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Cela tend à se lever avec le soleil qui perce, 6,5° et beaucoup d'humidité (HR 99%).

Ce serait une belle surprise, mais on sait tous comment cela terminera...😬 J'attends les MAJ des indices EFI de CEp sur ce paramètre, ce matin RAS du coup le risque me semble pour l'instant + que limité.

Pour le NE après une année 2024 médiocre niveau ensoleillement (et encore le déficit est contenu, on reste au dessus des -1 sigma), 2025 repart très fort. A Nancy au 10 mars le cumul d'ensoleillement depuis le 1 janvier est de 235 heures soit le second plus élevée depuis 1950, derrière 1963 et 2022.

Effectivement, très belle séquence ensoleillée sur le NE. Pour Nancy il faut également remonter à la période du 4 au 11 septembre 2023 pour trouver mieux (8 jours successifs avec fraction d'ensoleillement > à 80 %). Pour cette séquence de mars 2025 nous en resterons donc à 7 jours successifs, sachant qu'en 2024 nous n'avons pas réussi à faire mieux que 4 jours (du 26 au 29 août)... Au delà de ces 7 derniers jours, le soleil est globalement bien généreux pour la saison depuis 1 mois. Ainsi, sur 30 jours glissants Nancy-Essey a déjà cumulé 150 heures d'ensoleillement. A cette période de l'année (1ère décade de mars) il n'y a que 6 années qui font mieux depuis 1950 : 180 heures du 9 février au 10 mars 2022 174 heures du 9 février au 10 mars 2021 162 heures du 2 février au 3 mars 1975 158 heures du 9 février au 10 mars 2003 156 heures du 9 février au 10 mars 1961 152 heures du 31 janvier au 1 mars 2019 150 heures du 9 février au 10 mars 2025 Comme l'a fait remarqué @Countcela permet à ce début d'année d'être l'un des plus ensoleillée depuis 1950, à la 3 ème position tout juste derrière 2022 et 1963. Qd on voit les positions de 2022, 2019, 2021, on peut se demander si l'ensoleillement médiocre 2024 ne fut qu'un accident dans une tendance à la forte hausse de l'insolation (?) Au contraire, il devrait faire bien "frais" à partir de jeudi et jusque dimanche. Au programme petites gelées ou températures faiblement positives la nuit, journée probablement assez médiocre (pas mal de nuages et un peu d'humidité) avec des maximales sous les 10°. La saison de chauffe n'est pas encore finie.

Comme souvent depuis 10 ans,, cette séquence de régime NAO- pourrait surtout être synonyme d'humidité dans une relative douceur ou proche des moyennes saisonnière. L'air froid restant cantonné au nord entre le Benelux et l'Ecosse avec cette interaction entre le talweg polaire et les BP Atlantique via la Manche/GB. Peut être un débordement temporaire d'un peu d'air froid vers l'extrême Nord NO du pays mais cela n'ira pas plus loin (tube de + en + minoritaire). Et de toute façon il n'y aurait pas grand chose a drainer malgré le contexte de fin de saison froide. Pays probablement au 3/4 sous influence d'un flux cyclonique de SSO doux et chargé en humidité stt vers le sud.

Ce qui est très étonnant c'est qu'il y a beaucoup d'autres villes bien moins neigeuses qui ont connu une et pour nombre d'entre elles plusieurs fois au moins 10 cm sur cette période.. Parmi elles, Paris, Chartres, Rouen, Lille, Caen, Amiens et même Toulouse.

