Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

Marot

Membres
  • Compteur de contenus

    511
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Marot

  1. J'avais mal interprêté l'émoticone.S'il s'agit d'une attaque personnelle explicite sans ironie, je comprends le pourquoi, seulement le pourquoi.
  2. Si je comprends les interrogations, je ne comprends pas qu'elles soient étalées ici alors qu'un MP aurait été judicieux.À moins qu'il ne s'agisse pas de questions sincères.
  3. Il ne peut pas y avoir interaction directe entre une champ électromagnétique et un photon car celui-ci n'a pas de charge électrique.Toutefois, il y a interaction électron-photon, l'effet phoélectrique. et il y a intercation champ électromagnétique-électron. Indirectement on aboutit a une interaction champ magnétique -> électrons -> photons Une référence de 1996 sur cette interaction nommée effet Hall photonique vient du CNRS.
  4. Sur le Kilimanjaro, une anecdote piochée dans un blog de Libération.Extraits : Ci-dessous l'image du Kilimanjaro (la bonne), non datée à ma connaissance, présentée aux foules dans cette exposition. Ci-dessous, le Kilimanjaro le 6 avril 2006 : Merci à Libération et à Reuters. Cette année la neige est encore plus abondante, je n'ai pas trouvé une photographie récente.
  5. Certes oui, je suis bien d'accord sur le fait qu'en sondages aléatoires il faut des items décorrélés.Mais la corrélation peut-elle être établie autrement qu'en examinant un échantillon nettement plus grand et donc en faisant le calcul de la corrélation ex post ? En matière de glaciers je ne crois pas qu'il y ait toujours corrélation, j'ai souvenir de comportements opposés dans un même massif entre faces nord et sud. Je n'ai plus en tête les références, je les chercherai si besoin est.
  6. Exposition déjà vue. Signalée par Huggo pour les 21 et 22 octobre à Paris dans le forum fait pour ces manifestations : «Expositions, conférences, évènements»
  7. Même s'il s'agissait d'un sondage avec tirage aléatoire, ce qui n'est pas le cas, 300 items au mieux sur 67000 ne peuvent pas donner une conclusion fiable.Les glaciologues indiens sont allés sur le terrain et leurs conclusions ont déjà été données, à l'opposé de celles-ci. Ils ont examiné 50 des 9,575 glaciers en Inde et sur 200 ans nothing abnormal has occurred in any of these glaciers. On a deux études de même ampleur relative contradictoires. Poser des questions sur les conséquences éventuelles d'une seule est un jeu.
  8. Si l'on lit attentivement Kaser le texte ci-dessus*, il n'y a pas de variations "locales" à moins que l'ensemble Ouest de l'Himalaya, Karakoram et Hindou Koush soit étiqueté "local".Il y a une augmentation générale (rising) des chutes de neige d'hiver et des températures hivernales, le tout accompagné d'un refroidissement (dropping of temperatures) l'été. La conséquence élémentaire est un accroissement de la masse glaciaire qui est la réserve au moins centenaire des fleuves en aval. Tout va bien et j'en suis heureux. * Correction faite le 27/03 à 8h35.
