également sans trop de détail pour ne pas pinailler sur des portions d'années), donc des apports caloriques solaires plus intenses dans les domaines le plus énergétiques : UV et X..... ce qui n'a jamais été pris en compte par l'IPPC, de son propre aveu, lequel organisme s'est contenté de prendre en compte la constante solaire dans le seul domaine visible, et d ela déclaré constante. Je n'épiloguerai pas sur le sujet des constantes essentiellement variables les lois de murphy en ont depuis longtemps souligné la stupidité. -- lc30
  4. lc30

    L'histoire d'un pont SNCF

    ouh là là tu nous fais le coup du piège à chaleur...... et en ce moment dan sd'autres sujets du forum climatologie, il est de bon ton de le nier.... ça risque ...... de chauffer.....! /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> -- lc30
  5. je renouvelle que s'il y a réchauffement il ya dilatation de la masse d'eau, donc ralentissement de la rotation terrestre dont le bureau des longitudes (le garde-temps international) se serait aperçu.... or c'est l'inverse, compte tenu du freinage des marées ! la mécanique et la conservation de l'énergie cinétique conduisent à dT/T= dr/r... c'est de la mécanique pure qui plus est totalement élémentaire. Je sais la méacnique relativiste ( là ce n'est pas le cas, ne sera pas enseigné dan sles universtés allemandes,...... etc...... dixit Goebbels.....) ou la mécanique tout court l'une des sciences les plus précises qui existent, donne un résultat contraire aux attentes.... je n'y peux rien ! L'aéodrome du Bourget a ouvert avant la guerre de 1914-1918.... à l'époque les différences de températures entre cet aérodrome et paris Monstsouris était loin de marquer les différences actuelles, bien que cet aérodrome soit peu à peu inclus dan sun ilot urbain de chaleur de plus par sa fréquentation. Qu'on veuille bien considéré aussi que la pollution que l'on mesure n'est pas le réchauffement sauf aux points où elle se trouev. Anecdote avait donné, il y a plusieurs mois les records, vers le bas des températures enregistrés en 2003 dans l'hémisphère sud, et là non plus il n'y a pas photo. La communication faite en juin 2000 par Garçon, à Toulouse dans le cadre d'un colloques SHF-MF montra depuis 1990 un léger refroidissement sur un ensemble de plusieurs dizaines de capteurs, inchangés depuis la fin de la guerre; rien à voir avec la méthodologie du professeur LEROUX, mais résultats cohérents avec les siens. Il y a actuellement le travail de Landscheidt, on peut le lire en anglais, en attendant que Williams le porte sur son site en français. C'est encore de la mécanique céleste, assortie il est vari de considération sur ce qu'en abrégé on peut appeler les marées induites dans l'atmosphère supérieure du Soleil par des effets purement mécaniques..... puis il y a les corrélations. Alors avant de nier.... on lit objectivement les études publiés dan sdes colloques, des congrès où l'incantation ne remplace pas la réflexion. -- lc30
  6. j'ai le regret de dire que l'argument du piège à chaleur est parfaitement vérifié, si bien vérifié d'ailmleurs que même météo-France vient de s'en inquiéter. Quant aux aéroports, il suffit d'aller respirer de près, Orly, ou Marignane, ou si l'on veut aller plus loin prendre un aspirateur, y mettre un tulle etaspirer l'air pendant deux heures, en pleine ville, ou à proximité d'un aéroport pourvoir la couleur, donc la concentration en aérosols lourds. Là du calme, on se calme, et on fait des mesures avant de crier : "au charron". les constats relèvent de la physique, l'incantation ne peut, ni ne doit remplacer la réflexion. -- lc30
