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Statistiques et anomalies climatiques nationales


Aldébaran

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Comme déjà dit plusieurs fois : les Iles britanniques observent une hausse nette de pluviométrie estivale depuis à peu près 10 ans. C'est forcément corrélé à une hausse de nébulosité sur le nord de la France. Ce qui est très visible en comparant la décennie 1990 et la décennie 2000.

Dans le nord-ouest, on ne voit plus depuis 2000 le réchauffement climatique des étés. On voit juste quelques mois anormalement chauds au milieu de beaucoup de mois perturbés.

Mais on ne sait pas si la tendance est durable. On sait juste qu'elle est plutôt inédite, et pourrait avoir un lien avec l'affaire arctique.

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Je me permets de répondre à la question, et de le faire sur ce sujet puisqu'on parle de l'échelle nationale. Pour la faire courte, la période écoulée de 2 mois glissants est, sur le plan thermique, co

C'est le moment de faire un petit bilan sur la vague de chaleur de cette semaine, qui selon les critères MF, sera retenue au niveau national comme la 48ème occurrence depuis le début de l'ITN en 1947.

Je reviens sur l'été 2022 pour une petite mise en perspective de son bilan thermique par rapport aux tendances long terme. Comme on l'a vu, à l'échelle nationale, cet été s'est classé en 2ème place de

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Comme déjà dit plusieurs fois : les Iles britanniques observent une hausse nette de pluviométrie estivale depuis à peu près 10 ans. C'est forcément corrélé à une hausse de nébulosité sur le nord de la France. Ce qui est très visible en comparant la décennie 1990 et la décennie 2000.

Dans le nord-ouest, on ne voit plus depuis 2000 le réchauffement climatique des étés. On voit juste quelques mois anormalement chauds au milieu de beaucoup de mois perturbés.

Mais on ne sait pas si la tendance est durable. On sait juste qu'elle est plutôt inédite, et pourrait avoir un lien avec l'affaire arctique.

Sur la France, la tendance n'est pas encore suffisamment marquée pour en tirer des lignes de force.

C'est vrai que les modèles prévoient une augmentation des précipitations en été au nord du 50ème parallèle, et une diminution sur le bassin méditerranéen

Sur les Iles britanniques oui, mais aussi sur l'Europe centrale, les précipitations estivales partent effectivement à la hausse depuis les années 90.

Mais la France au carrefour de ces zones n'affiche pas de tendance nette.

Ou trouve tu les données pour dire que la nébulosité a augmenté sur le nord de la France ?

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Sur la France, la tendance n'est pas encore suffisamment marquée pour en tirer des lignes de force.

C'est vrai que les modèles prévoient une augmentation des précipitations en été au nord du 50ème parallèle, et une diminution sur le bassin méditerranéen

Sur les Iles britanniques oui, mais aussi sur l'Europe centrale, les précipitations estivales partent effectivement à la hausse depuis les années 90.

Mais la France au carrefour de ces zones n'affiche pas de tendance nette.

Ou trouve tu les données pour dire que la nébulosité a augmenté sur le nord de la France ?

Sans avoir regardé des données mais suivant l'évolution de la météo de ces dernières années la luminosité ou l'ensoleillement ne serrait il pas variable d'une façon irrégulière (sans augmenter ou diminuer) ces dernières années quand on voit des périodes avec un ensoleillement au-dessous de la normale et d'autre au-dessus soit une évolution comme les sécheresses et période humide par exemple ??

En espérant que de dire ceci ne va entraîner des débats.

