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jonathan

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Tout ce qui a été posté par jonathan

  1. On pourrait débuter l'année 2008 sous des conditions très anticycloniques, comme en témoigne la moyenne sur 40 scénarios d'ENS (petite nouveauté de Noël sur la wetterzentrale). Bon, apparemment le run date d'hier midi mais c'était surtout pour présenter le produit. Quand au retour en force des dépressions atlantiques, vu notamment par GFS 00h pour la fin de la semaine du 31 au 06, un simple coup d'oeil sur les diagrammes (Paris par exemple) et on s'aperçoit que c'est aussi fiable comme tendance que la persistance des HP. C'est ce qui se passera avant (pas encore tout à fait précisé) qui déterminera le chemin privilégié. Donc, affaire à suivre...
  2. J'ai pu écrire cela dans un de mes bulletins hebdomadaires destinés à des amis proches le 8 décembre (déjà !) : "Un véritable blocage hivernal pourrait se mettre en place en fin de semaine prochaine. Pour employer une expression que j’ai pu lire sur des forums de passionnés de la météo : « un blocage, on sait quand ça commence… mais on ne sait jamais quand ça se termine ». Vous entendrez peut-être aussi l’expression « Moscou - Paris » dans les médias. Une situation de ce type dure au minimum une semaine et peut perdurer tout un mois, voire plus. Le gros problème c’est que les modèles tendront toujours à voir la fin de l’épisode alors que les hautes pressions résisteront constamment, jusqu’au jour où, sans prévenir ou presque, elles s’effondreront. Attendez vous donc, peut-être, à de fausses alertes au changement dans les prochains bulletins." Finalement, j'avais pas faux. Et une "fausse alerte", j'en ai déjà posé une samedi dernier. Et vu la tournure que ça prend, je crois que je serai particulièrement prudent dans mon bulletin d'après demain...
  3. Merci pour ce bilan de la situation en ce 18/12 au matin. La nouveauté du jour c'est donc ce zonal (a priori temporaire) qui pourrait finalement gagner en intensité autour du jour de Noël, du moins par rapport aux simulations de ces derniers jours. Cela peut être tout aussi bénéfique pour les hivernophiles car, dans l'hypothèse de la reconstitution d'HP au sud du Groënland (comme le laisse à penser certains runs et l'indice de blocage cher à Florent), une percée méridionale du ZO pourrait avoir comme principale conséquence d'amener un peu d'activité sur le bassin méditerranéen. Or, tout le monde sait ici que, pour avoir une situation vraiment intéressante, il nous faut ce couple Anti vers l'Islande/Dép en méd... histoire d'avoir un peu de dynamisme si la configuration venait à s'y prêter. Attention tout de même au scénario "AF à perpète", il n'a pas quitté tous les runs et son spectre (pour reprendre un terme qui circule souvent ici) est loin d'être écarté de la table
  4. Le signe qu'un véritable changement de régime pourrait intervenir non plus le 19 (vu au début du blocage), ni le 23 (vu en fin de semaine dernière) mais, pour le moment, le 26 (vu aujourd'hui donc). Moi, je verrais bien un petit intermède pluvieux et doux pour Noël (ou autour) entre deux périodes anticycloniques sèches et relativement froides : GFS simule depuis plusieurs runs un joli creusement dépressionnaire au large de l'Irlande pour dimanche prochain. Chez ECMWF, c'est un peu plus tard, mais c'est quand même. Bon, ça reste encore bien partagé, comme en témoigne le panel d'ENS. En tout cas, à mon avis, seul un truc du genre peut faire bouger les lignes. On sait bien maintenant que la goutte froide au large du Portugal cette semaine ne passera pas et que ce n'est pas par le nord que la patate se fera bousuler. Par la suite, et comme cela a déjà été dit, bien que le déroulement des choses soit encore largement à définir, il me semble que les remontées de hauts géopotentiels et les belles ondulations (quelque part entre l'Atlantique Nord et la Scandinavie) sont manifestement réccurentes du côté de ces modèles : ECMWF, GFS. Je ne sais pas ce que cela nous apportera, mais avec un anticyclone européen prêt à jouer les prolongations et ces réserves supplémentaires propices au développement de nouvelles hautes pressions dans les parages, si dégradation il y a, on peut la craindre bien éphémère... PS : seb, c'est évident que la veille pour le lendemain on y verra plus clair ! L'objectif étant ici de savoir si cela est possible plus tôt
  5. ENS est quand même particulièrement anticyclonique, même en fin de période. On y remarque également la présence d'une ondulation capable de réalimenter notre blocage moribond, comme on peut le voir sur certains scénarios du panel. Et puis ensuite (mais c'est HS), cet ensemble simule un flux d'OSO anticyclonique*, donc tout est permis /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">. * Pour ceux qui n'auraient pas suivi, c'est exactement ce qu'il simulait pour cette semaine il y a de ça 10-15 jours.
