thib91

Tu as pas mal d'indicateurs pour évaluer l'évolution de l'irrégularité des pluies et les périodes de sécheresse pour bcp de stations françaises ici : https://www.ecad.eu/indicesextremes/customquerytimeseriesplots.php L'indice SDI Le nombre de jours avec RR>10mm La part de précipitation du aux jours les plus pluvieux (choix des percentiles 75, 90, 95) Le nombre de jours successifs sans pluie >1mm Et bien d'autres (à fouiller), tu peux également paramétrer par saison, par mois etc... J'ai pris ici pour Nancy mais en regardant pour quelques stations du nord du pays disposant de données sur + de 80 ans et franchement il n'y a rien de probant (à vérifier pour d'autres régions). Globalement je suis d'accord avec @Arkus quand on regarde les séries pluviométriques sur des temps longs (jusqu'au 19ème siècle), on ne perçoit aucun signal de fond d'une quelconque augmentation anormale de l'irrégularité des pluies ou d'une + grande survenue des déficits pluviométriques, où du moins pas encore (?). On perçoit surtout des cycles de grande amplitude temporelles (+30/50 ans) + ou - humides/sec et où les précipitations sont + ou - bien réparties mais on est très loin des tendances de fond observés pour les températures. Le principal facteur dégradant des dernières années est surtout lié à la température, les grandes sécheresse des années 40 et des années 20 voir de la fin du 19ème n'ont rien à envier à celles des dernières années et ont parfois été bien pires concernant les cumuls de pluie. La grande différence est qu'il faisait à l'époque bien moins chaud en période estivale de l'ordre de 2° à 2,5° de moins en moyenne ce qui est énorme. On est donc probablement dans un nouveau cycle sec lié à la variabilité naturelle du climat mais qui du fait de l'augmentation rapide et forcée par les GES des températures a des conséquences très fortes sur nos écosystèmes.

Oui été très chaud probablement sur le podium derrière 2003 partout et soit 2ème ou 3ème devant ou derrière 2018 selon les endroits. Le + marquant sera évidement l'absence de période fraîche, même 2003 et 2018 avaient connu quelques jours frais, ce ne fut pas le cas cette année. J'ai regardé pour Nancy les séries de jours avec températures moyennes au delà du seuil des 20°. L'été 2022 marque son empreinte par une série exceptionnelle de 35 jours avec température moyenne >20° battant les séries de 2003 et 1976. Et cette dernière s'est interrompue le 15 août dernier avec 19,3°, interruption très temporaire car depuis le 16 août la moyenne quotidienne des température est à nouveau au delà des 20°...

C'est déjà le cas pour Nancy depuis le 15 août dernier. https://forums.infoclimat.fr/f/topic/57093-suivi-ensoleillement-2022/?do=findComment&comment=3584392 D'après mes calculs on est à +3 sigma en terme d'anomalie concernant l'ensoleillement pour Nancy et par extension pour la Lorraine... C'est colossal, au regard de l'historique des données et malgré le changement de matériel je pense que l'ensoleillement depuis le début d'année est du jamais vue depuis le 19ème siècle (au moins). A voir si ce dernier cale fortement cet automne et en début d'hiver? C'est à mon avis possible par compensation car si l'on continue sur la tendance actuelle (autours de 3 sigma) cela nous donnerait un ensoleillement annuel à + de 2200 hrs!

