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ChristianP

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Tout ce qui a été posté par ChristianP

  1. Bonsoir, Pour un thermo boîtier, le Voltcraft ici aussi n'est pas mauvais en T nocturnes sans neige dans mon coin (écarts de T/1mn du 21/01/2013 au 01/02/2013, à 1 m du sol fixé contre un fin piquet) : Ca vient probablement du fait qu'il y a un mini toit aéré au-dessus de la partie du boîtier étanche où est située la petite thermistance. Ca limite probablement le refroidissement par rayonnement, mais bon ici dans le sud au soleil, pour les Tx, il ne faut pas en parler même en cette saison. (En le peignant en blanc brillant, on devrait améliorer encore les Tn en plus des Tx)
  2. A Besse vers 14 h : 106 km/h à 17.5 m 101 km/h à 16.4 m 93 km/h à 16 m 84.9 km/h à 10 m 76.7 km/h à 3.4 m 66 km/h à 2 m Actu ça se calme avec les nuages qui arrivent par par l'Est.
  3. Selon les sources, les seuils de T sont pour le moins variables pour les limites de l'olivier. Ici pas mal d'infos avec les T du passé très intéressantes (pages 249, 250, 253...) avec des cartes sur les zones favorables (P 262 par ex) et des stats sur le nb de "victimes" pendant certains coups de froid. http://www.persee.fr...6_num_44_2_1762 Gaël13, Je ne sais pas si tu rends bien compte de l'absence de significativité mathématique de ta moyenne sur 5 valeurs seulement (des extrêmes en prime !) sur un point donné, elle n'a pas de sens. Beaucoup de stations avec des moyennes centrales que tu jugeras différentes ne le seront pas en fait mathématiquement à cause des larges IC ( à comparer avec la significativité d'une Tnm mensuelle mensuelle/ 30 ans (donc 900 Tn pour l'estimer) ou hivernale /30 ans pour un point donné , 2700 échantillons de Tn, qui ne sont pas en majorité des valeurs extrêmes plus difficiles à cerner faute de milliers d'années) Donc une moyenne des Tn mensuelles à -8° du vieux bouquin en lien (-7° en corrigeant avec les abris récents fermés) avec 900 échantillons, c'est bien plus efficace. L'ancienne station de St Maximin (déplacée il y a peu, à quelques centaines de mètres et 10 m plus bas que notre StatIC) très bien placée à la campagne pratiquement en fond de plaine à environ 300 m d'altitude, n'a rien à voir avec celle de St Martin d'Hères péri-urbaine classe 4, avec l'abri bien trop proche de la maison et d'un versant ensoleillé fortement pentu (pour moi elle n'est pas aux mêmes normes, il y a des années nous avons été plusieurs dans IC à préconiser la modification de l'installation ou son retrait de StatIC. Je ne sais pas si vous vous rendez compte mais les Tnm certains mois d'été pendant la comparaison, arrivaient à être plus froides sur ce toit élevé que sur la station au sol, ce qui est complètement anormal. Ca dénote un production massive et artificielle de chaleur vu que la station sur ce toit est aussi obligatoirement trop chaude en Tn que ce soit en été ou en hiver même quand celles de la station au sol deviennent plus froides en hiver que sur le toit) Le site de St Maximin est bien plus comparable à celle de l'aéro du Versoud en tenant compte des différences d'altitude. En prenant un point donné et/ou quelques périodes trop courtes pour le paramètre donné, on peut faire dire tout et son contraire. Pour le secteur de Nice par exemple, il suffit de regarder en bas du village de Contes à 10 km de la mer, avec des moyennes de Tn certains hivers parfois plus froides et avec plus de jours de gel qu'à Strasbourg ! Donc utilisez un TAF, un site urbain ou autre, assez comparables dans chaque région, ainsi que des paramètres réellement climatiques (on ne va pas résumé le climat du Var à cause de 1956 au milieu de même 10 autres valeurs extrêmes plus "normales" et qui va décimer un paquet des végétaux qui ne sont prévus pour y résister !) et encore pour comparer des plaines à altitudes assez comparables, dans l'absolu il faudrait étudier les points hauts relatifs et en tenir compte, car la production de froid ne sera pas la même dans une plaine entourée de massifs représentant une altitude moyenne sur tout l'horizon de 300 m et/ou x° de fermeture par rapport celle entourée d'une altitude moyenne 1500m et/ou x° autres degrés de fermeture, idem si dans une plaine le producteur de froid c'est un versant N et dans l'autre c'est un versant Sud. On pourra toujours trouver des conditions locales favorables à une culture bien plus au Nord de l' iso moyen d'une carte globale comme celle de Gaël13 qui ne tient pas compte des données physico-topographiques les plus pertinentes pour les cas concernés (altitude, distance de la mer (et/ou latitude longitude), profondeur et distance du point-bas relatif, pente, exposition, distance du centre-ville, ouverture du site, couverture du sol...) Pour info ici un mimosa planté après 1985 est mort en fév 2012 avec le record de ma station à -10.9°, alors qu'il n'avait pas eu de problèmes en étant plus petit sous -10.6° en mars 2005 (pas de jours sans dégel à la station depuis l'ouverture en 92)
  4. Quelques réponses ici :www.futura-sciences.com/fr/news/t/climatologie-1/d/lantarctique-setend-larctique-fond-mais-pourquoi_42607/ Le tableau n'est pas symétrique, vu qu'à l'inverse de l'Arctique, la tendance est non significative (ça signifie que l'augmentation ne dépasse pas la variabilité habituelle, on considère donc que la tendance est nulle) du moins depuis le début des mesures sat en Antarctique, j'en ai parlé ici : /topic/40218-suivi-de-lenglacement-au-pole-sud/page__st__160#entry1921381'>http://forums.infocl...60#entry1921381
  5. Je ne tourne pas en rond, je situe bien le problème, le désaccord est fondamental. Nanofusion pour rejeter les résultats des stats sur un cas concerné, invalide/minimise arbitrairement la qualité et l'importance de l'ensemble de la science statistique, en faisant l'amalgame entre ceux qui l'utilisent pour tromper volontairement les gens ou qui leur font dire n'importe quoi par erreur /subjectivité involontaire faussant les résultats, avec ceux qui utilisent ces lois avec une méthodologie scientifique correcte et juste, qui ne biaisera pas les résultats. Combien de sciences "nobles" pourraient être dénigrées au nom des détournements que la bêtise et l'incompétence humaines en font ? Comment peut-on minimiser une science en se fondant sur des usages malhonnêtes ou erronés ? En physique aussi, on a observé et on observera toujours des expériences erronées qui produisent des résultats faux entraînant des déductions fondamentales bidons, certains mèneront des expériences physiques subjective qu'ils savent fausses d'entrée pour prouver telle théorie ou par intérêt. Certains utiliseront aussi par erreur volontaire ou non, des lois physiques parfaitement justes pour expliquer telles obs, sans qu'elles soient du tout valides pour le cas concerné et il existe même des aberrations physiques bien réelles, inexplicables, contraires à la physique la plus élémentaire, mais absolument personne ici n'osera sortir ce genre d'argument, en faisant passer pour une science de seconde zone la physique, à cause des pratiques biaisées humaines habituelles dans tous les domaines, pour ne pas accepter des résultats à partir de la physique sans avoir besoin de réaliser de démonstrations scientifiques d'invalidité sur le cas concerné. Pour refuser des résultats que ce soit en physique ou en stats (ou autres), il suffit de montrer scientifiquement qu'ils sont invalides. L'argument seul que certains peuvent faire dire tout et son contraire avec la physique (ou avec les stats) mal appliquée, par erreur ou volontairement, n'a absolument aucun sens et n'est donc pas du tout recevable. Le seul argument recevable c'est de démontrer scientifiquement qu'il y a erreur scientifique dans le cas concerné, car présenter des généralités du café du commerce sur la validité générale ou non de la science statistique ou physique, c'est du bla-bla qui ne démontre rien. Il ne fait qu'exposer une partie du comportement humain pour tenter de déboulonner la science concernée et je peux aussi m'amuser à déboulonner toutes les sciences avec sa façon de faire qui est à des années lumières de la démarche scientifique ! Sinon pour revenir aux SSW, est-ce que quelqu'un a l'adresse des données mensuelles chiffrées pertinentes de ce paramètre sur la plus longue durée possible ? Merci !
  6. Salut Chris Oui Chris c'est clair. Dans la partie commentaire à propos des pratiques malhonnêtes par intérêt, je pensais justement à ce type manipulation statistique par intérêt aussi purement politique. Ca me rend assez malade de voir comment on peut utiliser des biais parfaitement connus et identifiables par des personnes qui sont autrement plus compétentes que moi en stats. C'est ce type de manip par intérêt qui fait la mauvaise réputation des stats. Le problème c'est qu'en politique on peut mentir sur absolument tout sans problèmes pour être élu ou rester élu et il n'y a pas de processus scientifique international pour invalider définitivement des études nationales parfois orientées et faites pour sortir les résultats qui font plaisir. Là on est très loin de la science. Pour moi c'est certain qu' hors processus scientifique, il faut prendre toutes les études stats avec des pincettes (y compris les miennes ! ) Oui Maxicobra, Paix en avait fait sorties quelques unes d'intéressantes dans nos forums avec certains indices, mais pas avec les SSW.
