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Autre sujet que je n'ai pas vu abordé, celui de l'état de la mer Rouge à la transition glaciaire-interglaciaire.Pëndant l'époque glaciaire, était-elle ouverte ? ouverte des deux côtés ? ouverte d'un seul côté ? Son niveau pendant l'Éemien est-il représentatif du niveau moyen des mers ou l'élévation résulte-t-elle d'un déversement d'eaux dans ce qui n'était peut-être qu'un lac ? La profondeur actuelle du canal occidental de Bab el mandeb de 310 mètres (130 mètres ou 100 mètres selon certaines sources) résulterait-elle d'une abrasion au début de l'interglaciaire ? Il y a en plus une dorsale volcanique et une activité sismique. Cela fait beaucoup de questions.
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Je viens de faire un tour chez Cryosphère.Chez eux l'hiver est JFM, puis AMJ, JAS, OND. Il me vient une inquiétude. Dans les comparaisons qui sont publiées, pourrait-il y avoir cette différence de calage ?
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Les articles de journaux et les interventions radio et télévisions actuelles sont basées sur une lettre à Nature geoscience de E. J. Rohling et al. 16/12/2007.Voici les prémisses de leur démonstration telle que je l'ai comprise : 1) Durant le dernier interglaciaire (Éemien nommé par eux MIS5e pour Marine isotope stage 5) la moyenne des températures du globe était de 2° supérieure à celle d'aujourd'hui. 2) Le niveau (moyen aussi) des mers était 4 à 6 mètres plus élevé qu'aujourd'hui. 3) De l'étude de foraminifères de la mer Rouge ils concluent que l'élévation moyenne était alors de 1,6 m par siècle en ces temps là. C'est leur apport original à la chose. 4) Le Giec projette-prévoit-prédit le même changement de température pour les 100 ans à venir. Les auteurs concluent donc : Le niveau des mers à attendre dans 50 à 100 ans sera de 1,6 mètres plus haut.
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Voici à fins d'illustration, les extraits les plus significatifs de la prédiction de juin selon Reuters. à lire ici dans sa totalité. qui vient d'être citée deux fois. Cette dépèche est pour moi emblématique du journalisme qui se veut équilibré tout en ne citant qu'une source, la plus affolante bien sûr.
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Et puisqu'il a servi d'emblème, à tort comme cela est maintenant prouvé, que doit-on dire des slogans comme : le consensus des 2 000 scientifiques (qui n'avaient pas vu l'rreur) ; le débat est clôt (heureusement non) ; nos conclusions sont de plus en plus robustes (incantatoire), etc. sont-ce des calembredaines ?
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Pour la crosse de hockey, il s'agit d'une très mauvaise application de règles statistiques et non d'un artifice de présentation.Pour ce qui est de «moyenne», je continue à plaider vivement pour qu'il soit écrit «moyenne (arithmétique) des températures» et non température moyenne qui est ambigu et n'a pas de signification physique.
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À ce compte tout doit être redouté. Quand le climat se refroidira, nous ne serons pas à l'abri de vagues de chaleur.J'ai encore en tête les perspectives épouvantables de l'âge glaciaire qui nous était prédit dans les années 1970. Alors si le réchauffement est catastrophique et si le refroidissement est catastrophique, cela voudrait dire que nous sommes dans une période idéale. Qui va soutenir cela ? Quel hasard miraculeux ferait que le climat moyen du XXe siècle était le meilleur ? Ne serait-ce pas plutôt une frilosité exacerbée devant tout changement ? Heureusement que je veille à ne pas vivre en état de peur permanente.
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Consternant !Ce qualificatif est pour le papier, pas pour lolo44.
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D'après ce que je vois ci-dessous, la situation est celle de 2006 à 1 ou 2% près.
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Je ne sais pas comment MF portera sa veste mais la Niña est bien là et le soleil reste asthénique.
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Une bonne recension des hivers est celle du Mémorial de la météorologie de Garnier (1967) lisible ici.
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Annulé. C'était la reconnaissance du doublon.
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Annulé, doublon dû à une manipulation fautive de ma part.