Oui rien à attendre de particulier pour les prochains jours. Dès demain les pressions devraient repartir à la hausse mais nous devrions rester sous l'influence d'une circulation d'ouest anticyclonique. Temps partagé jusqu'en début de semaine prochaine entre des ciels variables pouvant laisser place à des plages bien ensoleillés et passages nuageux + denses voir petits fronts faiblement actifs apportant globalement de faibles arrosages (samedi notamment et possiblement entre lundi et mardi) malgré quelques velléités instables pouvant localement et marginalement apporter des averses + musclées. Températures restant largement estivales, sans excès avec des maximales partout supérieures au seuil de la chaleur (entre 26 et 29° de vendredi à mardi). A partir du milieu de semaine prochaine les choses devraient un peu évoluer avec une poussée anticyclonique sur l'Atlantique qui devrait probablement faire la jonction avec les HP continentales bien implantées sur l'Est de l'Europe et la Russie. Le bloc dépressionnaire présent vers l'Islande et qui influence le temps sur le pays depuis quelques jours, devrait se retirer plus nord. Exit la circulation d'ouest + ou - anticyclonique, la masse d'air devrait devenir plus chaude et sèche par le sud avec probablement le retour de fortes chaleurs sous un flux continental en basse couches. Le temps devrait donc redevenir bien ensoleillé, sec et très chaud (>30°) à partir de mercredi. Des incertitudes résident par la suite avec possiblement un peu d'instabilité liés à des phénomènes d'échelle fine (gouttes froides et/ou faibles talweg) difficile à préciser au regard de l'échéance. La tendance est donc clairement à la poursuite d'un temps globalement estival de + en + chaud à partir de la semaine prochaine. Pour l'instant aucune évolution de grande échelle vers un temps + humides ou + frais n'est entrevu.

Le centile 10 pour cette décade de juin est de 19,2°, et il a fait 19,8°.

Encore un peu d'eau cette nuit sous une averse suffisante (2,6mm) pour avoir des sols humides ce matin. Le cumul depuis dimanche s'élève à 20mm, c'est pas mal mais finalement très modeste vue la sécheresse en cours. A voir cette nuit et surtout demain pour choper encore de l'humidité mais cela semble très aléatoire puisque si le scénario médian de 10mm laisse espérer, il cache en fait une dispersion énorme (75 % des scénarios entre 0 et 25mm!) signe du caractère instable et non généralisé des pluies à venir....Gageons que nous devrions tomber une fois de plus du côté des scénarios les + secs (moins de 5mm voir rien du tout), c'est une récurrence désormais ancrée depuis plusieurs mois. En tout cas la nature est toujours aussi surprenante déjà les pelouses reprennent un peu vie, avec une herbe qui se redresse et quelques teintes vertes qui apparaissent, malgré tout les dégâts sont flagrant sur les arbres, la succession d'étés caniculaires depuis 2015 occasionne une mortalité très inquiétante chez nos amis les arbres. Sinon la chaleur ne nous quitte toujours pas, si une pause à permi de passer temporairement sous les 25° lundi (23,8°), la chaleur lourde est vite revenue hier (29,4°) et encore aujourd'hui avec 27° actuellement. D'ailleurs les tx de 23,8° de lundi n'atteignent même pas le seuil de jours frais (tx=ou< au centile 10 des tx) qui s'établit pour la période à 21,8°. Notre été 2022 n'a donc toujours pas enregistré une seule journée fraîche et ce à moins de 15 jour son son terme! Vue les prévisions à nouveau à la forte chaleur la semaine prochaine, il est possible que nous n'en enregistrions très peu voir aucune d'ici le 31 août ce serait juste incroyable (record bas de 4 jours en 2003). Cette absence de pause fraîcheur se fait d'ailleurs ressentir dans les habitations en particulier appartements. La chaleur accumulée dans les appartements ne devrait pas s'évacuer avant longtemps, chez moi je n'arrive pas à redescendre sous 26° et ce malgré les aérations nocturnes, cela remonte systématiquement entre 26° et 29° en fin de journée et + de 30° dès que l'on dépasse les 31/32 dehors. Vivement l'automne, la pluie, la fraîcheur, les matinées piquantes.

Événement tout à fait exceptionnel en Lorraine, à Nancy la moyenne annuelle d'ensoleillement à été atteinte hier le 15 août! Ainsi au 15 août inclus 1713h d'ensoleillement ont été cumulés depuis le début d'année, pour une moyenne annuelle (dps 1991) de 1708h. Ce n'est jamais arrivé aussi tôt l'ancien record de précocité datait de 2003 et du 12 septembre soit 1 mois de +!!

