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Statistiques et anomalies climatiques globales


Sam82

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Il y a 7 heures, Cirrus 27 a dit :

Or on constate que le CO2 atmosphérique s’appauvrit actuellement en carbone 13 et en carbone 14. L’appauvrissement en carbone 13 indique que l’augmentation de ce CO2 atmosphérique ne vient pas de l’océan, et l’appauvrissement en carbone 14 implique – puisque c’est la seule source possible – que les émissions en provenance des combustibles fossiles augmentent.

 

Je ne suis pas sûr de comprendre la dernière partie de la phrase : les émissions de CO2 provenant de la combustion des énergies fossiles ne produisent pas de carbone 14 alors comment peut-on attribuer l'appauvrissement en carbone 14 de l'atmosphère à l'augmentation de ces dernières ? Il y a un effet de dilution ?

 

Oui, je pense que c'est ça, si les variations exprimées le sont en % et pas en valeur absolue.

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Je reviens sur ce sujet mal placé dans le national car c'est global. "Le réchauffement climatique en pause : records de chaleur mondiaux, c'est fini !" http://www.lameteo.org/index.php/news/2822

Ok, je rajoute donc une couche dans la "censure" de cet énergumène...     Et du coup, Infoclimat va pouvoir me verser une prime supplémentaire.

Beaucoup d'erreurs élémentaires et incroyables pour des pro dans tout ce que je viens de lire, que ce soit dans l'édito de Fred sur "Où en est le RC", https://www.lameteo.org/index.php/news/3149-ou-en

Images postées

Guillaume Séchet vient de publier sur Météo Paris un article intéressant sur les risque de rétroactions positives.

Un article très vulgarisé, à la portée de tous, et qui s'appuie sur des travaux récents du GIEC.

Les enjeux sont clairement définis, avec renvois vers les dits travaux.

 

Le seul point qui me paraît inopérant, c'est de faire un comparatif entre du +1.5°C et du +2°C.

La politique est l'art du possible, et nous savons tous que les 7.5 milliards de terriens ne vont pas réduire de 45% leur émission de CO2 d'ici 10 ans.

Donc, parler d'une possibilité à 1.5°C c'est du rêve.

 

Il serait par contre, pour les décideurs comme pour monsieur tout le monde, de faire un comparatif entre +2°C et +3°C

Oui, les conséquences prévisibles sont potentiellement incalculables, mais c'est pas faute pour beaucoup ici, de ne pas  avoir tiré la sonnette sur IC depuis 10, 12 ou 15 ans.

 

 

Modifié par th38
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On reste désespérément vissés dans le haut de l'échelle selon les réanalyses NCEP, avec une anomalie pour août à +0.56° au 13 du mois. Le mois d'août le plus chaud dans cette base c'est 2016 avec +0.60°.

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D'après cette étude parue dans Nature, la variabilité du climat serait plus forte lorsque la sensibilité climatique est plus forte.

Par exemple des périodes de hiatus ou même de léger refroidissement, même lors du RC global auraient plus de chance de se produire.

Mais attention, à l'inverse des périodes de quelques années ou d'une décennie avec un réchauffement 10 fois supérieur au trend  du XXème siècle pourraient aussi se produire.

 

" Here we show that models that are more sensitive to GHGs emissions (that is, higher equilibrium climate sensitivity (ECS)) also have higher temperature variability on timescales of several years to several decades2. Counter-intuitively, high-sensitivity climates, as well as having a higher chance of rapid decadal warming, are also more likely to have had historical ‘hiatus’ periods than lower-sensitivity climates. Cooling or hiatus decades over the historical period, which have been relatively uncommon, are more than twice as likely in a high-ECS world (ECS = 4.5 K) compared with a low-ECS world (ECS = 1.5 K). As ECS also affects the background warming rate under future scenarios with unmitigated anthropogenic forcing, the probability of a hyper-warming decade—over ten times the mean rate of global warming for the twentieth century—is even more sensitive to ECS. "

Modifié par meteor
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  • 2 weeks later...

Bon, à 3 jours de la fin, et si mes calculs sont bons (j'ajoute çà parce que les données NCEP sont désormais en cdf et non plus en csv), le mois d'août 2019 avec 0.56°C d'anomalie, se place en 2ème position des plus chauds derrière, mais pas loin, août 2016 (0.60°C).

Pas de raison que çà s'arrange mais on se lasse à force...

