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Encore un post sans rapport avec le contenu.Ce david3 fait des pieds (surtout) et des mains pour nous ramener sous le préau : et gna gnagna, j'ai le dernier mot. Qu'il se taise !
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Marre
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Les mêmes dérives persistent chez le même auteur.Petits rappels : déformer "l'honnêteté mène à s'interdire le n'importe quoi en statistiques" pour en déduire que des "textes sont malhonnêtes." (ce qui n'a pas de sens, passons !) Écrire que "Je suis sûr que les alarmistes, fidèles lecteurs de Real Climate, vont cesser de tirer leurs plans foireux sur la comète." est "une manifestation de HAINE contre les auteurs." Enfin, ici écrire que "la soi-disant objectivité de Real Climate et consorts." est une manifestation "d'amertume et de rancoeur." La moutarde monte.
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Halte là, pas de dissection à vif La "détermination" ou indétermination est la conséquence normale du déterminisme laplacien et de ses avatars comme le scientisme. Je crois qu'il faut examiner ici successivement : absolu : détermination dans l'absolu à condition d'avoir la connaissance parfaite des conditions initiales, l'expression vraie de toutes les lois, etc. bref ce qui est et demeurera inatteignable. l'existence de l'homme. L'interprétation de Copenhague pose l'influence de l'observateur comme déterminante. Sur l'effet papillon, il en est de même à mon avis, l'homme libre peut faire un geste et perturber l'enchaînement qui n'aura alors plus de rapport avec le conditionnement laplacien. Tout n'est pas déterminé, opinion personnelle.Je suis persuadé qu'il faut encore attendre deux générations pour que le déterminisme et le proportionnalisme ne soient plus les articles de foi enseignés et qu'ainsi la notion de chaos (bien mal nommé) devienne claire.
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Pause dans la discussion : La FAO dans Le changement climatique et l'avenir des pêcheries régionales ne montre pas ces signes d'affollement. La baisse annoncée de production de phytoplancton dans la dépêche de Canoë est de 0,04 % ! Quelle précision ! Il faudra un papier plus que détaillé pour étayer cela. L'article de Libération est plus clair que la dépêche reprise par Canoë. Tout part d'observations régionales de la Niña : quand elle s'arrête, la production de phytoplancton diminue. C'est bien connu des pêcheurs. En déduire que : «Sur cette base, les océanographes craignent que les océans tropicaux et tempérés d'une Terre réchauffée, où la circulation profonde sera ralentie par une couche de surface plus chaude, soient moins productifs.» serait appliquer les caractéristiques d'un régime transitoire à un régime permanent. Bref, heureusement qu'il y a le "craignent" sinon les physiciens peuvent se rhabiller.
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Etrange parfum de déterminisme laplacien.Le chaos est tout de même nettement plus complexe que cela.
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Merci pour ce jeu de réponses très personnelles.
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Je ressens mal cette assimilation de la science à une modélisation, même s'il s'agit du "réel". Le statut du réel est heureusement hors sujet ici.Il manque à mon sens, la notion de loi qui est étrangement évacuée. La loi peut être empirique, elle peut être déduite d'une théorie, elle aura toujours le pas sur un modèle. C'est au modèle d'intégrer les lois. Pour éclairer ceci, les lois de la réflexion et de la réfraction (Descartes ou Snell-Descartes) sont une chose, le modèle de la lumière en est un autre. Ces lois ont leur place dans les modèles de Fermat-Maupertuis (moindre action), de Huygens (ondulatoire) et de Maxwell (électro-magnétisme). La même loi de relativité générale donne naissance à plusieurs modèles d'univers. En climatologie, je crois savoir que les lois sont nombreuses, mal connues et parfois inconnues. Il ne faut donc pas s'étonner de voir les modèles prédictifs proliférer; un chercheur évalué doit produire. La recherche d'une loi est trop aléatoire pour fonder une carrière sur un tel coup de chance. Comme l'écrivait Koyré, nous sommes en situation de science normale. La seule chose à faire est de raffiner encore et toujours en attendant le changement de paradigme dont on ne sait même pas s'il se produira. Le "bon modèle" aura ses valeurs de sorties aussi proches possibles des observations, aux erreurs des observations d'entrée près. Cette activité est plus que louable, toutefois elle ne pourra être que la recherche du modèle qui enveloppe au mieux les observés. Le modèle aura au mieux une pertinence opératoire, tout comme l'on peut toujours faire l'approximation d'une courbe avec un polynôme de degré adéquat ou des fonctions circulaires qui n'ont aucun rapport avec la signification du phénomène. Il ne faut pas désespérer le CNRS.
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Émergence, émergence, voici une émergence de commissaire politique.1) Le commissaire politique s'abritera derrière la notion d'honnêteté pour faire la liste des membres du groupe qui ont les connaissances suffisantes; 2) Le commissaire politique prendra toute mesure pour réformer les pratiques encore insuffisantes de certains membres. Il leur adressera pour cela une admonestation publique et attendra leur autocritique. Et cela pour savoir ce qu'est "la science" ? Comment peut-on avoir le culot de demander à tout un chacun sa "définition" de la science ? Il y a des bibliothèques entières sur le sujet, des idéalistes allemands à Feyerabend en passant par Duhem, Koyré, MacKenzie, Gilles et combien d'autres. La question n'a pas de sens commun et la dérive est insane.
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Quoiqu'il en soit de la médiatisation de ces résultats et avant l'irruption de commentateurs, merci C.M. pour ces deux signalements et surtout pour leurs analyses.
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J'ai mis un lien pour éviter un copié-collé, qu'il disait.Bravo. Quant à Laurie, par ici la grosse galette.
