
david3
Membres-
Compteur de contenus
1318 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Calendrier
Tout ce qui a été posté par david3
-
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
Variation du niveau de la mer depuis le dernier maximum glaciaire (-18 000 ans) Fairbanks, 1989 Taux moyen XXième siécle : 2mm/an (alors qu'il est inférieur à 1mm/an depuis 5000 ans) Depuis 1993 : 3mm/an (Topex/Poseidon, Jason1) Et attention aux décalages temporels (délais dans la réponse etc...) Bilan : les données du GISS-NASA sont très pédagogiques. " The present planetary energy imbalance is large by standards of Earth's history. For example, an imbalance of 1 Watt per square meter maintained for the last 10,000 years is sufficient to melt ice equivalent to 1 kilometer of sea level (if there were that much ice), or raise the temperature of the ocean above the thermocline [the boundary layer between the warm, surface waters and the deep ocean] by more than 100°C." http://www.giss.nasa.gov/research/news/20050428/ -
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
Sauf si on continue à émettre massivement et rapidement du CO2 (charbon, pétrole, gaz)...Et c'est encore le cas je crois, malheureusement. Et c'est sur ce point qu'insistent les scientifiques :"The "lag time" between when the oceans absorb excess energy and when that excess produces observable changes in global temperature can be a two-edged sword. This delay provides an opportunity to reduce the magnitude of anthropogenic climate change before it is fully realized, if appropriate action is taken . On the other hand, if we wait for more overwhelming empirical evidence of climate change, the inertia implies that still greater climate change will be in store, which may be difficult or impossible to avoid". /index.php?showtopic=17211'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?showtopic=17211 C'est pourtant ce que l'on observe lors des interglaciaires : les calottes régressent (Groenland en particulier) et cela conduit à d'importantes variations du niveau marin. Je trouve au contraire l'explication du GISS-NASA très pédagogique.Elévation du niveau marin depuis 8000 ans (la sortie de la glaciation de Würm, comme pour les autres glaciations, et comme pour les entrées en glaciations, est d'origine astronomique) : 15 mètres en 8000 ans - Moyenne de 1,87mm/an, avec forte pente il y a 8000 ans (changement brutal) et pente plus faible depuis 7000 ans ()poursuite du processus à unrythme plus lent) . Et aujourd'hui, nouvelle accélération, le rythme est élevé : 2-3mm/an (et ce taux pourrait largement augmenter en cas de désintégration rapide des calottes) De -8O00 à - 7000 : élévation de 12 mètres soit un taux de 12mm/an De - 5000 à +1900 : élévation de 3 mètres soit un taux de 0,43mm/an 1900-1994 : élévation de 20cm soit un taux de 2,12 mm/an 1994 - 2004 : 2,8mm/an Groenland lors du dernier interglacaire, à l'Eemien (-130 000 ans) : Anomalously high sea levels during the last interglacial were likely a result of large scale melting of the Greenland Ice Sheet Dernier maximum glaciaire (-18 000 ans) : Le niveau de la mer était alors de 120 mètres plus bas que l'actuel ! Entre -18 000 et - 8000 ans (réchauffement d'environ 5°C) : hausse de 100 mètres du niveau marin soit moyenne de 10mm/an (1 mètre par siècle). Si le réchauffement anthropique brutal actuel conduit à une élévation aussi rapide, on est mal barrés compte tenu du fait que la majorité de la population mondiale vit en zone littorale ! Prévision du GIEC : réchauffement entre 2 et 4,5°C... Et ça monte en flèche depuis le début de l'ére industrielle : 0,8 degrés en un siècle dont 0,6°C les 30 dernières annés. http://www.euronet.nl/users/e_wesker/IPCC/IPCCsumm.html NB - La désintégration de l'Antartique et du Groenland conduirait à une élévation de 80 mètres du niveau marin. (échelle du millénaire ?) http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...tion-glaces.htm -
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
1 - Ta remarque est intéressante mais l'océan est stratifié. Il est possible sur le plan théorique que le puits océanique continue à fonctionner mais avec un délai, je pense, vraiment important (l'échelle du millier d'année - http://nte-serveur.univ-lyon1.fr/geoscienc...ursTT2ocean.htm - http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...rculprofond.htm ). Age des eaux profondes (3000 m de profondeur) exprimé en années et déterminé à l’aide du carbone 14. Avec l'augmentation de la température (induite par l'augmentation de concentration atmosphérique en C02), la tendance est cependant inverse : la solubilité du CO2 diminue quand la température augmente. Lors des sorties de glaciation, on a observé un décalage de 800 ans entre le moment où cela commence à se réchauffer (thermomètre isotopique) et le moment où la concentration atmosphérique en C02 commence à augmenter (rétro-action positive, amplification du signal astronomique). http://perso.orange.fr/bernard.pironin/aquatech/henry.htm 2 - Loi de Henry : La concentration maximale d'un gaz en solution, en équilibre avec une atmosphère contenant ce gaz, est proportionnelle à la pression partielle de ce gaz en ce point. Il n'est pas possible physiquement que l'océan absorbe plus que ce que cette loi l'"autorise". Et l'océan a déjà pas mal absorbé de C02, d'où les déséquilibres au niveau pH que