  7. qu'ajouter aux propos d'anecdote ? on se plaint des accidents climatiques actuels alors que les accidents climatiques anciens sont bien plus monstrueux que ceux d'aujourd'hui.... oui mais à l'époque il n'y avait pas la télévision ! ni les journalistes ! Que l'on se rappelle aussi la crue cévenole de l'Ardèche en 1890 ( Ardèche et un tas d'autres affluents du Rhône), avec une hauteur d'eau de 19 m au Pont d'Arc ( pour mémoire le tirant d'air total de ce monument naturel est de 32 m), et plus de 7000 m3/sec... Pour la Loire ne pas oublier non plus 1846, et 1866... Une idée me trotte dans la tête depuis fort longtemps : à la vue des crues du Rhône depuis 1993 ( La cinquantennale ou au-delà à 4 reprises... pas mal en dix ans....) il faut remonter au premier tiers du XIX ème siècle pour avoir de pareils débits... et otout le monde admet qu'il faisait plus froid.... La mesure des températures actuelles dépend beaucoup trop des aéroports et des abords des villes lieux éminemment pollués et pièges à chaleur certains. -- lc30
  8. pour compléter les données de Torrent , je dirai simplement que l'ensemble des trois plus grosses planètes, qui peuevnt se trouver deux à deux en conjonction ou en opposition ou toutes les trois ( c'est plus rare) en conjonction ont nécessairement une influence sur la position du soleil par rapport au barycentre du système solaire, qui du fait des éloignements n'est que très rarement confondu avec le centre du soleil.... l'atmosphère solaire, i.e. la couronne, les couches immédiatement situées sous cette couronne n'ont pas du tout la même masse volumique que celle du centre du soleil évaluée à 150 fois celle de l'eau... c'est un plasma, soumis qu'on le veuille ou non à des effets de marée des trois plus grosses planètes. Du fait du déplacement du centre du soleil par rapport au barycentre du système solaire naissent par le seul fait de Coriolis des forces qui s'exercent sur la partie de plasma. Nier cela est un comportement peu scientifique. -- lc30
  9. bon heureusement que je n'ai pas vu toutes ces âneries ! personnellement j'en connais quelques unes en matière de prévention des inondations; à commencer par le très célèbre rapport LEFROU-MARTIN sur les inondations de l'Aude. premier point ils n'ont rien vu, sauf peut-être la qualité des restaurants du coin... daible quand des parisiens decendent dans le midi, faut bien leur faire manger quelque chose deuxième point : les solutions proposées.... celle pour Cuxac d'Aude est si géniale que même les élus s'en sont émus. Et ne parlons pas de Nîmes, ou de septembre 2002, san soublier le génial passage à gué de Sommières réalisé en 1994, qui n'aura comme effet que de relever les lignes d'eau... merveilleux. Alors qu'on trouve des âneries et de première grandeur sur le climat ne relève que de la recherche: 1) de la notoriété - ah pourvu qu'on parle de moi dans les journaux, ce qu'on pourrait rapprocher d'ailleurs de la célèbre tirade des "Non merci" dedu Cyrano de Gergerac d'Edmond Rostand 2) de subventions : c'est fréquent dans des laboratoires publics ou privés 3) d'inconscience : dans des solutions mirifiques on s'aperçoit que l'on a inventé à la fois le mouvement perpétuel, la brosse à reluire, la non-conservation de l'énergie, le fil à couper le beurre et la clef du champ de tir ! c'est certes un constat un peu hors sujet mais cela peut donner des idées de se taire à ceux qui ont une brûlante envie de causer -- lc30
  10. rien sur Nîmes ; ciel couvert mais restant lumineux( plafond haut); peit vent du sud tournant par moment au sud-est. -- lc30
  11. en allant à Tacoma on peut voir un pont qui défraya la chronique en s'écroulant sous l'effet d'un vent léger ( de mémoire en novembre 1940) pour plus amples renseignements faire Tacoma bridge sur n'importe quel moteur de recherche : c'est spectaculaire ! -- lc30
  12. étant en train de traduire un texte de Landscheidt relatif au lien entre la NAO et le climat dans l'Atlantique Nord ( en attendant que Willaims le publie), je peux dire deux choses: - le texte est convaincant; la bibliographie parait solide avec des publications diverses sur le même sujet dans des revues de très haut niveau. - pour l'activité solaire que l'IPCC a volontairement oublié il faut lire ou relire comme première approche l'article Soleil de l'Encyclopédia Universialis et là dan sle dernier chapitre de l'article on a un bon point de départ sur les affirmations de Landscheidt. maintenant il ne faut pas que Torrent s'émeuve : j'ai appris dan sle Midi-Libre d'hier, édition de Nîmes qu'iml y a vait des inondations de droite et des inondations de gauche et des experts de droite et des experts de gauche ( dont j'ai vu opérer deux, dont l'un dans l'Aude s'estparticulièrement distingué dans son rapportsur la catstrophe de novembre 1999) J'attends maintenant de savoir s'il y a des inondations gauchistes, fascistes, socialistes, radicales,..... etc.... plus rien ne m'"tonne de la part d'experts autoproclamés. -- lc30