Williams

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De toute façon, il est clair que l'Europe occidentale a été la grande perdante ces dernières années des grandes évolutions synoptiques estivales. Les anomalies des 10 derniers duo juillet-août montrent une anomalie massive de hauts géopotentiels groenlandais, et des circulations de bas géopotentiels anormalement basses sous AG donnant de fortes anomalies dépressionnaires qui culminent sur les iles britanniques, comme en témoigne la carte ci-dessous. Vu que les hauts géopotentiels affichent également une tendance positive au niveau de la Russie (AR), la porte de l'est se bloque et les dépressions prises en étau stagnent et/ou décrochent sur l'Europe occidentale. Carte des anomalies de géopotentiels des 10 dernières années sur juillet-août, et évolution des géopotentiels au Groenland, en Angleterre et en Russie occidentale depuis les années 1970 selon les réanalyses, no comment :

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Mais la France au carrefour de ces zones n'affiche pas de tendance nette.

Mécaniquement, si le flux d'ouest accélère sur la GB, c'est que les contrastes entre le nord et le sud de la France s'accentuent. Et de mémoire, le sud a de plus en plus de chaleur et de soleil sur les 10 dernières années. (2014 fut une exception). Tout est logique.

Mais ce n'est pas forcément durable. C'est peut-être transitoire.

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Mécaniquement, si le flux d'ouest accélère sur la GB, c'est que les contrastes entre le nord et le sud de la France s'accentuent. Et de mémoire, le sud a de plus en plus de chaleur et de soleil sur les 10 dernières années. (2014 fut une exception). Tout est logique.

Mais ce n'est pas forcément durable. C'est peut-être transitoire.

Il est vrai que ces dernière années la moitié sud est privilégié au niveau du temps en été, les exemples les plus notables que l'on peut prendre sont ceux des étés 2011 et 2012.

Pour comparer statistiquement nous allons prendre l'exemple de quatre ville (Lille, Paris, Clermont-Ferrand et Toulouse) avec lequel nous allons dresser le bilan thermique de ces deux étés (par rapport a la normal 1971-2000)

2011: Le contraste nord-sud a été très marqué surtout au mois d'août avec un mois d'août normal a Lille (-0.1°C) et Paris (+0.2°C), très chaud a Clermont-Ferrand et Toulouse (+1.7°C)

2012: L'été 2012 a été légèrement chaud a Lille (+0.4°C), chaud a Paris (+0.7°C), très chaud a Clermont-Ferrand (+1.5°C, 6ème été le plus chaud depuis 1923) et Toulouse (+1.9°C, 4ème été le plus chaud depuis 1841), contraste encore plus impressionnant!.

Désolé si l'analyse est courte mais je n'ai pas le temps de continuer mon analyse si quelqu'un veut bien s'occuper de la pluviométrie et de l'ensoleillement s'il vous plait sa pourrait devenir intéressant wink.png

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Pas évident tout ça...

Je prends 3 stations de la moitié nord : Lille, Strasbourg et Rennes, et 3 de la moitié sud : Clermont, Lyon et Perpignan.

Je fais un comparatif pour les températures, les précipitations et l'ensoleillement entre la période 30/60 et celle 81/10, sachant que pour l'ensoleillement on a changé de matériel en 1990 et que la dernière période n'est donc que de 20 ans.

Je compare la moyenne annuelle, et celle du mois d'août.

Températures :

Pour le nord :

T annuelle : +1.1°C, T août : +1.2°C

Pour le sud :

T annuelle : +0.9°C, T août : +1.2°C

Précipitations :

Pour le nord :

Cumul annuel : +35mm, Cumul août : -16mm

Pour le sud :

Cumul annuel : -19mm, Cumul août : -14mm

Ensoleillement :

Pour le nord :

Annuel : -3h, Août : +9h

Pour le sud :

Annuel : -53h (pb Perpignan avec -138h), Août : +3h

Sachant qu'il faudrait approfondir l'étude...

Mais à part la hausse généralisée des températures que l'on sait, pour l'évolution des précipitaitons et de l'ensoleillement, il risque de falloir attendre encore un peu pour y voir très clair.

Probablement dès que l'on aura la période 91/20, on aura une tendance plus lisible pour confirmer l'assèchement des étés et pour avoir un vrai comparatif pour l'ensoleillement.