  6. A plus long terme, ce run tend à rejoindre l'européen. L'extension des HP vers le NO y est modélisée pour la première fois, si bien que l'Island serait maintenant englobée à partir de mercredi. Cela n'augure en rien de ce qu'il peut se passer au dessus de nos têtes les jours suivants mais, à l'échelle continentale, la redistribution des masses d'air est nette (T850 du mardi 18, T850 du jeudi 20).
  7. La TOTALITE des runs d'ENS voyait un flux d'WSW à tendance anticyclonique pendant une ribambelle de runs la semaine dernière avant d'évoluer brutalement vers la configuration que l'on connaît aujourd'hui, un flux d'ENE. Il faudrait éviter de ce faire avoir une deuxième fois. Il y a des chance que ces conditions perdurent un, deux, trois jours de plus que ce que l'on pense. C'est d'usage, mais ça nous surprend chaque année. Donc au final, une bonne partie de la semaine concernée pourrait s'avèrer dans la même veine : sèche et froide. Avec, un flux de plus en plus SE dans les régions occidentales, et une meilleur chance d'apercevoir le soleil, un radoucissement progressif est probable, de quoi flirter avec les normes en fin de période. Pour un grand quart NE, le dégel tardera sans doute à venir à cause des inversions (souvenez-vous du SO il y a un an).
  8. Averses de rennes et chute de bonhomme rouge dans les cheminées la nuit du 24 au 25, à cause des turbulences du traîneau. Sinon, bien sûr, ce matin les modèles voient sans concteste un temps humide et neigeux pour la période 18/23, y'a qu'à voir le CEP de matin pour le 21. Pas une surface du pays sous les 1030 Hpa, c'est vachement propice à la neige. Quand au retour du froid pour les fêtes de Noël, bien sûr aussi, c'est même très facile de fixer une date de retour alors qu'on ignore celle du départ
  9. Et c'est bien là la spécificité de cette tempête. La houle qui est en train de se former actuellement est d'ordre décennal, si ce n'est plus. Comme je l'ai déjà dit plus haut, c'est bien plus qu'en décembre 1999 ! Il arrive régulièrement qu'on atteigne de telles valeurs, mais généralement en plein milieu de l'océan, lorsque de très profondes dépressions se creusent au sud de l'Islande. Mais là, elle est proche et relativement stationnaire, ce qui permet d'avoir un fetch optimal (un élément d'estimation croisant l'intensité et la durée du vent avec la surface sur laquelle il est actif). La période de la houle, elle, ne sera pas exceptionnelle, en raison de la proximité du système justement (pas le temps de "s'allonger" en language surfeur). Malgré tout, de telles amplitudes si près des côtes sont très rares. Au passage, merci à pouicpouet pour les carte de Prévimer. C'est sans conteste le meilleur site en la matière, car la résolution des modèles proposés est sans équivalent en France. Je travaille actuellement avec ses concepteurs sur la distinction entre la houle primaire et la mer de vent. Car, comme il a été dit plus haut, tout cela est confondu et il est alors difficile de savoir qui de la houle ou du vent est responsable des éventuels dégâts observés. Evidemment, le pire c'est l'accumulation des deux. Quand à la valeur de 18.3 m, il faut la relativiser. D'une part, on se situe en plein coeur du système et, d'autre part, il s'agit d'une hauteur maximale, celle d'une vague unique. Or, et c'est le principe de la vague scélérate, il arrive que plusieurs trains de houle (+ la mer de vent en surface) s'aditionnent et finissent par donner, le temps d'un instant, une vague "monstrueuse" alors qu'autour elles sont moindres. C'est là la différence avec les valeur affichées par les modèles, qui correspondent à la hauteur significative, à savoir la moyenne du tiers supérieur des vagues. Pour faire l'analogie avec le vent, et parler un peu de météo quand même, c'est très proche de ce qui sépare le vent moyen de la rafale. Donc, si les modèle prévoient une hauteur significative de 15 m, il n'est pas impossible que la plus grande vague enregistrée (ou pas d'ailleurs) puisse dépasser 20 m, voir 25 m ! Bonne fin de soirée et bon vent, Jonathan
  10. Demain, ce sera bien pire que ça ! Pour donner un ordre d'idée, la houle n'avait pas atteint cette amplitude en décembre 1999 (les dépressions étant explosives et plus actives sur les terres finalement). Et c'est d'ailleurs la première fois que je vois un message spécial sur le site d'MF concernant les vagues et de surcroît en insistant plus que sur le vent.
