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jonathan

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Tout ce qui a été posté par jonathan

  1. Et sur ce pronostic du début juillet, les modèles sont aussi stables que pour le flux de nord à venir...
  2. Si si, c'est marqué là, la fin juin sera torride /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
  3. A terme c'est plus que probable, mais ça risque de prendre un certain temps (quelques jours à l'ouest et au moins une semaine pour l'est du pays)
  4. jonathan

    Roeder

    Déjà, si il met à jour ces données, même un peu girouettes, c'est pas mal. Perso, je trouve que la prévision pour juin, un peu tardive certe, est quand même plutôt bonne. On y retrouve : 1) Une anomalie positive du côté du Groënland (l'on parle de GA depuis un moment et encore pour un moment, cf. G. Plaut) 2) Une autre anomalie positive du côté de la Nouvelle Zemble (les HP y sont omniprésentes depuis pas mal de temps) 3) Une faible anomalie négative sur le Proche Atlantique (là où plusieurs dépressions/gouttes froides se sont creusées durant les deux premières décades du mois) 4) Une autre nomalie négative, plus prononcées, sur la Baltique (là où une dépression assez creuse est prévue stationner pendant au moins une semaine selon les modèles déterministes) Voici ce qui est prévu pour juillet. Les acteurs restent sensiblement les mêmes à la différence que le GA s'essouffle et que dans le même temps l'amplitude des anomalies négatives régresse sur le continent (bien que stationnaires en position géographique). Pour août, c'est bien différent. Mais qu'en sera-til à la prochaine réactualisation ?
  5. Je m'arrêterai simplement sur la journée de Dimanche, le 24, et donc fin de la semaine concernée. Et bien, c'est peut-être "reculer pour mieux sauter" mais, en deux jours, les modèles ont un petit peu évolué je trouve. Finalement ce dimanche pourrait être assez agréable sur bon nombre de régions, en particulier sur la moitié sud, alors qu'il devait être placé sous le signe de la fraîcheur avec l'arrivée du Noroît dès l'avant-veille dans les premières simulations crédibles. Voici les derniers runs en date : ECMWF, GME, NGPS, GEFS, qui sont les plus favorables... ... alors que UKMO et GEM le sont moins.
  6. jonathan

    Eté 2007

    Tout le souci, c'est que c'est bien en leur portant attention qu'on peut prétendre les améliorer pour plus de fiabilité. Mais je suis d'accord avec toi, le modèle n'est pas le messie, loin de là.
  7. La question que je voulais soulever était : le dit flux de NO va-t-il, peut-il, durer ? Pour l'instant, ma réponse est : probablement que non L'indice qui me fait dire ça : l'année dernière, en août, un AA vissé (presque une boule) sur l'Atlantique Nord pendant moulte runs était largement visible sur l'ensemble des modèles à perte de vue. En ce moment, je les trouve plus nuancés, avec un anti de moins en moins éloigné au fur et à mesure des actualisations. Le but ici est de faire de la préviz à J+6 et après (titre de la rubrique), vrai ? Et bien en dehors de cartes de modèles d'ensemble (malgré le lissage), à cette échéance, j'ai pas trouvé mieux pour illustrer mons avis. Mais si il en existe, je suis preneur /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  8. jonathan