  13. lc30

    Lisa

    de mémoire ce ne serait pas la première fois qu'une tempête tropicale touche l'Espagne. Là je suis inquiet car la latitude à laquelle elle se pointe montre qu'on pourrait peut-être en prendre plein la g...., surtout sur le Sud ( Est et Ouest réunis). -- lc30
  14. réponse de la commission : en d'autres termes allez vous faire voir ! c'est regrettable, car lorsqu'on décida d'étudier la météorologie ce fut vers les astronomes, habitués à observer le ciel que tous les gouvernements européens se tournèrent, car ils estimaient que ceux qui observaient le ciel tous les jours étaient les mieux placés pour observer et que leur formation scientifique leur permettaient de couper à bien des élucubrations de faux prophètes.... sic transit -- lc30
  15. donc on a une confirmation de la part des astronomes.... outre le fait que la période de rotation de la terre est stabilisée, ce qui correspond à un refroidissement... Il me vient à l'esprit une pensée : les anciens désignèrent Jupiter comme dieu de la foudre, , y associant la planète du même nom ! Coincidence ou fruit d'une longue compilation des astronomes-astrologues du moyen-orient ( Babylone, Ninive, etc...) ( on sait que les anciens connaisaient le cycle lunaire des éclipses de lune qui tourne autour de 19 ans, connaissaient-ils aussi celui du climat?) -- lc30
  16. lc30

    Milankovitch

    on ne peut nier l'importance du travail d eMilankovitch mais cela se place dans l'hypothèse astronomique. les travaux que l'on a évoqué à propos du cycle quasi-undecennal fort bprobablement lié à des données de mécanique céleste se placent aussi dans un aspect astronomique : la question peut être reformulé sous la forme : "le soleil est-il une céphéide faible dont le rayonnement X et UV serait variable en raison de l'influence des trois grosses planètes -Jupiter, Saturne,Uranus. -- lc30
  17. je reprends le train des forums en attendant de fournir à Williams la traduction promise. En ce qui concerne l'éruption du Mont St Helens en 1980 il faut savoir que : - les 57 morts sont essentiellement soit des touristes avides d'émotions fortes qui bien qu'avertis sont passés outre, soit des bucherons qui ont refusé d'évacuer parce que le volcan il est là bien tranquille et qu'on n'a pas à s'inquiter sinon on perd notre paye. - que le port de portland et le chenal qui y conduit ont dû être dragué fortement car les cendres avaient largement réduit le tirant d'eau, j'ai une photo prise trois jours avant l'événement paroxystique, parfaitement annoncé : le sommet es couvert de neige. pour lea amateurs d'évocations fortes je conseille de rechercher sur n'importe quel moteur de recherche " Long Valley caldera" -- lc30
  18. bon je pars bille en tête sur les affirmations journalistiques : le climat se réchauffe par les actions anthropiques..... Et dans le texte de lansdscheit que l'on évoque dans le sujet sur le refroidissement climatique.... on apprend que l'IPCC a négligé complètement la variation de l'énergie envoyée par le soleil dans le domaine non visible.... voir le texte en anglais plutôt que ma traduction du résumé de l'italien. Se pencher sur le problème interaction spin-orbite, c'est un très bon exercice de mécanique classique. Lire le travail de Le Roy Ladurie : histoire du climat depuis l'an mil ainsi que son dernier travail sur le même thème. ( je n'ai pas le titre en tête) -- lc30