cela induit ( http://www2.cnrs.fr/presse/communique/755.htm ) La loi de Henry qui établit à l'équilibre les concentrations en gaz dissous dans un liquide s'écrit : xi : fraction molaire du gaz "i". C'est le rapport du nombre de moles de gaz "i" au nombre total de moles de la solution. Même pour une eau assez fortement minéralisée on peut déterminer que ce nombre est peu différent de NT=55,6 mol.L-1 : nombre de moles d'eau contenues dans un litre d'eau. pi : pression partielle du gaz "i" dans la phase gazeuse égale au produit de la pression totale de la phase gazeuse par la fraction représentative de la composition volumique (ou molaire). Hi : Constante de Henry du gaz "i". Cette "constante" est fonction de la température et présente un maximum (qui correspond au minimum de solubilité) qui est fonction du gaz : vers 100 ºC pour l'oxygène et l'azote, 130 ºC pour le dioxyde de carbone. Stratification et circulation des masses d'eau dans l'océan austral (Document : G. Jacques, d'après Lutjeharms-1991 Expédition EREBUS - 1993) Bilan : encore une histoire de temps ! (délai, inertie etc.) - Les émissions anthropiques de gaz à effet de serre sont très (trop) rapides, c'est cela le problème de départ. -
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
Avec l'excès d'énergie (déséquilibre énergétique) induit par les émissions de CO2. Explications ici (Partie "Mise en évidence du déséquilibre énergétique de la terre") : /index.php?showtopic=17211'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?showtopic=17211 (Notion de température d'équilibre, de déséquilibre énergétique, d'inertie etc.) The present planetary energy imbalance is large by standards of Earth's history. For example, an imbalance of 1 Watt per square meter maintained for the last 10,000 years is sufficient to melt ice equivalent to 1 kilometer of sea level (if there were that much ice), or raise the temperature of the ocean above the thermocline [the boundary layer between the warm, surface waters and the deep ocean] by more than 100°C. -
Merci Stalbuck, c'est super-intéressant.
-
Merci Holon, c'est exactement le genre de schémas que je cherche !
-
Je propose que chacun apporte ici sa pierre pour construire un mini-dossier sur la physique de l'effet de serre. Un seul critère : une explication simple des choses. 1 - L'effet de serre, comment ça marche d'un point de vue physique ? Pourquoi l'atmosphère interfère-t-elle avec le rayonnement thermique ? Qu'appelle-t-on réellement "Effet de Serre" ? 2 - Pourquoi le CO2 est un gaz à effet de serre ? Et pourquoi pas le dioxygène et le diazote de l'air ? Qu'est-ce que le stretching et le bending du CO2 ? 3 - Qu'est-ce que la température d'équilibre d'une planète ? Qu'est ce que la loi de Planck ? De Wien ? De Stéfan ? 4 - Pourquoi le bilan énergétique de la terre est actuellement en déséquilibre ? (et pourquoi la température de la terre va-t-elle continuer à augmenter jusqu'à atteindre une nouvelle température d'équilibre même si on cesse complètement d'émettre des gaz à effet de serre ?) - Spectre en longueurs d'onde de la lumière émise par le système Terre-atmosphère vers l'espace : Sur cette figure est représenté le spectre en longueurs d'onde de la lumière émise par le système Terre-atmosphère vers l'espace. En pointillés sont représentées les courbes d'émission des Corps Noirs à différentes températures. (un corps noir n'est pas nécessairement noir (!) mais émet de la lumière dont le spectre dépend uniquement de la température) On note que le spectre n'est pas partout celui du Corps Noir à la température de la surface terrestre (entre 280K et 295K). On note en effet des baisse d'émission autour de longueurs d'ondes caractéristiques des bandes d'absorption-émission des principales molécules absorbantes de l'atmosphère : - Vapeur d'eau : bande centrée à 6.25 micromètres. - Ozone : 3 bandes : 9.0, 9.6 and 14.3 micromètres. - Gaz carbonique : 4.3 et 15 micromètres. Spectres d'absoption d'H20, O3, N2 etc. : http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...ffetdeserre.htm - Géomètrie des molécules et bandes d'absorption : L'absorption du rayonnement infrarouge dépend de la structure de la molécule : les molécules bi-atomiques et symétriques (O2, N2, H2...) sont très peu absorbantes dans le domaine infrarouge lointain (4 à 40 micromètres, domaine du spectre IR terrestre); les molécules non symétriques (H2O, CO2, CH4, CO...) sont beaucoup plus absorbantes. Par ailleurs, certaines piègent ce rayonnement infrarouge plus que d'autres, comme le CO2 (qui est relativement abondant et qui a une bande d'absorption pratiquement là où la Terre émet le plus : 15 microns). Parmi les contributions significatives le méthane, les CFC, l'ozone. Ne pas oublier que le gaz qui contribue le plus à l'effet de serre reste H2O dont la concentration varie énormément en fonction des facteurs météorologiques. Pour qu'un gaz puisse jouer un rôle dans l'effet de serre (naturel ou additionnel), il faut qu'il ait des propriétés d'absorption (et donc de réémission) dans le domaine d'émission du système Terre-atmosphère considéré comme un corps noir autour de 260-280K. Ce domaine spectral correspond à l'infrarouge thermique entre 4 microns et 40 microns. Dans ce domaine, les molécules considérées absorbent un photon et passent d'un état fondamental à un état excité de vibration. Cette capacité d'absorption