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Orthographe


Invité

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Posté(e)
Saint-Etienne (42), quartier de Terrenoire (alt. 500m)
Le ‎30‎/‎08‎/‎2017 à 20:08, Canada Goose a dit :

Tout le monde devrait faire ce test : http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/08/30/quiz-savez-vous-ecrire-les-abreviations_5178648_4401467.html

 

Pour être tout à fait honnête, j'ai eu 28/30. Je fais donc honneur à ma réputation. :D 

 

On pourrait rappeler - une nouvelle fois - que km est invariable et que l'on doit laisser un espace entre le nombre et toutes les unités (comme °C).

Exemples : 300 km ; 27,3 °C (et non pas 300km ou, pire, 300kms ; et pas 27,3°C).

25/30 perso... :)

Modifié par Peki2
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Je déterre ce topic parce que j'ai voulu poster en "long terme" une description prometteuse et bucolique de cette fin d'hiver (trop) douce, et j'ai évoqué les effluves printaniers. Depuis, ce terme a

Je ne suis pas sûr que le fait de venir de tel ou tel endroit implique forcément une bonne ou mauvaise orthographe, ce n'est qu'un facteur à mon sens.   Je suis né à Nanterre, y ai grandi, e

J'ai beau être grand amateur de littérature, de poésie et de chanson française, je ne parvient pas à être en accord avec vous.  pour moi, le français, c'est la langue parlée par les français. si

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Posté(e)
Les Sables d'Olonne

"Si le mercure a du mal a grimpé, c’est aussi parce que le soleil est très souvent resté cacher......"

 

Voici la phrase relevée aujourd'hui dans un article d'une page du journal Ouest-France, qui traite de la météo locale de septembre.

Les jeunes journalistes à l'image d'une partie de nos concitoyens (victimes des méthodes d'enseignement du français depuis 30 ans)

ont bien du mal avec le participe passé et l'infinitif.

Les règles sont pourtant simples ?!

Je constate depuis quelques années qu'ils ne se posent même  plus la question de savoir si c'est correctement écrit,

et pourquoi s'en faire puisque parmi les lecteurs, une bonne moitié ne verra rien à redire !

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  • 2 months later...
Posté(e)
Montpellier (34), Montreuil (93) ou Ciran (37)
Il y a 2 heures, Canada Goose a dit :

Un détail, certes, mais on le voit absolument partout, sur ce forum et ailleurs : on ne dit pas : « il neige sur Paris » mais « il neige à Paris ».

 

Sauf à considérer implicitement que l'on parle des toits de Paris, à l'image d'un certain Paul Verlaine qui pleurait dans son cœur comme il pleuvait sur la ville...

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Il y a 15 heures, Canada Goose a dit :

Un détail, certes, mais on le voit absolument partout, sur ce forum et ailleurs : on ne dit pas : « il neige sur Paris » mais « il neige à Paris ».

 

 

L'écart à la norme est avéré dans l'exemple : *J'habite sur Paris.

 

Dans Il neige sur Paris, c'est moins clair.

 

La construction impersonnelle du verbe atmosphérique neiger accepte d'être accompagnée d'une séquence précisant soit la nature (Il neige des gros flocons, des confettis), soit le lieu du phénomène.

 

Dans cet exemple, on pourrait analyser la séquence sur Paris comme un groupe prépositionnel ayant fonction de complément circonstanciel de lieu (=déploiement ou contact par recouvrement du phénomène de neige, vérifié dans l'expression Paris est sous la neige, sous les eaux.).

 

La préposition sur me semble ici être bien employée dans sa dimension spatialisante.

Modifié par Cleofide
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Il y a 1 heure, Cleofide a dit :

L'écart à la norme est avéré dans l'exemple : *J'habite sur Paris.

 

Dans Il neige sur Paris, c'est moins clair.

 

Oui, en effet. En fait, j'ai pris un mauvais exemple pour exprimer ce que je voulais dire... :P 

 

Tu as très bien résumé le tout.

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J'ai moins de 30 ans (enfin, pour quelques jours encore) et je fais bien sûr quelques fautes mais je ne me trompe jamais entre l'infinitif et le participe passé. Je pense que ça vient du fait que j'ai trois langues maternelles et que dans les deux autres langues que je connais (l'espagnol et l'anglais), infinitif et participe passé ne sont jamais des homophones (à l'oral, donc).

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  • 1 month later...
Posté(e)
Saint-Jean-des-Bois (Tinchebray Bocage), dans l'Orne, à 500 mètres de la Manche et 4 km du Calvados.

J'ai encore aujourd'hui vu sur un fil de discussion, je ne sais plus lequel,  à priori.

Cette expression s'écrit sans accent tout comme a posteriori.

De même, régulièrement, je vois ect au lieu de etc. Ces trois lettres sont juste les trois premières de l'expression et cetera ou et caetera ou encore et cætera.

Et comme c'est une abréviation, il faut obligatoirement un point après ces trois lettres!!!

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Posté(e)
Saint-Jean-des-Bois (Tinchebray Bocage), dans l'Orne, à 500 mètres de la Manche et 4 km du Calvados.

