Invité Guest Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Les orages en méditerranée sont souvent spécifiques d'une période ou saison appellée l'automne . En effet ces orages se forment souvent soit : - Températures très douces l'après-midi donc des orages de chaleurs , au pied de Cevennes le plus souvent et parfois jusqu'en plaine . Ces orages sont en principes faibles ou modérés mais parfois ils sont bien plus forts et peuvent laisser 50 mm en une heure , ils sont rarement mellés de grêle . - Les orages de types Cevenols , en général entre Septembre, Octobre et Novembre . Ils naissent pas dans n'importe quels contextes et sont particuliés à la région . Il suffit par exemple de regarder les cartes du Jeudi 08 Septembre 2005 : Après une période particulièrement douce , la mer est très chaude . Cependant nous approchons de l'hiver , l'air en altitude commence à se refroidir . Enfin une depression vient peu à peu se positionner contre les baléares . On observe alors de grosses formations orageuses sur les départements cevenols avec en plus de fortes pluies . La formation d'un orage en V est souvent redoutable avec des pluies torrentielles pendant de longues de heures . On peut donc dire que ce sont les orages de type Cevenols les plus violents en Méditerranée , par contre aucune chance qu'il remonte jusqu'en Belgique , ils sont bloqués contre les Cevennes ( effet stationnaire ) . Les orages Belges sont donc le plus souvent amenés dans le cas de développements orageux sur le Sud-Ouest de la France , puis progressivement en remontant vers le Nord-Est et en touchant finalement la Belgique . Sinon niveau Tornade je suis loin d'être un pro mais je ne pense pas qu'il y'en a beaucoup plus en Belgique qu'en France . Cependant je pense que certaines zones sont plus subjectes à ce genre de dvpt que nos régions Françaises . Et surtout ne pas confondre Tuba Trombe et Tornade . Je suis sûr que certains pourront plus vous éclairez . Escusez moi du HS ... Christophe . Permets moi de te corriger Chris sur certains points. Je me bats depuis des années sur l'influence de la température de la mer. A mon avis elle est tout à fait minime. Ce qui explique que la fréquence de ces orages soit plus importante en automne est le rééquilibrage puissant dans l'hémisphère nord entre les masses d'air à cette époque. C'est ce qui permet à l'avant (vers l'est en général) une grosse alimentation en air humide et doux voire chaud et à l'arrière une descente plus fraiche. Le couplage mer/atmosphère est largement surestimé à cette échelle. En fait, le deuxième pic de fréquence après l'automne est le printemps et il s'avère qu'à cette époque la mer est froide. Là aussi, l'explication des grands rééquilibrages intersaisonniers colle parfaitement. On retrouve par ailleurs des épisodes très importants en hiver, où la mer est froide. Il suffit en fait que la synoptique apporte un bon contraste de masses d'air, sans nécessairement que la mer soit chaude. C'est pour ça qu'on peut avoir des cévenols neigeux. Transition toute faite sur la différence entre cévenols et méditerranéens : dans le cévenol, il te faut une instabilité liée à des facteurs atmosphériques généraux, locaux et à des facteurs topographiques. Impossible donc de voir ce phénomène se produire en plaine. C'est typiquement le cas d'octobre 2008 (les 21 et 22). On avait un front froid qui déboulait de l'atlantique, un apport humide en vent de sud est et flux de sud ouest à l'avant, et une claire accumulation sur le relief, qui jouait un role de soulèvement. Conséquence : 500mm/24h à la Grand Combe, à peine 100mm à Alès 10km plus au sud. Il arrive que des méditerranéens se forment à proximité du relief mais comme en 2002, ce dernier n'a pas d'influence majeure vu que la situation régionale est fortement instable. En 2002, (voir rapports de l'observatoire cevennes vivarais entre autres) le système s'est balladé sur la bordure cévenole et sur les plaines, sans que cela change quoi que ce soit. On sort de l'influence du relief : c'est un méditerranéen qui aurait pu survenir à montpellier, à perpignan ou à marseille ou ailleurs. En fait peu de termes intermédiaires existent. On peut avoir un doute quand on a un méditerranéen sur le relief, mais en déccortiquant son évolution, on s'aperçoit vite que le relief ne sert pas à grand chose. Impossible donc, de voir un cévenol hors relief (ça vaut pour la montagne noire, les PO, les reliefs provençaux parfois ou la Corse et bien sûr, avec un pic de fréquence en Cévennes). Voilà, c'était un peu HS mais je préférais le préciser. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
judd Posté(e) 16 mai 2009 COLMAR OUEST (Haut-Rhin) Alt 192m Partager Posté(e) 16 mai 2009 Ca ressemble à l'endroit ou le cb se régénère plus qu'à des mamatus, non? Bonne question... un oeil avisé serait le bienvenu sur la question. Du coup je suis dans le doute.Ju Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