est alors directement liée aux propriétés spectroscopiques des molécules et donc à leur structure (capacité à "vibrer "). Les molécules diatomiques comme le diazote N2 et le dioxygène O2 n'ont pas cette capacité de vibration et donc n'absorbent pas le rayonnement dans le domaine des longueurs d'onde infrarouge Elles ne jouent donc pas de rôle dans l'effet de serre. Qui peut aller plus loin dans l'explication ? Un bon début ici : http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...rtie2_2.htm#Mol - Gaz à effet de serre : La capacité des constituants atmosphériques à piéger le rayonnement infrarouge est donc liée à leurs propriétés de structure moléculaire. Leur rôle relatif dans l'effet de serre est alors fonction de leur concentration dans l'atmosphère et du degré de saturation des transitions, lié précisément à cette concentration relative. Ainsi, l'effet de serre naturel est principalement dû à H2O et CO2. Compte tenu des concentrations actuelles de ces gaz dans l'atmosphère, aux longueurs d'onde considérées, l'absorption du rayonnement est totale. Une augmentation de concentration de ces gaz ne conduit pas alors à une augmentation proportionnelle de l'absorption (relation non linéaire). Ceci explique que le doublement du gaz carbonique de 350 ppmv à 700 ppmv ne conduise qu'à un apport d'énergie supplémentaire de 4 W/m2 alors que l'effet actuel (qui correspond à un passage de 0 ppmv à 350 ppmv) est d'environ 50 W/m2 Ceci explique aussi que des constituants moins abondants comme le méthane (1.8 ppmv), l'ozone (0.04 ppmv) ou les CFC (0.003 ppmv) puissent in fine jouer un rôle relatif important dans l'effet de serre additionnel dans la mesure où leurs bandes d'absorption sont situées à des longueurs d'onde différentes de celles de H2O et CO2. Ainsi, à masse égale relâchée aujourd'hui dans l'atmosphère, le méthane a un pouvoir de piégeage du rayonnement 56 fois supérieur à celui du CO2, l'ozone 1 200 fois et les CFC entre 4 000 et 8 000 fois. http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...ffetdeserre.htm Loi de Planck (qui veut la démontrer ? ) : Fémi = Flux émis h = 6.63 10-34 J.s : constante de Planck kB = 1.38 10-23 J/s constante de Boltzmann c = 3.00 108 m/s vitesse de la lumière Lambda : longueur d'onde. T : Température du corps opaque. Loi de Wien. Cette loi dite du "déplacement de Wien" découle directement de la formule de Planck. Pour une température donnée, elle donne la valeur de la longueur d'onde où le flux est maximal. La loi de Stéfan est la simple intégration de la loi de Planck sur l'ensemble des longueurs d'onde. Pour T=6000K, on a Fp=Fi=73.000.000 W/m2/K-4 Pour T=300K, on a Fp=Fi=459 W/m2/K-4 La formule de Stefan est d'une importance capitale et rappelle que les flux incidents et partants ne sont fonction que de la température. On note la forte dépendance en T puisqu'il s'agit d'une puissance quatrième. Alors que la Température du Soleil n'est que 20 fois plus élevée que celle de la Terre, son flux partant est 160000 fois plus élevé. Plus de détails : http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...html#definition Qui serions-nous et que saurions-nous sans la physique ? /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> - Bilan "classique" - A l'équilibre : L'absorption de la partie non réfléchie du rayonnement solaire (flèches jaunes) par l'atmosphère et et la surface terrestre réchauffe le système climatique. Pour se refroidir, ce dernier doit émettre de l'énergie vers l'espace sous forme de rayonnement. Cette émission provient de la surface elle-même, mais aussi des nuages et de différentes molécules atmosphériques. Ces corps étant à des températures entre 220 et 300K, cette émission s'effectue dans l'infrarouge (flèches rouges). Cette figure résume les transformations de l'énergie solaire incidente et rappelle les différents processus du bilan radiatif terrestre. Les chiffres sont basés sur un flux de 100w/m2 au sommet de l'atmosphère. On peut aussi raisonner en pourcentage des 340watts incidents au sommet de l'atmosphère. Cliquez sur les textes soulignés pour en savoir plus. http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...3/partie3_1.htm - Mise en évidence du déséquilibre énergétique de la terre : " Any debate or discussion about climate change starts from the basic fact that Earth's temperature depends on the balance between how much solar energy the Earth absorbs and how much it radiates back into space. Scientists at NASA's Goddard Institute for Space Studies (GISS) have completed a study of the Earth's energy balance using a combination of global climate models, ground-based measurements, and satellite observations, and they have some important news. Not only is Earth absorbing about 0.85 Watts of energy per square meter more than it is radiating back to space, but a sizable chunk (= gros morceau) of that excess energy is "hiding" (se cache, se dissimule) in Earth's oceans, its full effect on the climate system still unrealized...." Non seulement la terre absorbe environ 0,85 watt d'énergie par mètre carré de plus que ce qui est rayonné vers l'espace, mais un gros morceau de l'excès d'énergie se dissimule dans les océans, ses pleins effets sur le système climatique demeure non réalisé (traduction approximative) http://www.giss.nasa.gov/research/news/20050428/ ...