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Pas évident tout ça...

Je prends 3 stations de la moitié nord : Lille, Strasbourg et Rennes, et 3 de la moitié sud : Clermont, Lyon et Perpignan.

Je fais un comparatif pour les températures, les précipitations et l'ensoleillement entre la période 30/60 et celle 81/10

Mais non ! On ne parle pas d'une évolution entre 1930 et 2010, mais d'une évolution (en été) entre 1990 et 2010.

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Il est tout à fait logique d'avoir une hausse de nuages sur le nord de la France, dans la situation où le géopotentiel est dans un creux et la pluie dans une période haute sur la GB.

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Mais non ! On ne parle pas d'une évolution entre 1930 et 2010, mais d'une évolution (en été) entre 1990 et 2010.

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Il est tout à fait logique d'avoir une hausse de nuages sur le nord de la France, dans la situation où le géopotentiel est anormalement bas et la pluie anormalement forte sur la GB.

Je ne remet pas en cause l'analyse il pleut plus. Le graphe le montre. Par contre dire anormalement, et si ce graphe représente les précipitations, alors il n'y a rien d'anormal ... 2005-2010 ressemble à la période 1955-1960. Enfin, après il faudra confirmer avec des données supplémentaires, et c'est là qu'on pourra dire si oui ou non, il y a une véritable tendance remarquable.
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Mais non ! On ne parle pas d'une évolution entre 1930 et 2010, mais d'une évolution (en été) entre 1990 et 2010.

Il est tout à fait logique d'avoir une hausse de nuages sur le nord de la France, dans la situation où le géopotentiel est dans un creux et la pluie dans une période haute sur la GB.

Ouais....

Je reprends mes stations, du nord : Lille, Paris, Rennes et Strasbourg, et observe l'ensoleillement sur Juillet+août.

Sur les 10 dernières années 2005/2014 par rapport à la moyenne 91/10

Lille a perdu 33 heures : c'est pas négligeable

Paris en a perdu 10.

Strasbourg en a gagné 3

Rennes en a gagné 7.

Après si l'on descend au sud, Lyon en a gagné 24.

Je maintiens quand même que l'on manque de profondeur pour dégager une tendance plus sûre ; une évolution sur 25 ans, c'est pas grand chose, et la lecture est brouillée par le bruit.

Pour l'instant, on peut dire que seul l'extrême nord de la France semble touché.

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Mais ce n'est pas forcément durable. C'est peut-être transitoire.

[align=center]image1.png[/align]

Dans le fond, on pourrait aussi se demander à la seule vue de ce graphique si ce n'était pas la période plus sèche des années 1970 à 1990 qui était transitoire happy.png

Même si on sait qu'en fait, la reprise de l'activité des bas géopotentiels en Europe de l'ouest et liée à leur "éviction" depuis quelques décennies de l'Arctique et notamment de la région du Groenland (merci l'amplification arctique) :

[align=center]post-2200-0-28295900-1418490384_thumb.png[/align]

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Je suis bien d'accord, c'est le changement 1990-2010 que l'on retient, sans qu'on puisse dire si c'est surtout les 1990s ou les 2000s qui sont anormales.

Ce qui est suspect, c'est que les 1990s allaient bien dans le sens du réchauffement climatique général alors que les 2000s s'expliquent difficilement sans le fort réchauffement arctique. Je pense qu'on est d'accord là-dessus.

Dans les 1990s, pas grand monde n'imaginait un instant connaître la décennie 2000s qu'on a connu dans la moitié nord de la France ou en GB.

Le forum de IC a eu la chance de se développer dans les années 2000 !

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Donc le réchauffement assez intense de l'arctique favorise la formation de système dépressionnaire a hauteur des Iles Britannique ce qui pourrait alors entrainait une hausse des précipitations estival et serait un frein au RC sur le nord de l'Europe.

