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Gombervaux

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Tout ce qui a été posté par Gombervaux

  1. On ne peux pas dire que la façon d'expliquer les choses soit opposée, aujourd'hui à la précédente. La théorie dite Norvégienne est incluse dans la nouvelle qu'on pourrait définir comme "PV thinking", ou théorie du tourbillon potentiel. Cette nouvelle théorie " PV" on pourrait la résumer ainsi : L'atmosphère est comprise entre deux limites : la surface de la terre et des océans en bas, la tropopause dynamique en haut. Ces deux surfaces sont bosselées et rugueuses. Le moteur des mouvements de l'atmosphère c'est le soleil et les échanges de chaleur, les vecteurs: les vents sous forme de jet (streak) (qui transporte le chaleur) Les cellules d'air, en l'absence de forçage, se déplacent sur des plans iso théta en altitude, ou iso thétaprime w en basse couche ce qui a pour conséquence, que les jets adhèrent à ces mêmes plans. Suivant leurs positions par rapport à la tropopause dynamique, les cellules d'air possèdent plus ou moins d'énergie potentiel de tourbillon (PVU), et une cellule qui en possède un peu, va , au moindre forçage d'ascendance, entrainer des tourbillons pouvant engendrer des phénomènes plus ou moins explosifs. (le moins étant un simple nuage, le plus étant un nimbostratus contenant des cunimbs avec foudre et trombes chez nous, ou un cyclone dans les caraïbes par exemple.) Reste à traquer les indicateurs des ces situations dangereuses.
  2. Ca c'est de l'article; Chapeau bas Monsieur Holon Ca donne exactement dans l'ambivalence et le contraste : acheter et vomir!
  3. On pourrait considérer les dépressions et les anticyclones, comme les girouettes et anémomètre des vents qui les ont créés. (à grande échelle) Leur existence n'est pas niée, c'est leur influence qui n'est plus reconnue. Si cet anticyclone a été placé à cet endroit par la couple -jet d'altitude, jet de basse couche-, c'est qu'à ce moment précis sa position, sa forme, favorisent les échanges en vue de rétablir l'équilibre thermique de la terre. C'est par ailleurs la forte baroclinie péripérique qu'on retrouve le long des côtes norvégiennes qui crée le jet de basse couche de Nord qui engendre cet anticyclone. (bandes de couleurs bleu clair)
  4. C'est une erreur de penser qu'un anticyclone ait la moindre action dynamique sur son environnement atmosphérique. Il se promènent au gré des jets d'altitude, gonflent ou se dégonflent au gré des jets de basse couche. Ils sont essentiellement passifs.
  5. En comparant les 3 sites : Baléares Mer du Nord Sicile, On peut comprendre qu'aux Baléares la convection a pour origine une anomalie au niveau de la mer. L'alimentation en air d'altitude favorisant la poursuite de la convection. Reste à mettre en évidence cette anomalie au sol???
  6. Si y'a personne pour poser une question : Qu'est-ce qu'une courbe d'état?
  7. Il y a deux aspects dans cet exemple : 1, il s'agit de capteurs supplémentaires, aussi, ne connaissant pas la vantage citée, peut être que ça fait l'objet d'une entrée supplémentaire qui serait alors du type analogique. 2, j'ai rencontré ailleurs cette méthode qui consiste à remplacer n'importe quoi par des résistances. Quand c'est bien fait, c'est une méthode de diagnostic qui peut être valable. C'est vrai que remplacer un capteur capacitif (humidité) par une résistance, n'est pas très académique! (même chose pour un circuit intégré, je me souviens même de dépanneurs militaires qui testaient les CI au métrix)
  8. Pas de doute que la photo que tu donnes en exemple est un "capteur intelligent" dont le dépannage ou plutôt la diagnostic de panne ne correspnd pas à la méthode pour les capteurs analogiques. Dans ce cas , la simulation ne peut être effectuée que par des machines programmées.
  9. Avec un écart de 2% peut on dire qu'un résultat est plus grand qu'un autre?
  10. Rien tout le temps qu'ils ne refont pas des élections.
  11. Pour la panne de l'ancienne station, faut pas se fixer sur la panne de capteurs. C'est peut être le circuit d'entrée de la station qui a grillé. Quand une donnée météo ne rentre plus dans une station, y'a 3 parties à mettre en cause, à égalité de risque : le capeur, la liaison, les circuit d'entrée de la station. Pour la maintenance et le diagnostic, faut, donc, réaliser un un petit cicuit avec des résistances équivalentes pour la T° et l'Hu , à brancher à l'entrée de la station, pour lever un premier doute. Faut ensuite tester la liaison filaire à l'ohm-mètre. Enfin, faut placer le petit circuit précédent à la place des capteurs, dehors, afin de lever le doute sur ceux-ci. Ca sert à rien de commander des nouveaux capteurs si la panne est ailleurs dans la station, et que celle-ci est irrémédiablement perdue.
  12. t'es sûr que c'est une bonne adresse?
  13. T'en fait pas pour ça , ils le savent, ils savent même qu'il y a des concurrents.Par contre ce que tu as l'air d'ignorer c'est que le CEP qui établit ces cartes est financé avec notre argent, par les états européens. Ce que tu proposes donc à l'état, c'est de financer des prévis à plus de 3 jours, dont on connait les limites , au CEP, et de refinancer les mêmes choses à Toulouse chez MF... Y'en a qui pensent que c'est du gaspillage.
