calou34

Pour l’instant, WRF cadre bien cette petite vallée chaude convergente en Td >15° en entrée par le Vidourle, mais il force trop la flottabilité pour déclencher les fortes averses sur zone. 16°1 entre les gouttes ici.

Il semblerait que la convergence entre Vidourle et Uzège ait fait sauter le couvercle de la convection un peu plus tôt que prévu. Quelques brèves averses en marge de cette ligne qui fonce vers le bassin alésien. A suivre de près /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

Les 1è ondées (très faibles) viennent de se produire, t° remontant de 3° avec 15°. T du jour 4°4 – 20°.

Ce que nous sort Mike est éminemment plus philosophique que scientifique.J’aimerais connaître les processus de réchauffement par éruption volcanique dans la stratosphère et je ne dois pas être le seul à me poser la question de l’influence du cycle solaire 24 sur les jets atmosphériques. Je m’inquiète également pour Coriolis de voir le jet s’approcher de l’équateur. Bref, "pas sérieux s’abstenir" ne semble pas être inscrit dans la charte du forum, et le "pas piqué des hannetons" est bien de circonstance. Bonne soirée.

GFS développe encore trop prématurément une croissance d’erreur dès dimanche soir sur la zone cible du 30 en TPE et CAPE, champs qui conditionnent les produits précipitations de façon non linéaire. Sur les 2 derniers run, il force la convergence au maximum lundi matin en basse vallée du Rhône, tandis que l’entrée droite de jet force les VV sur le MC. L’isothermie et les plages froides sous précipitations peuvent former une boucle de rétroaction positive sur la convection entre Cévennes et Camargue en particulier, les RS simulés par WRF dans le 30 partent sur des rapports de mélange à saturation supérieurs à 10g/kg en instabilité absolue jusque vers 400 hPa. On ne serait pas loin de parler de convection orageuse, on se retrouve sur le déterministe dans le même ordre de grandeur de Td et de CAPE que le samedi 30 octobre en matinée. Samedi 30 octobre 11h locales Simulations 06Z lundi 15 novembre 4h locales

Je cherche l’innovation, l’originalité, je ne trouve que du plagiat juridiquement "exposé", à moins que vous jouissiez d’un quelconque partenariat avec MF, mais je ne l’ai vu figuré nulle part. Laissez le thème (sérieux) de la vigilance piloté par les autorités compétentes en la matière plutôt que d’en faire un usage ludique détourné. Désolé, mais aucun intérêt et inutile ce que vous faites.

Si on doit raisonner en probas, GFS a produit des intervalles de valeurs biaisées dans l’extrême SE. Le nouvel intervalle de confiance converge à présent vers....0. /emoticons/ph34r@2x.png 2x" width="20" height="20"> Seules variables intéressantes à se mettre sous la dent, les SLP remarquablement basses, mais sans effets notables pour les passionnées du "temps sensible" que nous sommes......

On est dans un cas typique de couche limite très stable où la couche de surface (épaisseur de quelques centaines de m en simulation NMM) est surmontée d’une couche d’inversion plus chaude.Profil sous adiabatique et flux de chaleur sensible dirigé vers le sol donc destruction de la turbulence et brouillard piégé au sol. La présence du brouillard peut être attribuée à des vents marins dominants en journée d’hier et qui ont contribué à "l’humidification" de l'air en basses couches. Pas de vent des Alpes donc, mais une diminution de la t° (par rayonnement) jusqu’à son sa t° du point de rosée. L’étendue du phénomène (même obs ici dans l’W du Gard) est rare dans nos régions. Le plus remarquable pourrait bien être sa persistance car peu de brassage prévu au sol.

Circulez ya plus rien à voir ! Cest "numériquement" plié pour lW du Rhône, toujours des probabilités à suivre et croissantes en intensités (pluvieuses) en allant vers lItalie. La pression au sol peut bien chuter sous les 900 hPa ça n'y changera rien /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">

Si ça l’est, seulement l’analyse en ordre de grandeur de GFS émet des hypothèses "simplificatrices" telles que l’équilibre entre force de pression horizontale et force de Coriolis (approximation géostrophique) ou l’équilibre entre force de pression verticale et gravité (hypothèse hydrostatique), et ne permet pas la représentation en détail de la convection par ex., l’échelle de travail étant largement supérieure à la taille d’un CB.Les équations donnent en solution les ajustements en qty de mouvement et transfert de masse et d’énergie, et des champs pluviogènes larges. En même temps, l’écoulement modélisé des prochaines ondes perturbées me paraît trop rapide pour permettre des advections durables d’air chaud et instable, flux indispensables en basses couches à la génération de systèmes convectifs organisés. a+

Théoriquement, une plage sèche est en cours d’advection dans le flux mettant un terme à l’environnement instable en mer.Un vent soutenu d’ESE s’est mis en place ici, total provisoire donc de 112.8 mm.

