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JB63

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  1. En général, Tm et RR sont les variables; IA est le résultat du calcul. Par exemple, si Tm=12 et RR=700, alors IA=31.8 Mais tu peux aussi t'amuser à calculer les hauteur de précipitations suffisantes pour une Tm de 12°C, telles que IA=20 (puisque IA=20 est le cas particulier qui correspond à l'équilibre entre RR et Tm). C'est ce que j'ai fait au dessus pour confronter cette méthode avec celle de l'analyse ombrothermique.
  2. J'ai du mal m'exprimer dans le message précédent; Je suis parti de données mensuelles fictives pour un poste donnée au cours d'une année donnée (cela pourrait également être des normales mensuelles de 30 ans, peu importe). Le premier graphe est la représentation de ces données avec la méthode RR=2T, telle que tu l'a fait pour l'année 2003: Juin, juillet et aout sont secs. Le second graphe est l'indice d'aridité calculé à partir des mêmes données: on voit que février est considéré comme sec avec cette méthode, en plus des 3mois estivaux. Le troisième graphe sert à comparer ces deux méthodes: les droites correspondent à l'équilibre entre RR et T pour ces deux méthodes pour un mois donné. Celle basée sur l'IA est au dessus de celle RR=2T, ce qui signifie que pour une Tm moyenne mensuelle donnée, il faut plus de pluie pour que le mois soit considéré comme humide avec IA qu'avec RR=2T. Par exemple, si un mois a une Tm de 20°C, 40mm suffisent avec RR=2*T, alors qu'il faut 50mm avec IA=20 (c.a.d. équilibre RR-T) Pour juin 2003, si RR=27.9mm et Tm=22°C (environ), IA=(12*27.9)/(22+10)=10.6 << 20, donc très aride! Idem pour juillet et aout 2003 IA sert également à décrire, à partir de normales annuelles (Ex: 1971-2000: Tm=11°C et RR=700mm), avec la formule annuelle donnée plus haut, le climat d'une région. Par exemple, en France, IA va de 20 à 25 en méditerranée (très localement<20, c.a.d aride) à plus de 60 en montagne. Plus généralement, il avoisine 30 à 50. Je ne sais pas si l'analyse ombrothermique est mieux ou moins bien (!) que l'indice d'aridité, je ne suis pas spécialiste. Je pense juste que le premier est plus adapté aux représentations graphiques, et que le second est plus exigent en précipiations, ce qui me semble plus réaliste. N'hésite pas si je ne suis pas clair!
  3. Non, je n'ai pas la solution pour représenter ces trois paramètres et le lien entre eux. Pour illustrer la différence entre Indice d'Aridité et P=2*T que j'évoquais plus haut, voici un exemple fictif: - le diagramme ombrothermique avec P=2*T - le diagramme en batons représentant IA à partir des même valeurs; en dessous de 20 => aride; au delà => humide On voit que février peut-être considéré comme aride avec cette méthode Voici la correspondance entre T et RR telle que ces deux paramètres soient en équilibre, pour les 2 méthodes (IA=20 et RR=2*T), au cours d'un mois. La formule de Turc donne l'Evapotranspiration Réelle (et non potentielle, comme je l'avançais plus haut) Le calcul de l'ETP semble bien plus complexe. A+
  4. Salut! Il existe également l'Indice d'Aridité, dont la formule est la suivante: IA = (12*RR)/(Tm+10); indice mensuel où RR est la pluvio et Tm la température moyenne mensuelle. IA = RR/(Tm+10); indice annuel où RR est la pluvio annuelle et Tm la température moyenne annuelle. On a équilibre entre RR et Tm si IA =20; en dessous, le climat est sec, au dessus, il est humide. Ce indice est plus "exigent" en pluie que le classique RR=2*Tm, qui sert d'avantage de règle d'échelle pour le diagramme ombrothermique; d'ailleurs, je ne la trouve pas géniale cette règle: en été, 40mm de pluie suffisent à une Tm de 20°C pour ne pas "être dans le rouge", ce qui est insuffisant à mon avis. Pour bien faire, il faudrait tenir compte du nombre de jours de pluie, de l'insolation, et du vent moyen. J'ignore si de tels indices existent. Enfin, il existe le calcul de l'ETP, par la formule de Turc par exemple.
  5. JB63

    44 degres a thiers!

