Gombervaux

On peut trouver des anomalies de Tourbillon Potentiel élevés sous forme de noyaux pas très loin du sol . Faudrait chercher si des anomalies de Théta primeW peuvent intervenir avec ces noyaux de TP Les TA donneront rien, puisque c'est la résultante des vents existants. Je pense à ces noyaux de TP car on était du côté élevé du jet avec des géopot 1,5PVU à plus de 10000m, et ça laisse de la marge pour leur existance sous la tropo. Le problème c'est de trouver une machine pour les visualiser ou une étude...pour savoir si la paille existe (ou le ventilateur) Quand à la résolution, il est clair que les contre-courant ne peuvent être visualisés que par un modèle non hydrostatique de maille encore plus fine. En attendant, m'étonnerait qu'on dépense autant d'argent pour étudier une pétole non prévue qu'une tempête mal évaluée.

alors l'info est pas passée partout. Si y'a un autre ventilateur à contre-sens, on risque de le chercher longtemps.

C'est peut être pour Jean Michel que l'article de MF se termine par .C'est vrai que j'ai été entrainé loin de mon propos, mais j'espère rester clair: Dans le jet de basses couche qui partait du sud de l'Italie, vers le Languedoc, et qui suivait pépère son gradient d'isentrope, y'a eu des anomalies qui l'ont dévié ou annulé. Banane de MF sur les bulletins marines qui annonçaient du baston, correspondant à la dépression sud, et contraire à Arpège. J'ai pas eu d'explication des marins de Toulouse qui travaillent encore comme des norvégiens. Je ne pouvais pas chercher l'explication dans cette théorie: si t'es dans une dépression, et que tu fais tourner un ventilo adéquat, tu peux annuler ton vent. T'auras jamais l'explication en cherchant les centres d'action dépressionnaires, puisque c'est le ventilo qu'il faut chercher. Je cherchais donc si quelqu'un avait remarqué, peut être avec un autre modèle, une explication sur ces anomalies...en l'occurence c'était pas l'anomalie de tropo, elle était trop loin, et de plus située de l'autre côté du jet de bc. En attendant je mettrais cette anomalie sur le dos du ventilo, ça m'a bien plu cette histoire.

En théorie, oui pour les ascendances: les particules sont plus légères que leur environnement.Elles peuvent même dépasser la limite possible grâce à l'énergie accumulée. en réalité, leur humitité va varier par formation de glace, et l'assèchement produit va faire descendre les particules d'air dans de nombreux endroits.

approximation hydrostatique

Je terminerai donc par cette réflexion: Dans l'hypothèse ou approximation hydrostatique, à grande échelle, le vent géostrophique est, le plus souvent, prépondérant sur les autres vents agéostrophiques quelle que soit leur origine, thermique ou gravitationelle... à plus petite échelle, il est souvent nécessaire d'aller plus loin, et chercher à s'affranchir de cette hypothèse hydrostatique. espérons que les futurs modèles y parviendront.

Et juste pour terminer les contre - exemples: Dans le cas du ventilo, le vent se dirige des basses pressions, vers les hautes pressions (de l'arrière du ventilo, vers l'avant). Dans l'ancienne théorie norvégienne c'est le contraire, le vent se dirige des hautes pressions vers les basses. Et pourtant, selon certains, tout est très simple :!: j'avais pas lu la fin: si, alors, tu vas contre la théorie qui veut que tout déplacement d'air crée du cyclonisme, alors là, reprenant Galliléo, je clôturerai en disant, et pourtant, ça tourne!

Sauf qu'en tordant le champs de pression comme on veut, déplacer les gradients aux extrémités, quand y'a pas de vent, c'est la pétole. Les bulletins marines étaient dans les choux sur les Baléares. Et c'est pas le premier cas , ni le dernier. Il est bien difficile de commencer à admettre que bien souvent c'est le déplacement de l'air qui crée la variation de pression, et pas le contraire. Pour reprendre le cas du ventilateur pour Alexy: Le ventilateur, en tournant, va créer une surpression à l'avant de la pale, et une dépression à l'arrière de la pale, au contact immédiat de la pale. Ce système génère un courant d'air canalisé par l'hélice du ventilo. (c'est la même chose pour l'hélico) Ce courant va générer une surpression à l'avant du courant d'air, et une dépression à l'arrière du ventilo. (c'est pas elle qui supporte l'hélico) De plus, dans cet exemple, on voit bien que les lignes de champ de pression sont perpendiculaires au courant d'air. Les isobares, eux, seraient à peu près parallèle. Cherchez l'erreur... Le courant jet en crée, en transporte, sans que celà n'ait grand effet sur lui.

2 contre exemples : les deux principaux vents:Le jet d'altitude collé à sa tropo : cause uniquement thermique. Le jet de basse couche "frontal", de cause uniquement thermique lui aussi. C'est celui ci que je mentionnais. Il semble qu'il traverse allègrement les zones dépressionnaires, en se fichant allègrement des théories norvégiennes qui cherchent un dynamismes dans les variations de pression.