    Eté 2007

    Le bulletin proposé par G. Séchet, comme d'autres disponibles gratuitement sur le net, est basé sur une synthèse des différents modèles à disposition. Ce n'est pas forcément le prévisionniste qui est à mettre en cause mais surtout l'outil. Quand MF produit des prévisions sur la base de 6 modèles et que 5 d'entre-eux sont orientés vers la même tendance, elle nous paraît logiquement fiable, et pourtant... Et que dire de la spatialisation de ces tendances à l'échelle d'un pays comme la France, carrefour par excellence. En consultant ces modèles (cf. lien plus bas), on constate une tendance lourde vers le chaud en ce qui concerne le continent européen, mais pas partout, et combien la variabilité est grande dans les résultats obtenus. CFS MetOffice synthèse IRI Synthèse MF
  9. Entièrement d'accord avec toi, sauf peut-être pour la composante humide du flux de N à NW, qui lui s'affirme de run en run (GEFS, EFS pour le 25). Un peu comme en août 2006, le rendu n'était pas le même entre le Morbihan (ensoleillé et sous le vent) et l'Alsace (nébulosité fréquente et humidité importante). Par contre, contrairement à l'année dernière, il semble que le flux de Nord à venir ne soit pas inscrit dans la longue durée (GEFS, EFS pour le 28).
  10. Même avec un retour "prématuré" de l'AA, il n'en reste pas moins qu'un épisode de relative fraîcheur (en raison de l'origine du flux et de la masse d'air qui l'accompagne et sans compter l'éventuelle nébulosité, à définir...) est bien à l'ordre du jour au moins pour la seconde partie de semaine. Faisons donc abstraction des diagrammes T850 si décriés. Voici ce que ça donne du point de vue synoptique : - GFS - ECMWF - UKMO - GEM - GME - JMA - GEFS - Ensemble GEM Et tiens ? Un intru ! NGPS Donc mis à part NGPS, qui n'est clairement pas le modèle le plus fiable au delà de 72h, ce vendredi 15 juin, 23h et des poussières, les modèles ne s'orientent pas vers le début d'une longue période de chaleur. Même si, au de là de ça, je te rejoins, la constance de ces derniers temps des courbes de T850 à "tendre vers le bas" (et de manière douteusement groupée) puis à amorcer une hausse à l'approche de l'échéance est presque devenue une règle. Jonathan PS 1 : une question, d'où vient cette idée "la fraicheur qui devait démarrer aujourd'hui pour durer jusqu'à la fin du mois " ? PS 2 : le mois de juin 2007 ne sera pas exceptionnel en raison de sa chaleur (pour les orages, c'est à voir) et donc un grand nombre des prévisions saisonnières disponibles sur le Net sont donc à côté de la plaque, pourquoi ? (débat à développer dans l'autre rubrique éventuellement)
  11. ... et justement, le dernier run de GFS (celui de 00h), bien qu'isolé, nous montre en quoi ce changement de configuration n'est pas acquis et en quoi la réccurence d'une situation peut perdurer. Sinon, d'une manière générale, il semble bien que la goutte froide de la semaine soit vue un peu moins virulente. Enfin, sans aller au détail près, c'est pratiquement un copier-coller de la semaine actuelle : lourd et parfois chaud en début de semaine (orages isolés mais forts) puis dégradation progressive suivie d'un rafraîchissement sensible par l'ouest en seconde partie de semaine (avec forts orages pré-frontaux puis passage pluvio-instablo-venteux), la routine quoi.
  12. Les modalités de passage du talweg (ou pseudo goutte froide) sont plus qu'incertaines et c'est à court terme que cela peut être appréhendé, même si l'hypothèse d'un isolement au large du Portugal est maintenant très peu probable. Pour la suite, en effet la possibilité de mise en place d'un flux de NO en fin de semaine, en raison d'un repositionnement de l'AA, est tout à fait envisageable. Sur GEFS, c'est particulièrement net ; ça l'est un peu moins sur l'ensemble GEM ; et encore moins en ce qui concerne EFS. Tout cela est vraiment loin, largement tributaire du dit passage de talweg, mais relève d'une échelle beaucoup plus large, donc de configuration "lourde" et, comme le rappelle Virgile, n'est certainement pas dû au hasard. Peut-être, à la vue de ces quelques sorties ensemblistes, peut-on supposer que la façade Ouest, d'abord "mal servie" par les conditions estivales (car à proximité des systèmes dépressionnaires stationnant en permanece sur le Proche Atlantique) pourra tirer son épingle du jeu en bénéficiant d'un meilleur ensoleillement (les causes étant exactement inverses), ce qui aurait pour avantage de limiter la baisse du mercure "programmée" pout tous, en tout cas à en voir les diagrammes. Et pour finir, juste un petit mot, en août 2006, ce changement de configuration a eu lieu très rapidement (en deux ou trois jours) mais s'est par la suite largement éternisé. Qu'en sera-t-il ce coup-ci ? Si transition il y a, cela va de soi...
  13. Passage d'une, voire deux gouttes froides (certe très mal appréhendées, mais après tout c'est normal) et possible flux de NO dans une ambiance bien rafraîchie par la suite. Cette tendance (scénario de l'aspirateur) est de plus en plus marquée chez GFS et déjà bien visible sur la version ensembliste. Risque de canicule proche de 0%, ça change des dernières années. On était même plus habitués.
  14. Très juste. Autre point d'incertitude, c'est l'atterrissage de la goutte froide actuellement sur le Proche Atlantique. Y'a 4/5 jours, ce devait être pour notre pomme dès le week-end à venir. Depuis, son arrivée est constamment différée. A priori ce serait pour jeudi maintenant mais on est pas à l'abri d'un nouveau "retard". Dans un second temps, c'est la durée de cette dégradation qui est très mal perçue. Elle pourrait être bien courte. Ainsi par exemple, ENS propose ce matin un retour des HP par le sud-ouest dès le dimanche suivant.
  15. Il faudra peut-être attendre le milieu de semaine pour le changement de flux, en tout cas on gagne en jours de chaleur humide de run en run. Comme l'a dit Guy Plaut dans son bulletin d'hier à propos des tendances saisonnières, il faut peut-être s'attendre à des passages brefs mais intenses de dépressions issues de forts contrastes au large immédiat des côtes britanniques (comme le 28 mai) durant cet été selon le postulat d'une certaine récurrence des situation. GFS en prend le chemin, avec une dépression assez creuse visiblement mais semble aussi confirmer un retour au "calme" assez rapide par la suite. Ce n'est qu'hypothèse vue l'échéance mais cela paraît plausible. Pour les orages du début de semaine, la "petite boule noire", qui n'est certainement pas un bug (voir débat en page 1) est toujours d'actualité sur ce run de 6h. Les compteurs sont au rouge : Cape et LI, Vents verticaux et Pmm. C'est qu'on finirait par y croire à force.
  16. Et même une véritable masse d'air arctique en embuscade comme ici selon le dernier run de GFS (celui de 6h). Tout ceci est sans doute extrême et le risque de voir débouler cet air froid est quand même réduit. En tout cas, on peut quasiment écarter tout risque de canicule. Ce qui mine de rien dénote radicalement avec les 4 précédentes années, la fin d'un cycle ?
  17. Mais c'est loin d'être une certitude ! Sinon, globalement, il me semble que la pénétration franche sur le continent (un temps envisagée) et massive du pseudo talweg en formation (sur l'océan) soit de moins en moins à l'ordre du jour pour le début de semaine. Peut-être quelques jours de prolongation dans cette situation de marais barométrique propice à la chaleur et à l'évolution diurne (donc aux orages). Affaire à suivre... Ajout : l'inverse du dernier run de GFS donc (qui voit une belle descente arctique en prime ??!) ...
  18. jonathan