    Salut! La ville de Thiers, capitale de la coutellerie, se situe sur les contreforts ouest du Forez comme dit plus haut. Le nom de la ville viendrait du fait que l'on en voit jamais plus d'un "tiers", de par la topographie environnante. Son altitude s'étire de 283m à 793m. Pour revenir à la météo, le seul poste MF thiernois ouvert en 1974 est celui des Garniers, ouvert en 1955 et fermé en 1987. Bien que situé à 450m, jamais déplacé, il détient le record de chaleur du département, selon MF, avec 42.5°C relevés le 31/07/83. La seconde valeur la plus élevée est détenue par le poste de Courpière - Bourg, avec 42°C à la même date. Ensuite viennent divers 40 à 41°C pour la quasi totalité des postes de plaine. En 1974, année des fameux "44.5°C" de Thiers, on releva 39.8°C à Aubière, 40°C à Bouzel et 41°C à Chappes (record officiel pour ce poste, à égalité avec les 41°C de juillet 1983, bien en dessous des 44°C officieux du 03/08/1928 dont Frc63 fait allusion) Donc pas de 44.5°C officiels à Thiers. J'ai remarqué de MF ne vend pas les données thermiques de ce poste entre 1955 et 1980. Elles doivent être, si elles existent, non exploitables et non représentatives. Parmis elles, peut-être, le 44.5°C. Les maximales estivales relevées dans l'est du département, au pied du Forez ou sur ses pentes (plaine de la Dore notamment), m'étonnent car elles me semblent élevées: Courpière-Bourg, Courpière-Les 4 Vents, Thiers-Garniers ou Thiers-Moutier, Celles sur Durolle ... affichent d'avantage que les postes à l'ouest de la Limagne, et donc orientés Est, à altitude égale. En est-il de même dans le 42? Au sujet de la pluviométrie, Thiers (station du Moutier, dans le bas de la ville, années 1884 à 1937) affiche à peine moins de 1000mm. Malgré sa position de versant "au vent", la répartition saisonnière est typiquement continentale: de 50mm en janvier-février à 100mm en juin-juillet. A croire que les orages ne boudent pas la ville. A+
  6. Très intéressant ce dossier, merci beaucoup du lien!
  7. Dans un article intitulé "Canicule et santé : lorsque chaleur rime avec danger ", Météo-France a glissé trois cartes pouvant être intéressantes, celles des maximales moyennes de juin, juillet et août, sur la période 1971-2000. Les cartes sont ICI Par ailleurs, cet article intéressant nous informe sur les canicules en France. De quoi être incollable dans le domaine! Voilà qui est dit A+
  8. Deux postes climatologiques sont (enfin, étaient) à Villeurbanne; - l'un, celui de "Villeurbanne", à 177m, ouvert en 1952 et fermé le 01-01-2006 - l'autre, celui de "Villeurb Cusset", à 180m, ouvert depuis 1969 et toujours en activité Je crois que lorsqu'on parle des données de Villeurbanne, il s'agit bien du premier poste, fermé depuis le début de l'année. Sinon, 41°C en juin 2003 et 42.1°C en août 2003, d'après ce que GBl avait déjà écrit sur ces forums, et ce pour le 1er poste. L'emplacement de ce dernier est sur le site du SANDRE
  9. Je l'ignorais (et cela ne m'étonne pas: HerveB est une référence en la matière) ... mais pas mal de monde semble être passé à travers, moi le premier! Donc autant le rappeler, si ce n'est pas pour le faire découvrir. Vous devez commencer à me connaitre; les données et infos climatiques libres sur la France sont tellement rares qu'il ne vaut mieux pas en louper, et donc les faire partager, quitte à se répéter. A+
  10. J'ai une légère différence avec les données minitel; 184.00h du 1er au 15 inclus à Clermont, avec les valeurs suivantes: 1,6 5,5 13,8 8,5 13,2 13,8 14,8 14,8 14,7 14,9 14,4 13,2 14,6 13,8 12,4 ----- =184.00 Au 21 inclus, j'en suis à 229.5h A bientôt
  11. Il y aurait sans doute encore beaucoup à découvrir sur ce site pharaonique. Le pb est que ce dernier subit fréquemment des remaniements, les adresses des pages changent souvent. Ainsi, les données de cette page, sont désormais indisponibles.
  12. ben oui, l'adresse est surement plus intéressante que l'échantillon /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> C'est ICI Désolé pour l'oubli Edit: c'est en bas de page, il faut cliquer sur le "pt3" de chaque année pour avoir ce pdf. Exemple: 1887 pt. 3 Mais les autre pdf ne manquent pas d'intéret.