  19. le fond du problème n'est pas la position relative du barycentre du système solaire par rapport au centre de la masse solaire: le vrai problème est celui de l'interaction spin-orbite sur la masse fluide du soleil. Mécaniquement c'est un problème complexe, mais réel. Ce qui est étonnant dans le texte en anglais, et que le texte en italien rend mal ce sont les corrélations. Sur le plan astronomique, il faut penser que les révolutions de Jupiter et de Saturene sont quasiment en resonnance 5/2. Que ces deux planètes n'orbitent pas dan sle même plan et que deplus elles ont un orbite elliptique marquée. Ce que l'étude met en lumière c'est la variation du moment angulaire du Soleil et sa corrélation avec les éruptions lesquelles ( c'est très mal expliqué dans le texte en italien par visiblement quelqu'un qui n'a pas des connaissances en interaction vent solaire, champ magnétique terrestre, rayonnement en UV et au-delà, etc...) sont susceptible de transporte au moins ( seulement dans le texte anglais - at least) 16 % d'énergie. Même si vous ne lisez pas l'anglais regardez les graphiques dont certains sont annotés en espagnol. -- lc30
  20. je viens de lire le texte en anglais ( huit fois plus long que le résumé en italien et surtout des graphiques plus lisibles). Il y a une bibliographie récente. Il est certain que ceux qui comme Torrent pensent que l'activité solaire est la principale composante du climat trouveront que ce texte va absolument dans leur sens. Ce qui est navrant, c'est qu'il n'y ait eu aucun spécialiste du Soleil dans le panel constitué par l'IPCC. Navrant ! la courte analyse faite sous la traduction se trouve absolument validée par la lecture du texte en anglais. qPour ceux qui veulent aller plus loin penser aussi que Saturne et Jupiter n'orbitent pas tout à fait dans le même plan, donc il n'y a pas qu'un mouvement plan du centre du Soleil ( en supposant que ce centre du Soleil soit aussi celui du centre de sa propre mase) mais un mouvement dans l'espace à trois dimensions et la figure 9 est une projection sur le plan équatorial du Soleil. ( De mémoire l'inclinaison du plan de l'orbite de Saturene sur le plan de l'orbite de Jupiter est de l'ordre de 1° 30 - valeur à vérifier) -- lc30
  21. Comme promis voici la traduction à partir du texte en italien : Le Soleil nous entraîne-t-il vers un nouveau refroidissement ? Selon un institut de recherche allemand, l'effet de serre anthropique influencerait peu la température de la planète. 21 septembre 14 h 52 Les analyses réalisées sur les variations de l'activité solaire des derniers millénaires par l'Institut Schroeter pour la recherche sur les cycles solaires de Waldmuenchen, en Allemagne, indiquent l'arrivée d'une longue période de climat froid dont la phase la plus froide aurait lieu en 2030, contrairement aux spéculations de l'IPCC sur le réchauffement global causé par l'homme qui pourrait atteindre 5,8° C au cours des prochaines années. Il a été démontré que ce minimum, dans le cycle de 80/90 ans des radiations solaires, lié à l'oscillation (cycle de 83 ans, soit 166 ans de pic à pic) du centre de la masse solaire par rapport au barycentre du système solaire, coïncide avec la période de climat froid de la Terre. Puisque désormais on connaît bien le phénomène, c'est relativement facile de calculer que le prochain minimum, dit de Gleissberg, autour de 2030, et le suivant vers 2200, donneront naissance à un type de minimum semblable à celui de Maunder (ayant eu lieu, justement pendant le petit âge glaciaire), accompagné probablement d'un régime climatique froid. Cette prévision, selon le Dr. Theodor Lanscheidt, basée sur les mouvements cycliques orbitaux du Soleil, a déjà donné de bons résultats pour les prévisions des 3 derniers "El Nino", des années avant qu'ils ne se présentassent, et pour beaucoup d'autres phénomènes associés. Au contraire les hypothèses pondues (N.D.T. : c'est le terme utilisé !) par les modèles de l'IPCC, fruit de recherches sur l'effet de serre d'origine anthropique, ont échoué quasiment sur tous les fronts. L'avis de l'IPCC, selon lequel le facteur solaire puisse être considéré comme négligeable est basée sur des observations satellitaires commençant en 1978, qui montrent que la radiation solaire totale aurait varié seulement de 0,1 % au cours du cycle undécennal du Soleil. Cet argument cependant ne tient pas compte de l'activité éruptive du Soleil qui influence