Tiens, une petite erreur qui arrive parfois dans le forum.

Le verbe "espérer que" est suivi de l'indicatif et non du subjonctif.

Même si certains linguistes estiment que le verbe peut être exceptionnellement suivi du subjonctif, il est d'usage de l'utiliser avec l'indicatif.

En revanche, quand espérer est utilisé à l'impératif, il est suivi du subjonctif!

C'est bien complexe tout cela!

Modifié par GD61
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"J'espère qu'il est à la hauteur."

"Espérons qu'il soit à la hauteur."

 

La conjugaison se fait instinctivement, je trouve. Un autre temps choquerait tout de suite. "J'espère qu'il soit à la hauteur."

Modifié par A.M.
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Posté(e)
Gambais (78) - Altitude : 100 m et Guyancourt (78) pour le travail
il y a 8 minutes, A.M. a dit :

La conjugaison se fait instinctivement, je trouve. Un autre temps choquerait tout de suite. "J'espère qu'il soit à la hauteur."

Par contre, on pourrait envisager "J'espère qu'il sera à la hauteur".

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Posté(e)
Les Sables d'Olonne
il y a 43 minutes, GD61 a dit :

 

En revanche, quand espérer est utiliser(é) à l'impératif, il est suivi du subjonctif!

C'est bien complexe tout cela!

Oui enfin ce qui paraît bien complexe aujourd'hui c'est la règle sur l'utilisation de l'infinitif et du participe passé  :D

 

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Posté(e)
Saint-Jean-des-Bois (Tinchebray Bocage), dans l'Orne, à 500 mètres de la Manche et 4 km du Calvados.
à l’instant, Paulo a dit :

Oui enfin ce qui paraît bien complexe aujourd'hui c'est la règle sur l'utilisation de l'infinitif et du participe passé  :D

 

Je suis impardonnable!!! Moi qui pourtant me relis et suis à cheval sur l'orthographe, je me permets une énorme bourde d'orthographe!

Et, en plus, dans le topic "orthographe", c'est très fort!!! Merci d'avoir remarqué l'erreur!

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il y a 2 minutes, GD61 a dit :

Je suis impardonnable!!! Moi qui pourtant me relis et suis à cheval sur l'orthographe, je me permets une énorme bourde d'orthographe!

Et, en plus, dans le topic "orthographe", c'est très fort!!! Merci d'avoir remarqué l'erreur!

 

Oh, c'est une faute d'inattention, ça arrive. Parfois, j'ai beau me relire 10 fois, je peux ne pas voir une faute de frappe... tout simplement parce que je suis convaincu de lire ce que j'aurais dû écrire.

 

Pour rester dans le thème, un petit rappel : après après que, on doit employer l'indicatif (le présent ou le passé simple, généralement) et non le subjonctif. C'est une faute très répandue, même chez les journalistes... qui ne sont plus des références depuis longtemps. En revanche, on met bien le subjonctif après avant que.

 

- Après que la neige est tombée à Paris (fiction :D)...

- Avant que la douceur ne revienne (réalité xD)...

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à l’instant, Canada Goose a dit :

 

Oh, c'est une faute d'inattention, ça arrive. Parfois, j'ai beau me relire 10 fois, je peux ne pas voir une faute de frappe... tout simplement parce que je suis convaincu de lire ce que j'aurais dû écrire.

 

Je préfère ne pas me relire... sinon mes messages ne partiraient jamais (formulations).

Si je me relis, je risque de faire des phrases bancales (changer une partie de l'énoncé mais pas l'autre).

 

[Là, ci-dessus, ma 1ère phrase commençait par « Je ne me relis jamais... » ; comme pas tout à fait exact j'ai changé et la nouvelle phrase entière ne le fait plus trop.]

 

Sinon offre de stage vue ce jour (bon lexicographie et non orthographe) :

http://www.atilf.fr/IMG/pdf/offre-de-stage-le-robert-2018.pdf

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Posté(e)
Saint-Jean-des-Bois (Tinchebray Bocage), dans l'Orne, à 500 mètres de la Manche et 4 km du Calvados.
il y a 7 minutes, Canada Goose a dit :

 

Oh, c'est une faute d'inattention, ça arrive. Parfois, j'ai beau me relire 10 fois, je peux ne pas voir une faute de frappe... tout simplement parce que je suis convaincu de lire ce que j'aurais dû écrire.

 

Pour rester dans le thème, un petit rappel : après après que, on doit employer l'indicatif (le présent ou le passé simple, généralement) et non le subjonctif. C'est une faute très répandue, même chez les journalistes... qui ne sont plus des références depuis longtemps. En revanche, on met bien le subjonctif après avant que.

 

- Après que la neige est tombée à Paris (fiction :D)...

- Avant que la douceur ne revienne (réalité xD)...

L'erreur est humaine. C'est vrai que je pensais vraiment avoir lu ce que j'aurais dû écrire... Ah, les méandres de notre cerveau!!!

Encore aujourd'hui, j'entendais mon directeur, justement, utiliser le subjonctif après "après que". Et pourtant, il est très à cheval sur l'usage d'un français soutenu. Je ne lui ai rien dit mais, au fond de moi, cela me démangeait!