calou34 Posté(e) 16 mai 2009 Montpellier Partager Posté(e) 16 mai 2009 Permets moi de te corriger Chris sur certains points. Je me bats depuis des années sur l'influence de la température de la mer. A mon avis elle est tout à fait minime. Salut, Toujours dans le HS , il est évident qu’on ne peut pas nier l’influence des champs de SST dans l’organisation des précipitations convectives. Cette sensibilité est introduite dans diverses paramétrisations numériques, les algorithmes les plus élaborées prennent en compte le couplage –couche de mélange océanique – couche limite marine – et l’impact des flux de chaleur latente et sensible sur la couche limite atmosphérique. Une formulation avec des SST moyennes plus élevées augmente significativement ces flux énergétiques et contribuent de prime abord à booster la convection et les quantités de précipitations. Dans le jeu de données de la modélisation de tels évènements, c’est un élément important, même si in fine, des rétroactions négatives peuvent modifier l’environnement de méso-échelle et la stationnarité des systèmes convectifs. Fin du HS. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Salut, Toujours dans le HS , il est évident qu'on ne peut pas nier l'influence des champs de SST dans l'organisation des précipitations convectives. Cette sensibilité est introduite dans diverses paramétrisations numériques, les algorithmes les plus élaborées prennent en compte le couplage –couche de mélange océanique – couche limite marine – et l'impact des flux de chaleur latente et sensible sur la couche limite atmosphérique. Une formulation avec des SST moyennes plus élevées augmente significativement ces flux énergétiques et contribuent de prime abord à booster la convection et les quantités de précipitations. Dans le jeu de données de la modélisation de tels évènements, c'est un élément important, même si in fine, des rétroactions négatives peuvent modifier l'environnement de méso-échelle et la stationnarité des systèmes convectifs. Fin du HS. Oui mais de là à le placer comme facteur prépondérant, je l'ai pas constaté... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Permets moi de te corriger Chris sur certains points. Je me bats depuis des années sur l'influence de la température de la mer. A mon avis elle est tout à fait minime. Ce qui explique que la fréquence de ces orages soit plus importante en automne est le rééquilibrage puissant dans l'hémisphère nord entre les masses d'air à cette époque. C'est ce qui permet à l'avant (vers l'est en général) une grosse alimentation en air humide et doux voire chaud et à l'arrière une descente plus fraiche. Le couplage mer/atmosphère est largement surestimé à cette échelle. En fait, le deuxième pic de fréquence après l'automne est le printemps et il s'avère qu'à cette époque la mer est froide. Là aussi, l'explication des grands rééquilibrages intersaisonniers colle parfaitement. On retrouve par ailleurs des épisodes très importants en hiver, où la mer est froide. Il suffit en fait que la synoptique apporte un bon contraste de masses d'air, sans nécessairement que la mer soit chaude. C'est pour ça qu'on peut avoir des cévenols neigeux. Transition toute faite sur la différence entre cévenols et méditerranéens : dans le cévenol, il te faut une instabilité liée à des facteurs atmosphériques généraux, locaux et à des facteurs topographiques. Impossible donc de voir ce phénomène se produire en plaine. C'est typiquement le cas d'octobre 2008 (les 21 et 22). On avait un front froid qui déboulait de l'atlantique, un apport humide en vent de sud est et flux de sud ouest à l'avant, et une claire accumulation sur le relief, qui jouait un role de soulèvement. Conséquence : 500mm/24h à la Grand Combe, à peine 100mm à Alès 10km plus au sud. Il arrive que des méditerranéens se forment à proximité du relief mais comme en 2002, ce dernier n'a pas d'influence majeure vu que la situation régionale est fortement instable. En 2002, (voir rapports de l'observatoire cevennes vivarais entre autres) le système s'est balladé sur la bordure cévenole et sur les plaines, sans que cela change quoi que ce soit. On sort de l'influence du relief : c'est un méditerranéen qui aurait pu survenir à montpellier, à perpignan ou à marseille ou ailleurs. En fait peu de termes intermédiaires existent. On peut avoir un doute quand on a un méditerranéen sur le relief, mais en déccortiquant son évolution, on s'aperçoit vite que le relief ne sert pas à grand chose. Impossible donc, de voir un cévenol hors relief (ça vaut pour la montagne noire, les PO, les reliefs provençaux parfois ou la Corse et bien sûr, avec un pic de fréquence en Cévennes). Voilà, c'était un peu HS mais je préférais le préciser. