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cad que MF utilise des modèles très simples. Dans ces modèles, si tu mets + de froid au pôle toutes choses égales par ailleurs , rien ne se passe selon les modèles de MF. Or dans la nature au contraire, il se passe quelque chose : la circulation, les échanges froid/chaud entre pôle équateur s'intensifient. Cad que les résultats desdits modèles sont en contradiction flagrante avec les réalités de la nature. C'est choquant, non ?
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ben plus haut je cite un extrait de MF(message d'hier à 15:03), extrait qui se trouve dans le long message de l'internaute "blabla" plus haut. pour DidierG : c'est tout ce que tu trouves à répondre à mon désaccord envers MF ? Que penses-tu de la dynamique de l'air froid ?
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disons ce qui est vraiment, au delà des impressions des uns et des autres. L'été sera légèrement + chaud que la moyenne, sauf sans doute dans le nord-ouest, ; l'excédent le + fort devrait être situé dans le centre-Est. Si juillet a été moyen, juin a été assez chaud et août aussi. Ca nous fait un été anodin du point de vue thermique. Par rapport à l'été 2003, l'été 2004 est bien + frais. Côté pluviométrie, ça commence dans la sécheresse mais août est plus arrosé,. Mais là encore, rien d'extrême. Côté vent ou soleil, rien d'extrême non plus. Pas de catastrophe météo, sauf orage localement violent (ça c'est le cas chaque année).
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tiens personne n'a réagi à mon dernier message (situé 2 crans au-dessus), curieux ! pourtant je conteste MF sur un point fondamental... Indifférence ?
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les modèles en question ne sont pas bons. En effet, dans la réalité, si le froid est + vif au pôle, il faut une circulation + rapide, c'est le propre de la nature de chercher à rétablir l'équilibre thermique. Donc si le pôle se refroidit toutes choses égales par ailleurs, il doit se produire une augmentation des échanges. Question de bon sens. Ou alors la nature est vraiment bizarre. D'ailleurs pas besoin de modèle pour vérifier cela : quand on passe de l'été à l'hiver, le pôle se refroidit nettement, et les échanges chaud-froid augmentent, les dépressions et anticyclones sont + marqués. Et heureusement, sans quoi le pôle serait d'un froid extrême et les autres régions auraient + chaud : vraiment très bizarre. Conclusion : les modèles en question ne sont pas bons, il ne traduisent pas la réalité des échanges naturels
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non c'est un relookage de la théorie des ondes de Rossby (années 30) elles n'ont que peu de choses à voir entre elles.
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Les secrets d'une forte amplitude à Paris
anecdote a répondu à un sujet de M. Meteo dans Climatologie
oui Nemlod il y a déjà eu des séries de 3-4 jours consécutifs gris avec une amplitude de 0.1°C. Type de temps tout de même ennuyeux -
on m'a dit qu'en Bretagne et Normandie il a fait très mauvais cet été. Ca a déçu beaucoup de monde. A force de parler de canicule, on se trompe. Dame Nature a bien su répondre aux hystériques de la canicule. Et toc !
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moi ça va faire bientôt 2 mois que je n'ai pas de réponse au courrier manuscrit que j'ai envoyé avenue Rapp au sujet d'une demande de documentation. Faut peut-être que je téléphone. je cherche à avoir un exemplaire des épisodes neigeux en vallée du Rhône sur la période 1971-2000. Ca les embête ou bien ils ont perdu mon courrier.
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Les modèles considèrent un parallélépipède d'atmosphère comme une entité. La théorie des AMP considère l'AMP comme une entité. Dès lors l'approche est très différente. Autre différence : la théorie des AMP donne la plus grande importance aux basses couches, contrairement à la théorie officielle. Or les basses couches sont primordiales car ce sont les couches les + denses, contenant le plus d'humidité, et c'est par le sol qu'il y a réchauffement ou refroidissment (à 70 %). La cause principale des phénomènes atmosphériques est le rayonnement solaire (inégal) qui modifie donc le caractère des basses couches et ensuite seulement celui des couches supérieures. Ainsi le courant-jet est une conséquence du glissement des AMP en surface, et pas le contraire. La théorie officielle tourne en rond puisqu'elle n'identifie pas la bonne cause, ce qui fait qu'elle n'explique pas beaucoup de phénomènes, etle est confrontée à des contradictions, si bien qu'elle se réfugit derrière la théorie du chaos, le hasard... bref on reste sur sa faim : "il fait beau parce que l'anticyclone des Açores envoie une dorsale sur la France, point!" de même on entend beaucoup l'expression "blocage" qui désigne en fait une agglutination anticyclonique au sens de Leroux. MF se contente alors de dire "on a un blocage" Tiens Guy Plaut dit "le modèle a tendance à installer un blocage" dans son bulletin du lundi 23 mais ça serait intéressant qu'il nous dise pourquoi (d'où l'intéret des AMP)
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bonne étude lozere. Elle montre qu'en regardant les chiffres de plus près, il y a de quoi être étonné du ram-dam fait autour du "réchauffement global". en fait on peut dire qu'il y a réchauffement depuis 40 ans, mais pas depuis 60-70 ans. ainsi les écarts à la moyenne fournis chaque mois par gbl sont des écarts par rapport à des décennies assez froides (années 60, 70), d'où un nombre actuel dominant de stations météo où l'on observe un excédent thermique. Si certains hystériques du réchauffement étaient honnêtes, ils insisteraient sur la nuance à apporter, cad que la décennie récente présente une chaleur déjà vue dans les années 30-40. Et pourquoi n'en parlent-ils pas à votre avis ? Eh bien pour crédibiliser l'argument selon lequel les GES vont surchauffer la Terre au XXIème siècle. Bref c'est bien une magouille (politique surtout) planétaire, on présente une pseudo-réalité et on entâche une science pour longtemps. pffff
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Début septembre: estival?