  7. La solution alternative c'est une batterie comme dans une station pro, batterie qui reviendra autrement plus chère à changer régulièrement (à voir aussi si le panneau solaire ne doit pas être plus dimensionné pour une batterie que pour ce condensateur) et pas souvent aussi durable que ce condensateur (ici 6 à 8 ans pour les condensateurs des modules et stations Davis V2, sauf un changé pendant la garantie, donc moins de 2 ans dans ce cas) qui est un non problème vu qu'il est très simple à changer et pas cher chez Conrad ou autres. Même s'il tombait en panne en moyenne au bout de 2 ans et 1 jour après la garantie (ce qui n'est pas le cas, car dans les forums vous ne voyez que les problèmes, pas le vrai taux de pannes sur l'ensemble de la production en fonction, des dizaines de milliers de stations dans le monde où un pourcentage inconnu utilise un condensateur avec une durée de vie normale pour ce type de composant), c'est rentable. Pour ceux qui ne peuvent pas souder, il vous suffit de changer le condensateur avant que le produit chimique bouffe le métal (dés que vous avez une réduction de la durée de vie de la pile, changez le et chaque année et à chaque changement de pile, regardez-le) et de connecter le nouveau sur les branches en bon état toujours soudées, coupées à ras de l'ancien condensateur. Ici je change plus souvent le gros condensateur du coffret de démarrage de ma pompe de forage à 85 m de profondeur, condensateur qui fonctionne bien moins souvent que les condensateurs des modules et stations Davis ! Je vous signale que dans le réseau le plus haut de gamme au monde, c'est la batterie et les ventilo des abris qui tombent largement le plus en panne, malgré les changements préventifs, ce que font peu d'amateurs (et oui, qui ici change son capteur de HR tous les 2 ans, l'ILS tous les 4 ans, la batterie ou le condensateur tous les 4 ans, le ventilo tous les 3 ans ? ) Les stations pro nécessitent une maintenance pro aussi et même avec ces changements, il y a des pannes qui vous videront autrement plus le portefeuille que de changer un capteur Davis. Les ILS sont changés tous les 4 ans préventivement dans le réseau pro, aucune panne d'ILS rapportée dans tous les US depuis l'ouverture du réseau depuis plus de 10 ans. L'ILS est un vieux composant c'est clair, mais il n'est pas obsolète, vu qu'il est présent dans les anémo haut de gamme aux US qui est étudié pour avoir le meilleur rapport fiabilité+précision+ maintenance faible/prix et il est aussi présent dans le tout dernier pluvio à plus de 2000 euros chez MF (le Précis Mécanique moderne). Le problème du Davis, c'est que l'ILS n'est pas un modèle noyé d'origine à l 'usine avant manipulation dans un bloc plastique/résine. Ici j'ai eu à changer l'ILS sur plus de pluvio Davis (un récent encore cet hiver) que d'anémo Davis, qui lui fournit pourtant, sur les 2 anémo à 16 m avec un Mistral puissant fréquent, un nombre de contacts autrement plus conséquent en un jour que sur ces pluvios depuis leur installation. C'est probablement au moment de l'installation du composant non protégé, qu'il est fragilisé C'est un composant qui est simple à changer et qui n'est pas cher, donc là encore c'est un non problème. Ceux qui ne veulent pas comprendre qu'il est nécessaire de maintenir le matériel électronique et qu'ils auront des pannes autrement plus chères sur du très haut de gamme, doivent repasser au matériel strictement manuel. Un anémo revient moins cher avec un câble qui contient un fil de moins que pour un anémo à composant à effet hall (à priori d'après certains dans les forums, ce composant est présent sur les dernières Davis Vue tout en un, là on ne pouvait pas changer l'ILS sans changer d'autres composant, ce qui revient autrement plus cher, c'est donc indispensable) Il faut vous mettre dans la tête que les pannes arriveront toujours quelque soit le niveau de gamme et pas obligatoirement moins souvent sur du matériel pro très cher (ici sur le Précis Mécanique, les augets inox de qualité, avec amortisseur de gouttes, roue crantée guidant le basculement, se bloquent parfois sans raison apparente, ils ne basculent pas alors qu'ils débordent quand le poids dépasse pourtant très largement le réglage qui ne nécessite pas de remplir autant les augets que sur un Davis. Ce n'est jamais arrivé sur mes Davis qui sont bien plus limites) Le matériel pro ne se justifie que lorsqu'on cherche un gain réel de précision (changer de pluvio pour un PM à plus de 2000 euros, ça n'a aucun sens d'autant plus que vous n'intégrez pas l'équation MF dans la console Davis qui corrige la quantité en fonction de l'intensité, autant vous acheter un des meilleurs pluvio des essais de l'OMM) et pour un gain net de longévité dans les milieux agressifs (salés par ex)
  8. Les paroles de ce prof, ne sont qu'un des nombreux exemples de personnes compétentes dans d'autres domaines ainsi que la quantité industrielle de publications de toutes les sciences utilisant les stats pour faire parler les résultats les plus fondamentaux, qui ont quelques peu plus de poids que ton avis. Ce sont les données récoltées, même les plus simples de notre monde physique (il n'y a pas que des chiffres, le ciel est bleu, le soleil chauffe, ce sont aussi des données observées), qui font qu'on émet des théories en sciences fondamentales pour essayer d'expliquer pourquoi on observe ces données. Malheureusement pour toi, là où il y a des données en science, il y a analyse scientifique des données, donc application et développement des méthodes mathématiques en statistiques (tu n'as pas l'air de comprendre que ce sont des maths avec des règles aussi importantes à respecter que d'utiliser la multiplication dans tel cas et l'addition dans tel autre cas, où là comme tu maîtrises ce sujet, tu ne vas pas nous dire que c'est subjectif d'utiliser la bonne méthode pour trouver le résultat objectif à un problème qui te paraît simple ! ) Dans toutes les sciences, on récolte des obs, ainsi que dans toutes expériences, il y a des données. Si on veut avancer, on est obligé de les exploiter scientifiquement, avec les méthodes des mathématiques statistiques, qui justement sont conçues pour éliminer le plus possible de faire des choix subjectifs et pifométriques qui vont biaiser les résultats. Elles sont efficaces dans TOUS les domaines quand les méthodes sont choisies et appliquées correctement là où c'est possible, ce qui n'est pas toujours simple même pour des spécialistes. C'est pour cette raison qu'il existe des études qui sortent rapidement dans les médias, mais qui sont rejetées un peu plus tard pour défaut méthodologique. Je n'ai pas indiqué que tu l'avais dit. J'ai cité simplement cet élément comme type d'erreur courante à ne pas commettre en utilisant les méthodes statistiques inadaptées aux lois physiques concernées. Les stats ne sont rien à elles seules, elles permettent seulement de lire scientifiquement les données. Les sciences fondamentales sans analyse scientifique des données ( donc statistique des données), restent inexploitables. Elles ne donneraient pas grand chose de pratique pour le monde réel, ça resterait de vagues théories, si on refusait d'analyser les données scientifiquement avec les méthodes statistiques prévues pour, simplement parce qu'on décrète qu'on peut faire dire n'importe quoi avec ces méthodes mathématiques en général et non pas à cause de mauvaises pratiques, voir de pratiques malhonnêtes pour des intérêts divers. Ce sont les théories qui expliquent pourquoi on a ces données, pas les stats! Les méthodes stats ne font que constater objectivement ce qu'on peut trouver dans les données. Dans le cas présent elles essaient de déceler si l'influence est significative ou non, elles ne cherchent pas l'explication des principes physiques de l'influence négligeable ou significative ! J'ai indiqué maintes fois que les choix des méthodes stats ne doivent pas aller contre les lois des sciences fondamentales déjà bien admises et que tous les choix des méthodes statistiques doivent être justifiés, elles ne peuvent créer le monde physique, ton histoire sur le fait que les stats puissent générer le big-bang est absurde. Ce sont les données issues d'obs (on observe l'univers, l'univers est un ensemble de données visibles qu'on observe, on émet une théorie par rapport aux données visibles avec les moyens techniques d'obs et de détection à l'instant t et par rapport aux équations fondamentales développées à partir des travaux mathématiques et physiques précédents) et d'expériences, analysées scientifiquement par les méthodes stats, qui forcent à admettre telle ou telle théorie, ce ne sont pas les données qui créent les lois physiques, les données sont générées par ces lois physiques fondamentales, ce sont les résultats de ces lois qu'on analyse avec les stats et non pourquoi on arrive au résultat, alors dire que je soutiens le contraire de ces évidences, ne te rendra pas plus crédible. Quand on met un thermo au soleil, on constate avec les stats simples que le soleil chauffe significativement, même si on ne savait toujours pas expliquer pourquoi ! On ne cherche pas à expliquer pourquoi il y a ou pas un impact à l'aide des stats, on ne fait que constater s'il y a impact négligeable ou pas, c'est tout. On n'émet pas une théorie au pifo basée sur aucune donnée, pour ensuite aller tordre les données du monde réel pour les faire coller à sa théorie, c'est l'inverse qui se passe. On recueille des données, on cherche à expliquer pourquoi on a ces données avec les lois fondamentales ou de nouvelles lois si aucune de celles connues collent à l'analyse statistique correcte des données récupérées correctement (là aussi, avec les stats on détecte des problèmes dans la façon d'observer, mesurer et récolter des données, et oui encore elles, elles sont partout et fondamentales dans le processus scientifique et tu refuses de l'admettre !) Elle a une composante subjective quand les choix ne sont pas faits mathématiquement et quand la conception de l'analyse statistique n'a pas tenu compte de l'objectif donné.Il ne