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anecdote

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  1. 206 mm en juillet 2001 et non 2000 il me semble. 104 mm à Paris en 6 h le 6 !
  2. salut Guillaume, une anecdote : il y a eu pire niveau neige dans le passé (mais là ton livre qui parait aujourd'hui en parle peut-etre ! Tiens faudra que j'aille l'acheter) : début juin 1984 : 40 cm à Val d'Isère, 1 cm à Bourg-St Maurice (altitude 900 m). début juin 1969 : 10 cm à Villard-de-Lans (alt. 1050 m) début juin 1978 : la neige quitte enfin les sols du col de Porte (alt. 1350 m dans la Grande Chartreuse) après un enneigement continu depuis novembre 1977... et en juin 1999, on pouvait encore skier à Chamrousse (et là je parle en connaissance de cause, j'ai vu cette neige). Alors début mai, ça ne me parait pas exceptionnel. 35 cm... arf tu peux faire un igloo Guillaume !
  3. regardez-moi ces constrates thermiques aujourd'hui en Europe : http://www.wetterzentrale.de/pics/Reurmett.html C'est plus que l'été sur le sud de la Finlande, la partie centrale de la cote norvégienne et les pays baltes avec 24 à 26°C ! Par contre, on se gèle dans le sud de l'Allemagne et l'ouest de la France avec 8 à 10°C... On a 4°C de plus au voisinage du cercle polaire arctique que sur la cote marocaine... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  4. non le record est de 25,8°C à Nice le 14 février 1990
  5. "Bonne nouvelle quand même : la vente de climatiseurs connaît un énorme "boom" cette année. Bref, il faut des phénomènes extrêmes pour que les Français commencent à réagir..." Ca c'est encore de la gestion à court terme : il a fait super chaud => on dépense beaucoup d'argent pour des climatiseurs car on a peur que ça recommence bientot. Mais qui nous dit que cela recommencera bientot sinon les media, sinon les Cassandre modéliseurs du climat (pro-théorie de l'effet de serre) ? Regardez l'histoire : 1977 fut pourrie et fraiche après 1976 (14 jours consécutifs à plus de 33°C à Paris en 76 contre pas plus de 29°C pour toute l'année 77), 1948 aussi après 1947, 1922 après 1921. L'histoire est là, pourquoi ne pas en tirer des leçons ?? (+ cf études de Florent76) Les Français sont passifs, ils attendent que les infos viennent à eux, que l'Etat assure tout (dont la réhydratation) : il fait plus de 35°C pendant 15 jours en IDF, 15000 personnes en meurent et c'est l'Etat le fautif ? Mais par temps de canicule, l'Etat ne pourra jamais obliger les personnes agées à quitter leur domicile pour aller dans une salle climatisée (ou alors il faut une loi), de meme que bon nombre de sans-abris refusent d'aller dans des centres chauffés en hiver (on ne peut pas les y obliger) ; seulement que quelques-uns meurent à cause du froid et c'est la faute de l'Etat égoiste... c'est pas si simple, on ne peut pas lutter complètement contre la nature et la volonté des gens. attention à l'effet médiatique qui déforme la réalité ! et vous verrez que bientot, l'inattendu se produira : un froid glacial et des vagues de neige s'abattront sur la France, ralentissant la circulation donc l'économie et les Français raleront : 30 cm de neige en Touraine, mais où sont les chasse-neige de l'Etat ? C'est pas normal de rester bloqués des heures par la neige au XXIème siècle (réflexion du Français moyen) ! 40 SDF morts de froid dans la rue ! Que fait l'Etat ? Le pb c'est que les SDF ne veulent pas forcément aller dans des centres chauffés (promiscuité, risque de vols...)... 200 km de bouchons sur l'autoroute, des heures de blocage, une nuit passée sous la neige et par -5°C, c'est dégueulasse, l'Etat doit rembourser (ndlr : le temps perdu bien sur). mais au moins, les tenants le l'effet de serre se feront discrets !
  6. 193 mm à Lodève. et MF toujours en jaune...
  7. 7 mai 1997 : 5 cm de neige à Tours
  8. je ne suis pas pour une simplification de la météo. car le temps est encore beaucoup trop simplifiée dans la tete des néophytes : il fait beau ou pas beau. Quand on est passionné de météo, les gens vous posent la question : "fera-t-il beau ou pas ?" ou bien "pleuvra, pleuvra pas ?". La météo n'est pas BINAIRE, cad qu'il n'y a pas 2 situations en météo (beau ou pas beau). Il y en a bien plus, encore heureux ! Tant que les gens ne feront pas l'EFFORT de nuancer leur vision du temps qu'il fait, il n'avanceront pas dans la compréhension des phénomènes et dans leur jugement des prévisions météorologiques. Désolé, mais il faut le dire, c'est aux néophytes de faire des efforts pour apprendre la météo. Les professionnels et amateurs météo font DEJA tout leur possible. En tous cas, c'est comme cela que je le ressens. Et vous ?