Ce message a été modifié par alexy31 - aujourd'hui, 21:04. J'y crois pas

Juste sur l'exemple cité:les T° océans sont initialisées à l'analyse, mais aucun champ modèle ne rend ces températures aux différentes échéances. Le modèle ne trace que l'atmosphère. Pour LDS: et aussi un autre post sur la théorie norvégienne: La puissance de calcul ne cesse d'augmenter. Quand les météos calculaient avec la machine de Pascal à manivelle, ils ont inventé la théorie norvégienne pour court-circuiter les imprécisions de mesure et de calcul. Quand la puissance (Cray-2) a été suffisante, ils ont pu réutiliser les formules de base. et abandonner cette théorie approximative. Depuis, ils diminuent la maille, et améliore l'état initial (avec aujourd'hui le 4DVAR). Le premier Arpège fait sourire le programeur actuel. Dans 100 ans, quand je serai réincarné en mouche à m..., je me rappellerai avec nostalgie du bon vieux temps des modèles à incrément de 3h d'échéances, et à maille de 2,5km. Mais y'aura encore des râleurs pour dire qu'entre les 10mn d'échéance il peut se passer un monde, et que la maille de 10m nécessite 10 000 pluviomètres pour être réaliste!

Précision :la Terre est représentée dans sa globalité dans les conditions initiales, températures de la mer, albedo... mais pas en trajectoires. Les invariants paramètrés, altitudes, surfaces des mers.... sont toujours pris en compte

http://www.ecmwf.int/products/forecasts/gu..._procedure.htmlhttp://www.meteofrance.com/FR/glossaire/index.jsp C'est fait (entre autre) pour contourner et palier le problème de l'imperfection de l'état initial

T'oublies juste que les modèles actuels connaissent l'assimilation variationelle.

Effectivement, c'est d'une complexité extrême.Justement , aujourd'hui et hier sur le bassin méditerannéen, la relation pression-vent est sérieusement mise à mal. Un morcellement d'anomalies au sol et en altitude contribuent à déformer le jet de basse couche. La présence d'isobares plus ressérés par endroit pourraient laisser imaginer un vent plus fort qu'il ne l'est. La situation est typique de la limite de la théorie Norvégienne. Il semblerait que le jet de basse couche traverse des petites zones dépressionnaires, en prenant une courbure convenue en entrée, (des hautes pressions, vers les basses pressions), mais une courbure inverse en sortie.

Moi je dirais que c'est plutôt depuis le mois de juin, mais vaudrait mieux poser la question dans le forum climato

Moi, je me marre toujours quand je vois qu'Aladin s'est converti en Albachir pour être adapté au Maroc http://www.marocmeteo.ma/ Je me demande si les autres pays qui l'ont acheté l'ont aussi débaptisé

Nouvelle organisation /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> où ça? /emoticons/ph34r@2x.png 2x" width="20" height="20"> Moi je ne vois que 2 rubriques qui ont changé de nom... /emoticons/ph34r@2x.png 2x" width="20" height="20"> Alors faire croire que les sujets ont été réorganisés, c'est qu'un joli tour de passe-passe. Le pricipal c'est que ça plaise aux gens... et c'est le cas /emoticons/ph34r@2x.png 2x" width="20" height="20">

C'est la bonne démarche pour une excellente analyse. Comme amélioration, tu pourrais citer un peu plus les lieux géographiques. Démarche suivante, décrire le scénario.

Pour sur, faut essayer, mais sans illusions.MF c'est 3600 personnes (dont la moitié de météos) dont la présence est de 40 années environ, ça fait un renouvellement moyen de 90 personnes par an (tous corps confondus) LCM ou MC c'est qu'une dizaine de personnes par boîte, soit un renouvellement de 1 tous les 4 ans (tous métiers confondus)

Salut: http://www.meteofrance.fr/FR/glossaire/index.jsp?LETTRE=T Bon courage

Un modèle reste cohérent avec lui même de la tête au pied et de a à z. On peut pas dire qu'il place mal cette dépression, ou que son calcul de cape n'est pas significatif. Ca ne veut rien dire. Y'aura de l'orage là ou y'aura des vitesses verticales et de l'instabilité. Faut jamais écarter les endroits où y'a un peu de cape. Même si la valeur est faible, le risque existe. C'est plus sûr que les endroits où y'a pas du tout de cape.

Ne vous manifestez pas trop quand même! /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Vu l'interdiction des barbecue l'été dans le sud, vous allez tous terminer au gnouf /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">

Dans les oraux, y'a toujours une part subjective. Je sais, par exemple, que les auditeurs de MF, sont passablement lassés du " j'ai la vocation d'être météo depuis ma tendre enfance" Ils ont choisi des centaines de météos parmi des milliers de candidats, et ont du entrendre cette phrase des milliers de fois. Ils préfèrent la description d'un projet personnel, même s'il est loin d'être pro. Faut trouver le truc qui va te faire sortir du lot.

Loin d'être ridicule, c'est souvent la meilleure méthode d'explication, de passer, parceque j'avais essayé d'expliquer une fois par des "shémas conceptuels.".Ils doivent être adaptés aux public qui les reçoit. C'est pour celà que je pense qu'à ceux qui ne s'inquièteront jamais de ce que le ciel leur tombe sur la tête, il suffit de leur décrire la spère OACI A d'autre il faudra leur parler de membrane (presque étanche), ou comme tu le fais, d'interface eau-air. Peu importe que le shéma soit en partie fausse : le but c'est de faire avancer la connaissance de l'autre, et la sienne par la même occasion, si on a réussi à expliquer le concept.