  11. Ce sont des sources particulièrement pertinentes pour évaluer ce que donne réellement une tempête en zone côtière. Voilà par exemple ce qu'il en sera demain à 12h côté vagues : Swell Finder. Je consulte ce genre de cartes depuis des années et j'ai rarement vu pareille situation. Cela peut être bien plus dévastateur que le vent lui même, en particulier sur les côtes meubles (sable). Je le déplore aussi (mais c'est tout bon pour mon projet de carrière ).
  12. Mode HS on Belhara, Pays Basque, est la troisième plus grosse vague surfée en 2005. Elle faisait dans les 15 m ! C'est un haut lieu du tow in (surf tracté). Mode HS off Sinon, côté coup de vent, c'est encore en Manche que ça devrait s'exciter le plus. Le stade de la tempête devrait être atteint cette fois-ci : Windguru Siouville
  13. A partir de mardi, une dorsale anticyclonique, confortée par une ondulation d'ampleur modérée, devrait couper l'ardeur du zonal (GFS, UKMO, NGPS, ECMWF), qui aura marqué son grand retour en ce début décembre. Par la suite, les conditions anticycloniques pourraient s'intaller à même la France (ENS pour jeudi prochain). Le flux resterait globalement de SW sur le proche atlantique et l'ouest du pays au moins jusqu'en fin de semaine (ENS pour samedi prochain). La douceur devrait donc se maintenir... du moins en altitude (ENS T850 pour vendredi prochain). On peut donc s'attendre à une semaine beaucoup plus calme, généralement sèche et assez douce si l'on excepte les possibles phénomènes d'inversion en fin de huitaine...
  14. Oui, ça n'a rien à voir avec le hasard... d'ailleurs on voit déjà poindre cette cellule d'HP sur ENS pour la mi-décembre. D'ici là, beaucoup d'eau aura coulée sous les ponts (au propre comme au figuré), et l'on ne peut être catégorique. Disons que cette tendance gagne en probabilité...
  15. Pas tout à fait. Il s'agit des valeurs simulées à la plus petite échéance, 6h en général. Mais je confirme, même à 6h, y'a de sacrés décalages. Simple exemple : j'ai des données MF pour Oléron entre mai 2006 et mai 2007 et je les ai comparées avec ces archives : les sous-estimations en vitesse sont légion (en particulier pendant les coups de vent) et la direction n'est pas exacte dans 1 cas sur 3. Pour te répondre Florent, voilà la différence entre les deux versions : http://www.windguru.cz/fr/help_index.php?sec=pro Ce qui est marquant avec ce type d'interface, par rapport aux bonne vieilles cartes à l'échelle européenne, c'est de pouvoir voir en direct sur son coin comment GFS (mais avec d'autres ce serait pareil) peut être versatile d'un run à l'autre.