  9. 5 cm de neige à Tours le 7 mai 1997, 8 cm à Paris le 1er mai 1945, 2 cm à Paris le 18 mai 1935 !
  10. j'ai commencé à lire le bouquin de JP Croizé. pour ma part je n'ai pas appris gdchose de nouveau, et il y a des erreurs de chiffres. mais je pense qu'il peut etre intéressant pour des néophytes (ce n'est pas péjoratif)
  11. oui c'est lui, Philippe. tu le connais ?
  12. Merci Mathieu, OK pour le lien dans un dossier d'Infoclimat. Les flux ont été relevés en général. Pour cela, je me suis aidé de mon expérience : je visionne les cartes isobariques de surface chaque jour depuis 1994. J'ai tenu compte d'une légère déviation par rapport aux isobares en effet. Néanmoins ce n'est pas un travail facile et certaines situations sont ambigues. Pour info, je me suis attaqué aux flux du mois d'OCTOBRE (meme travail). J'espère avoir fini courant mai.
  13. "c'est le différentiel de température" et dans le cas de l'huile et de l'eau juxtaposées, comment appele-t-on l'énergie qui va initier le mouvement ?
  14. sur www.lameteo.org, les nouvelles prévisions saisonnières du site de Fred Decker prévoient un été chaud. Qu'en penses-tu, Florent ?
  15. je vais tenter de reformuler ma question : si la Terre ne tourne pas, quelle est l'ENERGIE nécessaire pour initier le mouvement froid --> chaud dans les basses couches ? ma question est "quelle énergie ?" pour l'instant on ne s'intéresse pas au cas où la Terre tourne. NB : j'aime bien ce smiley
  16. anecdote

    été 2004

    Mais ça c'est typiquement de la vision sur le court terme : En 1987 à Paris suite à 10 cm de neige sur la capitale et parce que c'est le 3ème hiver rigoureux consécutif, la mairie de Paris investit dans un couteux matériel d'engins de déneigement. Résultat : la neige disparait pour 3 ans à Paris. Parallèlement, suite à ces hivers glacés et à des printemps pourris, les media parlent du retour à l'age de glace. En 1990, au bout de 3 années très chaudes et sèches, les media nous annoncent une désertification de la France : le climat de la Sicile à Toulouse ! Résultat : la pluie revient à partir de l'été 1993, le Rhone déborde, la Bretagne est sous l'eau en janvier 1995. Printemps 1997 : sécheresse généralisée sur le territoire. A la suite d'une année 1996 sèche, on évoque le retour de la sécheresse de 1997. Résultat : il pleut beaucoup en juin et juillet 1997. En 2000, suite aux tempetes de décembre 99, des scientifiques nous annoncent une multiplication des tempetes en hiver pour les prochaines décennies. Résultat : la tendance est à la raréfaction des tempetes depuis 4 ans (les bretons du forum en savent quelque chose). En mai 2001, suite aux inondations de la Somme, des scientifiques insistent sur la multiplication des inondations à venir. L'hiver suivant, la presse tire la sonnette d'alarme sur le risque de crue de la Seine. Résultat : le temps est beaucoup plus sec depuis 2 ans. Eté 2002 : que de nuages sur la France. Les étés pourris devraient-ils la norme ? Résultat : la canicule étouffe tout le pays en 2003 Eté 2003 : la canicule est historique, insupportable et meurtrière. Du jamais vu depuis très longtemps. On nous annonce une multiplication des canicules à l'avenir. Résutat : ? On ne connait pas les événements du passé. Bientot avec la sortie du bouquin de Guillaume Séchet, des néophytes vont enfin prendre connaissance de l'histoire des événements météorologiques extremes au XXème siècle en France !
  17. "durée de retour d'environ 30 ans." la notion de durée de retour n'est pas très utile, car l'événement "forte canicule" ne se produit pas aussi souvent lors d'une période froide que lors d'une période chaude. Il n'y a pas équiprobabilté ici. Cad qu'on ne peut pas comparer un tel événement à un autre du genre "je fais un 6 en lançant un dé". Il faut chercher les causes rationnelles de l'événement "forte canicule". idem pour les crues. Prenez par exemple le cas de la Loire : 3 crues dites centennales en 1846, 1856 et 1866 et depuis, plus rien. Est-ce que la longue absence de cet événement signifie que la probabilité qu'il se produise dans les années à venir augmente au fil des ans ? Pas forcément. Car les crues extremes sont d'autant plus fortes que le climat est froid, comme l'atteste l'historique des crues des fleuves français et d'Europe centrale par exemple. En climat relativement froid, les dépressions et les anticyclones sont plus marqués, les pluies plus intenses sur de petites zones et les zones souffrant de sécheresse plus étendues. Imaginez quand meme les extremes pluviométriques au milieu du XIXème siècle : 3 crues majeures de la Loire en 20 ans, une année 1856 marquée par le débordement exceptionnel du Rhone et de la Garonne (5 crues de février à juin pour la Garonne). Et je ne parle pas des crues de la Seine en 1876 et 1910... Et ce ne sont pas les réservoirs de barrages qui empecheront de fortes crues à l'avenir.