> temps de réponse, inertie du sytème - These maps show observed (top) and modeled (below) energy imbalances in the top 750 meters (2,461 feet) of the world's oceans from 1993-2003. Areas where there was an energy surplus are shown in shades of yellow to red, while areas where there was an energy deficit are in shades of green to purple. Ten years of observations show that Earth's oceans absorbed an average of 6.02 excess watt-years of energy per square meter (a watt-year is the total amount of energy supplied by 1 watt of power for a year.) Model simulations are in close agreement: an average of five "runs" of the GISS climate model to simulate evolution of the climate since 1880 predicts that by 2003, the imbalance would be about 5.98 watt-years per square meter. The present planetary energy imbalance is large by standards of Earth's history. For example, an imbalance of 1 Watt per square meter maintained for the last 10,000 years is sufficient to melt ice equivalent to 1 kilometer of sea level (if there were that much ice), or raise the temperature of the ocean above the thermocline [the boundary layer between the warm, surface waters and the deep ocean] by more than 100°C. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">Le déséquilibre actuel de la terre est vraiment grand au regard des "standards" de son histoire. Par exemple, un déséquilibre de 1 Watt par mètre carré maintenu pendant 10 000 ans est suffisant pour faire fondre suffisement de glace pour que le niveau des océans monte de 1 kilomètre (s'il y avait cette quantité de glace), ou faire monter le température de l'océan au delà du thermocline au dessus de 100°C. (traduction approximative) Earth's average global temperatures have not increased enough since 1880 to account for the total energy imbalance. La température terrestre n'a pas augmenté assez depuis 1880 au regard du déséquilibre énergétique Although some of the excess heat has gone to melt snow and ice and to warm the land surface, much of the energy imbalance that has accumulated since 1880 has been stored in the ocean and has not made its presence felt. Bien qu'une partie de la chaleur ait été utilisée pour faire fondre la galce et pour chauffer les surfaces continentales, la plus grande partie du déséquilibre énegétique accumulé depuis 1880 a été stockée dans les océans et n'a pas encore fait sentir ses effets. Instead, the scientists say that in addition to the 0.6-0.7°C warming that has happened over the past century or so, an additional 0.6°C increase in average global temperatures remains "in the pipeline," even if greenhouse gas concentrations and other climate-warming influences immediately stopped increasing. Les scientifiques disent que, en plus du réchauffement de 0,6-0,7°C du siècle dernier, une augmentation de 0,6°C supplémentaires de la température globale moyenne reste dans le pipeline, et même si les concentrations de CO2 cessaient immédiatement de croître. The "lag time" between when the oceans absorb excess energy and when that excess produces observable changes in global temperature can be a two-edged sword. Le décalage, le délai entre le moment où les océans absorbent l'excès d'énergie et le moment où cet excès produit des effets observables au niveau de la températue globale peut être une "épée à double tranchant" In their introduction to their research paper, published today in the scientific journal Science, the authors wrote : This delay provides an opportunity to reduce the magnitude of anthropogenic climate change before it is fully realized, if appropriate action is taken. On the other hand, if we wait for more overwhelming empirical evidence of climate change, the inertia implies that still greater climate change will be in store, which may be difficult or impossible to avoid. Ce délai nous donne une chance pour réduire l'amplitude du changement anthropogènique du climat, avant qu'il soit complètement réalisé, ceci si des mesures appropriées sont prises. A l'opposé, si nous attendons davantage de preuves expérimentales accablantes, l'inertie du sytème implique qu'un changement climatique encore plus grand sera "en réserve", changement qui sera alors difficile voir impossible à éviter. http://www.giss.nasa.gov/research/news/20050428/ - Causes du déséquilibre - Forçages : Attribution of 20th Century climate change to CO2 http://www.realclimate.org/index.php/archi...e-to-cosub2sub/ - Evolution de la température de la Terre - Projections du GIEC : Références : - Dossier ENS : http://www.ens-lyon.fr/Planet-Terre/Infosc...intro.htm#table - Earth's Energy Out of Balance, Hansen et al, 2005 http://www.giss.nasa.gov/research/news/20050428/
-
Je ne tire aucune conclusion. J'étudie la question. Un peu de patience Charles /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
-
OK. Ceci dit ces études sont intéressantes :- changement de tracks (trajets) des cyclones - lien avec la SST etc. A approfondir...
-
Quelles conclusions en tires-tu ?
-
C'est quoi le rapport de cette étude avec ton approche du sujet ?Quelles conclusions en tires-tu ?
-
Il y a aussi une agressivité qui consiste à systématiquement déformer les travaux des scientifiques et à diffuser des informations fausses ou biaisées : ton blog. Et une autre qui consiste à tenter de tourner en dérision les auteurs des très nombreuses publications qui te gènent (publications du GIEC incluses). La première est bien plus grave que la deuxième.