  16. Sinon, pour ceux qui veulent suivre l'évolution en temps réel des prévisions de GFS (et MM5) pour la zone qui me paraît la plus enclin à enregistrer de belles valeurs, voici la page du site Windguru (bien connu des windsurfers) pour Siouville : http://www.windguru.cz/fr/index.php?sc=186 Les vitesses sont exprimées par défaut en noeuds mais en passant par "option" dans le petit menu au dessus du trableau principal, on peut sélectionner d'autres unités (km/h, m/s, beaufort)
  17. C'est bien cela le souci. Ce retour annoncé du zonal préfigure-t-il réellement d'un changement de dominance ? Oui, si l'on pense qu'il durera, voir se renforce Non, si l'on imagine qu'il s'agit d'une situation transitoire au sein de la récurrence des flux nordiques avec laquelle on compose depuis plusieurs semaines. Dans les deux cas, nous sommes obligé d'extrapoler. En ce qui me concerne, je ne suis pas encore satisfait des éléments en ma possession pour trancher définitivement (comme la plupart d'entre nous d'ailleurs). Mais il est vrai que cet alignement des modèles déterministes est troublant, le couple GFS/ECMWF mais aussi NGPS. Est-ce une pure coïncidence ou un signe de robustesse de cette tendance aux ondulations ? En ce qui concerne les modèles d'ensemble, EFS les rejoint assez nettement vers J+8 alors qu'ENS est beaucoup plus nuancé. Au delà, ces deux modèles tablent sur un regain de forme du zonal. La seule chose qui me paraît évidente, c'est qu'on se dirrige vraissemblablement vers un temps de saison, avec de la pluie, du vent et des variations sans trop d'excès des températures au gré des passages perturbés. C'est l'automne quoi... ou le début de l'hiver pour les puristes.
  18. Comme sur ce forum d'ailleurs... On a tous les mêmes outils, on arrive peu ou prou aux mêmes conclusions au même moment. Certains peuvent s'en sortir avec un peu de vista... et parfois un petit coup de pouce de la chance. Sinon, Virgile, tu parles d'une grosse dépression sur le Labrador qui enverrait une pulsion chaude assez consistante (mais trop à l'est sur les runs les plus récents). Cette pulsion est en effet conditionnée par cette dépression mais j'ai aussi remarqué que celles-ci sont, au delà de J-4, souvent vues plus creuse qu'elles ne sont à l'arrivée (au grand dam des surfers comme moi qui sont un peu déçu de cet automne pauvre en grosses houles). Elles sont le plus souvent vite remplacées par des cellules anticycloniques en provenance du continent américain. D'où peut-être ces "retours à la case départ" intempestifs, à savoir l'écrasement en AF qui fait peur à tout le monde...
  19. C'est toujours délicat de s'embarquer dans une préviz à plus de 6 jours. Le seul événement qui me paraisse probable pour l'instant, c'est effectivement cette reconstitution des HP sur le Nord-Ouest du continent. Comme avait sorti Virgile à propos d'un flux de NO simulé à plusieurs reprises à "long terme" en début d'été : de telles récurrences sur les modèles sont rarement dues au hasard. Voilà ce que voit ENS pour le 26/11 : Panel, Moyenne Vers une fin novembre sèche et (relativement) froide ?
  20. Comme d'autres, je trouve ta démontration à propos des statistiques claire et indicutable. Le problème maintenant avec cette discussion, c'est qu'on en est arrivé à écrire des messages dans lesquels on justifie qu'on ne fait aucune prévision (loin de moi cette idée ). C'est tout de même un comble pour un topic consacré à la prévision de l'hiver à venir Quelqu'un serait tenté ???
  21. Je crois que concernant des pluies verglaçantes, les guillemets sont tout auss indispensables pour le verbe "espérer" ou, mieux, l'expression pourrait être remplacée par "redouter..." (ç'est quand même potentiellement meurtrier ce phénomène là !). Pour ce qui est de la prévision, prière de consulter le mail de DJ (trois messages plus haut) où tout est dit.