  18. "Imaginons un instant que la terre s'arrete de tourner, que se passerait-il? On peut imaginer (même si cela est gros) que le ré-équilibrage se ferait sous forme d'une stratification horizontale avec l'air froid plus dense près du sol et l'air chaud en altitude." dans le cas où la Terre ne tourne pas, tu parles de rééquilibrage. Pour qu'il ait lieu, il faut un mouvement (glissement de l'air froid des poles sous l'air plus chaud des zones tropicales et équatoriales). Supposons qu'initialement il n'y ait pas de différence thermique pole-équateur. Puis, du fait de l'inégalité de répartition de l'énergie solaire sur la surface de la Terre, l'air au-dessus du pole se refroidit, celui au-dessus de l'équateur se réchauffe. Quelle est l'énergie qui permet à l'air de se mettre en mouvement ? Ainsi ma question n'a rien à voir avec la force de Coriolis.
  19. anecdote

    été 2004

    non 41350 cf mon étude sur les flux au mois d'avril : le flux de SW a gagné du terrain en avril sur les dernières décennies. En mars sans doute aussi : il faudrait faire le meme type d'étude /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> mais c'est assez long donc en attendant ça reste une hypothèse.
  20. http://www.meteo.fr/meteonet/decouvr/dossi...tempete/z09.htm MF nous explique qu'il n'existe pas de force F pour que l'air froid s'exporte hors des régions polaires. Or -- et là je reviens sur les AMP -- Leroux prétend le contraire. Toute la question est là. Pour MF, il faut un moteur (la dépression) pour faire glisser l'air froid vers le sud. Pour Leroux, l'air froid, du fait de sa densité plus forte, est le moteur cad il provoque par sa descente la naissance de la dépression. Quel est le problème ? Nous avons de l'air froid au pôle et de l'air plus doux aux alentours. La nature va donc chercher à rééquilibrer l'ensemble du point de vue thermique comme elle le fait à petite échelle avec la brise de mer par exemple. Or qu'est-ce qui crée une brise de mer ? Une dépression ? Non. La situation est celle de 2 fluides de densité différente juxtaposés. S'il n'y a pas de dépression, pas de mouvement selon MF. Car il n'y a pas d'énergie initiale pour initier le mouvement. Or, mettez 2 fluides de densité différentes cote-à-cote au repos (par exemple, prenez une cuve faite de 2 compartiments, dans un compartiment versez une hauteur h d'eau, dans l'autre une hauteur h d'huile ; puis soulevez délicatement la cloison séparant les 2 compartiments ; aucune vitesse, aucune force n'est imposée. Et pourtant, l'eau, plus dense que l'huile, va se glisser sous l'huile. Ca veut dire qu'il existe une énergie potentielle due à la différence de densité qui permet le mouvement (bien réel). Notez qu'on est dans le même schéma qu'à la surface de la Terre : le champ de pesanteur est orthogonal à la surface de la Terre et de la cuve... Pourquoi alors rejeter le rôle moteur de l'air froid ?