-
Tu places Science au rang de tes "gazettes alarmistes". Mais je dois sans doute oublier que tu es bien au dessus des scientifiques qui publient dans les revues scientifiques. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
-
Le lien très vraissemblable entre réchauffement et fréquence des cyclones violents gène sérieusement l'administration Bush qui refuse de mettre en place une politique de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Et il utilise des méthodes tout à fait particulières... 16-04-2006 Scientists say they're being gagged by Bush White House monitors their media contacts Les scientifiques déclarent être surveillés par Bush Des agents de la maison blanche contrôlent leurs contacts avec la presse http://sfgate.com/cgi-bin/article.cgi?f=/c...001&sc=1000 Scientists doing climate research for the federal government say the Bush administration has made it hard for them to speak forthrightly to the public about global warming. The result, the researchers say, is a danger that Americans are not getting the full story on how the climate is changing. Employees and contractors working for the National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), along with a U.S. Geological Survey scientist working at an NOAA lab, said in interviews that over the past year administration officials have chastised them for speaking on policy questions; removed references to global warming from their reports, news releases and conference Web sites; investigated news leaks; and sometimes urged them to stop speaking to the media altogether. Their accounts indicate that the ideological battle over climate-change research, which first came to light at NASA, is being fought in other federal science agencies as well. These scientists -- working nationwide in research centers in such places as Princeton, N.J., and Boulder, Colo. -- say they are required to clear all media requests with administration officials, something they did not have to do until the summer of 2004. Before then, climate researchers -- unlike staff members in the Justice or State departments, which have long-standing policies restricting access to reporters -- were relatively free to discuss their findings without strict agency oversight. "There has been a change in how we're expected to interact with the press," said Pieter Tans, who measures greenhouse gases linked to global warming and has worked at NOAA's Earth System Research Laboratory in Boulder for two decades. He said that although he often "ignores the rules" the administration has instituted, when it comes to his colleagues, "some people feel intimidated -- I see that." Christopher Milly, a hydrologist at the U.S. Geological Survey, said he had problems twice while drafting news releases on scientific papers describing how climate change would affect the nation's water supply. Once in 2002, Milly said, Interior officials declined to issue a news release on grounds that it would cause "great problems with the department." In November 2005, they agreed to issue a release on a different climate-related paper, Milly said, but "purged key words from the releases, including 'global warming,' 'warming climate' and 'climate change.' '' Administration officials said they are following long-standing policies that were not enforced in the past. Kent Laborde, a NOAA public affairs officer who flew to Boulder last month to monitor an interview Tans did with a film crew from the BBC, said he was helping facilitate meetings between scientists and journalists. "We've always had the policy, it just hasn't been enforced," Laborde said. "It's important that the leadership knows something is coming out in the media, because it has a huge impact. The leadership needs to know the tenor or the tone of what we expect to be printed or broadcast." Several times, however, agency officials have tried to alter what these scientists tell the media. When Tans was helping to organize the Seventh International Carbon Dioxide Conference near Boulder last fall, his lab director told him participants could not use the term "climate change" in conference paper's titles and abstracts. Tans and others disregarded that advice. None of the scientists said political appointees had influenced their research on climate change or disciplined them for questioning the administration. Several researchers have received bigger budgets in recent years because President Bush has focused on studying global warming rather than curbing greenhouse gases. NOAA's budget for climate research and services is now $250 million, up from $241 million in 2004. The assertion that climate scientists are being censored first surfaced in January when James Hansen, who directs NASA's Goddard Institute for Space Studies, told the New York Times and the Washington Post that the administration sought to muzzle him after he gave a lecture in December calling for cuts in emissions of carbon dioxide and other greenhouse gases. (NASA Administrator Michael Griffin issued new rules recently that make clear that its scientists are free to talk to members of the media about their scientific findings, including personal interpretations.) Two weeks later, Hansen suggested to an audience at the New School University in New York that his counterparts at NOAA were experiencing even more severe censorship. "It seems more like Nazi Germany or the Soviet Union than the United States," he told the crowd. NOAA Administrator Conrad Lautenbacher responded by sending an agency-wide e-mail that said he is "a strong believer in open, peer-reviewed science as well as the right and duty of scientists to seek the truth and to provide the best scientific advice possible." "I encourage our scientists to speak freely and openly," he added. "We ask only that you specify when you are communicating personal views and when you are characterizing your work as part of your specific contribution to NOAA's mission." NOAA scientists, however, cite repeated instances in which the administration played down the threat of climate change in their documents and news releases. Although Bush and his top advisers have said that Earth is warming and human activity has contributed to this, they have questioned some predictions and caution that mandatory limits on carbon dioxide could damage the nation's economy. In 2002, NOAA agreed to draft a report with Australian researchers aimed at helping reef managers deal with widespread coral bleaching that stems from higher sea temperatures. A March 2004 draft report had several references to global warming, including "Mass bleaching ... affects reefs at regional to global scales, and has incontrovertibly linked to increases in sea temperature associated with global change." A later version, dated July 2005, drops those references and several others mentioning climate change. NOAA has yet to release the coral bleaching report. James Mahoney, assistant secretary of commerce for oceans and atmosphere, said he decided in late 2004 to delay the report because "its scientific basis was so inadequate." Now that it is revised, he said, he is waiting for the Australian Great Barrier Reef Marine Park Authority to approve it. "I just did not think it was ready for prime time," Mahoney said. "It was not just about climate change -- there were a lot of things." On other occasions, Mahoney and other NOAA officials have told researchers not to give their opinions on policy matters. Konrad Steffen directs the Cooperative Institute for Research in Environmental Sciences at the University of Colorado at Boulder, a joint NOAA-university institute with a $40 million annual budget. Steffen studies the Greenland ice sheet, and when his work was cited last spring in a major international report on climate change in the Arctic, he and another NOAA lab director from Alaska received a call from Mahoney in which he told them not to give reporters their opinions on global warming. Steffen said that he told him that although Mahoney has considerable leverage as "the person in command for all research money in NOAA ... I was not backing down." Mahoney said he had "no recollection" of the conversation, which took place in a conference call. "It's virtually inconceivable that I would have called him about this," Mahoney said, though he added: "For those who are government employees, our position is they should not typically render a policy view." The need for clearance from Washington, several NOAA scientists said, amounts to a "pocket veto" allowing administration officials to block interviews by not giving permission in time for journalists' deadlines. Ronald Stouffer, a climate research scientist at NOAA's Geophysical Fluid Dynamics Laboratory in Princeton, estimated his media requests have dropped in half because it took so long to get clearance to talk from NOAA headquarters. Thomas Delworth, one of Stouffer's colleagues, said the policy means Americans have only "a partial sense" of what government scientists have learned about climate change. "American taxpayers are paying the bill, and they have a right to know what we're doing," he said. Faire croire que les bases de données ne sont pas fiables est beaucoup plus simple que de démontrer qu'il n'y a pas de lien entre fréquence des cyclones de catégorie 4 et 5 et élévation de la température de surface océanique. Il y a des rapports scientifiques qui dérangent fortement...compte-tenu de leurs conséquences politiques. Et d'ailleurs, tu as affirmé hier que c'étaient précisément ces conséquences politiques qui te gènaient toi aussi, n'est-ce pas ?