s'agit pas de définir un hiver froid selon notre vision perso ou selon la préférence moyenne du bon peuple (pour moi une moyenne inférieure à 25°, c'est un hiver froid, on serait mal barré, le cycle solaire produirait donc automatiquement que des hivers froids avec cette déf, que ce soit avec le maxi ou le mini du cycle ! Très crédible comme analyse ! La classification est justement à prévoir pour ne pas biaiser les résultats. ) C'est certain qu'il existe de nombreux choix subjectifs dans différents pays pour définir une VDF, car cet indicateur est surtout conçu pour communiquer sur les VDF dans les médias et non pour être publié vers les autres pays et vers les pairs, c'est de la tambouille maison. Un indicateur a été créé au niveau internationnal, il y a déjà un bon moment par les climatologues , pour le suivi du nb de VDF climatologiques, des jours climatologiquement froids, hivers froids... donc c'est revu par les pairs, là tu peux contester leur validité là où il faut. C'est clairement un seuil arbitraire pour nos ressentis, mais qui évite justement les biais subjectifs et surtout ceux dus aux incertitudes statistiques quand on veut suivre l'évolution de ce paramètre dans le cadre d'un changement climatique. Ce seuil du froid climatologique est déterminé par les 10% de valeurs les plus froides pour la zone ou le lieu considéré. Là pour le cycle solaire en rapport avec les hivers en France, il ne faut pas utiliser ce seuil, vu que je ne cherche pas à vérifier l'évolution du nb des hivers froids avec le RC (où je dois garder le signal climatique et une zone neutre assez importante pour voir l'évolution du nb des hivers les plus froids, qui variera plus rapidement que le nb d'hivers froids plus moyens qu'on est sensé observé encore plus longtemps que les plus extrêmes, malgré le RC) mais le rapport entre chaque type d'hiver (froid, normal, chaud, indépendamment de l'évolution du climat) et le cycle solaire. Donc là j'ai pris 33.3% pour chaque classe ( ceci sans le signal du RC qu'il soit ou non anthropique, même le signal de fond du soleil est à retirer, vu qu'il nous masquera le signal de l'influence du maxi/mini du cycle solaire sur la T de nos hivers) pour rendre équiprobable pour les mini/maxi du cycle, la zone "Normale" avec la zone "Chaude" et la "Froide" quelque soit l'évolution du climat en retirant donc le signal climatique. Ca nous évitera de récupérer des résultats biaisés artificiellement avec le seuil international de 10% qui n'est pas prévu pour pratiquer ce type d' analyse et qui créera de fait un surplus d'hivers "normaux" pendant les maxi/mini solaire (là ça aurait été une faute méthologique, 80% d'hivers normaux à répartir dans les maxi/mini solaire, pour 10% d'hivers chauds et 10% d'hivers froids. J'espère que c'est clair pour tout le monde que le seuil de 10% génére un biais méthodologique qui fera parler faussement les données ! J'ai peut-être raté un ou des biais à éviter, mais c'est à vous de jouer et de les débusquer) Pour le panel MF de 30 stations homogénéisées, il n'y a pas de problèmes, car j'avais comparé l'évolution avec les mailles terrestres GISS et Hadley sur la France qui utilisent bien plus de stations. L'évolution de l'anomalie est bien représentative de l'ensemble de la zone (si tu veux remettre en cause la façon de calculer la T moyenne représentative de la moyenne de tous les m2 de la maille sur la France, il faudra passer par les pairs. Lire des messages précédents dans les forums sur la façon de calculer l'anomalie moyenne d'une zone) Il y a des limites avec les stats sur ce cas, comme le fait d'utiliser le panel MF de 30 stations à la place de la longue série sur Paris, car il ne couvre pas tous les cycles solaires 1 à 24 avec les données du panel à partir de seulement 1900. Les résultats n'auraient aucun sens avec trop peu d'échantillons de maxi/mini, de plus j'ai vu que faute de données je ne pouvais/savais pas traiter assez correctement le signal climatique à retirer au panel. Donc voilà les limites principales en l'état actuel des bases de données climatiques, c'est le manque de données dans certains cas et/ où des données trop incertaines. Le problème ce ne sont pas les stats, mais c'est le manque d'obs propres sur une très longue durée. Oui c'est simple vu que personne n'a jamais eu l'idée saugrenue d'expliquer les SSW ici avec des stats ! Il faudrait d'abord que tu cherches à nous lire. Là on se contente de chercher à savoir s'ils ont ou pas une influence SIGNIFICATIVE sur la T hivernale en France sans rien expliquer du tout (je n'explique pas pourquoi le gaz chauffe l'eau de la casserole, quand je cherche à vérifier dans les données de T, si l'eau de la casserole chauffe ou non significativement ! C'est si compliqué que ça à comprendre qu'on ne fait que constater avec les stats, sans rien expliquer. Le problème c'est plutôt que que tu n'apprécies pas les constatations des stats. Tu peux les invalider en montrant qu'il y a des erreurs, ce qui est tout à fait possible.Ici certains avancent l'hypothèse (moi y compris) très simple que l'impact des SSW sur la T hivernale en France est significativement négatif, sans apporter la moindre preuve que les données de T hivernales en France sont influencées significativement vers le négatif par les SSW (qu'est ce qui nous prouve que dans toutes les données de T hivernales en France que les SSW n'influencent pas significativement cette T hivernale vers le chaud ou vers le neutre à l'échelle de la France, étant donné que personne n'a étudié les stats complètes avec SSW et sans SSW en rapport à tous les hivers en France ?) Pas besoin d'explication sur les SSW pour vérifier s'ils ont un impact significatif sur la T hivernale en France.Si la série pour le montrer est suffisante, ça se verra dans les données de T sur la France comme on le voit en GB d'après les travaux des spécialistes et comme on le voit dans les données que le paracétamol fait baisser la fièvre même sans savoir du tout comment il fonctionne au niveau chimique ou biologique (on constate simplement scientifiquement ce qui se produit ou pas dans les données quand on donne ou pas du paracétamol. C'est le rôle des théories et des sciences fondamentales d'expliquer les obs du monde réel, obs organisées, traitées, analysées scientifiquement avec les méthodes statistiques plus ou moins élaborées selon les cas concernés)
  9. Oui j'espère que c'est une bonne plaisanterie de Cotissois , car ce serait une grossière erreur mathématique de ne pas choisir une zone neutre (Normale) entre le froid et le chaud pour la T de la France étant donné l'IC d'une moyenne/30 ans (ce serait ne pas tenir compte de l'incertitude statistique de l'estimation de la normale, ce qui serait le comble de refuser cette classe, pour ceux qui se plaindraient des incertitudes avec les stats !) avant même de s'intéresser à l'incertitude de la mesure. Nanofusion, il y a environ 4 ans dans ces forums quand j'ai commencé mes petites explications de base sur les stats, je postais cette phrase qui est toujours d'actualité surtout avec toi : Donc si j'ai fait une erreur méthodologique (ce n'est vraiment pas impossible) qui fasse dire n'importe quoi aux chiffres sur le cycle solaire et la T hivernale en France, il faut me montrer où est l'erreur méthodologique pour que je la corrige au lieu de sortir tes généralités à deux balles sur les statistiques, alors que tout ce que tu utilises dans la vie moderne de tous les jours, tu le faits sans trop t'inquiéter des stats (sinon arrête ton ordi pour commencer !) alors que tout est conçu, fabriqué et sorti uniquement après d’innombrables études statistiques (les stats partent de la physique, chimie, biologie... il faut faire parler les données d'abord de toutes les recherches fondamentales, jusqu'aux plus petits des composants présents dans le matériel, les médicaments qui utilisent tous des lois fondamentales. Il y a des quantité d' études et de méthodes statistiques qui font qu'on a un matériel, un médicament ou autres, qui fonctionnent assez correctement un certain temps, sans nous tuer trop souvent. Si on expose en détail la façon d'arriver aux résultats, c'est bien pour que d'autres puissent mettre en évidence d' éventuelles erreurs. Je n'en fais pas moins que d'autres qui s'intéressent aux méthodes stats et j'en sors probablement énormément plus qu'un prof de stats qui travaille sur la météo/la climato, mais c'est certain que j'en fait bien moins que ceux qui n'essaient pas du tout de s'intéresser à ces méthodes, à la significativité des chiffres et qui ont la tête dans le guidon en utilisant des paramètres sans en mesurer le poids. Ici la question ce n'est pas de savoir si environ 1 W de moins entre un mini/maxi du cycle solaire, refroidit globalement ou non les hivers de la planète, étant donné que sauf erreur de mesure de cette différence, c'est absolument certain qu'avec 1 W de moins, ça chauffe moins globalement la planète que s'il était présent, mais on cherche à savoir si cette variation (amplifiée ou non), fait baisser SIGNIFICATIVEMENT la T de l'hiver EN FRANCE, au point que ça va générer significativement plus d'hivers froids (négativement hors normale climatique) que ce qu'aurait donné la variabilité habituelle sur la France (J'insiste bien : sur la France, vu qu'on parle de tendance saisonnière pour l'hiver en France, nous n'habitons pas au Kosovo, ni en GB, l'Europe c'est vaste. Donc des études faites pour l'ensemble l'Europe ou tel autre pays, ne nous prouvent rien pour la T hivernale en France) Quand on chauffe au gaz une casserole d'eau avec progressivement une puissance de 100 W (maxi solaire pour la casserole) de façon cyclique (quelques périodes en 24h) dans une pièce chauffée 12h/24h par un chauffage à 1000 W, ça se verra facilement avec les stats élémentaires de collégien, que la variation de T dans la casserole dépassera la variabilité habituelle dans la casserole (habituelle = celle créée avec et sans les 1000W 12h/24h dans la pièce), ceci toujours dans le même sens (on ne va pas observer des "hivers froids" dans la