On est encore loin des records pour la période qui s'établissent vers 23° et d'amplitude. le 7 mars 1948 23,4° d'amplitude (-4° / 19,4°) le 3 mars 1953 23,4° d'amplitude (-8,2° / 15,2°) Plus récemment le 27 février 2019 22,2° d'amplitude (-1,4° / 20,8°). Globalement on a un pic d'extrême sur les amplitudes thermiques journalières entre mars et mai, puis entre septembre et début octobre. Petit aparté sur ce mois de mars 1953 fut très remarquable à ce sujet, avec une succession de nuits froides et de journées très douces sous un régime de NE anticyclonique et très sec. Plus de 200 heures d'ensoleillement, ce qui en fut le mois de mars le plus ensoleillé jusqu'en 2003 (pendant 50 ans). Du 17 au 26 mars les amplitudes journalières sont quotidiennement au delà des 20/22° avec une pointe à 24° le 25 mars. La journée du 3 mars est vraiment remarquable avec -8,2° au plus bas pour un maximum au delà des +15°. C'est tout le printemps 1953 qui est exceptionnel par sa sècheresse et ses contrastes thermiques. Quelques chiffres à Nancy : - Seulement 17 jours de pluie sur mars, avril, mai, plus bas total enregistré à égalité avec les printemps 1991, 1993 et 2011; - 53 mm précipités, second total pluviométrique le plus faible jusqu'en 2011 (printemps 2011: 49mm) ; - 34 jours de gel, 3ème printemps le + gelif depuis 1927 (36 jours en 1955 et 35 jours en 1984) ; - Mai 1953 a détenu, jusqu'en 2017, à la fois le records de froids (-4°) et de chaleur mensuel (32,5° battu récemment par les 33° du 28 mai 2017).

Inversions thermique très marquées ce matin, 6° à Laxou sur les hauteurs de l'agglomération nancéienne -2° à Essey 130m plus bas. Hier plus de 20° d'amplitude sous un ciel tout bleu (-3,6° / 16,6°).

Oui plein soleil très agréable ces derniers jours. Cela pince encore quand même pas mal le matin avec du givre et les flaques d'eau sont encore en glaces (tn au sol en dessous de -6°). Après-midi plus douce, mais pas encore totalement printanière avec toujours un fond bien frais à l'ombre. D'ailleurs la végétation reste bien sage pour l'instant, en dehors des habituelles fleurs de printemps (primevères, perces neiges, paquerettes ) et quelques arbustes habituellement hâtifs mais plutôt situés bien à l’abri en ville. Cela pourrait néanmoins s’accélérer dans les prochains jours avec des nuits plus douces et une douceur diurne moins "sèche".

Oui, les séquences de douceur ont duré moins longtemps que l'année dernière mais elles ont cependant été marquées et plus longue que les périodes de déficit thermique. Pour Nancy-Essey, en valeur moyenne quotidienne on a atteint les records 3 fois au cours de l'hiver (ligne pointillé noire supérieure). A l'inverse la ligne pointillée noire inférieure, représentant les valeurs records négatives, semble totalement lunaire et inaccessibles au regard du climat des dernières années.

Merci @Arkus anomalies les plus fortes dans le sud et dans l'Est/ NE, comme d'habitude en presque toutes saisons (anomalies systématiquement plus fortes sur la partie orientale du pays)...Je note également que l'absence d'air froid en altitude s'est aussi fait sentir au sol dans le NE. Les tnn à Strasbourg, Nancy ou Metz sont très hautes, dignes de tnn que l'on enregistre habituellement en fin d’automne ou au début de printemps. Pour la neige cela commence à devenir vraiment remarquable sur certaines stations...La station de Besançon n'a toujours pas enregistrée de couche supérieure ou égale à 10 cm depuis 2013, Nancy-Essey 1 seule couche supérieure à 5cm depuis 2013 (10 cm en janvier 2021). On note également un nouvel hiver sans traîne d'air froid ou presque, c'est difficile à lire dans des chiffres mais je trouve que c'est une évolution vraiment marquante du climat des 10/15 dernières années. Où sont passés les séquences d'averses neigeuses de grésil ou pluvio-neigeuses qui me semble étaient bien plus courantes par le passée (j'en ai de nombreux souvenir en région parisienne). On a eu une belle séquence en avril dernier mais ces dernières ne concernent plus l'hiver (en tous cas dans le NE) notamment février ou mars qui étaient souvent des mois concernés par ce type de séquence. Il serait également intéressant de suivre la durée des épisodes de gel, ces séquences sont de plus en plus courtes, enchaîner plus de 5 jours avec du gel (au moins nocturne, matinal) semble désormais difficile même au NE. Cela serait également à mettre en perspective avec le maintien de la neige au sol suite à une chute, ici dans le NE elle disparaît très vite, bien plus vite qu'auparavant.