-
3 - A l'échelle de l'ensemble des bassins océaniques mondiaux ? Cyclones par catégories : Température de surface océanique : Tempêtes tropicales et cyclones : Ref : Changes in Tropical Cyclone Number, Duration, and Intensity in a Warming Environment P. J. Webster,1 G. J. Holland,2 J. A. Curry,1 H.-R. Chang1 http://www.sciencemag.org/cgi/content/full/309/5742/1844 ( Peter Webster : encore un pote de Charles impliqué dans le complot climatique (avec Hervé Le Treut, James Hansen, Gavin Schmidt, Mickael Mann, Kerry Emmanuel , Jean Marc Jancovici, les journalistes scientifiques en général etc...La liste est très longue ! :!: ) K.Emanuel, 2005. Mise en relation de l'Indice de Puissance Dissipée (PDI) des cyclones atlantiques et de la température de surface océanique (SST ) Estimate of total amount of power dissipated (PDI) by Atlantic hurricanes each year, together with average SSTs in hurricane forming region (offset by a vertical constant). The correlation coefficient between the two lines is 69% (ie the r2 for those statistically inclined). This implies that most of the variation in hurricane power dissipated is explained by sea surface temperatures - they are the dominant effect. Dossier dans Science (tous les articles ci-dessous sont en accès libre sur sciencemag.org compte tenu de l'importance des enjeux) : http://www.sciencemag.org/sciext/katrina/ Science and its publisher, AAAS, share with our fellow citizens the deep sense of loss occasioned by the devastation wrought by Hurricane Katrina and also extend our sympathy to those affected by Hurricane Rita. As an aid to policy makers, scientists, and the public in understanding the large-scale forces and smaller-scale scientific, social, political background to the disaster, we are making available, free to all visitors via this page, this selection of past Science articles related to hurricanes, coastal disasters, and disaster policy. Climate Change, Hurricanes, and Extreme Weather Report: Changes in Tropical Cyclone Number, Duration, and Intensity in a Warming Environment P. J.Webster, G. J. Holland, J. A. Curry, and H.-R. Chang Science, 16 September 2005; 309: 1844-1846 Related News Focus: Is Katrina a Harbinger of Still More Powerful Hurricanes? Richard A. Kerr Science, 16 September 2005; 309: 1807 Mounting evidence suggests that tropical cyclones around the world are intensifying, perhaps driven by greenhouse warming, but humans still have themselves to blame for rising damage Perspective: Uncertainty in Hurricanes and Global Warming Kevin Trenberth Science, 17 June 2005; 308: 1753-1754 Report: How Much More Global Warming and Sea Level Rise?Gerald A. Meehl, Warren M. Washington, William D. Collins, Julie M. Arblaster, Aixue Hu, Lawrence E. Buja, Warren G. Strand, and Haiyan Teng Science, 18 March 2005; 307: 1769-1772 Report: More Intense, More Frequent, and Longer Lasting Heat Waves in the 21st Century Gerald A. Meehl and Claudia Tebaldi Science, 13 August 2004; 305: 994-997 Report: The Recent Increase in Atlantic Hurricane Activity: Causes and Implications Stanley B. Goldenberg, Christopher W. Landsea, Alberto M. Mestas-Nuñez, and William M. Gray Science, 20 July 2001; 293: 474-479 The years 1995 to 2000 experienced the highest level of North Atlantic hurricane activity in the reliable record. Compared with the generally low activity of the previous 24 years (1971 to 1994), the past 6 years have seen a doubling of overall activity for the whole basin, a 2.5-fold increase in major hurricanes (50 meters per second), and a fivefold increase in hurricanes affecting the Caribbean. The greater activity results from simultaneous increases in North Atlantic sea-surface temperatures and decreases in vertical wind shear. Because these changes exhibit a multidecadal time scale, the present high level of hurricane activity is likely to persist for an additional ~10 to 40 years. The shift in climate calls for a reevaluation of preparedness and mitigation strategies. Related Perspective: Hurricane Threats Lennart Bengtsson Science, 20 July 2001; 293: 440-441 News Focus: Rising Global Temperature, Rising Uncertainty Richard A. Kerr Science, 13 April 2001; 292: 192-194 Climate researchers are grappling with a growing appreciation of climate prediction's large and perhaps unresolvable uncertainties, while remaining steadfast that the threat justifies action Review: Climate Extremes: Observations, Modeling, and Impacts David R. Easterling, Gerald A. Meehl, Camille Parmesan, Stanley A. Changnon, Thomas R. Karl, and Linda O. Mearns Science, 22 September 2000; 289: 2068-2074 Report: Simulated Increase of Hurricane Intensities in a CO2-Warmed Climate Thomas R. Knutson, Robert E. Tuleya, and Yoshio Kurihara Science, 13 February 1998; 279: 1018-1021 Brevia: Extreme Waves Under Hurricane Ivan David W. Wang, Douglas A. Mitchell, William J. Teague, Ewa Jarosz, and Mark S. Hulbert Science, 5 August 2005; 309: 896