  9. Je suis dubitatif après lecture. Je ne commenterai pas les prévisions-prédictions mais les seuls constats lisibles pages 1 et 2 sous le titre "The present scenario" avant les annonces des désastres apocalyptiques. Les citations dans la suite sont tirées de cette partie. 0.3°C correspond à une différence d'altitude de 50 mètres. On devrait constater une remontée moyenne de 50 mètres. L'affirmation des niveaux jamais vus est plus que discutable. Comptons néanmoins les 0.3°C, ceci nous donne une remontée moyenne de 50 mètres supplémentaires.Dans la suite : Oui sans conteste, environ 100 mètres en altitude. 6000 à 8000 Km² sans connaître l'étendue de rérérence n'a aucun sens. Quelle est l'étendue de ces 200 glaciers ? Ce sont des nombres lancés à la volée pour impressionner. Peut-être, mais 20 ans c'est très peu vis-à-vis de la variabilité naturelle des extensions de glaciers. Le retrait vertical aurait un sens, le retrait horizontal ou suivant la ligne de pente n'en a pas si l'on ne connaît pas la pente moyenne du terrain.Il se trouve justement que la langue du Khumbu s'étend en plaine : (un grand merci à fullpassport.com) Le § se termine par : C'est justement là que j'attendais une explication. Pas de chance, il n'y en a pas.Je suis déçu. Pour ce qui est des 202 références en bibliographie, je préside assez souvent des jurys de thèses pour ne pas être impressionné par une telle «avalanche», c'est le lieu pour le dire. Pour la compilation de données dans la suite, c'est un document à conserver.
  10. Dans le fil de ce post, bien que je l'ai déjà cité ailleurs, un papier de National geographic 11 septembre 2006 faisait état d'un accroissement de glaciers dans l'Himalaya avec la cause évidente mentionnée dans le sous-titre :Some glaciers in Pakistan's Upper Indus River Basin appear to be growing, and a new study suggests that global warming is the cause. Plus sérieusement, l'augmentation des précipitations en serait cause.
  11. Je ne répondrai pas à ce type de questions dans ce forum.Sur l'esprit constructif, le donneur de consignes est invité à ne pas s'appesantir sur une coquille d'imprimerie. Dans le droit fil de mon premier texte qui citait l'Hindustan times et Le monde un complément de National geographic, 11 septembre 2006. Some glaciers in Pakistan's Upper Indus River Basin appear to be growing, and a new study suggests that global warming is the cause. Quelques extraits seulement (!) : "One of the surprising results we found was a downward trend in summer temperatures," said David Archer, study co-author and a hydrologist at Newcastle University in the United Kingdom. It may take many years to understand climate change's lasting effects on Pakistan's glaciers. But Archer hopes for much more immediate payoff from the recently published climate data. "We're not entirely sure what long-term climate change trends will do," he said. Bref, les discours ne sont pas du tout unanimes. De plus, pour éviter toute ironie déplacée dui même, ce post est dans la même ligne que celui que j'ai placé ici ce jour à 15h 04 citant l' Hindustan Times et Le Monde, sans avoir reçu de contradiction, sauf à avoir vu relever une coquille d'imprimerie qui ne méritait pas ces débordements. J'attends de lire, ici j'espère, une étude scientifique solide et globale sur le comportement des glaciers Himalayens. Je n'en ai pas trouvé encore moi-même.
  12. On a besoin d'arguments, pas de copiés-collés. ***modéré***
  13. Je me fous complètement et définitivement d'une coquille de prote.Pour relever cela il faut être du genre à regarder le doigt et pas la lune.
  14. Oui DJ, marre des posts de récupération de coupures de presse oruentés et mêlant tout et n'importe quoi. Alors, jouons.Le barrage sur le Yang Tsé est purement humain. Pour l'Indus et l'Himalaya, il vaut mieux lire l'Hindustan Times que Le Monde ou L'hebdomadaire, mais il faut se donner plus de mal. Pour l'Amazone, même Le Monde s'y est mis : SourceCela pour un sujet qui relève d'environnement et société et encore pour une part seulement.
  15. Je n'ai rien prêté, j'ai lu un appel à "faire le ménage" qui n'apporte rien aux discussions concernant le climat.
  16. Je ne pensais pas revoir ou relire des appels à l'épuration de sinistre mémoire.C'est arrivé.
  17. Merci pour m'avoir mis sur la piste.Modeste contrepartie ici. Extrait : Composés organiques volatils non méthaniques Ce sont des précurseurs (polluants primaires) de l'ozone troposphérique, polluant secondaire photo-oxydant et à effet de serre. En France, les émissions de COVNM par les végétaux, essentiellement les forêts représentent entre 16 % (CITEPA, 98) et la moitié (IFEN, 1994) des émissions liées aux activités humaines. Par ailleurs une étude est en cours sur le sujet au GICC.