  13. Tout est dans le titre, les annales du BCM sont disponibles gratuitement sur le site NOAA pour les années 1878 à 1920. Plus de 150 pages de données pluviométriques quotidiennnes et/ou mensuelles chacun, tous les postes pluviométriques de France y passent, y compris certains dont j'ignorais l'existance. Une mine d'or pour ceux que ça intéresse, mais difficilement accessible pour ceux qui n'aiment pas le recopiage. De plus, ces pdf sont lourds, les stations classées par bassin versant, et surtout certaines pages sont illisibles, données manquantes ... on peut pas tout avoir! Voilà ce que ça donne: Voilà. Reste que je me pose une petite question: que font ces annales aux USA? Une fois de plus, pourquoi faut-il aller chercher les données françaises aux USA? Ce genre d'ouvrage est-il encore publié de nos jour? A bientot
  14. Tout d'abord merci à tous de prendre part à ce sujet, qui s'avère être encore plus compliqué que je ne le pensais /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Jusqu'ici je ne m'étais jamais vraiment penché sur ces bebêtes électriques autrement que de façon "descriptive"; il faut dire que mes connaissances dans ce domaine sont assez limitées En ce qui concerne les villes, elles doivent certainement excercer une influence non négligeable sur les orages, de par l'augmentation de temprature qu'elles engendrent - plusieurs degrés les après-midi d'été -, mais aussi grâce la modification de la composition de l'atmosphère, qui doit avoir un rôle sur les noyaux de condensation. Le cas de Lyon est d'autant plus compliqué que deux fleuves traversent la ville, avec leur confluence en prime! Pour les rivières, je pensais en particulier au secteur de St Maurice Es Allier, entre Clermont et Issoire (Sud Limagne), où la vallée est assez ressérée. Cette commune située à l'Est de la rivière Allier est, selon les dires d'une connaissance y vivant depuis plusieurs années, relativement épargnée par les orages les plus violents (grèle), ces derniers ne franchissant pas l'Allier et restant à l'ouest de celle-ci. L'influence de la rivière - s'il y en a une - est certainement couplée à celle du relief. En vacances dans les pays de la Loire, j'ai entendu dire à plusieurs reprises que les orages remontant du sud ne franchissaient pas le fleuve. Je n'ai pas eu l'occasion de le vérifier. Je ne "crois" en rien quant à l'influence des rivières sur le relief (ni oui, ni non), ne possédant pas le connaissances nécessaires dans ce domaine pour conclure quoi que ce soit. Cependant, il y a beaucoup d'observations faites. Et il est certain que certains secteurs sont plus propices que d'autres. Pour compléter la série des "on dits", il me semble que la plaine de la Dore (au pied du Forez, à l'estrême Est de la Limagne) ramasse pas mal d'orages. Je ne sais pas vraiment si ces derniers suivent la Dore; ils arriveraient plutôt perpendiculairement à cette dernière (elle coule nord-sud, parallèlement au Forez). Cette zone est climatologiquement plus humide que la Limagne, même en été, c'est certain. Mais est-ce liée aux orages plus nombreux, où à un effet de bloquage contre le forez des pluies "classiques", je ne sais pas. Autre remarque: s'éjournant fréquemment dans le nord du Livradois, j'ai pu remarquer que selon la provenance des orages (d'un point de vue très local, ils suivent des trajectoires souvent identiques), leur violence est variable. Par exemple, ceux qui viennent du nord-est (formées sur le Forez?si c'est le cas, ils traversent la Dore avant d'arriver) sont bien plus violents. Remarque certainement peu intéressant pour la plupart d'entre vous, mais qui me pousse à penser qu'il existe bien des trajectoires préférentielles pour les orages (comme l'indique Nicolas17/69), certaines pouvant déterminer leur violence, et que ces trajets sont bien déterminés par quelquechose; dans certains cas (pas forcément ici), les rivières doivent bien y être pour quelquechose. Enfin (ouf!), pour rebondir sur la remarque de gbl, je ne vois pas pourquoi l'apport d'humidité engendré par certains fleuves n'influencerait pas la trajectoire des orages? Ce dernier est-il négligeable devant les courants d'altitude?
  15. JB63