  14. J'ai l'impression d'après ce que j'ai lu, qu'il faut 2 buses: une pour l'air (compresseur) une pour l'eau (nettoyeur haute pression)
  15. Par respect je ne dirai rien de plus que mon désaccord.
  16. C'est effectivement une façon rationelle de voir les choses. (sauf sur la prévisibilité)OK aussi sur la façon d'analyser les précurseurs d'altitude, on voit d'ailleurs GFS et Bloam (CEP) souvent en accord sur l'analyse car ils ont été validés par la sat V E. Mais la divergence va se faire essentiellement sur les conditions en basse couche. J'ai l'impression, que même avec un réseau de mesure le plus dense qui soit, d'autres problèmes sont loin d'être résolus, en particulier la rugosité du sol. pour exemple : la rugosité sur la mer est variable en fonction de la différence des températures de l'air et de l'eau, et les modèles ne connaissent qu'une seule température de l'eau : celle du moment initial! On va donc se retrouver , suivant les conditions et les échéances, avec des différences inverses des réelles, et donc des conditions de rugosité inverses. (y'a d'autres exemples)
  17. Je ne le pense pas : Si tu prends en compte tous les modèles, et que par exemple, ils sont tous divergeants, alors tu vas faire évoluer ta prévi vers une situation moyenne. Or , bien souvent, le temps est tout, sauf moyen.
  18. T'as lu des âneries. Le volume d'air mis en oeuvre dans le plus vaste cyclone, n'a rien de comparable avec le moindre petit jet d'altitude. L'influence sur les saisons ne peut être qu'infiniment petite.
  19. Reste qu'on a beau tournicoter un modèle dans tous les sens, il reste cohérent avec lui même. Si GFS voit de la neige, et que les conditions ne changent pas, y'aura de la neige. MF utilise un autre modèle: "européen". S'il ne voit pas de neige et que les conditions de changent pas, y'aura pas de neige. Problème: Les conditions initiales étant les mêmes, comment peut on dire aujourd'hui qu'un se trompe et l'autre a raison?
  20. Tous les corps rayonnent, mais pas tous comme un corps noir, et loin de là. Tous les dioptres (changement brutal de la structure de la matière) réfléchissent plus ou moins du rayonnement. Les différentes couches de l'atmospère rayonnent et réfléchissent du rayonnement : c'est l'effet de serre. Les autres matériaux aussi rayonnent et réfléchissent des rayonnements. Les jardinniers ont inventé les serres qui utilisent ces principes. De chaque côté d'une particule d'air et à l'intérieur de celle-ci, il y a différents rayonnements, et différentes réflexions. Dans ton exemple, les feuilles rayonnent, la nuit , vers le ciel. Elles n'ont pas grand chose à réfléchir vers la voute céleste. Par contre, elles vont réfléchir le rayonnement qui vient du sol, (et y ajouter aussi un peu de leur rayonnement propre) C'est ce bilan radiatif qui va limiter la baisse des températures sous les arbres.
  21. Pour terminer plus clairement ce sujet et rebondire sur un autre du forum météo générale, je citerai un extrait de la bible Malardel et ses fondamentaux. Page 31: Un dessin nous représente une surface carrée de 1m de côtés sur laquelle se déverse une bouteille de 1litre d'eau. Légende : Un litre d'eau réparti sur un mètre carré forme une couche de 1 millimètre d'épaisseur. Une précipitation de 50mm aucours d'un épisode pluvieux correspond à un apport de 50 litres d'eau par m2. L'analogie avec la hauteur de neige est immédiate. (au moins il me semblait). Le problème qui consiste à connaitre, pour une hauteur donnée, le volume (en litre) d'eau sur une surface de 1 m2 ou sur une surface 100 fois plus petite, est, il me semble toujours du niveau de l'école primaire (comme à mon époque). Quelle que soit la structure de cette eau récoltée, une fois remise sous forme liquide, elle reprendra ses caractéristiques : 1 kg d'eau = 1 litre, = 1 dm3, cube de 10cm de côtés, ou parallélepipède de 1 m de côtés et 1 mm de hauteur. J'aimerai aussi évacuer, avec ce message, l'illusion que l'ouvrage de Malardel n'est lisible que si on a une maîtrise de physique.
  22. Et surtout la douceur littorale de la Lorraine Juste pour dire que si tu mets les gens (ou des pays) dans des boîtes tu vas t'attirer les foudres de ceux qui veulent en sortir. Regarde le problème des pictos sur les cartes météo...
  23. C'est un classement qui reflète quand même un état d'esprit que je qualifierai de "parisien devant son écran en recherche de sensations fortes". Pour les climats que je connais bien : Grand Est et Paca, j'aurai tendance à penser le contraire de tout ce qui est écrit. La raison étant, que je passe plus de temps dehors, que devant un écran. La météo, on la ressent mieux quand on est à son contact.
  24. Ben le poids de l'eau tombée sur 1 dm2.donc le poids de l'eau sur 1m2, donc le volume en litre, donc la hauteur en mm. (avec les bonnes conversions)
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