Mars aussi, avec la journée sans dégel la plus tardive enregistrée le 18 mars 2018 à Nancy. Du jamais vue depuis le début des relevés en 1927! C'est à mon sens à Nancy le record de froid le plus significatif des 20 dernières années.

A la différence qu'il n'y a pas eu de véritable coup de froid cette année, tout comme l'hiver dernier. En 2018 il y a avait eu les quelques jours de VDF fin février/début mars, fin janvier 2019 quelques valeurs proches ou inférieures à -10° sur le nord de la Meuse et de la Moselle, 2021 en janvier et février 2 coups de froids marquées, en décembre 2022 également. A titre d'exemple la tnn de cette saison froide est pour l'instant de seulement -6° à la station MF de Buhl-Lorraine (57), si l'on s'en arrêtait là (ce qui est de + en + probable), ce serait la tnn la + élevée d'une saison froide depuis l'ouverture de la station en 2012.

Week-end sec et globalement bien ensoleillé malgré pas mal de nébulosité samedi limitant l'ensoleillement effectif à 3h. Dimanche sans un nuage avec pour la première fois de l'année, plus de 10h d'ensoleillement. En revanche le fond de l'air fut encore frais, ce n'est pas encore printanier en raison d'une bise assez sensible et une thermomètre ne dépassant pas les 5° avant 11h/12h, même s'il faisait bien bon à l'abri du vent dimanche. Ce matin tout bleu et pas mal de givre même en ville, tn de -3,8° au plus bas, du classique pour un début mars. Il y a 20 ans tout pile sévissait une VDF exceptionnelle pour la saison. J'habitais en région parisienne à l'époque où la neige avait tenue au sol près de 15 jours en grande banlieue avec un beau -10° au matin le 1er mars et une chute de neige donnant 15cm entre les 3 et et 5 mars. J'étais en étude à Paris à l'époque j'avais eu la chance de connaître également un bel épisode neigeux "surprise" le 23 février au matin donnant 5 à 10cm sur Paris. Cette neige avait également tenue une dizaine de jours dans Paris intra-muros, chose impensable de nos jours (et qu'on arrive même plus à avoir en Lorraine). Dans le NE les valeurs du 1er mars 2005 constituent pour pas mal de stations des records de froids mensuel probablement définitifs. -11,2° à Dijon-Longvic -13,6° à Saint-Dizier -14° à Besançon, -14,4° à Strasbourg-Ent. -15,1° à Nancy-Essey et Colmar-Mey. -15,3° à Metz-Frescaty, -16,4° à Bâle-Mulhouse, -16,6° à Luxeuil -17,8° à Epinal, Les -20° avait été atteints ou frôlés dans les campagnes lorraines et les vallons déventés de Haute-Marne. -19° à Erneville-aux-Bois (55), -19,2° à Bourdons (52) et Mirecourt-Inrae (88) -19,5° à Richecourt (55) -19,9° à Saint-Maurice (54) -20,3° à Roville (88) -20,8° à Auberives (52)

Février 1929 à Paris

La parenthèse printanière du week-end (douce et ensoleillée) et du début de semaine (douce et humide) s'est refermée hier et surtout aujourd’hui avec un vent d'ouest virant au nord bien sensible sous un ciel couvert. Pas plus de 7° aujourd'hui, ce qui est un peu en retrait des moyennes de tx d'une fin février (déficit d'environ -1° sur les tx de la période). Week-end plutôt ensoleillé en vue mais restant relativement frais, ce sera en revanche + franchement printanier dès lundi/mardi.

C'est moi, le clavier a fourché il s'agit bien d'Arsine.