  22. Bonjour à tous, voila quel scénario pourrait se profiler durant cette semaine du 19 au 25/11 (papa noël, il ne te restera plus qu'un mois pour être au point ) Lundi : un talweg dont on sait depuis un moment qu'il évoluera en goutte froide aborde les Iles Britanniques sous l'impulsion d'une nouvelle ondulation dont l'expansion est quand même assez septentrionale. Il est associée à une dépression de surface plus ou moins étirée selon les modèles (NGPS, GFS, UKMO, GEM, ECMWF). L'amorce d'un radoucissement déjà perceptible dimanche à l'ouest du pays devrait se confirmer avec l'orientation du flux au sud-ouest. Quelques pluies sont possibles ça et là. Mardi : la goutte froide prend la direction du Golfe de Gascogne. Les modèles sont maintenant quasi-unanimes mais quelques divergences sont déjà visibles. NGPS, GEM et UKMO, très proches, la collent au centre de Biscay ; GFS se démarque en simulant une résistance accrue des hauts géopotentiels sur le continent et un décalage occidental du centre de la dépression (localisé au nord-ouest de Finisterre) ; avec ECMWF, ce serait en Manche qu'évoluerait ce centre dépressionnaire. Le temps risque d'être perturbé sur une grande partie du pays et le retour de la douceur devrait se confirmer compte tenu de l'appel d'air "chaud" résultant d'un tel positionnement des centres d'action. L'expression "pompe à chaleur" peut prêter à sourire vu que nous sommes en novembre, mais, notamment au regard de ce que propose GFS ce matin, c'est bien en raison de ce style de configuration, et avec l'aide du foehn, que le sud-ouest peut connaître des températures très élevées quelque soit la saison (des Tx > 20°C en plein hiver dans le piedmont pyrénéen, ce n'est pas si exceptionnel qu'il n'y paraît). L'intensité et la localisation des précipitations seront largement tributaires du positionnement exact de la dépression de surface, ce qui est loin d'être fixé. Voilà deux exemples, qui n'ont bien évidemment qu'un caractère explicatif et n'ont aucune valeur en terme de prévision : NGPS (la façade ouest et les Cévennes sont particulièrement arrosées) et GFS (pratiquement tout le monde est au sec). Mercredi : alimentée par un fort contraste des masses d'air mises en jeu, la dépression pourrait se creuser tout en se rapprochant lentement des terres (GFS, ECMWF). Pluie, vent et grande douceur seraient de la partie, en particulier à l'ouest du pays. Cela devient aussi intéressant pour les régions méditerranéennes. De fortes pluies y sont possibles mais je me garderai bien de donner un avis sur la question car il me semble qu'à de telles échéances la prévisions de ce type d'événements est illusoire. Soyons simplement attentif et gardons en tête cet état accessible de l'atmosphère. GEM est assez impressionnant en la matière. Jeudi et la fin de semaine : on touche là aux limites de prévisibilité des modèles déterministe (quand c'est pas moins, cf. la déconvenue d'hier pour les hivernophiles). Il semble que cette goutte froide puisse stagner encore quelques temps dans le même secteur (GFS, ECMWF). Si les ingrédients restent les mêmes, on a toutes les chances de garder peu ou prou le même type de temps. L'évacuation de ce système est entrevue à l'horizon du week-end prochain avec le rétablissement d'un régime anticyclonique selon les modèles ensemblistes (ENS). Mais cela reste évidemment très hypothétique compte tenu de l'échéance (à J+10, il faut un sacré concourt de circonstances ou une stabilité remarquable de la situation pour viser juste !). Bonne journée, Jonathan PS : au fur et à mesure des réactualisations du jour, les liens perdront un à un de leur validité, merci d'en tenir compte
  23. Et moi qui écrivais pas plus tard qu'hier soir que de toute manière cette situation serait forcément favorable à quelqu'un : neige et froid pour les hivernophiles (groutte froide à l'est) / pluies abondantes dans le sud-est (goutte froide en Gascogne). Que ça va vite en météo ! Si la goutte froide passe vraiment plus à l'ouest (GFS, ENS, JMA, NGPS de ce soir), ce sera "pas de bras, pas de chocolat" Reste plus qu'UKMO pour les fanas de frimas et le CEP pour réhydrater les sudistes... ça devient léger cette affaire /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  24. La doute s'installerait-il chez les amateur de froid ? Pensez aux personnes qui "ont soif", eux aussi commençent à y croire pour le début de semaine Panel ENS... mais la pluie n'y est pas non plus garantie UKMO. Une situation passionnante à suivre en tout cas /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20">
  25. Une fois n'est pas coutume, pour les amateurs d'agitation (et surtout de neige), un petit décalage vers l'Est serait assez favorable (ce qui donnerait une évolution semblable à ce scénario là par exemple, le n°10 de GEFS). Sinon, si cette dépression prend la route du Golfe de Gascogne (scénario 5 du même ensemble), il y a fort à parier que l'appel d'air "chaud" n'anéantisse les espoirs de certains... Mais ce cas de figure est potentiellement plus favorable pour les méditerranéens qui attendent avec impatience un peu d'eau. Qui vivra verra, mais de toute manière, tel que cela se présente, y'aura forcément des heureux quelque part en France /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Sinon, perso, pour l'arrivée de la neige dans l'ouest, je reste septique ...
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