  21. Il y en a qui ne savent pas lire : "En lisant Anecdote on a presque l'impression que les calculs des modèles numériques sont le résultat du hasard..." (Anikolas) non je n'ai pas écris ça. d'ailleurs j'ai expliqué ce qu'était un modèle, je n'ai pas écrit qu'un modèle faisait n'importe quel calcul. Anikolas, tu as caricaturé mes propos. "à lire anecdote tous ce qui peut s'écrire sous forme mathématique est une horreur dès qu'il s'agit de l'atmosphère" (lds) Alors que j'ai écrit : "le numérique n'est pas une fin en soi" et "Je ne suis pas contre le numérique". J'ai critiqué le fait qu'on ne se reposait QUE sur les modèles, ça ne veut pas dire que les modèles sont nuls ! L'interprétation de mes propos de la part de lds est CONSTERNANTE. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  22. Anikolas évoque la "solitude" de Leroux. En fait il y a une différence de culture importante, Leroux étant géographe et MF physicienne. Il faut savoir que MF travaille à partir de modèles numériques depuis 40 ans. Le numérique s'est introduit de manière écrasante en météo au cours des années 60. Les outils informatiques et la puissance des calculs se sont nettement améliorées, la visualisation des sorties de modèle aussi, mais... la compréhension des phénomènes, non. Pourquoi ? Qu'est-ce qu'un modèle ? Un modèle est une sorte de boite noire, l'atmosphère est représentée par un volume compris entre 2 sphères et découpé en une multitude de petits cubes, chaque cube représentant un petit volume d'air. Ce petit volume est soumis aux équations de la physique. Sur les limites du modèle sont appliquées des conditions (par ex : Pression = 0 en haut de l'atmosphère). Et puis il faut déterminer un état initial de l'atmosphère à l'instant t (de manière approximative). Avec tous ces ingrédients, on fait tourner des calculs transitoires pour obtenir des résultats en pression, vitesse, température, etc partout dans le modèle aux instants t+1jour, t+2jours, etc. Les résultats représentent des tonnes de chiffres. Le problème du modèle, c'est que c'est justement une boite noire. Comment un prévisionniste peut-il expliquer les résultats d'une prévision ? Par exemple, peut-il expliquer pourquoi "l'anticyclone a gonflé" sur la France ? Non. Peut-il expliquer pourquoi une tempete a suivi telle trajectoire et pas une autre ? Non plus. Le prévisionniste s'en référe au caractère supposé chaotique de l'atmosphère. Autrement dit, on ne peut pas expliquer. Que dire en effet des réponses de la théorie officielle : "la dépression est une machine thermique qui crée du vent" => mais alors qu'est-ce qui la crée ? "une perturbation" => d'où vient celle-ci ? "d'une ancienne dépression" etc. Bon je caricature un peu mais c'est pour dire que la théorie officielle tourne un peu en rond. Leroux utilise d'abord l'observation satellitale, il met en évidence des palets d'air froid de basses couches se détachant régulièrement des poles, leur trajectoire, etc. Il ne se met pas en position pour "faire des calculs numériques" mais pour décrire et tenter d'expliquer le fonctionnement de l'atmosphère. Son hypothèse est intéressante et toujours pas réfutée par MF (alors c'est peut-etre une bonne piste...). Puisque 41350 me cite, je préfère à titre personnel la théorie de Leroux, et faisant moi-meme de la modélisation, je vois très bien ce que fait MF. Je ne suis pas contre le numérique et Leroux non plus. Mais je pense que le numérique n'est pas une fin en soi. Or c'est souvent le cas à MF ou LCM. On parle des modèles : NOGAPS, GFS, AVN comme si ces individus supercalculateurs étaient animés d'une intelligence humaine : "NOGAPS voit une dépression sur la GB, et un anticyclone sur l'Europe de l'Est". De meme pour les "objets" météo, tels l'anticyclone des Açores qui ferait une jonction avec l'anticyclone de Sibérie (pourquoi ?). Bref c'est de l'animisme météorologique qui cache mal le fait qu'on ne sait pas expliquer les phénomènes. Expliquer pourquoi la pression monte ou descend, expliquer l'enchainement de perturbations, expliquer le renforcement d'un anticyclone. Et ça justement, seul Leroux (à ma connaissance) a mis les mains dans le cambouis pour l'expliquer. Sa théorie AMP n'est pas prouvée au sens mathématique, mais en admettant les bases de cette théorie, tout le reste coule de source. La météo, c'est d'abord de la GEOGRAPHIE, avant d'etre de la PHYSIQUE et des MATHS. Il faut avoir AUSSI une approche NATURALISTE des phénomènes ; autrement dit, il faut beaucoup observer. Or qu'observent les prévisionnistes surtout ? Les résultats des modèles, justement ! (ça représente du boulot, donc du temps) C'est peut-etre une explication au raté du 4 janvier 2003. Bref à MF tout gravite autour des modèles : on ne comprend pas El Nino ? => on fait des études de corrélation avec des modèles. on veut expliquer les tempetes de decembre 99 ? => on fait des études de sensibilité avec des modèles. on veut savoir l'avenir du climat => on lance des calculs avec des modèles. on a les résultats des modèles => "les modèles disent que..." mais pourquoi ils disent cela ? => "ben..." Le numérique, le numérique, et encore le numérique... Leroux place les observations comme ce qu'il y a de plus important. LE NUMERIQUE N'EST PAS UNE FIN EN SOI, MAIS UN MOYEN.
  23. je la signe ! ses éditos sont précis, bien illustrés et pleins de bonne humeur.
  24. -0.7°C au Touquet le 31 mai 1989
  25. flux relevés au sol. j'ai passé 10 h à lire les 1890 cartes (environ) de wetterzentrale, et à peu près le meme temps pour l'analyse et la rédaction.
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