    Recherche d'info

    Salut! Comme tu t'adresses aux Isèrois en priorité, je suppose que tu recherche ces valeurs pour le 38. Sans aller bien loin, tu peux les trouver dans les archives des relevés horaires d'Infoclimat pour les deux stations de Grenoble: Le Versoud: http://www.infoclimat.fr/obs-horaires/arch...aa=2006&s=07487 http://www.infoclimat.fr/obs-horaires/arch...aa=2006&s=07487 St Geoirs http://www.infoclimat.fr/obs-horaires/arch...aa=2006&s=07486 http://www.infoclimat.fr/obs-horaires/arch...aa=2006&s=07486 En espérant que c'est ce que tu cherchais
  16. J'espère ne pas avoir ouvert un nouveau sujet s'il avait déjà été traité auparavant, mais je n'ai rien trouvé en passant par le menu "recherche", donc je me lance. En fait, je me demandais quelle était l'influence d'un fleuve sur la trajectoire des orages. Les orages se contentent-ils de suivre le cours d'eau pour se nourrir d'humidité, où est-ce beucoup plus complexe et rarement vérifié? Y a-t-il un lien avec le fait que certaines localités semblent plus propices à attirer les orages violents, avec des trajectoires préférentielles de ces derniers? J'ai entendu dire qu'une localité située en bordure de la rivière Allier subit de façon récurente des orages violents (grêle notamment), alors qu'une commune voisine, située sur l'autre rive, reste généralement en marge des orages. Est-ce possible d'après vous? la rivière peut-elle en être la raison, en faisant office de barrage? Peut-on ainsi observer localement, de façon statistique, des variations notables de pluviométrie lors des mois dété (orageux)? (P.Ex. commune "a" = 40mm de normale en juillet, contre 55mm pour la commune "b") Merci beaucoup de m'éclairer!
  17. Très intéressant, juin 2006 semble talonner juin 1976: à Clermont-Aulnat, la première quinzaine de juin 2006(du 1er au 15 inclus) dépasse juin 1976 avec 183.7h. Reste a voir si l'on atteindra le cumul mensuel de 352.7h de juin 1976 en 2006, pas sur! Juin 2003 n'avait pas fait 300h.
  18. JB63

    Fiches clim 1971-2000

    Boulette, ce n'est pas les normes 71-00 mais 61-90 qui sont mises en ligne. Par contre, ils présentent des données intéressantes, comme des séries homogénéisées (je n'ai pas le temps de regarder d'avantage): http://www.meteosuisse.ch/web/fr/climat/de...tologiques.html
  19. JB63