  18. Il n'est pas question pour moi de revenir en quoi que ce soit sur la chimie des composés organiques volatils, ni sur leurs origines industrielles ou autres.Ma question est comment expliquer la concentration sélective d'O3 sur deux grands massifs forestiers ? Fabrication locale ? importation sélective ? manque de mécanisme compensateur ? hasard ?
  19. Merci pour ce lien.Il y apparaît en effet que les zones de forêts sont sujettes pour elles-mêmes à des concentrations d'ozone. Les explications par les vents et les villes polluantes sont remises à leurs places au moins pour certains auteurs comme le contient le dossier.
  20. Les communiqués et exposés relatifs à l'ozone troposphérique m'ont toujours laissé pantois (DRIRE Ministère de l'environnement, Airparif).On peut lire ici sur un site sans parti pris climatique des affirmations reprises des sites ministériels. Exemples : La pollution automobile, et surtout l'absence de vent et la chaleur des couches d'air élevées plaquent au sol ce gaz qui stagne dans les villes. Soit, je comprends qu'il s'agit d'un phénomène localisé dans les villes en l'absence de vent, haro sur l'automobile. C'est confirmé plus loin : Selon Karine Léger, "deux éléments expliquent actuellement les dépassements de seuils de pollution à l'ozone : une absence de vent et une durée d'ensoleillement exceptionnelle de 13 à 14 heures par jour. La cause paraît donc entendue, surchauffe urbaine. Patatras, un peu plus loin. Sur la région Ile-de-France... nous "héritons" de masse d'air pollué originaire du Nord de la France et de l'Europe". En l'absence de vent, je comprends moins bien. Et puis : Régions touchées : le-de-France, Lorraine, Provence, région lyonnaise, Clermont-Ferrand, Strasbourg... Le Nord-Pas de Calais, Chapagne-Ardennes, Picardie sont étrangement épargnées. Merci à l'absence de vent qui a déplacé l'ozone vers le sud. Encore : L'ozone peut naviguer et n'est pas forcément originaire de la région où il est mesuré. Ainsi l'Ile-de-France reçoit actuellement des poches d'air pollué du Nord de la France et de l'Europe. Mais ces masses d'air continuent de circuler, ainsi comme le précise Karine Léger, "Les épisodes de pollution ont essentiellement été constatés sur les zones rurales placées sous le vent de l'agglomération parisienne, l'Ile-de-France étant alors elle-même influencée par une masse d'air chargé en ozone lors de son passage les jours précédents sur l'Europe centrale". Compte tenu des vents dominants, ce sont principalement les zones de Fontainebleau et de Rambouillet qui sont les régions les plus touchées d'Ile-de-France. Les deux grands massifs forestiers, Fontainebleau et Rambouillet de la région IDF se trouvent ainsi sous les vents dominants venus en l'absence de vent, d'Europe centrale. Ce vent absent passe sur Paris, vire bâbord et s'abat sur Rambouillet et Fontainebleau. Pour compenser des lectures hâtives, je viens à 12h56 de souligner «ozone troposphérique» en haut de page.
  21. Il ne faut pas être paresseux à ce point là.Les exemples visés d'attaques ad hominem faites par C.M. doivent être citées in extenso. Une affirmation sans preuve est nulle.
  22. Pour moi, les protocoles portent sur les recueils de données, y compris le calibrage des instruments.L'outil statistique n'en fait pas partie car il est utilisé dans la phase d'interprétation.
  23. J'ai fait la recherche sur la totalité du site.Il est exact que le mot protocole y apparaît, deux fois : L'observatoire H+ permet de développer les expérimentations, d’assurer la cohérence des protocoles... Ceci a été établi à condition que l’acquisition de ces mesures supplémentaires ne remette en cause ni la stratégie d’échantillonnage ni les protocoles choisis pour les mesures communes.