Pas mal de photos de glaciers des Alpes fin 19ème, début 20 ème sur le site imageEst. https://www.image-est.fr/fiche-documentaire-randonneurs-alpins-villar-d-arene-1284-41075-2-0.html?ref=65b776a941107c6a8e9eb33084aa22d0 Intéressant de pouvoir comparer. Notamment cette photo qui intéressera peut-être @gaet34 identifiée au Col d'Arsine à Villar d'Arène. Je n'ai pas trouvé de photo prise d'un point de vue équivalent mais sur google map en recadrant on retrouve a peu près les sommets, même si la photo de 2018 est prise plus haut. Le Pic d'Arsine était alors couvert d'une belle calotte de glace, un peu à l'image de la face nord de la barre des écrins (tte proportion gardée). Aujourd'hui c'est un sommet rocheux dominant les reste agonisant du glacier du rif de la planche. On perçoit aussi l'épaisseur formidable de la partie suspendue du glacier des Agneaux et que l'on peut suivre le long de la crête nord du pic de neige cordier. En 2024 d'après les photos aérienne il n'y a plus de glacier sur ce replat, c'est rocheux avec de gros névés Plus connu, le glacier blanc vu depuis le pré de Madame Carle. La aussi plus que l'altitude du front glaciaire c'est l'épaisseur de la glace à la fin du 19ème et début du 20ème qu'on aperçoit au fond dans une partie du cirque glaciaire. Je me demande même si le rocher sur lequel est aujourd'hui posé le refuge des Ecrins (3200m) était encore sous la glace. Autre massif, nous voici en Vanoise plus précisément au pied de la grande Casse côté col de la Vanoise. Le Glacier des Grands Couloirs...

Mai 1953, mois exceptionnel dans pas mal de secteurs puisqu'on y a enregistré successivement des records de froids et de chaleurs. A Nancy par exemple les records de froids et de chaleur de mai dataient tous (jusqu'en 2017) de 1953. L'exemple le plus spectaculaire illustré par Saint-Dié Bolle (88 - 341m) -6,9° le 11-05 30,4° le 18-05 et 32,6° le 25-05. Moyenne des minimales du 4 au 14 mai -0,2°, moyenne des maximales du 16 au 26 mai 29,4° Les amplitudes thermiques du mois ont été extrêmes, 39,5° à Saint-Dié, 36,5° à Nancy, 35,8° à Erneville, 34° à Strasbourg et Metz…Le tableau ci-dessous illustre bien le mois extrême que fut mai 1953, 6 jours de fortes chaleurs à Strasbourg et 3 jours de gel ! Sinon la vague de chaleur du 21 au 25 mai 1922, à Vandœuvre (banlieue de Nancy), 5 journées successives avec tx>30° une maximale de 35,6° le 25 mai. Ce 25 mai 1922 maxi de 33° à Strasbourg, 34° à Chalons-en-Champagne et Dijon, 35,6° à Romilly/Seine.

Oui cumul pas dingue une fois de plus, à peine 9,4 mm sur cet épisode. Un hiver vraiment peu intéressant côté météo avec aucun épisode à suivre (froid, neige, tempête, pluie, traîne), une nouvelle saison où il ne s'en rien passé ou presque une fois de plus. Globalement la saison de recharge d'octobre à février sera proche des normales au niveau cumul de pluie (-5%), heureusement que janvier a été bien excédentaire car c'est le seul mois qui permet de maintenir la pluviométrie hivernale à un niveau proche de la normale . Octobre à été proche de la normale bien que légèrement déficitaire (-6%), Novembre déficitaire (-32%), Décembre déficitaire (-14%), Janvier bien excédentaire (+25%), Février sera déficitaire également (autour de -30%). Bref un hiver finalement pas forcément très humide, mais globalement par ici la récurrence de pluies excédentaires s'est bien arrêtée en juin dernier. Plus globalement on retrouve cette diagonale allant de l'est mosellan à la Haute-Marne.