anecdote a répondu à un sujet de M. Meteo dans Evolution à plus long terme
les modèles sont incapables de prévoir le temps à plus de 7 jours. alors à quoi bon ? -
je crois qu'à Paris entre 1890 et 1909 il a fait sec presque chaque année.
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"en tout cas un grand hiver est a notre porte,il sera economiquement et humainement catastrophique,bcp + que celui de 1985 surtout au niveau des transport et des reseaux de communications" et ça, MF pourrait en parler de ce risque, alors qu'on nous serine avec le réchauffement... La surprise sera d'autant plus grande. Sauf sur ce forum, où l'on attend ces rigueurs hivernales.
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"en 2003, on observe de manière durable (quelques heures) de la neige sur le Piton des Neiges à la Réunion. C’est la première fois de l’histoire de cette belle île" il me semble qu'il a déjà neigé sur les hauteurs de la Réunion, non ? Rendez-vous compte que le 8 août 2003, il faisait près de 40°C en France contre -7°C en Afrique du sud... "en pleine décennie très chaude, le Mont Aigoual (1560m) bat son record d’enneigement durant l’hiver 1994-1995" non il s'agit de l'hiver 1995-1996, avec 10 à 11 mètres de neige cumulée, si mes souvenirs sont bons. "en climatologie, l'anecdotique ne doit pas servir à illustrer et encore moins prouver des tendances qui ne peuvent se détecter qu'à l'échelle de plusieurs décennies" oui mais il y a répétition de certains événements qui confirment une tendance. Ainsi, de nombreux flux de sud depuis 1988 en France sont à l'origine de nombreuses vagues de douceur (ou chaleur), de tempetes extremes, de pluies + fortes dans le sud-est. Les habitants du sud-est vous diront que ce ne sont pas des événements anecdotiques : cf les crues du Rhône depuis 10 ans... De même il y avait bien des vagues de froid à répétition entre 1953 et 1972 en France. (d'où le minimum thermique des moyennes d'ailleurs, le déficit mensuel d'un mois froid d'hiver pesant + lourd que celui d'un mois d'été...)
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cf aussi la polémique sur le cyclone brésilien de mars dernier dans "Courrier international" de cette fin de semaine.
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Nouveauté vocabulaire, c'est à la mode
anecdote a répondu à un sujet dans Météo, environnement et société
"micro-intempérie" ça fait style on a découvert quelque chose de nouveau donc la météo progresse. c'est faux, la qualité des prévisions météo se tasse depuis 20 ans alors que la puissance des ordinateurs augmente de façon vertigineuse. le vrai problème ce sont les modèles, dont le fondement physique n'est jamais remis en cause. -
Rions... mais jaune... enfin orange !
anecdote a répondu à un sujet de Bohlen dans Météo, environnement et société
Merci MF pour la vigilance francilienne d'hier soir, du coup tous les parcs et jardins de Paris étaient fermés, résultat un jogging annulé. Bien sur ce n'est pas grave mais quelle bêtise de maintenir la vigi orange aussi longtemps en IDF alors que le gros du mauvais temps était passé à 16 h ! Des fois ils regardent les images satellite, les prévisionnistes ?? Sinon je remarque que les internautes réagissent nombreux sur ce forum aux erreurs de MF, à l'exception des gens de MF, comme Anikolas, M.Meteo. Sont-ils indifférents, fatalistes ... ?! -
"Selon ses auteurs, les glaciers de huit des neuf zones glaciaires d'Europe se trouvent aujourd'hui à leurs niveaux les plus bas depuis 5.000 ans pour ce qui est de leur masse et de leur superficie." croyance appuyée sur les travaux de Mr Mann qui, à partir de données dendochronologiques, affirme que la période la plus chaude du millénaire est le XXème siècle, alors que les climatologues ont montré (par un tas d'indices) qu'il faisait plus chaud au Moyen Age qu'aujourd'hui, et ce partout dans le monde. C'est les politiques du GIEC qui se sont emparés des résultats erronés de Mann parce qu'ils correspondent à ce qu'ils veulent. Dès lors, pas étonnant que ces résultats rejaillissent sur d'autres institutions (dont MF, qui maintient que 1998 est l'année la plus chaude du millénaire). En fait le catastrophisme paye très bien, l'argent couplé à l'utilisation numérique à outrance nous donnent des scientifiques coupés de la réalité, dans leur bulle.