-
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
Ah bon ? Qui ? Tu parles d'Allègre ?"Mais que personne ne se méprenne, je ne suis nullement un défenseur du productivisme. Je sais que l'homme malmène la planète, je sais que l'eau est un problème, que le CO2 acidifie l'océan, que la biodiversité est menacée, qu'il faut modifier nos pratiques, économiser la planète, respecter la Nature." http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-...6-827867,0.html Tu savais tout ça Pierre-Ernest ? -
1 - Quelle est la tendance dans l'Ouest Pacifique au niveau de la fréquence des cyclones de catégorie 4 et 5 ? 2 - Dans les autres bassins océaniques ? 3 - A l'échelle de l'ensemble des bassins océaniques mondiaux ? - La première étude rapportée par Charles porte sur les précipitations associées aux cyclones en Chine : Changes in tropical cyclone precipitation over China (Changements dans les précipitations associées aux cyclones tropicaux sur la Chine) - La seconde étude porte sur la fiabilité des bases de données. Can We Detect Trends in Extreme Tropical Cyclones? (Pouvons-nous détecter une tendance au niveau des cyclones tropicaux extrêmes ?) Bref rien de vraiment nouveau en ce qui concerne l'évolution de la fréquence des cyclones de catégories 4 et 5 depuis 30 ans. Concernant l'évolution des précipitations en Chine, des études complémentaires seraient les bienvenues. Charles s'étonne du peu d'échos qu'ont eu ces études dans la presse de vulgarisation francophone...Si toutes les études scientfiques devaient être publiées dans la presse de vulgarisation ce ne sont plus des journeaux mais des encyclopédies de 30 volumes que l'ont recevrait chaque jour dans nos boîtes aux lettres ! NB - Quelques données pour 2006 : Base de donnée : http://weather.unisys.com/hurricane/w_pacific/ ) 2006 Hurricane/Tropical Data for Western Pacific http://weather.unisys.com/hurricane/w_paci...2006/index.html Individual Storm Summary Winds in knots, pressure in millibars, category is based on Saffir-Simpson scale. # Name Date Wind Pres Cat 1 Tropical Storm 01W 04-07 MAR 35 - 2 Super Typhoon CHANCHU 08-18 MAY 135 4 3 Tropical Storm JELAWAT 26-29 JUN 45 - 4 Super Typhoon EWINIAR 29 JUN-10 JUL 130 4 5 Tropical Depression 05W 08-09 JUL 30 - 6 Tropical Storm BILIS 09-14 JUL 55 - 7 Tropical Storm 06W 18-19 JUL 35 - 8 Typhoon KAEMI 22-25 JUL 85 2 9 Tropical Depression 07E 31-31 JUL 30 - 10 Tropical Depression 08E 01-01 AUG 30 - 11 Typhoon PRAPIROON 31 JUL-03 AUG 70 1 12 Super Typhoon SAOMAI 04-10 AUG 140 5 13 Typhoon MARIA 05-09 AUG 65 1 14 Tropical Storm BOPHA 06-10 AUG 50 - 15 Tropical Storm WUKONG 12-19 AUG 50 - 16 Tropical Storm SONAMU 13-16 AUG 45 - 17 Tropical Depression 09E 15-15 AUG 30 - 18 Tropical Depression 13W 24-25 AUG 30 - 19 Super Typhoon IOKE 27 AUG-05 SEP 140 5 20 Tropical Depression 12E 30-30 AUG 25 - 21 Typhoon SHANSHAN 10-17 SEP 120 4 22 Tropical Depression 15W 12-13 SEP 30 - 23 Tropical Depression 13E 13-13 SEP 30 - 24 Tropical Depression 14E 16-16 SEP 30 - 25 Super Typhoon YAGI 17-24 SEP 140 5 26 Tropical Depression 02C 19-20 SEP 30 - 27 Tropical Depression 17W 23-25 SEP 30 - 28 Super Typhoon XANGSANE 25-30 SEP 125 4 29 Tropical Depression 03C 26-27 SEP 30 - 30 Tropical Storm BEBINCA 01-06 OCT 45 - 31 Tropical Storm RUMBIA 04-06 OCT 45 - 32 Typhoon SOULIK 09-15 OCT 90 2 33 Tropical Depression 16E 09-10 OCT 30 - 34 Tropical Depression 04C 13-14 OCT 30 - 35 Tropical Depression 17E 21-21 OCT 30 - 36 Tropical Depression 18E 27-28 OCT 30 - 37 Super Typhoon CIMARON 27-30 OCT 140 5 Active 2006 Pacific typhoon season http://en.wikipedia.org/wiki/2006_Pacific_typhoon_season 2005 Pacific typhoon season http://en.wikipedia.org/wiki/2005_Pacific_typhoon_season
-
Et les pauvres campeurs se sont installés juste à coté de la rivière d'eau détruite qui monte de Pierre-Ernest... Beaucoup moins drôle : Août 2006 - Saomai : un typhon meurtrier s’abat sur la Chine http://www.futura-sciences.com/news-saomai...-chine_9466.php " Saomai, un typhon de catégorie 4, a frappé la Chine en laissant derrière lui une centaine de morts. C’est le plus puissant qui ait touché ce pays depuis 50 ans..." Three different typhoons were spinning over the western Pacific Ocean on August 8, 2006, when NASA's QuikScat satellite acquired this image. http://www.nasa.gov/mission_pages/hurrican...006_saomai.html
-
T'énerve pas Charles Changement d'albédo : ...au niveau du pôle nord... Satellite observations of the polar ice cap 1979 and 2003 This oblique view of the Arctic polar ice cap in September shows the significant reduction that has happened over a time period just over 20 years, from 1979 to 2003. Future predicitions shows even more drastic reduction of the ice cap, thus opening new area for natural resources extraction and marine transports.