casserole à chaque fois que ça chauffera à 100 W (le maxi solaire à gaz), l'hiver de la casserole (sans les 1000 W de chauffage de la pièce), sera systématiquement plus chaud que pendant le mini solaire avec 100 W de moins sous la casserole) Pour 1W de gaz de la même façon cyclique sous la casserole, avec les méthodes stats même plus élaborées que chez un collégien, on ne détectera pas de changements significatifs, rien de plus que la variabilité habituelle de la T donnée par la présence ou l'absence des 1000W 12h/24h, alors que la T dans la casserole "monte" pourtant réellement physiquement pour les 1 W donnés au pic du cycle, mais de façon négligeable comparée à la variabilité créée par la présence/l'absence de chaleur à 1000W dans la pièce, car l'eau de la casserole changera de plusieurs degrés, masquant l'influence bien réelle mais négligeable des 1 W. Ces 1W ne rendront jamais les hivers de la casserole significativement plus chauds que ce qu'ils sont sans ces 1W, ce sont les 1000W de variabilité habituelle qui commanderont la qualité des hivers de la casserole. Idem s'il y a une "amplification " indirecte de l'effet de ces 1W sur la France (par exemple avec un surplus de flux continentaux sur la France avec des mini solaires) on verra s'il y a plus de froid sur la France, sa trace dans les T avec les bonnes méthodes statistiques (le choix de la classification en fait partie, ça ne doit pas se faire au pifo justement pour éviter de faire dire n'importe quoi aux stats), SI ELLE EST SIGNIFICATIVE, comme ça peut être mis en évidence pour d'autres zones ou pays. Ce qui sera très difficile/impossible avec les stats ce sera de quantifier l'influence faible des 1W, car trop noyée dans le bruit habituel qui lui commande nos hivers. Avec les stats dans le cas présent, on cherche simplement à savoir si l'impact est assez important pour modifier fondamentalement la T des hivers en France (au delà de la variabilité habituelle avec ou sans maxi/mini) et non pas si l'impact existe ou pas, vu qu'il existe physiquement et qu'avec les stats, la première base c'est de ne pas aller contre les lois physiques. L'effet est négligeable par rapport aux autres paramètres qui jouent dans la variabilité des hivers en France, sinon on ne verrait pas autant d'hivers chauds ou normaux pendant un mini solaire ou autant d'hivers froids et normaux dans un maxi solaire (C'est bien pour cette raison qu'on peut observer en France des séries d'hivers chauds en plein Maunder et des hivers froids en plein maxi solaire puissants, de façon significativement identique à ce qu'on observe sans leur existence et sans leur pourtant réelle production de froid/chaleur globale, simplement négligeable pour les hivers en France, sinon la prévis saisonnière serait des plus simples, on regarderait le mini solaire et on annoncerait avec une parfaite réussite les hivers froids sur la France, comme pour notre casserole et son maxi solaire à 100W) C'est pareil pour les SSW, le problème n'est pas dans le fait de savoir ce qu'on sait déjà, si ça provoque ou non des VDF ou des hivers froids par-ci, par-là dans l'HN (c'est évident que lorsque le froid est déplacé vers de plus basses latitudes, ça va faire baisser les T là où il va, mais bon on n'est guère avancé, car ça ne nous prouve pas que le froid tombera systématiquement ou significativement plus souvent sur la France et ça n'exclut même pas que le +chaud ou que la zone neutre entre ce + chaud et ce + froid, touche significativement plus souvent la France dans ces situations ! On voit déjà que pour le Canada autrement plus grand, il n'y a que 1 chance /2 que le froid déboule), c'est le fait de savoir si ça provoque ou non SIGNIFICATIVEMENT plus d'hivers froids SUR LA FRANCE. Lorsqu'on a un SSW, on a bien plus de froid qui va débouler à certains endroits, mais il y a des poussées bien plus chaudes à d'autres et d'autres zones sont à la limite des deux, neutres, ou légèrement plus chaudes, ou légèrement plus froides. Est-ce que quelqu'un a vu passer des études ou une étude qui montrent que la France est plus souvent concernée par la zone + froide, quand il y a des SSW (si quelqu'un a l'adresse des stats de SSW sur la plus longue période possible concernant chaque hiver, je peux regarder) Ce n'est pas le tout de dire qu'on a eu tel ou tel hiver très froid ou telle VDF avec tel SSW en oubliant de citer tous les cas où on aurait observé des SSW sans froid sur la France. Il faut lister toutes les années, tous les cas avec et sans SSW, avec ou sans VDF, depuis que les données de SSW sont dispo et pas seulement extraire les cas qui font plaisir aux amateurs de froid, sinon c'est un biais de confirmation (ce serait comme si je vous citais uniquement les cas d'hivers froids en France pendant un maxi solaire, pour vous démontrer faussement qu'un maxi solaire produit plus de possibilités d'hiver froid, ce serait de l'arnaque intellectuelle pure, que ce soit fait de façon volontaire ou non) Perso je pense que les SSW produisent significativement plus d'hivers froids en France, mais au feeling d'après ma lecture des études pour ailleurs et de la circulation générale dans ces cas, mais sans voir des études et infos chiffrées pour la France, ce n'est donc pas une preuve scientifique pour la France, ce n'est pas de la science, c'est juste une croyance perso.
  10. En testant des tendances, j'ai enfin trouvé une info qui pourra faire plaisir aux amateurs de refroidissements. Cet hiver est à un point clef pour une tendance au refroidissement des hivers en France qui n'est déjà pas loin de la significativité sur 1998-2012, car si l'anomalie de l'hiver 2012-2013 du panel MF de 30 stations est d'au plus -1.2° (/71-2000), la tendance sur 1998-2013 deviendra significative d'un refroidissement des hivers sur cette période en France d'après les tests de Spearman et Kendall (c'est à dire que cette variation est tellement importante , -1.2°/déc sur cette période, qu'elle sera considérée comme très probablement en dehors des bornes de la variabilité habituelle pour la France) Attention là je ne parle pas de changement significatif de tendance climatique, c'est une tendance courte avec de larges IC et je n'ai pas effectué les tests pour vérifier un éventuel changement significatif (je verrai ça si l'anomalie froide suffisante se réalise) Idem pour Paris en données homogénéisées, dont l'évolution est vraiment bien corrélée au panel de MF (à un niveau même hallucinant, vu la variabilité plus forte avec un seul point de mesure dans les terres, on va d'ailleurs pouvoir faire des économies et supprimer des centaines de stations françaises qui de fait deviennent inutiles pour suivre l'évolution du RC de la France . Ne vous inquiétez pas , je plaisante, d'autant plus que je préconise l'installation d'au moins 4 stations par commune, une sur le plus haut sommet, une dans le plus profond TAF , une sur un terrain plat immense, une en plein milieu du centre ville sur un grand mât sur un toit), il suffira d'une anomalie hivernale 2012-2013 d'au plus -0.6° (/81-2010, attention en données homogénéisées, donc ne pas prendre la valeur "brute" du site de MF) pour que la tendance devienne significative d'un refroidissement des hivers à Paris sur 1998-2013 (-1.15°/déc )
  11. Petit jeu statistique sans aucune valeur prédictive : C'est la courbe bleue (partie noire de l' exponentielle + oscillation) qui est la mieux ajustée à l 'ensemble des données passées. La verte (linéaire + oscillation) est dans les choux vers la fin de la partie noire. Pour le réchauffement moderne /40 ans depuis 73, la meilleure, c'est la rouge (la linéaire)
  12. Nanofusion, j'avais déjà montré dans d'autres messages dans les forums que les anomalies de T à Paris en données homogénéisées sont représentatives des anomalies du panel de 30 stations Météo France. C'est clair qu'elles ne sont pas identiques au dixième / au degrés chaque mois, mais on ne va pas trouver des incohérences majeures par rapport à des seuils (un hiver chaud à Paris pendant que l'hiver est froid en France) pour biaiser ce type d'analyse. C'est pareil pour les anomalies de notre maille chez GISS, même quand on regarde un mois comme février. Il suffit de fouiller les forums sur des années et de retrouver les messages où j'avais comparé les courbes de ces différentes sources. En voici une par exemple avec l'évolution de la moyenne des anomalies sur 30 ans du panel MF (courbe jaune) et de Paris (courbe rouge) : Ne mélange pas tout, c'est le fait de chercher une tendance sur 5 ans qui est une incompétence en stats. C'est clair que si tu en tires une / 5 ans sur Paris, ce sera pire que d'en tirer une / 5 ans pour la France, vu que les anomalies sont moins variables sur la France que sur Paris. Mais bon dans les deux cas c'est complètement absurde. Ce n'est pas avec 5 ans que je te dis que la tendance est significative, mais avec une quarantaine d'année (la durée de 30 ans c'est pour une moyenne à l'échelle mondiale, la durée d'une tendance à l'échelle locale c'est différent, vu que la variabilité est plus importante, il faut souvent plus que 30 ans pour voir un bon changement !) Pour détecter un micro changement c'est pire, il te faudra justement bien plus de données que ce qu'il faut pour détecter un gros changement. Plus le changement à mettre en évidence est petit, plus il faudra des années pour le l'extraire au milieu du bruit, vu qu'il sera masqué par la variabilité habituelle, d'autant plus grande que l'échelle est limitée. Là à l'échelle de la France, il n'y a aucun changement détectable (j'avais déjà regardé le panel de 30 stations de MF et pas seulement Paris). Ces hivers sont statistiquement conformes à la variabilité habituelle qu'on a en France avec ou sans RC. Si tu trouves une méthode pour faire ressortir un micro signal avec 5 ans de données à cette échelle, c'est le prix Nobel de stats assuré ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Non, plus on élargit le territoire et moins on a besoin de données pour détecter un changement, car une anomalie sur un plus grand territoire est