    Automne 2007

    Y'a 3 semaines à peine, l'ensemble des modèles de prévision saisonnière (et des bulletins) plageait sur un été chaud et sec quasiment du début à la fin, avec une risque notable de sécheresse selon les spécialistes de la question. Maintenant ce trimestre est beaucoup plus difficile à cerner (cf. les derniers textes proposés par MF ou G. Séchet). Pour septembre, c'est encore pire, un temps évoqué comme potentiellement porteur de records de chaleur, il serait maintenant possiblement frais selon certains modèles, comme le CPC par exemple. A noter que ce même modèle, il y a moins d'un mois affichait du orange sur l'ensemble du pays rien de moins que de Juin à Octobre (inclus). On dirait bien que c'est l'inverse aujourd'hui. Rendez-vous dans trois semaines pour voir l'évolution des couleurs /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> ... Mon pronostic : - le scénario de l'été "on prend les mêmes et on recommence" a 50% de chance d'arriver - un été durablement chaud et sec a 50% de chance d'arriver - des records de chaleur en septembre ont 50% de chance d'arriver - une fin novembre froide a 50% de chance d'arriver
  19. En tout cas, le scénario de "la canicule généralisée", un temps évoqué à très longue échéance (à juste titre compte tenu des simulation proposées il y a de ça 3 jours par ENS) semble de plus en plus compromise. C'est qu'il en faut des ingrédients en phase pour que cela arrive. Effectivement, suite à l'améliorationprogressive du week-end à venir, une nouvelle dépression associée à un talweg pouvant évoluer en goutte froide pourrait prendre le relais en cours de semaine suivante (celle du sujet). Mais son évolution est encore très mal perçu par les modèles. Entre GEM, qui voit l'instauration d'un véritable blocage (plus propice à un flux continental chaud et sec), ECMWF, qui voit la cellule anticyclonique se décaler progressivement vers l'ouest (flux passant au Nord ou au NO en fin déchéance), GFS, qui nous place partiellement sous l'influence de la dépression (avec un dégradé NO/SE assez prononcé augurant d'une belle tendance orageuse du Pays Basque aux Ardennes) et NOGAPS, qui propose un schéma intermédiaire (conditions anticycloniques faisant de la résistance malgré la pression du talweg sur le proche Atlantique), que de scénarios possibles... Une fois n'est pas coutume, personnellement, je pencherais (pour le moment) vers le dernier des "possibles" évoqués juste au dessus. D'ailleurs, ce qui est assez paradoxal, c'est qu'à J-7, NOGAPS et GENS sont actuellement plus proches l'un et l'autre que l'opérationnel (et plus encore le contrôle) de ce dernier.
  20. jonathan