 

Dans le détail, sous réserve:

 

HN: 0.70°C

HS:0.41°C

Arctique: 1.46°C

Antarctique:2.97°C

tropiques: 0.30°C (tiens c'est pas beaucoup)

Modifié par meteor
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Il y a 19 heures, meteor a dit :

 

tropiques: 0.30°C (tiens c'est pas beaucoup)

 

Outre la zone Niño qui penche dans le neutre négatif, on a des anomalies froides particulièrement marquées en surface océanique côté Indonésie (effet de l'oscillation IOD) et surtout dans tout l'Atlantique sud et notamment entre 10° nord et 30° sud. Août 2018 avait déjà été sur cette zone le mois d'août plus frais depuis 1997, et 2019 devrait se classer dans les mêmes ordres de grandeur.

 

Je ne sais pas trop ce qui pourrait expliquer cette anomalie froide deux années consécutives dans cette zone.

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Parlons de l'Enso justement. On constate que le tres grand Enso de 2015, en plus d'avoir été plus fort et plus long que celui de 1997/1998 qui avait été le plus fort depuis au moins 1950 (devant celui de 1983), n'a pas été suivi d'une Nina digne de ce nom comme en 1999 (très puissante Nina de pendant 2 ans et demi) ainsi qu'en 2010.

 

Ce Nino est extra ordinaire avec un indice qui a atteint les sommet à 2.6 et reste supérieur à 2.5 plusieurs trimestre consécutif. La Nina qui a suivi à été tres courte, suivi d'une période neutre et a nouveau légèrement nina sans jamais atteindre l'indice - 1 (et depuis nous sommes en léger Nino). IL y'a forcément un lien avec la période chaude que l'on connait  aux latitudes moyennes depuis 2015 avec cet évènement sans pouvoir le prouver mais c'est étonnant que des saisons aussi chaudes apparaissent à partir de cette date de 2015 et ce grand Nino.

 

Voici la table de l'Enso à consulter

 

https://origin.cpc.ncep.noaa.gov/products/analysis_monitoring/ensostuff/ONI_v5.php

 

Et la corrélation quasi parfaite entre température terrestre et phénomène Enso

 

 

Capture.JPG

Modifié par Antonio
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Le ‎31‎/‎08‎/‎2019 à 13:44, TreizeVents a dit :

on a des anomalies froides particulièrement marquées en surface océanique côté Indonésie (effet de l'oscillation IOD) .

 

Je confirme, il ne faisait pas spécialement chaud à Java et Bali cet été, avec du vent (alizé sensible). 26 à 28°C dans la journée.

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  • 2 weeks later...
Posté(e)
Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement

Source : France info

Le réchauffement climatique s'annonce plus prononcé que prévu, quels que soient les efforts faits pour le contrer, ont averti mardi 17 septembre des scientifiques français. Leurs recherches serviront de base au GIEC pour ses futurs estimations. Une centaine de chercheurs et d'ingénieurs, notamment du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), du Commissariat à l'énergie atomique (CEA) et de Météo-France, ont participé à ces travaux qui alimenteront le rapport d'évaluation du groupe des experts de l'ONU sur le climat, prévu pour 2021-2022.

"Dans le pire des scénarios considérés, la hausse de température moyenne globale atteint 6,5 à 7°C en 2100"

Deux modèles climatiques différents ont été produits, puis soumis à plusieurs scénarios socio-économiques. "Dans le pire des scénarios considérés, la hausse de température moyenne globale atteint 6,5 à 7°C en 2100", estiment les scientifiques. Ce scénario est prévu dans le cas d'une croissance économique rapide, alimentée par des énergies fossiles. Dans le dernier rapport du GIEC sur la question, en 2014 - qui a servi de base aux Accords de Paris - le pire scénario prévoyait +4,8°C par rapport à la période pré-industrielle.

Le scénario le plus optimiste, "marqué par une forte coopération internationale et donnant priorité au développement durable" permet de rester "tout juste" sous l'objectif des 2°C de réchauffement. Cet objectif"implique une diminution immédiate des émissions de CO2 jusqu'à atteindre la neutralité carbone à l'échelle de la planète vers 2060, ainsi qu'une captation de CO2 atmosphérique de l'ordre de 10 à 15 milliards de tonnes par an en 2100" : impossible technologiquement pour l'instant. "La température moyenne de la planète à la fin du siècle dépend donc fortement des politiques climatiques qui seront mises en oeuvre dès maintenant et tout au long du XXIe siècle", insistent les experts.