moins variable (écart-type plus faible pour le monde que pour l'Europe, lui même plus faible que pour la France, lui même plus petit que pour Paris). Il n'y a que si tu passais des terres de la France au large en mer (ou en pleine forêt équatoriale) pour une zone plus petite que tu pourrais avoir besoin de moins de données (la T varie moins en pleine mer ou dans cette forêt que dans les terres sous nos latitudes. L'anomalie mondiale varie environ 3 fois moins que sur la France, donc moins de bruit masquant un signal qui changerait, donc moins besoin de données) Il existe d'autres études d'amateurs pour la France et le cycle solaire, mais le problème c'est qu'ils traitent le sujet sans tenir compte de l'évolution du climat, et/ou des proba pour la classification qu'ils ont choisie (si tu décides qu'un hiver est froid à partir de seulement -0.2°, d'entrée tu biaises l'analyse, vu que tu ne disposes pas de moyennes de l'hiver avec cette précision et en prime tu décides que seules des valeurs de 0.1 à -0.1° c'est "normal", tu vas donc induire un biais, car tu minimises artificiellement la possibilité de comptabiliser des hivers normaux par rapport aux possibilités gonflées de relever des hivers chauds ou froids), ni de la significativité des résultats qui elle permet de nous dire si tel résultat est significatif d'un changement réel ou bien si c'est conforme avec la variabilité habituelle (que j'appelle souvent "hasard" ). En fait là à cette échelle de 5 ans sur la France, il vaut mieux utiliser des modèles physiques performants que d'analyser ça avec les stats. C'est plutôt là que tu dois chercher des preuves de l'influence solaire sur la France, et non dans les stats, mais ce n'est pas gagné, vu qu'en général ils traitent une échelle plus grande, l'Europe. A ce niveau tu as ceux qui disent que c'est la fonte arctique qui a favorisé ces hivers et d'autres le soleil faiblard (mais bon pour la France comme dans le passé il n'y avait pas la fonte de l'Arctique comme possibilité, les stats montrent que le soleil n'a rien fait de significatif sur la France alors que le soleil a été plus faiblard, donc pourquoi ça changerait de nos jours. Les hypothèses les plus probables pour ces derniers hivers sur la France sont la variabilité habituelle et/où à la perte de la glace Arctique)
  13. Rien que cette phrase suffit à douter de ce que raconte l'auteur. -0.14° , c'est un hiver strictement normal (et non tout juste dans les normales en ne citant que février et en oubliant les 2 autres mois de l'hiver. http://climat.meteof...ortlet_id=86371 ) d'autant plus qu'on venait de changer de normale de référence. Il n'y a aucune tendance négative significative sur 5 ans. S'amuser à tracer une tendance sur 5 ans sur les hivers au niveau de la France, c 'est vraiment de l'incompétence totale en statistique (plus l'échelle spatiale est petite et plus la variabilité est importante et plus il faudra des années de données pour s'occuper de tirer une tendance). La dernière tendance significative est un réchauffement des hivers en France et il n'y a absolument aucun changement significatif de tendance avec les derniers hivers. Pendant le Maunder on a observés 7 hivers chauds en 10 ans (sur 1699-1708), dont 5 consécutifs (sans hiver normal à -0.14° au milieu), alors faire croire que c'est difficile d'obtenir 3 hivers froids + un normal suivi d'un froid, c'est de l'invention pure pour faire plaisir aux amateurs de froid ! Pour le cycle solaire c'est toujours le même problème, ce n'est pas parce-que des études parlent de l'influence possible sur les hivers à l'échelle Européenne ou sur d'autres pays, que ça en a une à l'échelle de la France bien plus à l'Ouest ou plus au Sud que d'autres pays. Ce message tombe bien, car hier avant de le lire, j'étais justement en train de regarder si les mini/maxi du cycle solaire avaient une influence sur les hivers en France, d'après la série homogénéisée des hivers 1676-2012 à Paris, représentant bien l'évolution des hivers sur la France. Je n'ai trouvé aucune preuve d'une influence significative de ces maxi/mini du cycle solaire sur le fait que l'hiver soit froid, chaud, ou normal en France (ni avec l'hiver le plus proche du mini ou maxi , ni avec ce plus proche N+1 pour tenir compte d'une éventuelle inertie) Pour le vérifier, j'ai rendu comparables les anomalies dans le temps (et donc le froid, le chaud et le normal ), j'ai retiré le signal climatique du graphe précédent (la courbe jaune). Ca nous donne donc les anomalies suivantes : Les tests effectués montrent que la distribution est bien gaussienne (p < 0.01). J'ai défini les seuils pour 3 classes (pour hiver "froid", "normal", "chaud") afin qu'elles aient la même proba d'être observées (1/3) par rapport à tous les hivers observés depuis 1676 (les seuils pour 33% sont +0.77° pour qu'on commence à parler d'un hiver "chaud", -0.53° pour commencer à parler d'un hiver "froid", entre les deux c'est un hiver "Normal"). Ca nous donne la qualification des hivers ici : http://meteo.besse83...hiverqualif.png J'ai récupéré les dates précises des maxi/mini du cycle solaire dans le tableau ici : http://previ.obspm.f...e=cycle⊂=int J'ai comptabilisé les hivers (à noter qu'à partir d'un maxi ou mini solaire relevé à partir d'un mois de juillet pour l'année de l'hiver, j'ai utilisé l'hiver suivant ce maxi ou mini concerné) et j'ai effectué le test binomial dans R, voici les résultats : Même sans tests de significativité, on voit bien que le hasard a pu très facilement créer ces distributions étant donné que le maxi solaire récolte plus d'hivers froids que de chauds (aussi par hasard comme les 11 froids pendant un mini). Pendant un mini solaire même avec ces chiffres sans tenir compte de la significativité qui elle nous dit qu'on a autant de chances d'observer un hiver froid ou chaud ou normal pendant un mini solaire (ou maxi solaire), on a même plus de chances d'observer un hiver normal ou chaud que froid (13 contre 11) pendant un mini solaire. Si certains disposent des stats de la présence ou de l'absence de SSW pour chaque hiver depuis le plus longtemps possible, qu'ils me les communiquent, je pourrais vérifier s'ils ont ou non une influence significative sur les anomalies des hivers en France (Celles de l'Europe ne sont pas assez représentatives de la France et ce n'est pas parce que les études le démontreront à cette échelle que c'est vrai pour la France)
  14. Le papier de Berkeley publié : http://www.scitechnol.com/GIGS/GIGS-1-101.pdf http://berkeleyearth.org/results-summary/ http://berkeleyearth.org/available-resources/
  15. Un petit orage bien traite vient de passer avec 2 seuls impacts terribles à moins de 300 m de la station. 36 mm sur l'épisode à 128 mm/h maxi hier dans la nuit (sur la 2 ème console V2 qui reçoit le même ISS, je relève 1152 mm/h , c'est la première fois qu'il y a ce type de différence, je verrai ça de près plus tard dans le listing, mais à priori la plus grosse me semble invalide)
  16. Mise à jour de Hansen : http://www.columbia....erature2012.pdf Pour le forçage solaire relatif au cycle de 11 ans, même s'il ne semble pas avoir d'importance pour le fond vu la faiblesse des changements de tous les paramètres solaires pendant le cycle de 11 ans et la tendance nulle à long-terme, à noter le décalage en allant vers le maxi de ce cycle 24 particulier, entre les mesures TSI et celles déterminées à partir du nb de taches solaires : S'il n'y a pas de problèmes de mesure, en fait on recevrait donc la même puissance que celle produite par un cycle de 81 d'après les taches (on est à moins de 60 pour la puissance déterminée d'après le nb de taches, en attendant la mise à jour du graphe). C'est ce type d'écarts, ainsi que l'évolution de certains paramètres dans le passé, qui laissent envisager qu'une activité solaire significative a peut-être persisté avec sa modulation sur 11 ans, malgré l'absence/la faiblesse du nb de taches pendant les maxi théoriques du cycle au cours du Minimum de Maunder. Quelques explications sur cette hypothèse avec des commentaires de Leif Svalgaard en gras : How would the solar magnetic cycle restart if there were no sunspots? No sunspots does not mean the solar magnetic cycle has gone away. On the contrary, during the Maunder Minimum cosmic ray modulation was a strong as ever. IF (your input requested) the sunspot numbers from say 1650 to 1700 that I’ve seen are close to “right” being next to if not nil, nada, zilch We don’t really know what solar activity was before 1700. The lack of sunspots does not mean that activity disappeared. For example, the cosmic ray modulation during the MM was as strong, if not stronger, than today. If I and colleagues are right we may be headed into such a situation in the coming years where the magnetic field is present, but spots do not form. Perhaps TSI will be even higher without the dark spots to drag it down… You repeatedly state that there was high cosmic ray modulation present during the MM, which you imply means that solar activity was still active (I would assume so too, but at reduced levels), but are you really implying that the level of activity (and it’s associated TSI) were not lower than when sunspot count equals zero? We don’t really know. The cosmic ray modulation was higher during the MM than now. From modern data we know that the CME rate does not fall to zero when the sunspot number does. And some people have speculated that when there are no dark spots to cause dips in TSI, that TSI would be higher during a Grand Minimum Seems to me that even though the sunspots disappear (L&P) that the level of activity can and likely did decrease during that period, though the SSN count can’t go below zero, so the SSN count isn’t always a good TSI proxy. My take on this is that durieng normal times [e.g. 1700-1995] the SSN is a good proxy for TSI, cosmic rays, UV, the works… But I think a Grand Minimum is qualitatively different, and the SSN is meaningless during such periods or at least a very poor proxy for anything. Isn’t high sunspot activity is associated with a net increase of TSI? The sunspots with their surrounding faculae tend to crank up the Sun’s output rather than “drag it down,” right? Solar activity makes two contributions to TSI: S from dark sunspots. S is negative. And F from faculae. F is positive and about equal to twice S, so the net result is positive. If a Maunder Minimum means that there magnetic field is still there [to modulate cosmic rays] then F is still there, but S is gone. Where’s a good place to start to see where these ideas and observed data were overturned? many places, e.g. http://www.leif.org/...04-Berggren.pdf Figure 2d “Periodicity in 10Be during the Maunder minimum reconfirms that the solar dynamo retains cyclic behavior even during grand solar minima” Now, there is a lot of speculation about how to interpret the data and the old myths die slowly, so everything must be taken with the necessary grains of salt. Leif says “And some people have speculated that when there are no dark spots to cause dips in TSI, that TSI would be higher during a Grand Minimum.” This is something we can observe pretty much every cycle, and TSI does not seem to rise when sunspot count equals zero. Are you saying the TSI would rise when comparing MM and current solar maximums, or comparing MM and current solar minimums? 