-
Sans parler des rétro-actions positives déjà mentionnées, le réchauffement a de nombreuses conséquences au niveau ciculation océanique et atmophérique : 1°) La circulation des vents du Pacifique se ralentit LA CIRCULATION de Walker, vaste mouvement atmosphérique d'est en ouest qui trace une boucle au-dessus du Pacifique tropical, s'est ralentie de 3,5 % entre 1861 et 2000, affirme une étude conduite par Gabriel Vecchi de la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Selon cet article, publié dans la revue Nature du jeudi 4 mai, cet affaiblissement de la circulation des vents est dû aux émissions anthropiques de gaz carbonique dans l'atmosphère depuis le début de l'ère industrielle. Emissions qui ont entraîné une élévation de la température de surface de l'océan de 0,5 à 0,6 ºC. http://www.lemonde.fr/cgi-bin/ACHATS/achet...objet_id=943904 Slowdown in Tropical Pacific Flow Pinned on Climate Change http://www.ucar.edu/news/releases/2006/walker.shtml Weakening of Tropical Pacific Atmospheric Circulation Due to Anthropogenic Forcing http://www.nature.com/nature/journal/v441/...ature04744.html Gabriel A. Vecchi1, Brian J. Soden2, Andrew T. Wittenberg1, Isaac M. Held1, Ants Leetmaa1 and Matthew J. Harrison Top of pageSince the mid-nineteenth century the Earth's surface has warmed, and models indicate that human activities have caused part of the warming by altering the radiative balance of the atmosphere1, 3. Simple theories suggest that global warming will reduce the strength of the mean tropical atmospheric circulation. An important aspect of this tropical circulation is a large-scale zonal (east–west) overturning of air across the equatorial Pacific Ocean—driven by convection to the west and subsidence to the east—known as the Walker circulation6. Here we explore changes in tropical Pacific circulation since the mid-nineteenth century using observations and a suite of global climate model experiments. Observed Indo-Pacific sea level pressure reveals a weakening of the Walker circulation. The size of this trend is consistent with theoretical predictions, is accurately reproduced by climate model simulations and, within the climate models, is largely due to anthropogenic forcing. The climate model indicates that the weakened surface winds have altered the thermal structure and circulation of the tropical Pacific Ocean. These results support model projections of further weakening of tropical atmospheric circulation during the twenty-first century. Five-year running-mean SLP from: a, observations (black from Kaplan29, and blue from Hadley Centre28; the record is extended through to 2005 with NCEP ship-based observations27 (dashed line)); and b, GCM historical integrations (five-member ensemble mean in black, an illustrative ensemble member (number 3) in blue, dashed lines indicate linear trend of ensemble members 1, 2, 4 and 5). In both panels, the linear trends in SLP are shown as thick lines, with shadings corresponding to each time-series. 2°) "stronger westerly winds in the northern Antarctic Peninsula, driven principally by human-induced climate change, are responsible for the marked regional summer warming that led to the retreat and collapse of the northern Larsen Ice Shelf. " /index.php?s=&showtopic=17132&view=findpost&p=336836'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=336836 etc...
-
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
Tu peux brancher le décodeur ? C'est censé prouver qu'Arrhénius est membre du GIEC (avec la bénédiction d'Allègre) ? -
Alors là Pierre-Ernest, soit tu as donné trop de sucre au chien, soit tu as complètement détruit l'eau de la rivière ! (ou les deux)
-
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
Tu n'as pas mis assez de sucre dans l'eau détruite du chien, du coup tu as pris du retard et cela ne réchauffe pas -
" Les forçages aux sens climatique du terme, correspondent aux conditions aux limites ou "entrées" (input du modèle climatique. Les changements de rayonnement solaire sont évidemment externes, de telle manière qu'ils forment toujours un forçage. C'est également vrai pour les changements de l'orbite terrestre ("Cycles de Milankovitch"). Par contre, cette définition est plus ambiguë quand on se rapproche de la surface de la planète. Dans les modèles n'incluant pas le cycle du carbone (c'est a dire la majorité), la concentration du CO2 est fixée en externe, ce qui peut donc être considéré comme un forçage également. Par contre, dans les modèles qui incluent le cycle du carbone, les changements de concentration en CO2 seront fonction du climat et des changements liés a l'activité industrielle. Dans ce cas, les niveaux de CO2 seront des rétroactions, et non pas des forçages. Presque tous les éléments constitutifs de l'atmosphère peuvent être considérées comme des rétroactions, et donc définir un forçage est réellement dépendant des rétroactions possibles dans le modèle, et dans quel but il est utilisé. Une bonne discussion des forçages récents peut être trouvée dans Hansen et al (2002) et dans Schmidt et al (2004). " http://www.realclimate.org/index.php?p=4
-
Les prévisions d'Arrhenius et la réalité observée
david3 a répondu à un sujet de Pierre-Ernest dans Archives
/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Désolé Pierre-Ernest mais tu me fais pisser de rire !