Oui un été catastrophique, dégâts considérables en cours sur notre environnement et cette affreuse saison 2022 n'est pas terminée...

Oui c'était déjà visible hier sur le diagramme de l'européen pour l'est du pays... La configuration entrevue est je trouve malheureusement de plus en plus favorable à un nouveau coup de chaud sur la façade est du pays dans une ambiance lourde...On a pas finit de souffrir.

Hello, J'ai regardé le nombre de jours que l'on peut considérer comme frais depuis le début d'été. Pour considérer un jours frais je me suis basé sur la méthodologie des centile. J'ai regardé par décade à quel niveau correspondait les 10 % des températures maximales les + basses (période 1981-2010) puis dénombré par année du 1 juin au 7 août le nombre de valeur égale ou inférieur ce niveau. Et bien pour la période du 1 juin au 7 août, 2022 est exceptionnelle puisqu'aucune valeur de température maximale n'a été inférieure ou égale au centile 10 des décades de référence...Ce n'était jamais arrivé depuis 1927. Cela corrobore bien notre ressenti, il n'y a eu aucune période de fraîcheur depuis des semaine, possible que l'été termine à 0 jours ou une poignée en fin de mois? Et notre été poursuit sa tendance aride, au 7 août il n'y a que 3 années qui ont été + sèche, 1949 (27,8mm), 1954 (54,7mm) et 1964 (50,1mm).

Un peu plus de 7mm pour Essey, c'est le plus gros cumul journalier depuis le 26 juin dernier! Et il faut remonter au 6 juin dernier pour trouver trace d'un cumul > 10mm. Largement insuffisant mais on prend vue l'état de la végétation.

Oui belle surprise, cela fait du bien.

Sur Nancy centre on reste globalement en marge, petit arrosage sans plus avec un peu d'activité électrique. Comme d'habitude la dégradation peine à franchir le plateau de Haye et la Meurthe, la récurrence est profondément ancrée et durable, même pas certain qu'Essey enregistre un basculement d'auget. La cata se poursuit donc pour la végétation et l'environnement, sans répit. Cet été est horrible tout est cramé mais c'est surtout le niveau de chaleur qui fait de gros dégâts et est difficile à vivre. Mais cela ne semble pas concerner grand monde vue les comportements observés de ci de là voir ravir certains... tant pis pour nous.

39,1° à Badonviller (54), nouveau record absolu.

Tout à fait, Avril 2007 reste encore devant si l'on regarde les choses en valeur relative, cad par rapport à l'ensoleillement maximale absolue. Pour Nancy par exemple plusieurs mois restent devant: Ceci dit notre mois de juillet reste tout à fait remarquable, pour Nancy : - 1er en terme d'ensoleillement, - 2ème + sec derrière juillet 1949 (1,2mm vs 4,6mm), - 6ème + chaud derrière 2006, 2018, 2015, 1983, 1994. Le bilan thermique est finalement bien derrière d'autres mois de juillet très chauds, en raison de valeurs nocturnes relativement basses (air très sec + ciel clair).

Début d'été très chaud également dans le NE du pays. Une chaleur constante entrecoupée de gros coups de chauds caniculaires dans une ambiance très sèche Il est à noter l'absence de fraîcheur océanique pourtant habituelle par séquence en été sur nos régions. En conséquence, notre été est à Nancy au 31 juillet en moyenne le + chaud jamais enregistré (à égalité avec 2018), 2003 restera probablement devant d'ici fin août à moins d'une énième surprise en seconde quinzaine (ce qui n'est pas impossible).