1st: I said it is speculation, 2nd: At minimum, dark sunspots and bright faculae disappear, 3rd: at maximum, bright faculae increase TSI more than dark sunspots decrease it [hence the solar cycle variation of TSI], 4th: if during a Grand Minimum period [where we know that the solar cycle is still going on because cosmic rays are modulated] there were only faculae at sunspot maxima, but no dark sunspots, TSI would be higher during those maxima compared to maxima with lots of dark spots [as we have during non-Grand-Minima conditions]. Also, is TSI roughly linear to sunspot count? Any formula would be appreciated. I think that during ‘normal times’ there is a rough linear relation: TSI = 1360.8 + 0.007 SSN Note that this includes a 4.8 W/m2 re-calibration due to the change from PMOD to SORCE. When the SSN no longer represents the magnetic flux the formula will not be valid. Note, that I’m predicting that this will happen, so lots of opportunity prove me wrong. That you think any Maunder and LIA link is at most coincidental and probably insubstantial ? Yes, I think so. My working hypothesis [which is speculation, of course] is 1. The Maunder Minimum was not a deficit of magnetic flux, but 2. A lessening of the efficiency of the process that compacts magnetic fields into visible spots 3. This may now be happening again [the so-called Livingston and Penn effect] 4. If so, there is new solar physics to be learned The minimal solar activity in 2008-2009 and its implications for long-term climate modeling Schrijver, C. J.; Livingston, W. C.; Woods, T. N.; Mewaldt, R. A. Geophysical Research Letters, Volume 38, Issue 6, CiteID L06701, 2011 “Variations in the total solar irradiance (TSI) associated with solar activity have been argued to influence the Earth’s climate system, in particular when solar activity deviates from the average for a substantial period. One such example is the 17th Century Maunder Minimum during which sunspot numbers were extremely low, as Earth experienced the Little Ice Age. Estimation of the TSI during that period has relied on extrapolations of correlations with sunspot numbers or even more indirectly with modulations of galactic cosmic rays. We argue that there is a minimum state of solar magnetic activity associated with a population of relatively small magnetic bipoles which persists even when sunspots are absent, and that consequently estimates of TSI for the Little Ice Age that are based on scalings with sunspot numbers are generally too low. The minimal solar activity, which measurements show to be frequently observable between active-region decay products regardless of the phase of the sunspot cycle, was approached globally after an unusually long lull in sunspot activity in 2008-2009. Therefore, the best estimate of magnetic activity, and presumably TSI, for the least-active Maunder Minimum phases appears to be provided by direct measurement in 2008-2009. The implied marginally significant decrease in TSI during the least active phases of the Maunder Minimum by 140 to 360 ppm relative to 1996 suggests that drivers other than TSI dominate Earth’s long-term climate change” A New Look at Solar Irradiance Variation Foukal, Peter Solar Physics, Volume 279, Issue 2, pp.365-381, 2012 “We compare total solar irradiance (TSI) and ultraviolet ( F uv) irradiance variation reconstructed using Ca K facular areas since 1915, with previous values based on less direct proxies. Our annual means for 1925 – 1945 reach values 30 – 50 % higher than those presently used in IPCC climate studies. A high facula/sunspot area ratio in spot cycles 16 and 17 seems to be responsible. New evidence from solar photometry increases the likelihood of greater seventeenth century solar dimming than expected from the disappearance of magnetic active regions alone. But the large additional brightening in the early twentieth century claimed from some recent models requires complete disappearance of the magnetic network. The network is clearly visible in Ca K spectroheliograms obtained since the 1890s, so these models cannot be correct. Changes in photospheric effective temperature invoked in other models would be powerfully damped by the thermal inertia of the convection zone. Thus, there is presently no support for twentieth century irradiance variation besides that arising from active regions. The mid-twentieth century irradiance peak arising from these active regions extends 20 years beyond the early 1940s peak in global temperature. This failure of correlation, together with the low amplitude of TSI variation and the relatively weak effect of FUV driving on tropospheric temperature, limits the role of solar irradiance variation in twentieth century global warming." Pour le moment donc, Il n'y a aucune raison objective, aucune preuve scientifique, pour pouvoir affirmer avec une assez bonne confiance que le maxi du cycle au cours du Maunder a produit plutôt du froid ou plutôt de la chaleur au niveau global, par rapport à un maxi du cycle hors Maunder. Personne ne le sait, donc seuls de purs croyants afficheront des certitudes dans un sens ou dans l'autre ! Voici un exemple très instructif sur le processus scientifique, quand on pense avoir trouvé des erreurs dans les données. La démarche demande du temps et un travail autrement plus consistant que de répéter ses mantras dans les blogs/forums : Question for Leif about the length of time it took solar science to begin to focus more on identifying and then addressing rectification of the sun spot count inflation that started circa 1945. I discovered around 2007 that something was wrong http://www.leif.org/... - Sunspots.pdf and worked more on it here http://www.leif.org/...07 SH54B-02.pdf pinning it down to Waldmeier here http://www.leif.org/... observatis.pdf by 2008 it was clear that the Group Sunspot Number was in trouble http://www.leif.org/...ar Cycle 24.pdf by 2011 it was clear what was going on http://www.leif.org/...pot Numbers.pdf and since then the SSN calibration has been a main interest of mine. Why is the inflation seemly becoming important (workshopped) starting in the second decade of the 21st century? Do you consider ~65 yrs later as a normal timing to address the inflation? We got those workshops started because the evidence was beginning to be compelling enough that the solar community woke up. I don’t know about the 65 years delay. Some things just take time: http://www.poemhunter.com/poem/t-t-t/
  17. Le problème de cette crépine, c'est qu'elle peut-être trop enfoncée, ce qui fait que les trous deviennent trop petits pour les plus fortes intensités ici et pour des gouttes qui gèleraient. Ce type de crépine se bouchera rapidement ici avec le Mistral sec avec la forêt qui passe son temps à alimenter le pluvio de bons et nombreux débris et d'insectes. On peut la tirer jusqu'aux "clips", mais pas certain qu'elle reste toujours assez remontée (les clips = les rebords des branches de la base de la crépine qui s' enquille dans le trou du cône, qui font qu'elle ne peut pas s'envoler. Cette crépine n'a rien à voir avec celle de la V2 qui elle n'a jamais servi à rien ici vu qu'elle s'envole et quand elle est en place, elle laisse le pluvio se boucher facilement) Ici à la place, comme sur tous mes pluvio auto, j'ai installé une assez large et lourde grille en fer (chez MF sur certains pluvio de 1000 cm2 , ils ont installé des grilles plus larges que les miennes, à la place de de leur crépine habituelle)
  18. Salut Yohan Ici où il gèle plus souvent et régulièrement plus fort qu'à la Crau avant des pluies ou de la neige, ça n'est jamais arrivé que le gel bloque l'auget sur la Vue, ni ceux des autres Davis. Hors saletés et insectes, il n' y a que la pluie verglaçante, la neige et la grêle qui peuvent boucher le pluvio, mais ça n'a jamais bloqué même des augets en métal plus froid du PM. Pour moi il est certain que ce n'est pas l'auget qui a été bloqué par le gel. Soit c'est le trou qui a été bouché (la crépine d'origine est trop fine sans être assez haute, la glace le bouchera facilement, ici je l'ai remplacée par une grille maison dès le 1 er jour), soit c'est l'évapo avec ce type de temps pour ce pluvio difficile à mouiller par rapport aux autres selon le type de temps (hier j'aurais relevé 0.0 mm sur la Vue avec la neige et ce vent de terre + une HR pas élevée pour un temps pluvieux, c'est certain, par rapport aux 0.5 mm du SPIEA et des 0.4 mm aux autres), soit c'est une panne aléatoire ou autre. Ici j'ai eu un problème sur un pluvio avec le froid, l'ILS se mettait à marcher aléatoirement à basse température. Sur un autre c'était la prise qui produisait un contact aléatoire avec le froid. Un truc à se prendre la tête, vu qu'on n'a pas le plus souvent des T proches de 0° à 5° quand il pleut.