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Donc le réchauffement assez intense de l'Arctique pourrait favoriser la formation de systèmes dépressionnaires à la hauteur des Iles Britanniques ce qui entraînerait alors une hausse des précipitations estivales et serait un frein au RC estival sur le nord-ouest de l'Europe.

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On peut dire maintenant que nous terminons de vivre l'année la plus chaude que la France ait connue depuis le début des relevés.

L'excédent de +1.1°C de 2011 sera largement battu ; on sera -sauf une bombe la dernière semaine de décembre venant de nulle part- autour de +1.3°C au dessus des normales.

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Posté(e)
13 Arles - Pont Van Gogh - altitude 4 m

Dans le même genre - et à confirmer, merci Judd et autres - je dirais que 2014 n'aura pas vu un seul flocon de neige sur Colmar. Ou, en tout cas, une série de jours sans neige supérieure à 365 puisque, dans mon souvenir, il est tombé 3 flocons (avec très vague blanchissement pendant 1 heure) en novembre 2013 à Colmar et depuis plus rien.

Ca me semble unique mais c'est à confirmer.

Et encore, à Colmar, ça peut s'expliquer par le foehn. La même observation à Mulhouse ou Haguenau, c'est déjà plus délirant.

Et tant qu'on y est, qu'en est-il de Luxeuil (qui doit être une des villes de plaine les plus enneigées de France) ?

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Dans le même genre - et à confirmer, merci Judd et autres - je dirais que 2014 n'aura pas vu un seul flocon de neige sur Colmar. Ou, en tout cas, une série de jours sans neige supérieure à 365 puisque, dans mon souvenir, il est tombé 3 flocons (avec très vague blanchissement pendant 1 heure) en novembre 2013 à Colmar et depuis plus rien.

Ca me semble unique mais c'est à confirmer.

Et encore, à Colmar, ça peut s'expliquer par le foehn. La même observation à Mulhouse ou Haguenau, c'est déjà plus délirant.

Et tant qu'on y est, qu'en est-il de Luxeuil (qui doit être une des villes de plaine les plus enneigées de France) ?

Ca doit même être toute la France qui bat un record d'enneigement moindre cette année car lors de l'hiver 2013-2014 beaucoup de ville n'ont enregistré aucun flocon et certaines non toujours rien enregistré actuellement.
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Posté(e)
New York - parfois Paris & Besançon

Dans le même genre - et à confirmer, merci Judd et autres - je dirais que 2014 n'aura pas vu un seul flocon de neige sur Colmar. Ou, en tout cas, une série de jours sans neige supérieure à 365 puisque, dans mon souvenir, il est tombé 3 flocons (avec très vague blanchissement pendant 1 heure) en novembre 2013 à Colmar et depuis plus rien.

Ca me semble unique mais c'est à confirmer.

Et encore, à Colmar, ça peut s'expliquer par le foehn. La même observation à Mulhouse ou Haguenau, c'est déjà plus délirant.

Et tant qu'on y est, qu'en est-il de Luxeuil (qui doit être une des villes de plaine les plus enneigées de France) ?

Oui, on a les mêmes observations délirantes en Franche-Comté, même si on s'en tire un peu mieux que nos voisins alsaciens.

Au moins à Luxeuil il a neigé un peu début décembre lors de la coulée fraîche en flux de NO.

Situation terrible aussi à Besançon, on a eu un ou deux jours avec flocons très discrets en Janvier, mais au moins ici il avait neigé en Novembre avec une couche qui avait tenu une partie de la semaine.

Autrement dit dans ce qui est peut-être la région la plus neigeuse du pays (en plaine) on a oublié ce qu'était l'hiver, même si sa moitié nord a connu la neige en début de mois de nombreuses stations n'ont pas eu de saupoudrage depuis novembre 2013, et toutes comptent les journées de 2014 avec flocons sur les cinq doigts d'une main...

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  • 2 weeks later...