  24. Le jour où des scientifiques isolés ou en troupe produiront une «critique objective et scientifiquement exhaustive et fondée» n'est pas levé.Il faut ignorer ce qui existe en fait de courants, de chapelles, d'intérêts et de désintérêts divers pour espérer l'objectivité. Je nomme intérêts tout ce qui peut favoriser l'individu dans son laboratoire et son laboratoire parmi les autres. Cela commence commence par la soif de notoriété personnelle ou du groupe, cela continue par la possibilité d'avancement individuel et cela aboutit à la condition de survie du groupe, savoir le financement même hors toute augmentation de salaire ou de prime. Je nomme désintérêts ce qui au mieux n'apportera rien, au pire desservira l'auteur ou le groupe dans l'esprit de ceux qui ont la capacité de le juger ou de faire savoir hautement leur opinion sur lui. L'objectivité est un idéal que l'on poursuit, pas un état. Pour l'exhaustivité, elle est quasiment impossible en l'état de la production scientifique. Le nombre, la variété, la redondance des articles la rend impossible et son espoir illusoire. C'est déjà vrai dans les sciences les plus dures, strictement hypothético-déductives. Ce l'est d'autant plus dans les sciences où l'observation est reine, où les équations sont hors d'état d'être maîtrisées pratiquement, où les interactions sont tout sauf connues et où le comportement chaotique guette derrière la moindre non-linéarité. Les publications partent dans tous les sens et c'est normal. Chaque directeur de recherche doit se singulariser par rapport à ses confrères-concurrents. Chaque thésard doit faire son chemin sur un sujet. Je ne parle même pas du premier étage de l'observation scientifique qu'est le protocole, mot quasiment absent en climatologie. S'il existait vraiment, il n'y aurait pas de discussions sur les valeurs observées mais sur la validité du protocole et son bon usage. En terme d'épistémologie, le RC est pour moi une belle illustration de la science normale, du paradigme installé au sens de Kuhn. Le RC est en situation de consensus majoritaire dans une science d'observation.
  25. Les lecteurs d'ABCNews ne s'y trompent pas.À la question : Is Gore's energy consumption hypocritical? (hypocritical = hypocrite) Ils répondent à 65% que : He should practice what he preaches. (Il devrait pratiquer ce qu'il prêche) Par ailleurs, spécialement pour le thuriféraire dévot de Gore, Laurie David et autres batteurs d'estrades, j'ai grandi dans une région où la seule ressource en eau était l'eau de pluie récupérée en citerne. Les étés secs, on allait chercher de l'eau potable à pied pour les repas. L'électricité était chère, et le chauffage limité à une seule pièce par une cuisinière à bois. Il m'en est resté plus qu'un peu, en termes d'habitudes, à l'automne de ma vie et j'ai transmis cela à mes quatre enfants. Pour autant je récuse énergiquement l'étiquette boboïde de militant écologiste converti ou pas. Je n'appelle pas la planète à la réduire les émissions de gaz à effet de serre. Je n'ai aucune légitimité contrairement à d'autres qui croient en avoir une, à dénoncer le gaspillage en énergie fossile des américains. Je ne milite pas, j'ai toujours fait, en silence et sans attendre les donneurs de leçons. À bon entendeur, ce dont je doute, salut. Dans la catégorie des donneurs de leçons, épinglons la nommée Laurie David qui assène : Conserve energy by unplugging your cell phone charger. Make an eco-friendly carpool line by asking for a "no idling" rule. Use energy-saving compact flourescent light bulbs instead of regular lightbulbs. C'est la même qui affrétait habituellement un Gulfstream privé pour ses voyages transaméricains. Un aller simple = rouler en Hummer pendant un an. (référence citée)
×
×
  • Créer...