Comme partout l'ensoleillement exceptionnel se poursuit sur Nancy, on est sur un cumul d'ensoleillement depuis le début d'année qui sort complétement de la climatologie de la station en route vers l'inconnu (au delà des +3 de sigma). Une autre représentation en terme d'anomalie. Pour illustrer depuis le 1er janvier l'ensoleillement cumulé est de 1543h. A titre de comparaison: - 17 années pleines ont enregistré un ensoleillement inférieur à ce cumul (dps. 1950)! La dernière fut 2013 avec 1534h sur une année entière. - Depuis le début d'année, l'ensoleillement nancéien correspond à un ensoleillement moyen à Montélimar.

Ce n'est qu'une question de temps...Le réchauffement de fond est bien + rapide dans nos régions du NE que partout ailleurs en France, donc le jour où la configuration atmosphérique sera optimale il fera largement +40° de Mulhouse à Strasbourg. Et l'été n'est pas terminé, je pense qu'on aura à nouveau un coup de chaud très fort d'ici septembre. Il faut également dissocier le niveau de chaleur et les records. Il fait en moyenne + chaud l'été à Strasbourg ou Nancy qu'à Nantes ou sur le bassin parisien mais historiquement et ce avant les canicules de 2003 et de 2019, les records ont toujours été + haut à Nantes, Paris, Orléans et globalement dans le centre de la France qu'à Strasbourg ou Nancy. Je penses que c'est lié au fait que nos régions sont climatiquement "humide" en été (enfin ca c'était avant). A cela il faut ajouter qu'il y a bcp de zones humides, rivières etc... tout ceci doit (normalement) concourir à limiter la hausse des températures grâce à l'évapotranspiration, d'où des extrêmes un peu en retrait de régions climatologiquement + sèche l'été (bassin parisien, intérieur du centre-ouest). En tout cas, il n'y a pas de quoi se réjouir d'atteindre de telles valeures. Si on pouvait rester en retrait des 40° ce serait bien pour tous, l'état de la végétation des rivières est à pleurer par ici. Encore un été qui fera bcp de dégât aux écosystèmes.

Bizarre, la valeur est encore dans la publithèque de MF En regardant les données horaires, je ne vois rien de suspect, il faudrait voir auprès de nos amis de MF @gaet34 et @fran39 mais il me semble que la valeur avait été validée. @th38 Il y avait 10 à 15cm de neige poudreuse au sol très froide, la nuit fut parfaitement claire sans vent avec -8° à 850hpa. C'est largement suffisant début janvier pour avoir localement des tn très basses. Le secteur est un vaste plateau très plat, possible qu'un petit lac d'air froid + intense qu'ailleurs s'y soit formé. D'ailleurs si je prends des valeurs relevées le 8 janvier 2021 à proximité de Brétigny (centre nord 91): -17° à Fontenay-les-Bris (91) tout proche -16,2° à Dourdan (91) + au sud là où le front avait été moins actif, il y avait - de neige au sol. -15,6° à St-Arnoult (78) idem -14,7° à Boigneville (91) iden et encore - de neige au sol.

Là aussi le bon est spectaculaire et probablement impossible sans RC.

https://www.infoclimat.fr/observations-meteo/temps-reel/londres/03772.html Première tx>40° enregistrée en Grande Bretagne.

Au relevé de 11h30: 35,6° à Saint-Dizier! Dans les clous des modélisations d'Arome avec + de 40° prévus sur le secteur cet après-midi. Pour Nancy Arome envisage également une Tx vers 40°, pas impossible vue l'état de sécheresse des sols par ici.