Et voilà, cette fois c'est dans le marbre 2014 aura été en France l'année la plus chaude depuis le début des relevés.

Selon MF, +1.2°C /la moyenne 81/10 devant 2011 (+1.1°C) et 2003 (1.0°C)

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  • 4 months later...

Si c'est pas du RC ça :

Depuis juin 2013, on a eu 23 mois consécutifs au dessus des normes 1951/1980.

Et le 24ème a l'air bien parti.

C'est déprimantscared.gif

En tous les cas, notre pays a changé de climat....

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Si c'est pas du RC ça :

Depuis juin 2013, on a eu 23 mois consécutifs au dessus des normes 1951/1980.

Et le 24ème a l'air bien parti.

C'est déprimantscared.gif

En tous les cas, notre pays a changé de climat....

Oui çà c'est pour la température.

Mais moi qui fait du vélo depuis des années, j'ai la sensation que l'atmosphère est de plus en plus agitée.

Pas moyen de faire un circuit sans avoir le vent (surtout dans la tronche d'ailleurs car il tourne cet imbécile).

Alors c'est une sensation, je le répète, car il y a peut-être d'autres facteurs comme ma forme qui décline avec l'age.

Si quelqu'un pouvait le confirmer ou infirmer avec des chiffres ce serait pas mal.(euh pas ma forme hein, le vent whistling.gif )

Je finis par me demander si le "point froid" au sud-est du Groenland (dont l'origine serait peut-être un affaiblissement du Gulf stream) n'est pas en partie à l'origine de cette atmosphère plus perturbée.

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Oui çà c'est pour la température.

Mais moi qui fait du vélo depuis des années, j'ai la sensation que l'atmosphère est de plus en plus agitée.

Pas moyen de faire un circuit sans avoir le vent (surtout dans la tronche d'ailleurs car il tourne cet imbécile).

Alors c'est une sensation, je le répète, car il y a peut-être d'autres facteurs comme ma forme qui décline avec l'age.

Si quelqu'un pouvait le confirmer ou infirmer avec des chiffres ce serait pas mal.(euh pas ma forme hein, le vent whistling.gif )

Je finis par me demander si le "point froid" au sud-est du Groenland (dont l'origine serait peut-être un affaiblissement du Gulf stream) n'est pas en partie à l'origine de cette atmosphère plus perturbée.

Moi, j'ai changé de vélo: le vent est toujours de face mais ça va mieux.
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Posté(e)
Besse sur Issole (83 - Alt 275 m à 26 km de la mer)

J'avais vu passer une étude il y a des années qui trouvait une diminution du vent de 10%, mais bon il n'y a pas les dernières années :

http://www.enviro2b.com/2010/10/19/climat-les-vents-en-perte-de-vitesse/

Enfin localement ici, hors climato, le vent est le plus souvent réduit à 2 m du sol au fil du temps, car les arbres et les constructions poussent pas mal, même près des aéro comme Cuers ou Le Luc, plus dégagés auparavant.

Ce n'est pas gagné de faire le tri entre climat et évolution de la rugosité et des obstacles, car la mesure du vent moyen mesuré à 10 m est beaucoup plus modifié par les obstacles et la rugosité que la T. Il est bien plus facile de trouver un site classe 1 et 2 en T qu'en vent !

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Il y a la vitesse du vent, pour laquelle, autour de Toulouse, il y a une légère augmentation depuis quelques années, du moins sur NCEP.

Mais par rapport au cas particulier des sports comme le cyclisme, dont le vent est l'ennemi principal (quel que soit le matériel), la fréquence des jours de vent compte aussi beaucoup.

C'est simple, depuis le début de l'année, je n'ai pas fait un tour sans vent sensible.

Ceci dit çà demanderait un peu plus de quantification.

En principe, sur IC, la réponse devrait pouvoir être apportée assez facilement, mais bon, faut pas rêver non plus...

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