Oui une petite en valeur brute, mais loin d'être anodine en valeur relative car intervenant très tard dans la saison (fin février) son caractère tardif la rend assez remarquable. On est typiquement en présence de masse d'air de type vague de froid (arctique continental), air très sec avec des td exceptionnellement basses, vent de NE très sensibles et gel très fort malgré l'absence de neige au sol et le vent. La fameuse ligne 510 avait alors englobé le NE du pays, cette ligne est souvent associées aux masses d'air de type arctique. A titre de comparaison voir où elle se situe en cette fin février 2025 (extrême orient Russe, Groenland, et Arctique Canadien) Les 27 et 28 février le ressenti éolien est quasi constamment inférieur à -10° et proche de -15° le jour le 27, dans un air extrêmement sec. https://www.infoclimat.fr/observations-meteo/archives/27/fevrier/2018/nancy-essey/07180.html C'est le seul épisode avec février 2012 où j'ai eu des problématique de gel des tuyaux dans mon logement de l'époque (depuis 2009), notamment le 28 au matin où mon arrivée d'eau avait gelé (tuyau à l'intérieur des communs mais dans un "courant d'air"). Descendre sous -10° à 48h de mars sans neige au sol et avec un vent sensible est aussi un marqueur du caractère exceptionnel de la masse d'air. En regardant l'historique des points de rosée moyen quotidien, cet épisode de fin février 2018 est même devant les autres depuis 1946, 5 jours avec td moyen < à -10°, dont 3 jours très proche des -15°. C'est d'ailleurs la dernière invasion d'air arctique continental sur le NE du pays, on a plus eu depuis.

Oui j'ai corrigé, merci pour le retour.

Cet hiver 2024-2025 est donc probablement en léger déficit par rapport au climat moyen de 2025.

Oui tellement banal qu'on ne s'en rend même plus compte. Cette tn est bel et bien la 7ème plus douce jamais relevée en février. Sur les 12 premières 7 datent des 5 dernières années, cela ressemble a un nouveau seuil franchi dans nos hivers ou quelque chose qui y ressemble. A l'inverse le top 12 des plus froides, aucune n'a moins de 40 ans et il est désormais même difficile d'atteindre de telles valeurs à 800/900m (voir 1000m) d'altitude dans le Jura. Sinon belle progression du mercure entre le milieu du mois et ces derniers jours avec des tn et des tx gagnant une bonne dizaine de degrés, on a changé de saison brutalement. Et la marche thermique de notre saison froide, un peu plus d'équilibre que ces derniers hivers entre périodes avec déficits et excédents thermiques par rapport à la moyenne. Néanmoins on constate toujours ce fort contraste entre périodes de déficit toujours aussi peu marquées et qui peinent à durer (toujours courtes ou entrecoupés de redoux), et les excédents qui une fois sur deux ou sur 3 se situent au niveau des records pour la période (traits pointillé). Bref probable que l'on soit sur un hiver moyen voir frais/froid par rapport au climat moyen de 2025... A titre de comparaison, du 15 novembre au 23 février : 2023-2024 2022-2023 2021-2022 Et le dernier hiver "froid" 2016-2017

Pour enrichir les discussions l'Atlas très précis et extrêmement détaillé de la végétation de France est disponible en ligne ici. Les données sont assez anciennes (années 1970, début 1980 selon les secteurs) mais vraiment très détaillées. https://cdn.obs-mip.fr/cartevegetation/Cartes-au-1-200-000/Cartes-scannees/37-Nantes.html Il suffit de cliquer sur la dalle correspondante pour avoir accès à la carte de la végétation pour chaque dalle (on peut zoomer de façon précise) + plusieurs cartes très intéressantes mais moins détaillée (botanique, édaphologie, agricole, pluviothermique....) + une notice détaillée pour chaque secteur. Il est possible de zoomer facilement et il y a une légende propre et très détaillée pour chaque dalle. J'aime bien aussi la carte des "adversités agricoles" Du coup j'ai regardé pour le littoral en question, je n'y connais pas grand chose en botanique du coup j'ai juste sélectionné la partie de la légende (elle trop grande) où est fait mention d'un peu de Méditerranée. + extraits de la notice. Pour chaque dalle cartographique, une analyse détaillée puis une conclusion avec liste des curiosités botaniques. A explorer.