    Fiches clim 1971-2000

    Tout à fait d'accord avec toi Florent76; quand on recherche les normales 1971-2000 sur le net, on trouve sans peine celles de Suisse, USA, Canada ... mais pas les données chiffrées françaises. D'ailleurs, MF n'a pas publié gratuitement et clairement les 1961-1990 il me semble. Le site intéressant en question est celui-ci: http://www.educnet.education.fr/meteo/ Bon W-E!
  20. Je ne crois pas qu'il existe de grosses bases gratuites pour les stations secondaires du réseau d'observation. Il faut donc piquer à droite ou à gauche les valeurs. Tu as les valeurs fournies dans les bulletins de MF, qu'il s'agisse du "Temps du Mois" mis gratuitement sur le site meteo.fr ( août 2003, mars 2005 sont des mois records ), ou des bulletins départementaux payants (ancienne version notamment, les données numériques sont plus ponctuelles dans la nouvelle version). Certaines valeurs sont présentes ponctuellement dans différentes publications (ouvrages et autres articles). N'hésite pas à te rendre aux archives départementales du 91 (elles dépendent du Conseil Général), les archives de la Météorologie Nationale y sont peut-être. Mais il s'agit de données anciennes, pas forcément validées par MF. Les séries du KNMI portent également sur certaines stations secondaires il me semble (La Souterraine en Creuse par exemple, à fouiller donc) Enfin, pour compléter, il y a les données brutes payantes (climathèque), de l'ordre de 0.34 euros HT les 10 données. Ca peut valoir le coup pour les extrêmes d'un mois de référence (août 2003 p.ex.), ou alors pour suivre la climatologie de quelques postes ( moyennes et extrêmes ) de ton département, mois par mois. Je n'ai jamais été à la biliothèque MF à Paris, si quelqu'un peut me dire si ça vaut le détour ...
  21. Les -30°C ont surement été largement atteints dans le 43, mais peut-être que les postes n'y sont pas si idéalement placés que dans le 63 pour les enregistrer . Je n'ai pas beaucoup de données pour ce département, mais certains plateaux ou autres trous ont bien dû enregistrer de telles valeurs.
  22. Pour la Haute-Loire (43): Record de froid: -29.7°C à Saugues le 16 janvier 1985 (suivi de près par les -29.5°C du 1er mars 2005 du même poste). Record de chaleur: 40.3°C à Brioude le 31 juillet 1983 ( 40°C à Mazeyrat d'Allier et 38.8°C au Puy-Chadrac à 714m) Record de précipitations: 237.9mm à Fay sur Lignon en 24h le 20 septembre 1980 Vent maximum: 165km/h à Chadrac le 17 novembre 1950 Chute de neige maximale mesurée: 55cm le 30 décembre 1970 source: http://www.cg43.fr/document.php4?id_doc=13
  23. Actuellement -0.3°C au sommet du Puy de Dôme, avec un pt'i vent de nord fort qui doit être bien tonifiant! 8.4°C aux Cézeaux (Aubière), soit environ 13°C de déficit vis à vis des normales. Vent de NE en raffales à 40km/h, alternance de rares éclaircies (actu), nuages menaçants, et averses de pluie, voire grésil. Et celà la veille de l'été météorologique
  24. Merci beaucoup pour ces données. 5 à 6°C de Tx en juin à Belfort et Bourg St Maurice /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  25. Le plus "drole", c'est que le poste de Chappes, qui représente la Limagne sous son visage "polaire" la nuit et "tropical" le jour, possède à lui seul une amplitude absolue de 73.5°C (-29.5°C de Tnn, 44°C de Txx). Même dans les moyennes, ce poste connait des amplitudes diurnes énormes: en juillet, environ 1.5°C de moins pour les Tn et 1.5°C de plus pour les Tx qu'Aulnat. Comme l'explique Frc63 plus haut, la façon dont on place les stations permet de leur faire dire à peu près ce que l'on veut: des écarts de l'ordre de 7°C peuvent être observés sur les Tn à quelques kilomètres de distance, quand la topographie s'y prête. Les coteaux de Limagne (dés 50m au dessus du fond de la plaine), connaissent des valeurs bien moins excessives, notamment pour les Tnn (records de -20 à -23°C), et des Txx dépassant plus difficilement les 40°C, ce qui ramène à des amplitudes plus classiques. Cela dit, je rappelle que le +44°C doit être pris avec des pincettes, et que le 42.5°C de Thiers en 1983 est plus raisonnable.
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