lourdement l'intensité du vent solaire, lequel produit des effets plus intenses que la radiation solaire totale. Le flux magnétique émis par le Soleil, transporté par le vent solaire, a cru d'un facteur 2,6 depuis 1901, pendant que la température de la terre a augmenté de 0,6° C. L'énergie du flux solaire est transférée à l'environnement de la terre par des "connexions" magnétiques et directement dans l'atmosphère par les particules chargées. Les éruptions solaires, les événements les plus explosifs du système solaire, émettent une énergie énorme, et sont susceptibles d'accroître la radiation ultraviolette du Soleil de 16 %. L'ozone stratosphérique absorbe cet excès d'énergie en causant des réchauffements locaux et des perturbations dans la circulation. Le modèle de circulation générale élaboré par Haigh (1996), Shindell (1999) et Balachadran (1999) confirme que les changements de circulation, induits initialement dans la stratosphère, peuvent pénétrer dans la troposphère et influencer la température et la pression atmosphérique. Donc différents phénomènes atmosphériques comme les tempêtes, seraient la conséquence évidente du surplus énergétique présent dans l'atmosphère, fournissant ainsi la possibilité de le diluer ou de le redistribuer. En somme, tout bien pesé, la seule oscillation du Soleil autour du barycentre du système solaire pourrait expliquer, "au soleil"(N.D.T. : en clair), toutes les variations thermiques et climatiques sur la Terre au cours du dernier siècle (sinon carrément pendant les millénaires passés), sans déranger davantage les activités humaines (y compris l'augmentation du CO2 dans l'atmosphère). Selon le cycle de Gleissberg, la PDO (Pacifical Decadal Oscillation - Oscillation Décennale Pacifique) montrera des valeurs négatives au maximum vers 2016 et la Nina sera plus fréquente et plus forte qu'El Nino autour de 2018. Selon un tel cycle, donc, il n'y aura pas nécessité d'attendre jusqu'à 2030 pour voir si la prévision du minimum de Gleissberg est correcte. Une tendance à la diminution de la radiation solaire (déjà en cours) et des températures globales devraient commencer à se manifester bien avant que soit atteint le minimum lui-même. Traduction lc30 Note du traducteur : en somme on revient à l'hypothèse astronomique, dont les premiers éléments peu contestés sont les cycles très longs de Milankovitch, liés aux variations des caractéristiques orbitales de la Terre. Ici on fait appel à Jupiter avec la révolution de 11 ans 315 jours autour du Soleil et la forte excentricité de l'orbite (4,8 %). De plus on ne peut ignorer l'influence que Saturne qui bien que 3,5 fois moins massive que Jupiter, mais plus éloigné (9,55 UA contre 5,20 UA pour le demi-grand axe de l'ellipse) contribue aussi au mouvement du Soleil autour du barycentre du système solaire, en considérant ce dernier comme galiléen. Dans le texte il faut entendre, selon moi, le terme de radiation solaire comme l'énergie émise dans les domaines ultraviolets et au-delà vers les plus hautes fréquences : on en vient à considérer que le Soleil est une céphéide dans le domaine du non-visible. Ce qui n'est pas sans poser des questions de philosophie sur l'adaptation de la vie à la perception des formes dans le domaine où l'astre radiatif possède le plus de constance d'émission........ -- lc30
  22. je le traduirai cette nuit et je le mettrai sur cette page demain ( sauf les graphiques, car je ne sais pas comment les récupérer. -- lc30 ( d'expérience personnelle, en matière de risques naturels il ya trois langues : l'italien, l'allemand et le français. de loin les publications en italien sont les plus fournies car ils ne sont pas en manque de catastrophes avec des dégâts considérables. par exemple en matière d'inondation la Polésine en1952 - date de mémoire, puis Florence avec les dégâts causés par l'Arno) pour les avalanches, cela vaut la Suisse et la France et pour les mouvements de terrain ils ont été servis ( voir la catastrophe du Vajont le 9 octobre 1963).... raz de marée consécutifs ou non à un séisme, tempêtes, sécheresse, sésismes, volcanisme et subsidences .