Bienvenue Vincent, si tu as 5 mn, je te présenterai l'enfant terrible du village, la Garonnette qui affiche un débit honorable en ce moment. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

La nuit tombe, à nouveau l'orage. 107.5 mm. La Garonnette devant le jardin.

Quissac est pris dans une ligne reformée depuis Montpellier, déluge incessant et niveau de la Garonnette devenant critique. 95 mm cumulés.

La signature électrique est impressionnante, très puissants coup de foudre dans le secteur de Bragassargues. La pluie reprend.

La ligne passe un peu à l’E, coups de foudre explosifs, superbolt à l'instant faisant trembler la maison. 66.4mm cumulés.

31.5 mm sur la dernière heure à Quissac, la Garonnette monte à vue d’œil et coule à gros bouillon.

De nouveau un peu d’orage et du lourd niveau intensités.

Cela fait environ 2 h que les plages froides sous orages renforcent la convergence dans le secteur et assurent une certaine stationnarité du système. Le flux est contraire ici, il est au nord, et force l’advection maritime à la manière d’un front froid. Vu les échos radars, et le visuel plein WNW en direction de Sauve et Conqueyrac, je pense pouvoir affirmer que les valeurs horaires ne sont pas surestimées. Le prochain relevé horaire devrait encore être conséquent, il vient de tomber 15mm en 3/4 d’h ici.

Grosses intensités persistantes sur Quissac à présent. Cumul 33.7 mm.

Salut,Le gradient de pression mesuré au sol n’explique pas tout, il faut considérer en lecture des modèles numériques les écoulements décrits en 3D. On observe lundi une nette diminution des épaisseurs (advection froide) et un écoulement caractéristique dorsale-talweg qui induit l’advection négative de tourbillon en haute et moyenne troposphère (convergence) et des forts mouvements subsidents vers les basses couches. Seul un modèle très haute résolution qui résout en nonhydro et compressible un spectre large d’ondes de gravité sera en mesure d’approcher les valeurs réelles de vitesse du vent. Tof, nous sommes déjà bel et bien en hiver, les mini-jupes ont regagné les dressing /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">a+

Tu peux compter sur le relief pour forcer l’écoulement à devenir plus instable (forçage dynamique). La dernière initialisation de WFR (GFS) n’est pas bonne, il faut attendre le 06Z. BOLAM 11 (GFS) d’hier (pas encore actualisé) ciblait déjà le périmètre Maures – Ligurie en 1è partie de nuit. MOLOCH 2.7 qui résout explicitement la convection couplé à partir de BOLAM donnait des lames d’eau convectives importantes autour de l’Estérel. Après on connait les biais de la modélisation dans ce contexte, MM5 ne voit pas par ex. la convection entrer sur les terres dans ce secteur.

Inversion radiative et 1°7 en tn (1è gelée blanche au sol). Couche d’inversion en cours de dissipation (reprise progressive du vent), ciel devenu très nuageux par AC lenticularis. a+

Avec Bolam 11 (meteochat), résolution horizontale de 11 km et 50 niveaux verticaux, mode hydrostatique paramétré KF pour la convection, et GFS 00Z en conditions aux limites. Avec cette résolution, on différencie mieux qu’avec GFS 0.5° la nature et la localisation de la convection (profonde ou non) et des pluies. Le 34 serait dans la fenêtre temporelle la plus longue des précipitations convectives (démarrage dans la nuit), avec un pic d’intensité (toutefois modéré) en début d’après midi. Ce domaine affecterait ensuite les départements côtiers de PACA mais en déplacement plus rapide. La nature convective des pluies toucherait plus durablement la Corse (orographie, advection plus durable des valeurs élevées de TPE). En attendant que WRF-NMM 0.05° (meteociel) soit débugué..

On a une sensibilité importante au cadre dynamique, le jet autour de l’anomalie dessine en partie les contours de l’ajustement par les mouvements verticaux. Or le CEP me semble-t-il module la baroclinie et les zones d’entrées et de sorties de jet, et le LR ne bénéficierait plus du meilleur environnement dynamique. L'essentiel des cumuls seraient de type "épisode cévenol" plus que d'épisode méditerranéen.