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Nommer "émergence" la propriété très classique d'un système à ne pouvoir être réduit au fonctionnement de ses parties est plus que largement connu.Il n'y a pas de quoi fouetter un chat. D'autres propriétés des systèmes complexes pourraient être plus pertinentes à examiner : robustesse, symétrie, etc. Quoiqu'il en soit la "modélisation" est une activité qui pour moi n'est pas qualifiable de science ou non science.
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Éviter un copié-collé, que voici une nouvelle, qu'elle est bonne (disait G.M.)Surtout que de plus, il s'agissait d'une opinion personnelle. Merci. Pour une meilleure compréhension, pourquoi ne pas reprendre le très connu : «La fin justifie les moyens.» puisqu'il ne s'agit de rien d'autre sous un barbouillage de science.
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Je ne suis pas d'accord avec ce pessimisme.Toute réponse argumentée, et elles sont nombreuses, portant sur le sujet et non sur des personnes est bonne à lire. La réponse peut être vive, allant au "Tu n'as pas compris" Mais ne devrait pas être du genre : "Vous les négateurs, etc." ou une distribution et bons et mauvais points du genre "Enfin, on progresse !" ou "Tu t'améliores".
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Simple observation d'ordre général.Une question est posée, ici : Est-elle pertinente ou non, une réponse est-elle possible, ce n'est pas mon propos.Mon propos est que ce qui tient lieu de réponse est un lien. C'est un lien vers un post. On s'attend à ce qu'il contienne exactement la réponse. Eh bien non, c'est un texte qui a très probablement un lien avec la question, mais le lecteur doit y faire le travail de tri, d'assimilation, etc. Autant dire que l'abandon est immédiat. Une absence de réponse eut évité : 1) un post de plus; 2) du bruit; 3) l'élévation du niveau d'agacement.
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C'est la bonne nouvelle de la soirée, au revoir (pourvu qu'il tienne, citation de 1917 excuse-moi grand père)
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Ma pensée était dès le début précise et je m'efforçais que mon expression y soit adéquate.Pour tirer un bilan, il faut un minimum de compréhension du texte : comprendre à la lecture que le qualificatif exemplaire est une antiphrase ironique. ne pas prendre prétexte de "l'honnêteté mène à s'interdire le n'importe quoi en statistiques" pour en déduire que des textes, oui des textes, peuvent être malhonnêtes. Comme si attribuer de l'honnêteté à un texte avait un sens. pour clore la liste, sans prendre les patins de Charles Muller, il ne faut pas comprendre comme une manifestation de HAINE contre les auteurs hors du coup et les lecteurs en général qui ne sont pas du tout visés. Le bilan est nul.
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Bis repetita : il n'a toujours rien compris !
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C'est bien pour cela que je l'ai trouvé «exemplaire».Merci de souligner ainsi que l'antiphrase est chose connue. La route sera encore longue ce soir si le posteur à répétition reste ici.
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Commentaire sans une once d'utilité.
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Observation banale : David3 n'a pas compris.
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Je n'ai ni besoin ni envie d'«enrichir» comme le disent les nouveaux cuistres, une traduction en mauvais français. C'est un TEXTE qui est en cause et non une IGR nancéenne. Ces tentatives permanentes de personnaliser les débats au lieu d'en rester aux faits est exaspérante.
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On avait le lien à 0h50, merci, merci, merci,Nous asséner l'intégrale d'une traduction en mauvais français sans même les liens internes pourquoi ? faire de la mousse ? occuper le terrain ? avoir le dernier mot sous le préau de la communale ?
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Eh bien parlons en des images :Deux enfants jouent dans les embruns de vagues, un motard roule tranquillement, on voit d'autres personnes au fond de la scène J'ai installé mon bungalow en zone inondable sur pilotis. Images, pfuuut...
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Un grand merci de ma part, stalbuck, ce texte est exemplaire et je trouve très intéressant de le lire dans le même fil que l'article initial.Je ne ferai pas de commentaire sur le premier qui a déjà été analysé dans sa forme et dans son fond. Exemple : Venons-en au souhait de bonne comm' : et au dernier article cité.Comment est faite cette comm' dans cet article indépendamment de son origine. Élément majeur de la com, le titre : L’Antarctique se réchauffe depuis 150 ans Le lecteur entend les grandes orgues du RC, du global warming, de Gore et de Stern réunis. Suite immédiate : la température moyenne y a augmenté de 0,2 degré Celsius. Le lecteur soulève un sourcil "pas plus ?" il se rassure, ça doit s'accélérer. Ensuite : cette tendance au réchauffement ... était masquée par les fortes variations de température Le lecteur a d'abord un doute, que vaut une moyenne pour un phénomène qui a eu de fortes variations ? Ensuite il voit l'horreur sémantique : la tendance qui ne peut être que celle du phénomène après calcul , eh bien non, pour ces petits maîtres, les observations masquaient la tendance, saleté d'observations ! Et la cerise sur le gâteau : cette hausse globale comprend la baisse de température qui a été de près de 1 degré Celsius pendant les années 1990 Le lecteur raccroche. L'honnêteté mène à s'interdire le n'importe quoi en statistiques. Ici le n'importe quoi est : d'avoir le culot de faire une moyenne d'un phénomène qui a eu de nombreuses variations importantes; d'avoir le culot renouvelé de présenter cela comme une "tendance" alors que les dernières observations dans le temps disent tout le contraire; de ne même pas mentionner une variance quelconque. de prendre le lecteur pour un demeuré : sur quelle durée sont faites les moyennes pour y trouver une évolution? Mes collègues niçois eussent mieux fait de ne pas reprendre ce texte.Conclusion : Bonne pioche, deux textes pour le bêtisier.