Un rappel intéressant ici avec un petit test ! https://www.projet-voltaire.fr/regles-orthographe/apres-qu-il-a-ou-apres-qu-il-ait/

Modifié par GD61
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il y a 2 minutes, Thundik81 a dit :

Je préfère ne pas me relire... sinon mes messages ne partiraient jamais (formulations).

Si je me relis, je risque de faire des phrases bancales (changer une partie de l'énoncé mais pas l'autre).

 

Ah moi, je suis allergique aux fautes... :D Donc quand j'écris, ici ou sur mon blog (surtout), je me relis toujours.

Et tu as raison : parfois, ça fait changer des mots, des formulations, bref, on s'en sort plus !

 

Sympa, ton stage. Mais un peu loin pour moi...

 

il y a 2 minutes, GD61 a dit :

Encore aujourd'hui, j'entendais mon directeur, justement, utiliser le subjonctif après "après que". Et pourtant, il est très à cheval sur l'usage d'un français soutenu. Je ne lui ai rien dit mais, au fond de moi, cela me démangeait!

Un petit rappel intéressant ici avec un petit test ! https://www.projet-voltaire.fr/regles-orthographe/apres-qu-il-a-ou-apres-qu-il-ait/

 

Et comme je le mentionnais dans un autre sujet, il y a quelques jours, cela fait partie des règles que la majorité (des gens) ne connaît pas. De fait, ce sont les gens qui font la faute qui corrigent ceux qui ne la font pas. Comique, non ? :D 

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Posté(e)
Saint-Jean-des-Bois (Tinchebray Bocage), dans l'Orne, à 500 mètres de la Manche et 4 km du Calvados.

Et une toute petite dernière.

Les journées de pluie se sont succédé au mois de décembre!

Le se du verbe pronominal est un C.O.I. Par conséquent, il ne s'accorde pas!

En fait, la phrase pourrait se dire ainsi : les journées de pluie ont succédé à des journées de pluie.

Si le se est un COD, il y a accord.

Me suis-je bien fait comprendre?

Modifié par GD61
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Posté(e)
Haute-Loire - Coubon (650m)

Wow, hey ben, on en apprend ici, entre le "à priori" => a priori, l'histoire de l'indicatif après "après que",  et l'histoire du "se". Je ne me considère pas comme un cancre de l'orthographe, mais là, je me serais planté sur un exercice.

 

C'est vrai que dans le cas du "après que", le subjonctif paraît plus naturel au son, et pourtant la règle, c'est l'indicatif. Bizarre parfois la langue française.

 

Et pour les pluies qui se succèdent, j'aurais certainement fait la faute d'accorder aussi!

 

Merci pour ces rappels. Le problème, c'est qu'il faut les retenir :)

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Pour cette histoire d'a priori/à priori, apparemment on peut l'écrire sous les deux formes. Sans l'accent en italique et avec accent sous sa forme francisée sans italique.  Enfin, on voit que même chez les férus de la langue ce n'est pas toujours très clair avec des hésitations. 

 

http://www.langue-fr.net/spip.php?article128

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il y a 34 minutes, Higurashi a dit :

Pour cette histoire d'a priori/à priori, apparemment on peut l'écrire sous les deux formes. Sans l'accent en italique et avec accent sous sa forme francisée sans italique.  Enfin, on voit que même chez les férus de la langue ce n'est pas toujours très clair avec des hésitations. 

 

Ouais, ça vient de la réforme de 1990... que je n'aime pas. Les puristes dont je fais partie utiliseront la forme latine, en italique. :) 

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Pour ceux qui veulent délirer sur se succéder, j'avais écrit il y a un moment cet article : http://entretiens-nocturnes.xyz/index.php?post/13/Interprétation-réciproque

 

J'étais un peu imbibé, cela dit.

 

Pour espérer et le mode qui suit dans la subordonnée, je rappelle que c'est fréquemment le sémantisme de la principale qui le conditionne.

Dans la linguistique guillaumienne, l'opposition classique se fait entre espérer et souhaiter. Dans le premier, le locuteur considère avant tout la probabilité de l'événement ; dans le second, il considère de façon plus restreinte sa seule possibilité. Il est considéré que la possibilité est, dans l'ordre de la réalisation d'un événement, en deçà de la probabilité. La position dite chronogénétique (architectonique de temps ou encore cinétisme) est donc différente et déclenche, pour souhaiter, une virtualisation de l'image regardée (temps dit in fieri, en devenir, mode subjonctif), et donc le subjonctif.

 

Espérons qu'il vienne n'est pas une contradiction ; il faut prendre en compte le mode de la principale quand on se questionne sur le subjonctif , toujours. Raison pour laquelle, sauf rares cas, le subjonctif est toujours enchâssé dans un système modal qui le contient (en gros, il n'est pas en principale).

Modifié par Cleofide
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Oh la la, je suis désolé, je vous ai lâché ça comme ça sur le subjonctif, c'est incompréhensible. Le dimanche, j'ai zéro en pédagogie :(, mais j'ai pas le courage de faire mieux.

Modifié par Cleofide
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