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Rions... mais jaune... enfin orange !
anecdote a répondu à un sujet de Bohlen dans Météo, environnement et société
moi j'ai envoyé un courrier avenue Rapp à Paris pour une demande de documentation, et ce il y a 1 mois et demi. Pas de réponse. -
Rions... mais jaune... enfin orange !
anecdote a répondu à un sujet de Bohlen dans Météo, environnement et société
comme d'hab' il n'y aura pas de sanction à MF car MF est juge et partie... MF ne sait toujours pas localiser des noyaux orageux (tout de même assez vastes) et prévoir leur puissance, ce malgré les plus puissants ordinateurs du monde. mais patience, de nouveaux ordinateurs encore + puissants et donc + chers arriveront et seront capables de prévoir les violents phénomènes... ce sera annoncé par le PDG de MF avec un large sourire du style "on pense à vous et consultez nos bulletins départementaux précis [mais différés] [et par ici la monnaie]" avant un nouveau plantage auquel personne ne fournira d'explication, une fois de plus. Et l'histoire recommencera... -
oui jakote34 et ça c'est encore une illustration de MF qui monopolise la météo. Point de référence météo en dehors de MF. Il faut dire qu'à MF les ingénieurs sortent des plus grandes écoles, d'où une certaine condescendance de leur part. "C'est pas à un polytechnicien de MF qu'on va apprendre la météo" (je précise que les polytechniciens peuvent entrer à MF sans passer par le concours. Je crois que c'est le cas aussi pour Centrale et les Mines mais je ne suis pas sûr) ça aussi c'est très français : t'a fait une grande école alors t'es un bon professionnel. aux USA le système est plus pragmatique : tu peux partir de rien c pas grave on t'apprend le job, ta motivation te pousse vers le haut. évidemment on vire + facilement mais on embauche + facilement aussi. En résumé MF fait un BLOCAGE.
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Rions... mais jaune... enfin orange !
anecdote a répondu à un sujet de Bohlen dans Météo, environnement et société
Je souhaite qu'Anikolas (de MF si je ne me trompe pas) nous explique le raté d'hier soir. quant à ceux qui passent le concours MF, seuls les plus matheux passent. Sachant cela, on comprend que beaucoup n'aient pas le réflexe d'observer les situations en temps réel (démarche naturaliste), ils ont tous les yeux rivés sur les sorties de modèles. -
pour 41350 : un lien pour voir le schéma de circulation générale de l'atmosphère : http://www.univ-lyon3.fr/LCRE/climato/amp.htm schéma intitulé "Circulation générale de la troposphère : schémas saisonniers". Note que l'équateur météorologique n'est pas un plan vertical, du moins seulement en partie. En surface, l'équateur météo est décalé (en latitude) par rapport au plan vertical d'ascendance des couches moyennes et supérieures du fait du facteur thermique de surface : il est donc nettement décalé sur les continents et beaucoup moins sur les océans, si bien que les "déserts" océaniques sont bcp + étendus que les déserts continentaux (heureusement) : ainsi, la pluviométrie des îles du cap Vert est très faible par rapport à celle du continent africain à la même latitude. pour JBR : y aura-t-il une version française du nouveau livre de Leroux ? merci
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en gros Leroux traite du climat de l'Afrique d'entre les 2 tropiques. Les AMP venus du nord (pellicules d'air froid de surface) se prolongent en alizés (écoulement par pulsations) qui soufllent sous la branche descendante de la cellule de Hadley(source de sécheresse)). On voit d'ailleurs les lignes de pulsation (nuageuses) sur les images satellite, en particulier sur le sud-est de l'Atlantique nord à proximité de l'Afrique. La couche fraîche et nuageuse se réchauffe et s'épaissit dans sa progression vers le sud. L'inversion monte en altitude pour finir par disparaitre au voisinage de l'équateur météorologique (zone d'ascendances et de pluies). L'alizé se prolonge éventuellement en mousson cad traverse l'équateur et change de direction (est avant, ouest après). cette mousson (le vent), très humide, est surmontée par l'alizé de l'hémisphère sud (si la mousson vient du nord). Cette stratification empêche la pluie, sauf dans les lignes de grains, qui traduisent une impulsion de l'alizé estival (donc dans notre exemple l'alizé de l'hémisphère sud) dans la mousson, cad un soulèvement de l'air très humide de la mousson du à une pénétration de l'alizé en surface (alizé qui souffle la plupart du temps au-dessus de la mousson). Bilan : l'humidité évaporée entre les tropiques ne retombe sous forme de pluie qu'à proximité de l'équateur météorologique (zone de forte ascendance) et dans les lignes de grains (dans sa majorité)