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pourtant il n'y a pas de cévennol sur la face Sud des Pyrénées, la douceur humide qui remonte et qui tombe nez à nez avec un front froid qui obéit à la rotation dépressionnaire et en plus favorisée par un relief condense sérieusement avec en plus de l'alimentation en continue; personne pour confirmer ou non les mamatus? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Pourtant il n'y a pas de cévennol sur la face Sud des Pyrénées, la douceur humide qui remonte et qui tombe nez à nez avec un front froid qui obéit à la rotation dépressionnaire et en plus favorisée par un relief condense sérieusement avec en plus de l'alimentation en continue; personne pour confirmer ou non les mamatus? Pour tes mammatus, je suis pas réellement convaincu. Ils n'ont pas une forme très nette. Franchement, je trouve que c'est difficile à dire. Pour ce qui est du versant sud des Pyrénées, il me semble qu'il vaut mieux que les lignes de crêtes soient plus ou moins parallèles à la côte ce qui n'est pas le cas ici. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
djazzz Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Oui ils n'avaient pas une forme bien déterminée, c'est la première fois que je voyais cela par ici, étrange. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
aepsylone Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Salut Djazzz, à la vue de tes clichés, de la vidéo et de ta description (fortes précipitations à l'arrière), ça m'a tout l'air d'être un joli sillage turbulent /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Au loin de la photo 2 et 3 on peut apercevoir une ligne bien distinct entre le ciel clair et la ligne nuageuse, cela me rappel les passages de front de rafales, lorsque ceux-ci passent au dessus de nous, on peut observer exactement le même ciel et les même conditions que tu nous décris, en gros le sillage turbulent, le vent, et la pluie à l'arrière.. pour moi aucun mammatus sur ces photos. Je laisse place aux experts . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Je pense aussi que ce ne sont pas des mammatus mais plutôt des bases turbulentes de congestus qui se développent à l'avant du descendant, sinon pour la question cévenole qui s'est greffée au sujet, si les crêtes ont besoin d'être parallèles à la mer, on démontre la part non négligeable de la mer et de sa T°C sur les précipitations. En effet, une situation synoptique particulière est nécessaire, mais c'est bien ce rapport de mélange au-dessus de l'eau encore 'tiède " de l'été capable de supporter beaucoup de vapeur d'eau qui se retrouve rapidement au contact d'un air beaucoup plus froid incapable de contenir autant d'eau, et la remontée se fait encore plus rapidement en étant forcée par les reliefs, l'instabilité est donc importante, et alimentée en continue et visible par orages parfois en "V" sans que je sache encore pourquoi d'ailleurs, jusqu'à ce que le tourbillon qui occasionne la remontée de sud se dissipe et disparaisse. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kuban Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 Au loin de la photo 2 et 3 on peut apercevoir une ligne bien distinct entre le ciel clair et la ligne nuageuse, cela me rappel les passages de front de rafales, lorsque ceux-ci passent au dessus de nous, on peut observer exactement le même ciel et les même conditions que tu nous décris, en gros le sillage turbulent, le vent, et la pluie à l'arrière.. pour moi aucun mammatus sur ces photos. Je laisse place aux experts . Tout à fait d'accord, je me suis dit exactement la même chose. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 http://img193.imageshack.us/img193/2671/g55.jpg J'ai pris cette photo dimanche dernier avant un orage (désolé pour le flou, je ne sais pas bien me servir de mon nouvel appareil) Une certaine ressemblance avec la photo avec la partie turbulente à l'avant du cb, qui élimine un peu plus l'idée du mammatus. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 16 mai 2009 Partager Posté(e) 16 mai 2009 En effet, une situation synoptique particulière est nécessaire, mais c'est bien ce rapport de mélange au-dessus de l'eau encore 'tiède " de l'été capable de supporter beaucoup de vapeur d'eau qui se retrouve rapidement au contact d'un air beaucoup plus froid incapable de contenir autant d'eau, et la remontée se fait encore plus rapidement en étant forcée par les reliefs, l'instabilité est donc importante, et alimentée en continue et visible par orages parfois en "V" sans que je sache encore pourquoi d'ailleurs, jusqu'à ce que le tourbillon qui occasionne la remontée de sud se dissipe et disparaisse. Il y a plus à dire que ce qui a été dit, je pense que je vais ouvrir un topic. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