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Je suis content que les avertissements sur le changement climatique soient de plus en plus réguliers dans les médias en France, mais avec nos 67 millions d'habitants et 350 000 tonnes de CO2 je crains que nous ne fassions pas le poids face au géant chinois : ses 1,4 milliard d'habitants, ses plus de 10 GT de CO2 émis en 2018 sur les 35 à 37 GT de toute la Terre, avec une forte accélération ces 10 dernières années, en grande partie à cause de ses centrales au charbon. Personne ne leur reproche leur énorme production de CO2  ! Tout le monde a peur de cette gigantesque dictature.  Les américains avec leur 5 GT de CO2 émis en 2018 sont largement dépassés, ils ont tout de même une émission de CO2/habitant qui reste au dessus d'un chinois ou d'un français, le double à cause d'un mode de vie exaspérant et une économie basée sur un mode de vie sans limite et les énergies fossiles. J'espère que les USA modifieront peur politique environnementale après les élections, avec Trump c'est pas possible, en tout cas leurs émissions de CO2 stagnent depuis plusieurs années.

L'Inde est aussi inquiétante : 1,35 milliard d'habitant et une émission de CO2 qui grimpe à 2 GT avec une forte envie d'imiter son grand voisin et ne veut pas entendre parler de limitation. La Russie s'en fout complètement et ne veut absolument pas entendre parler de diminution, comme le Brésil et l'Indonésie avec la déforestation.

En Europe les mauvais élèves sont l'Allemagne (2 fois plus que la France) et la Pologne avec leurs centrales à charbon, pourquoi les laisse-t-on faire ? L'Allemagne a délaissé sa production électrique par l'énergie nucléaire au profit de l'éolien et du solaire mais surtout et encore grâce au charbon, qu'elle en assume les conséquences. Nous sommes parmi les meilleurs des pays développés grâce à notre choix de l'énergie nucléaire, il y en a qui refusent cette énergie, mais pour pouvoir faire notre transition énergétique elle me parait incontournable, comment maintenir une économie suffisante pour faire vivre 67 millions de Français en respectant complètement l'environnement  ? Très dur d'y répondre.

Je suis stupéfait d'entendre par les médias et certaines personnalités politiques que l'on va assurer en France l'avenir de la Terre en ayant un comportement de plus en plus vert, il faut le faire bien sûr mais je pense plutôt que l'avenir de la Terre se jouera à Pékin et à Washington (plus de 40% des émissions de CO2). Si ces 2 pays ne jouent pas le jeu on n'y arrivera pas, s'ils décident enfin de ne pas mentir et d'être loyaux on pourrait ensuite avoir une chance d'entraîner les autres. Si on pouvait déjà arrêter les centrales au charbon dans le plus bref délai et diminuer notre consommation de pétrole toutes les années le gain substantiel en CO2 serait enfin possible et commencer à diminuer la population mondiale, ne plus penser à donner un smartphone  à chacun .... 

 

https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/centrales-a-charbon-la-chine-donne-le-mauvais-exemple-1004442

 

Modifié par Mastrale07/69
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Posté(e)
Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement

Quelque chose me dit que l'emballement du réchauffement pourrait démarrer dès lors que la banquise estivale aura disparu.

Je ne peux pas dire et expliquer pourquoi je pense çà, n'ayant lu aucune publication la dessus.

Mais pourtant çà me semble logique. Si quelqu'un a quelque chose à ce sujet, çà m'interesse fortement

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Tout de même étonnants ces résultats.

A quelques années de distance on passe, pour le modèle du CNRM, d'une sensibilité climatique de 3,3°C à 4,9°C.

Soit 50% de plus!

Pour l'IPSL c'est moins pire puisqu'on passe de 4,2 à 4,8°C soit 14% de plus.

Les chercheurs ne connaissent pas avec précision d'où vient cette augmentation.

Les pistes seraient à rechercher du côté de la rétroaction vapeur d'eau.

Cela fait plusieurs signaux qui vont tous dans le même sens même si les causes ne sont peut-être pas toujours identiques.

On attend avec impatience les résultats des autres labos (il y en a une vingtaine au total).

Modifié par meteor
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Les modèles de cmip6 sont plus "complets", cad qu'ils prennent plus de processus en compte. Ça fait aussi davantage de complexité et plus de degrés de liberté.  Il faudra bien que ces différences fassent l'objet d'études spécifiques. On ne peut pas se contenter de dire que les sensibilités sont différentes. Il faut savoir pourquoi. Ça va sans doute prendre du temps .

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Posté(e)
Brandérion, Auray et Kernascléden (56)

Etat des lieux que je viens de réaliser concernant les anomalies thermiques sur 3 stations bretonnes, les données sont issues d'Infoclimat et porte sur les températures moyennes (tmm) :

 -> Brest-Guipavas, situé à l'extrême NO de la Bretagne : période de 1973 à 2019.