2 Exceptions à ma connaissance: Pour les records absolus de froid, Brétigny-sur-Orge (91) ouverte depuis 1947 et qui a enregistré -20,6° le 8 janvier 2010. https://www.infoclimat.fr/climatologie/normales-records/1981-2010/bretignysapc/valeurs/91103001.html Pour les records absolus de chaud, Le Luc (83) ouverte depuis 1946 avec 42,7° enregistré le 7 juillet 1982. https://www.infoclimat.fr/climatologie/normales-records/1981-2010/le-luc-le-cannet-des-maures/valeurs/07675.html Edit : + Mont-de-Marsan avec 42,5° le 1 août 1947, le record de juillet date également de 1947 (41,7° le 26 juillet 1947). Eté 1947 qui fut jusque 2003 LA référence en termes de chaleur et de sécheresse avec 5 vagues de chaleurs de fin mai à début septembre dont une très forte fin juillet début ao^^ut (29-05 au 03-06, 24-06 au 29-06, 21-07 au 4-08, 13-08 au 20-08 et du 10-09 au 19-09). J'ai d'ailleurs le souvenir de mes grands parents agriculteurs qui m'en parlait encore 60 ans + tard comme l'un des grands événement climatique de leur vie (avec l'hiver 1962-1963). Ce grand été fut d'ailleurs encadré par un hiver 1946-1947 très froid (l'un des + froid du siècle avec 1962-1963 et 1940-1941) puis un hiver très doux et exceptionnellement humides (inondations les + importantes du siècle en lorraine fin dec 1947)

Oui, la semaine concernée devrait à nouveau être chaude à très chaude, notamment sur le 1/4 SE du pays ou les fortes chaleurs devraient se poursuivre mais aussi probablement au nord en début d'échéance avec un coup de chaud marqué qui semble de dessiner sur les déterministe (entre dimanche et mardi). Le niveau de chaleur pourrait ensuite décliner partout avec une circulation plus zonale anticyclonique mais toujours sèche (pas de fraîcheur humide en vue). Le contexte global devrait donc rester chaud mais de façon plus tempéré avec un pseudo flux d'ouest anticyclonique, à l'échelle du pays bien ensoleillé (peut-être - sur le 1/4 NO), sec,chaud mais peut-être + tempéré, un peu à l'image des été californiens... Il faudra cependant à nouveau surveiller les réglages d'échelle fine, car le contexte de fond reste très chaud sur l'Europe occidentale, comme le résume parfaitement Christophe Cassou "'L’état de base (ou niveau de fond) de la circulation atmosphérique cet été sur Europe de l'ouest est chaud et sec. Il est tel que nous ne sommes pas à l'abri d'un nouveau coup avant la fin de l’été". Nous ne somme donc pas à l'abri d'un nouveau coup de semonce avec débordement rapide des masses d'air caniculaires qui cette année sont stationnées 500 à 800km + au nord qu'habituellement. En fait nous n'arrivons pas à nous débarrasser de cette masse d'air caniculaire bien installée depuis la mi-juin sur la péninsule Ibérique et la méditerranée occidentale. Elle est alimentée sans cesse par de petits minimums dépressionnaires qui viennent s'isoler au large de la péninsule Ibérique au milieu d'une ceinture anticyclonique subtropicale haute en latitude (Anti des Açores + dorsale "maghrébo-européènne"). Nous sommes hors de porté d'un flux d'ouest dépressionnaire humide, rejeté très au nord et dont l'influence reste limitée aux nord Iles Britanniques et à la Scandinavie. C'est visible sur les diagramme avec un niveau de fond de chaleur (températures maximales) +5° au dessus des moyennes climatologiques, que ce soit au nord (Nancy ci-dessous) comme au sud (Nîmes). Quant aux précipitations, je ne met pas les diagrammes car il n'y a pas grand chose à montrer si ce n'est une tendance partout très sèche et aride autour de la Mediterrannée. Comme bien dit par un intervenant sur le topic du NE @funkadelique il va falloir encore vivre au rythme des respirations de ce "monstre chaud", probablement jusqu'en fin d'été car les modèles sub-saisonniers et saisonniers envisagent que cette situation très chaude et très sèche perdurent encore plusieurs semaines. Cet été prend donc une tournure très inquiétante, quand à notre mois de juillet il ne fait guère de doute qu'il sera à l'échelle national l'un voir le plus sec et chaud jamais enregistré.

A nouveau une pointe à 42° un peu avant 18h sur Nantes. Toujours sur Nantes on sera probablement pas loin de 4h avec températures >40° + vent de SE à + 40/50km/h en raf, effet desséchant garanti sur la végétation...