  19. Dans l'intérieur du Var c'est Cuers qui chiffre pas mal pour le moment, 120 km/h. A Besse 104 km/h à 17.5m 93 km/h à 16 et 16.4 m 89.4 km/h à 10 m 81 km/h à 3.4 m 64 km/h à 2 m
  20. Je poursuis ici le sujet de mike sorti dans le suivi de l'activité à court-terme, qui traitait à l'origine de la possibilité ou non de forte tempête solaire dans un cycle faible comme le 24. . Un message qui corrigera et expliquera des erreurs scientifiques, que ce soit les miennes, les tiennes ou celles des autres, est toujours très utile, comme l'indiquent certains scientifiques qui participent aux forums/blogs du grand public : Que toi tu refuses d'apprendre, c'est ton problème, mais au moins ceux qui cherchent sincèrement à comprendre et à apprendre, ne seront pas contaminés par ta façon irrationnelle de raisonner. Oui tu es dans l'erreur mike sur ta façon de parler de l'activité à court-terme, des eruptions solaires, quelque soit l'issue de ce cycle et quelque soit l'intensité maxi de la plus forte tempête solaire de ce cycle, ça ne changera pas le fait que les spécialistes ont démontré avec l'étude de la variabilité à court terme et les possibilités de fortes tempêtes dans les autres cycles faibles de niveaux proches du 24, que tu mélanges activité solaire à court-terme avec celle à long terme (voir mon message précédent dans le suivi à court-terme). Là en sortant ça dans le court-terme pour te justifier, tu confirmes et insistes encore pour mélanger une possibilité ou non de bonnes éruptions solaires dans ce cycle, avec la faiblesse de l'activité à long-terme, en nous parlant du Maunder pour noyer le poisson, alors qu'il a été montré que la force potentielle d'une éruption solaire quelconque, n'a rien à voir avec la faiblesse du maxi de cycle de ce niveau proche du 24.D'ailleurs si tu t'intéressais à autre chose qu'à une possibilité d'absence d'influence prépondérante des GES sur la tendance de fond au RC, ou de possibilité de froid, en rapport avec un soleil faiblard, tu aurais dû nous signaler que des spécialistes ont trouvé quelques raisons d'envisager l'hypothèse (ce n'est pas du tout une certitude !) que la TSI puisse être plus puissante pendant le Maunder qu'actuellement, mais ça tu ne risques pas de nous le rabacher, étant donné que ton scepticisme est tellement bloqué sur le mode "chaud", qu'il est totalement absent en mode "froid". C'est le signe de la croyance pure. les spécialistes n'ont aucune certitude sur le niveau de l'activité pendant un Maunder et pour toi il n'y a aucun doute simplement que dans ton esprit ça ne peut que produire du froid et invalider la théorie des GES. Quelqu'un de rationnel qui n'est pas d'accord avec ce que je rapporte (je n'ai pas lu toute la science solaire revue et donc c'est certain que je peux largement me tromper et passer à côté de certains éléments), va nous indiquer simplement pourquoi ce cycle faible de type 24, ne pourra plus jamais produire de bons pics (à l'aide de ce que dit la science), alors que d'autres cycles à ce ce niveau le pouvaient, au lieu de nous dire "vous verrez à la fin du cycle", car même si par hasard, on n'observait rien de relativement puissant dans ce cycle, ce qui est tout à fait possible (ça tu ne l'entends pas, ce n'est qu'une possibilité ), ça ne changera rien à l'absence d'arguments scientifiques pour justifier tes affirmations. Il y a tous les jours des gens qui gagnent au loto ou autres, avec ou sans méthodologie, ce qui est autrement plus difficile que de tomber juste par hasard pour ton décret : " qu'il n'y aura pas/plus d'éruption forte dans un cycle faible comme le 24" vu que tu as seulement un peu plus de 1 chance/ 2 de te tromper et donc un peu moins de 1 chance / 2, soit pas mal de chances de tomber juste par pur hasard, ce qui est très facile comparé au loto. Se féliciter à la fin de ce cycle d'avoir pratiquement gagné à un pile ou face, ce n'est pas une démonstration scientifique probante de prévis justes et de méthodologie scientifiquement valide, même pour beaucoup des moins rationnels d'entre-nous... Et bien il serait temps que tu te réveilles et que tu t'aperçoives qu'ils n'ont jamais dit le contraire. Ton problème c'est que tu croies qu'ils sont en train de dire que ça change toute la science climatique, la tendance de fond à long terme, alors qu'on te parle d'expliquer des variabilités internes et locales, des circulations générales. On trouve des liens pour expliquer physiquement certaines variabilités (par exemple des surplus de Nina, sur une courte période comme actuellement). Tu n'arrives pas à comprendre que ce type de variabilité habituelle n'a pas de tendance de fond, car tu oublies quand ça t'arrange, que ce sont des cycles/ oscillations et que sur le long terme il n 'y a pas de tendance de fond, il existe des tendances à court-terme comme actuellement avec un surplus de nina, puis à d'autres moments un surplus de Nino qui font que la tendance est plate. Tu ne perçois pas différence entre des détails que la science ne maîtrise pas, qui n'influencent pas la tendance de fond, élément principal que tu rejettes même quand ces publications te rappellent que ça ne modifie pas l'évolution de fond sur ces 50 ans : " la variation solaire n'est pas la cause du réchauffement de l'HN au cours des 50 dernières années " Ils n'ont pas besoin de détailler ce point, c'est admis jusqu'à preuve scientifique du contraire que l'activité solaire n'a pas pu provoquer la majorité de la hausse de ces 50 dernières années. Pour ça il aurait fallu qu'il y ait une tendance solaire INVERSE à ce qu'elle a été dans ces 50 ans. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre, admettre une amplification solaire quand l'activité monte et la refuser quand l'activité baisse. C'est exactement ce que tu fais en rejetant leur phrase. A la NASA ils sont cohérents, ils savent que ces détails ne peuvent pas avoir accentué, ni même généré la majorité du RC des 50 ans, pourtant toujours visible malgré la baisse de l'activité solaire dont l'effet est amplifié. Au contraire quelqu'un de rationnel comprendra qu'avec une telle amplification de la production de froid d'origine solaire, ça signifie de fait plutôt que le RC/50 ans qui est pourtant visible actuellement est d'autant sous-estimé et masqué par la baisse de l'activité solaire. Mais bon on sait que ce fait très simple est impossible à admettre, car pour toi la production de froid solaire fortement amplifiée est sensée faire monter la T, vu que c'est exactement ce qui se passe dans ces 50 ans, la T monte à long terme alors que le froid solaire est pourtant amplifié (tu viens d'admettre ce papier, donc tu admets l'amplification de froid solaire). Bizarre comme double effet kiss cool senser faire baisser la T globale, qui n'y parvient pas. Mais qu'est ce qui fait que la T monte depuis ces 50 ans, vu que ce n'est pas le soleil qui produit du froid amplifié sur cette même période ? Enfin quoiqu'il en soit, en l'état actuel des séries de données solaires, il n'y pas de tendance dans l'activité solaire sur 300 ans, donc le soleil ne peut pas avec ou sans amplification monstrueuse modifier sur 300 ans la tendance de T. Si tu te rappelles tes cours de maths au collège, une tendance solaire à 0 même avec une amplification puissance 100 000 000, ça fera toujours une tendance nulle de chez nulle (prends ta calculatrice et vérifie le résultat de 0^ 100 000 000) ! Une tendance nulle est incapable de faire monter la T vers la fin des 300 ans, d'autant plus que sur les dernières décennies la tendance solaire à court-terme est négative, donc amplification négative qui aurait dû faire plonger de ^ 100 000 000 ta courbe de T globale. Si dans quelques temps le travail des spécialistes de l'atelier SSN est admis, tu verras même fleurir la phrase qui va t'achever, qui dira, qu'il y a bien moins de corrélations entre la T à long terme et le soleil aussi avant ces 50 dernières années et que toutes les corrélations des publications antérieures basées sur les données biaisées sont à revoir fortement à la baisse, vu que le niveau des cycles antérieurs à 1945 a été sous-estimé d'après les travaux de l'atelier et donc la meilleure corrélation sur ces périodes antérieures s'effondre. Si tu sens ça, c'est que tu ne sais pas lire le draft où que