 -> Lorient-Lann-Bihoue, situé au sud de la Bretagne : période de 1975 à 2019.

 -> Rennes Saint-Jacques, situé à l'est de la Bretagne (station référence du centre Bretagne) : période de 1925 à 2019.

 

Deux graphiques pour chaque ville, l'un pour la comparaison avec la moyenne 1961-1990 et le second avec notre moyenne actuelle (1981-2010).

Inutile d'analyser, les graphiques parlent d'eux-mêmes...

 

Pour Brest-Guipavas :

 

image.png.c84b01a27dc7da3e74a7d0d128f3091a.pngimage.png.c680ddaa26d5febc4a42aea7b3514e00.png

 

Pour Lorient-Lann-Bihoue :

 

image.png.f9f2aa80b5e151d51b1a8e7d6fa09641.pngimage.png.06d1bc31124a7df67acc146a7089ada6.png

 

Pour Rennes-Saint-Jacques :

 

image.png.af0c7b580f04a0ce0257de888b0a78ea.pngimage.png.7c4bf104f94aec212219b2cd212583af.png

Modifié par Romain56
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Sensibilité climatique en hausse . Serait-ce la consequence de  l' integration dans les modèles des nouveaux parametres concernant la retroaction sur l' évolution du type de nuage et de la nébulosité ? Moins de nuages bas par exemple .Car la rétroaction nuageuse est souvent considéré comme la moins connus et une des plus influente .

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Posté(e)
Brandérion, Auray et Kernascléden (56)

Pour faire suite à mon post précédent, j'ai réalisé le même exercice sur deux autres stations du territoire, avec une échelle de temps plus longues, portant toujours sur l'anomalie des températures moyennes sur une année (tmm).

 -> Paris-Montsouris : période de 1900 à 2019.

 -> Châteauroux - Déols : période 1901 à 2019.

Toujours deux graphiques pour chaque ville, l'un pour la comparaison avec la moyenne 1961-1990 et le second avec notre moyenne actuelle (1981-2010).

Même observation que les précédents : nette augmentation des températures moyennes après les années 80.

 

Pour Paris-Montsouris :

 

image.png.f8b7da9cdb945e698567ad79bb44cd37.pngimage.png.0e917ba32c878e8d1165446fa08a3508.png

 

Pour Châteauroux - Déols :

 

image.png.d3c142c4825eefca11c56122aa0811f6.pngimage.png.61b09535e02472ff77c1be6b520aed3d.png

 

Modifié par Romain56
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Il y a 7 heures, CP3 a dit :

Sensibilité climatique en hausse . Serait-ce la consequence de  l' integration dans les modèles des nouveaux parametres concernant la retroaction sur l' évolution du type de nuage et de la nébulosité ? Moins de nuages bas par exemple .Car la rétroaction nuageuse est souvent considéré comme la moins connus et une des plus influente .

Peut-être mais si les modélisateurs eux-mêmes ne sont pas sûrs, il vaut mieux attendre un peu.

D'ailleurs à ce sujet, je trouve leur com un peu trop rapide, comme s'ils voulaient être les premiers à sortir leurs modèles...

Je suis un peu d'accord avec sirius, et j'irai plus loin, quand on n'a pas analysé le pourquoi du comment, on évite de balancer des résultats dans le grand public.

Avec leurs pairs c'est autre chose.

D'autre part je suis surpris que des modèles de 2012 aient pu être aussi médiocres, car 50% d'erreur ce n'est pas rien.

Cela introduit une incertitude supplémentaire car qui nous dit que les modèles de 2025, par exemple, ne nous donneront pas une sensibilité plus forte encore.

Ce qui serait intéressant c'est de savoir si les nouveaux modèles commencent à voir quelque chose du côté des stratocumulus tropicaux (réaction directe aux GES), mais bon, avec leur com pour grand public, pas moyen d'avoir ce genre d'info.

Modifié par meteor
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Voir le dossier sur les nouveaux modèles français ici.

Il y a quelques éléments intéressants qui concernent, par exemple, une meilleure représentation des phénomènes climatiques à petite échelle, une meilleure simulation de l'évolution de la température historique, etc.

Il y a aussi l' information que d'autres modèles, étrangers, fournissent les mêmes évolutions.

Tout cela est bien entendu, d'un point de vue plus trivial, extrêmement inquiétant.

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Pour y voir plus clair, il faut comparer les modèles entre eux et identifier ce qui différencie ceux dont la sensibilité à augmenté..si c'est possible évidemment mais c'est pratiquement la première chose à faire. La conséquence, c'est que ça prend du temps et qu'un groupe isolé est sans doute un peu démuni

Modifié par sirius
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