djazzz Posté(e) 31 mai 2009 Partager Posté(e) 31 mai 2009 Re salut tout le monde. Nouvelle interrogation concernant des nuages, ce sont ceux qui sont passés juste après la première vague d'orages du 25 mai au sud de la Belgique! Ils ont vraiment un aspect surréaliste je trouve! Qu'est-ce que c'est? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Christophe30 Posté(e) 1 juin 2009 Saint-Quentin-la-Poterie (30) Partager Posté(e) 1 juin 2009 Surement l'enclume d'un orage avec des mamatus, c'est ce qui me semble le plus probable. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
aepsylone Posté(e) 1 juin 2009 Partager Posté(e) 1 juin 2009 mammatus, sur 100% Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
djazzz Posté(e) 1 juin 2009 Partager Posté(e) 1 juin 2009 Et bien ce sont mes premiers mamatus alors. Merci pour vos réponses ;-) . Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 10 juin 2009 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 10 juin 2009 Moi j'aurais dit des mammas plutôt (avec 2 M au milieu) Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
hans scholl Posté(e) 30 juin 2009 Partager Posté(e) 30 juin 2009 hello tout le monde,je suis nouveau,j'ai appris tellement de chose que je me suis inscrit !! nottament l'explication de ces fameux nuages aspératus,j'ai une question sur un phénomène météorologique qui ,pour moi,esy incompréhensible, http://www.dailymotion.com/relevance/searc...p-chine-12_tech voila,si vous pouviez m'eclairer Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cyrilleb Posté(e) 20 juillet 2010 Foussais-Payré (85) / La Bruffière (85) Partager Posté(e) 20 juillet 2010 Bonjour à tous, Le 1er juillet 2010, j'ai photographié un nuage un peu étrange, voici la photo: Il y avait 5 ou 6 nuages similaires dans le ciel, avec un léger voile de cirrus au-dessus. La photo a été prise à 13h55 près de Nantes. Savez-vous de quel type de nuage il s'agit? J'ai fait des recherches sur des sites spécialisés, mais je n'ai rien trouvé. Pourtant je pense en avoir déjà vu dans photolive. Est-ce un altocumulus lenticulaire? Un altostratus undulatus? Une sorte de cumulus? A vos réponses! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 20 juillet 2010 Partager Posté(e) 20 juillet 2010 Pour ma part je pense tout simplement à des cirrus plus dense. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
RobinR Posté(e) 20 juillet 2010 Partager Posté(e) 20 juillet 2010 Je pense plutôt que ça s'approche du cirrocumulus (undulatus), mais certainement pas d'un cirrus /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Guest Posté(e) 20 juillet 2010 Partager Posté(e) 20 juillet 2010 Je pense plutôt que ça s'approche du cirrocumulus (undulatus), mais certainement pas d'un cirrus /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Autant pour moi alors. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cyrilleb Posté(e) 21 juillet 2010 Foussais-Payré (85) / La Bruffière (85) Partager Posté(e) 21 juillet 2010 Merci pour vos réponses. je pense effectivement qu'il ne s'agit pas d'un cirrus, le nuage ne semble pas constitué de cristaux de glace, à cause de sa couleur légèrement grise et à cause de l'absence de filaments blancs caractéristiques des cirrus. Un cirrocumulus, pourquoi pas... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 21 juillet 2010 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 21 juillet 2010 Pour moi cela a encore moins les caractéristiques d'un cirrocumulus. Où sont les petits éléments en forme de granules-rides qui devraient le composer ? le nuage ne semble pas constitué de cristaux de glace, à cause de sa couleur légèrement grise Un Ci spissatus dans ce cas... Cirrus dont l'épaisseur optique est suffisante pour qu'ils paraissent grisâtres lorsqu'ils se trouvent en direction du soleil. En fait j'aurais même dit un cirrus spissatus intortus Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Arkus Posté(e) 21 juillet 2010 Toulouse Partager Posté(e) 21 juillet 2010 je pense effectivement qu'il ne s'agit pas d'un cirrus, le nuage ne semble pas constitué de cristaux de glace, à cause de sa couleur légèrement grise et à cause de l'absence de filaments blancs caractéristiques des cirrus. Je suis bien d'accord, et pour avoir déjà rencontré ce nuage je penche pour une version un peu différente des autres propositions : il s'agit selon moi d'un altocumulus lenticularis lacunosus. L'absence d'ombre propre s'expliquerait par la faible épaisseur.S'il est relativement rare en plaine, il peut se former plus facilement au dessus des reliefs, comme dans cet exemple avec une extension horizontale bien plus importante. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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