comme d'habitude la seule source crédible à tes yeux ce sont les commentaires du draft par tes copains, pas plus rationnels que toi, tu es bien avancé pour te faire un avis (étant donné que tu penses être capable de t'en faire un, moi perso, je suis plus bidochon que toi, je n'y arrive pas) Je ne vois pas en quoi c'est incroyable d'envisager un Maunder, étant donné que tous les spécialistes même bien avant ta naissance, s'attendaient à ce qu'un jour ça se reproduise (dans un papier de Lockwood de 2010, cette possibilité était encore rapporté il me semble, d'après l'étude de 9000 ans d'activité solaire, avec une proba de 8% dans ces 100 ans) sans savoir précisément quand, même si plus un dernier minimum s'éloigne et plus la proba devient grande d'en voir un, c'est logique sauf pour toi. De plus cette hypothèse avait été déjà prise en compte pour vérifier son influence potentielle dans le cadre du RCA, mais bon comme tu ne supportes pas la vraie science, tu la jettes à la poubs sans la lire. Là c'est encore une hypothése qui n'est pas une certitude chez les spécialistes, il n'y a que chez des croyants comme toi que la certitude absolue est présente sans preuves scientifiques assez solides alors que ton scepticisme est hyper actif uniquement pour contredire ce qui te dérange, sur des points où il y a pourtant des preuves irréfutables (comme le fait qu'un cycle faible du niveau maxi du 24, peut très bien produire de très fortes éruptions étant donné qu'on l'a déjà observé)Tiens, toi qui fait une fixation sur l'absence de grosses tâches pour produire de bonnes éruptions, l'important n'est peut-être pas là (tu vois lui qui en connait pourtant un rayon sur le soleil, utilise le "peut-être") lsvalgaard says: Jim Cripwell says: January 5, 2013 at 6:28 am Is it unusual to have so many sunspot groups, and so little in the way of solar flares? The groups are simple, many of them with only one spot. Flares occur in complex groups with many interacting spots. The lack of complex groups without many small spots in them may be a symptom of the Livingston & Penn effect, that has to do with losing the small spots.
  21. Depuis 2 ans mike, tu montres surtout que tu persistes à mélanger climato et météo solaire. Dans un cycle faible de ce niveau, on est simplement sensé observer moins d'éruptions solaires, mais il n'y a aucune raison objective pour qu'on ne puisse pas observer une ou des très fortes tempêtes, plus fortes que pendant un cycle très fort, simplement parce qu'une tempête solaire dépend des conditions locales où se situe la tâche et pas de l'intensité maxi du cycle. De plus l'analyse statistique des fortes tempêtes solaires dans des maxi qui ont suivi des minimums solaires prolongés, montre que ce genre de cycle peut avoir plus chances de produire les plus fortes éruptions. C'est quand même très clair là, qu'on peut envisager observer de très fortes tempêtes dans un cycle pas franchement fort : Le cycle qui est le plus comparable, ce qui ne prouve rien, le 14, a eu un sommet étendu, d'autres se sont dégradés plus rapidement, donc rien n'est certain comme tu l'indiques : http://www.solen.inf...ilar_cycles.png A noter que c'est le cycle 10 pas particulièrement fort, étant donné qu'il est présent dans ceux jugés comparables à l'actuel, qui a produit la tempête la plus forte, celle de 1859... Il est courant d'observer dans un cycle un 2 ème bon pic même s'il peut-être inférieur au premier : http://arxiv.org/ftp...3/1103.4552.pdf Une tempête donnée, c'est de la météo pure, le nb de tempêtes dans un cycle entier, c'est de la climato. Personne d'un peu crédible ne s'amusera à annoncer l'impossibilité de voir une forte tempête dans un cycle faible comme le 24 surtout avec le graphe que tu as communiqué et que tu n 'as vraiment pas l'air de comprendre. http://solarscience....predict.shtml en cliquant dessus on voit surtout qu'on est sensé se situer au début du palier central, donc je ne vois pas en quoi ce graphe peut faire comprendre que c'est terminé pour observer de bonnes poussées, à part si tu mélanges encore une fois, la variabilité à court terme (faiblesse des dernières obs visibles sur ce graphe) qui est la règle (d'autant plus dans un cycle faible étendu où il est courant d'observer des variations plus importantes que dans d'autres), avec la climato. Le cycle 24 peut très bien rester tranquille, comme il peut se maintenir proche du son niveau moyen maxi pendant encore un moment, personne ne le sait vraiment, même si L. Svalgaard qui a "un peu" plus étudié le soleil dans sa vie et qui à l'inverse de toi qui dit tout savoir sur le soleil, indique en apprendre encore tous les jours, trouve probable dans ce cycle de voir 1 à 2 nouvelles bonnes poussées, ceci sans aucune certitude, comme tout bon scientifique qui sait ne pas disposer de méthodes fiables pour en afficher comme toi sur ce type de prévis. Donc mike même si on n'observait plus rien de significatif dans ce cycle actuel, ce qui est tout à fait possible, ça ne changerait rien au fait que tu passes ton temps à contaminer ce sujet en nous balançant des croyances sans aucun fondement scientifique, en affichant des certitudes en permanence, là où les spécialistes n'en ont aucune. C'est l'inverse d'un raisonnement et d'une démarche scientifique, quand les incertitudes sont si considérables, utilise le conditionnel ou le petit truc du genre "il est possible que" et tout ce que tu diras sur ce sujet passera bien mieux.
  22. Avec Yohann (Cévenol13), nous l'avons visitée un an après : http://meteo.besse83.free.fr/imfix/Roquesteron/ La pente entre la route et l'abri est un vrai mur qui chauffe bien avec ce soleil plus bas en janvier, mais bon il fallait quand même que le foehn dispose d'un air à l'origine plus chaud que d'habitude pour chiffrer autant. Puget-Théniers avait aussi carburé ce jour-là, mais impossible de trouver la station à l'emplacement indiqué. A Besse 19.4°, -1.2°, pourvu que ça dure, encore 2 mois d'hiver à tirer !
  23. Il faudrait savoir si ce papier a été admis dans un journal correct, car j'avais entendu parler de celui-ci pour le moins douteux, j'avais vu passer des problèmes. http://en.wikipedia....arch_Publishing http://www.realclima...#comment-197047 http://blogs.ch.cam....open-accessâ€/ http://iaria-highsci...ieee-bogus.html http://julesandjames...hanks-but2.html
  24. Bonjour, Merci, oui ! Celle de Street View surchauffera peut-être un peu plus que celle de la Source du Doubs en Tn par ciel clair et vent calme (relativement à son propre site sans les artifices, donc même si dans les faits elle est plus froide) C'est incroyable de ne pas couper ou réduire fortement ces grands arbres dans le rayon de 10/15 m ! Ce genre de pratiques non seulement n'est pas assez rigoureuse pour une mesure scientifique, mais en prime elle coûte un argent fou à la collectivité et pas qu'en France (il y a plus d'un spécialiste au monde qui doit se casser la tête à essayer de corriger ce genre de trucs dans nos stations et même avec des données, métadonnées et un site plus clairs avec une synoptique comme le Luc, on n'arrive même pas à homogénéiser les données de Tmm d'avant 1959 au Luc, c'est pour dire qu'est ce que ça doit être sur ce genre de station et pour des records ponctuels !)
  25. Bonsoir et meilleurs voeux pour 2013 ! Personne n'a publié de photos de la station officielle de Mouthe dans nos forums ? Ce serait assez incroyable avec le nombre de passionnés de froid vers le secteur ! Qu'est-ce qu'il appelle hors normes, car à la TV j'avais vu l'abri tout à fait normal. J'ai regardé la position actuelle de la station MF en vue aérienne, s'il y a un biais en Tn, c'est un biais chaud. Il y a clairement des sources artificielles de chaleur au sol et des bâtiments dont un vraiment très proche à moins de 10 m de la position indiquée par MF, donc pour le site donné, les Tn sont trop chaudes par rapport à un abri bien placé au même endroit sans ces artifices (à confirmer étant donné que parfois il y a une différence entre la position dans la base de données MF et la réalité sur le terrain). Ce serait dommage, car il y a du terrain libre et naturel pour placer l'abri en classe 2 ou 1 sur ce site en déplaçant l'abri de 30 à 100 m.
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