    Eté 2007

    Et pourquoi ???
  21. Disons que, progressivement, on voit quelques ingrédients se mettre en place en faveur d'un gros blocage estival sur le continent européen. Je m'explique. Si Marian (la dép froide qui arrive dimanche) fait remonter une grosse masse d'air chaud en Scandinavie et que le recentrage de la goutte froide s'effectue sur le proche Atantique, un jolie rempart anticyclonique pourrait alors se mettre en place en allant du Portugal à la Laponie. Pour que la canicule soit effective, il faudrait que l'ensemble des centres d'action soient en configuration idéale, la formation d'un Oméga en Europe Centrale par exemple. Or, tous les résidus issus de Marian et des dépressions suivantes pourraient jouer les troubles-fête. Il suffit qu'un petit système dépressionnaire s'infiltre entre l'alimentation saharienne et la cellule "du haut" pour que soit le flux d'ouest (et donc l'air océanique), soit des retours plus frais ("moins chauds") venant de l'est (en contournant les HP par le nord), soit une conjugaison des deux s'insèrent et mettent un coup de sécateur dans ce bloc. La probabilité est là mais la réalisation demande quand même un parfait timing et l'éviction de tout élément perturbateur...
  22. Peut être tout simplement parce que l'activité du soleil présente une certaine cyclicité (cf. nombre de Wolf et cycle des 11 ans). Aux USA, un sénateur est élu pour 6 ans. En démocratie, le principe d'alternance est de mise. Mais dans un régime présidentiel où le nombre de mandat est réduit à 2 depuis Roosevelt (4 mandats de suite !) par la constitution, où la majeure partie des présidents sont élus par 2 fois, qu'il est fréquent que la majorité aux assemblées perdure durant ces 2 mandats successifs, Alors, ces "cycles" de 11 et 12 ans peuvent plus ou moins évoluer parallèlement durant quelques temps. Bon, ça tient certainemement pas la route mais c'est comme cela que je l'expliquerais. Pour la relation CO2/Température, Leroux, dans un article récent (revue FUSION), a le mérite de poser des questions intéressantes au sujet de l'extrême simplicité de ce postulat et des limites que cela engendre en terme de prédiction du climat (première partie du papier). Sa démontration est ensuite exclusivement consacrée au rôle omnicient des AMP, moins crédible selon moi.
  23. Bien sûr, au moins pendant un temps mais... à 192h, GFS et JMA sont assez proches. Le second n'allant pas plus loin, je te montre la suite (2 jours après) avec le premier. Pour moi, il y a peu de chance que cela débouche sur un flux zonal durable car la présence de ces HP (pas que de surface d'ailleurs, puisqu'elles sont issues d'une belle ondulation, merci Yann) signifie tout l'inverse d'une situation susceptible de nous apporter un vrai ZO. Elles freinent la progression de la dépression suivante, ce qui a pour effet de réhausser le niveau des géopotentiels dans nos contrées. Ces hautes pressions pourraient même évoluer en véritable rempart anticyclonique si elles rejoignent les haut géopotentiels qui s'accrochent à l'est de l'Europe et ceux qui précèdent le nouveau système sur l'Atlantique Nord selon ce même modèle (en tout cas, c'est un futur possible). Tout ça est très loin et on ne peut exclure un flux zonal dynamique... même si j'en doute. NB : les liens, c'est pour illustrer et non à prendre comme prévision (à 240h, c'est illusoire)
  24. ... et sa version ensembliste puisqu'entre demain et le début de semaine prochaine, la différence est flagrante. Autre info, le run opérationnel de ce soir (12h) et pratiquement le même que le contrôle offert durant la sortie précédente (6h). GFS se cherche mais reste cohérent avec lui-même. Reste à savoir si il en sera de même avec les autres modèles disponibles... De ce côté là, il me semble qu'un point de convergence prenne forme avec le CEP et UKMO, à savoir une influence quasi acquise de ce talweg/goutte froide (peut-être) mais une faible probabilité pour que cela aboutisse à la mise en place d'un vrai ZO par la suite en raison de la reconstitution d'HP de surface dans les parrages de l'Islande. Enfin, à surveiller de près, le vent et l'instabilité associés au passage de la dépression. Avec -30°C à 5000 m en son centre (prévu très proche des côtes bretonnes) et un jet bien en phase, pourquoi pas des conditions somme toute très agitées pour une fin mai.
  25. Un tube, c'est un "paquet" formé de scénarii assez proches (en configuration et le plus souvent en terme de courbe). Le plus gros paquet a logiquement plus de probabilité d'avoir lieu. Sur 20 runs, si 12 présentent des similitutes on peut parler de "tube dominant (ou principal)", si 4 autres forment un autre tube (autre scénario possible), celui-ci est, disons, "secondaire". Actuellement, les divergences sont grandes si bien que les simulations ensemblistes n'ont que peut de pertinence. D'où l'approche par le "tubage". Le tube principal sur les derniers runs de GEFS, c'est l'isolement d'une goutte froide à même le pays avec fraîcheur et humidité généralisée un bonne partie de la semaine en question. La version minoritaires c'est sa résorption vers l'Ibérie, donc une ambiance pouvant être plus douce mais tout aussi instable.
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