  23. je maintiens ce que j'ai dit avec les données du bureau des longitudes. que la terre ne tourne pas rond on le sait depuis deux siècles, c'est pour cela que les horloges ont fait d'énormes progrès..... les variations liées à la réorganisation des masses internes sont connues. la variation du niveau des mers en fonction de la température moyenne est connue... et elle n'est pas constaté. le reste c'est de la loghorée et la recherche de fonds pour financer on ne sait quoi ! les galciers norvégiens avancent donc il fait plus chaud.... le propre de la physique c'est de faire des constats, qu'il y ait des théories ensuite tout à fait d'accord, mais lorsque les faits liés aux calculs ne sont pas constatés on m'a appris, en logique, que ce sont les calculs qui sont faux. -- lc30
  24. pour l'Articque, l'influence des courants marins, de la dorsale médioatlantique et de son activité volcanique ainsi que des variations du gulf stream sont suffisamment de paramètres oubliés dans les évaluations qu'il vait mieux être prudent. Pour l'Antarctique cela confirme tous les autres constats faits sur l'hémisphère sud et dont anecdote nous a parlé plusieurs fois avec les records de froid en Afrique du Sud , en Australie, et ailleurs. le refroidissement est moins porteur de demandes de fonds que le réchauffement, les pluies acides c'est fini, comme le compteur bleu.... -- lc30
  25. je maintiens, n'en déplaise à lds que le terme principal de la variation de vitese de rotation de la Terre est celui de la dilatation des océans. Sur l'adaptabilité des espèces, l'étude est récente : dans le parc de Yosémite on a d'abord chassé les loups comme gros prédateurs equi dévoraient les wapitis ( les gentils wapitis et les pas gentils). puis au nom d'une remise à l'état naturel on a laissé les loups revenir, la population de wapitis (les gentils et les pas gentils ) a bien diminué : conséquence des epèces végétales qui étaient devenus rarissimes par surconsommation des pas-gentils-wapitis se sont développées à nouveau...... Là c'est un problème d'équilibre. Il aurait fort à parier que dans les grands nords il se soit passé des choses semblables. Pour ceux qui mettent en doute les problèmes de variation de rotation de la Terre , c'est d e la mécanique classique, et même ultra-classique : expliquez moi les constats du bureau des longitudes sur l'absence d'ajout des secondes...Et qu'on ne parle pas de complot ! Et trouvez autre chose, car si la réorganisation de sstructures internes de la terre se fait elle se fait très progressivement, est parfaitement mesurée elle aussi. L'incantation ne doit pas supplée la réflexion. L'analyse des débits des grandes crues du Rhône, c'est à dire celle qui sont au-dela de la quinquennale montre clairement que l'on va vers un climat qui existait entre 1840 et 1880, c'était un réchauffement ? La seule exception et la crue de 1890 qui elle a été provoquée par la plus grande crue de l'Ardèche connue depuis quatre cent ans. ce ne sont pas des supputations, basées sur des calculs fumeux (I.A.O. -Incompétence assistée par ordinateur) mais sur des relevés. Les sytèmes d'équations mis en avant pour modéliser le climat ne sont pas linéaires, ce qui est classique en mécanique des fluides, sont constitués de sytèmes qui sont des attracteurs étranges dont les solutions sont extrêmenent variables en fonction d'une infime variation des conditions initiales : cela relève de la philosophie des sciences et de l'honnêteté intellectuelle -- lc30
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