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Bon, comme d'hab. meteor va me chercher des poux dans la tête mais je réponds tout de même. meteor écrit : Quand certains font certaines études, bon, en 2 coups de cuillère à pot, les "études" en question sont démolies. Si l'étude est sérieusement faite et ne contient pas d'aberrations manifestes, il faut plus que quelques coups de cuillère à pot. La crosse de hockey a vécu longtemps en verra ci-dessous que l'"affaire de Salvbard n'est pas simple. il faut trouver une ou des personnes ayant le temps de reprendre l'étude point par point, éventuellement équation par équation, chiffre par chiffre etc. Je ne pense pas que ce soit toujours indispensable et pertinent car la critique peut être faite : sur le fond, la méthode mise en œuvre; sur la technique mathématique, statistique, etc. sur les données; sur l'interprétation des résultats. Ici, le "reviewed" pouvait porter sur chacun des points puisque contrairement à d'autres les auteurs ont fourni données et programme de calcul.Sur la ou les critiques, je pense pour ma part qu'une bonne culture scientifique permet au moins un premier tri entre celles qui portent sur un point de fond et celles qui portent sur des détails. Déjà le ton général de l'étude ou de la critique ou l'accroche dit pas mal de choses sur l'état d'esprit. Par exemple, le début du papier de rasmus fait état de la coïncidence de la publication avec la conférence de Bali et le Nobel. Pour qui connaît les incertitudes sur les durées de lecture et les dates de livraison imposées par les éditeurs, si les auteurs ont visé cette date c'est qu'ils sont plus que très forts. Leur boule de dristal est de première qualité. Sur le contenu de la critique, je vais essayer d'illustrer sa difficulté et son caractère incertain sur un exemple. rasmus écrit : Not surprisingly, their analysis produces some strange results as a result of this shortcoming. They find that the greatest differences between measured and adjusted trends at Svalbard and other places in the Arctic and Antarctic. Regardons Svalbard qui est un archipel. Il est illustré dans RC par une image de Longyearbyen, tirée de Google earth. De la neige, de la la neige... Comme la corrélation cherchée par les auteurs dépend de l'emplacement précis de la station et de l'évolution de son environnement proche, regardons cela. La ville (ou village) de Longyearbyen a été fondée en 1906. Elle n'est plus une ville minière. Aujourd'hui il y a une université polaire.. On est loin d'une terre désolée et inhabitée. À cela on objectera qu'en creusant plus avant, on trouve que la station météo est très loin de la ville, à Rijpfjord, à plus de 200 km de l'endroit présenté par rasmus dans RC Cette station météo est idéalement installée, regardez ces images d'un site parfait. Pas de chance pour rasmus mais aussi pas de chance pour M&M car il n'y a pas de biais d'(ocupation humaine. Creusons encore un peu et tout retombe dans l'inconnu. D'après le site de l'université, la station est plus que récente «Historical met-data from Rijpfjorden (start january 2007)» Alors où était-elle avant ? Ma conclusion est que dans l'exemple cité, la critique de rasmus portait sur des résultats de détail contestables à première vue, mais extérieurs à la méthodologie de M&M. meteor a raison de dire que ce n'est pas simple. Cette critique locale était présentée hélas comme quasiment décisive au vu d'une photo, argument exogène à la méthodologie des auteurs. Fin de traitement de l'exemple meteor poursuit : Dans cette étude, selon moi, on peut éprouver une véritable satisfaction, celle d'apprendre quelque chose de vraiment solide. Je suis parfaitement d'accord ! Mais pourquoi diable engueuler les petits jeunes ?
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Exhumation d'un fil commencé fin 2006 dans lequel on avait lu tout et son contraire.Complément actuel tiré de Pour la science décembre 2007. Georg Kaser, Philip Mote. Le recul des glaciers du Kilimandjaro n’est pas imputable au réchauffement global de la Terre. Des chutes de neige moins fréquentes et moins abondantes en sont responsables. Extrait selon Pour la science : La fonte des glaciers est devenue une image emblématique du réchauffement global de notre planète. La hausse des températures peut modifier la végétation qui nous entoure, mais il est très difficile de percevoir ces changements sur les paysages. En revanche, un grand glacier qui se réduit comme peau de chagrin marque davantage les esprits et fait prendre conscience de l’influence du climat sur le monde. Pourtant, l’affirmation selon laquelle les glaciers disparaissent à cause du réchauffement global occulte dans certains cas les véritables processus qui en sont responsables. Ainsi, le réchauffement explique fort mal le retrait des glaciers du massif africain du Kilimandjaro, à trois degrés au Sud de l’équateur, et celui d’autres glaciers tropicaux. Vingt années de recherches sur le terrain par l’un d’entre nous (G. Kaser) font apparaître un scénario plus nuancé et donc plus intéressant. Le Kilimandjaro, trio de cônes volcaniques qui dépasse 5 700 mètres d’altitude, semble avoir gagné et perdu de la glace par des processus dont les liens avec les tendances récentes du climat global sont indirects, voire inexistants.
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C'était la même absence de prévision assortie du "privilégier" de rigueur pour l'été dernier.On avance à grands pas.
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Association internationale des sciences hydrologiques, site hébergé par l'École des mines de Paris.
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Je comprends parfois difficilement ce que je lis.Il n'y a pas de quoi faire un post d'un déversement de bile.
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Une référence susceptible de vous intéresser est disponible ici.Elle rapporte succinctement des observations sur l'embâcle d'un lac et de cours d'eau.
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Cela décrédibilise au moins ou au plus le Groupe Lavoisier.Quant au scepticisme, ce n'est ni un archétype ni une hypostase ni quoi que ce soit de concret ou d'organisé, c'est une « attitude, disposition d'esprit d'une personne portée à l'incrédulité ou à la défiance envers les opinions reçues. » Ranger une disposition d'esprit en science pseudo ou pas est abusif et ceci est une litote.
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Douze pages seulement mais ardu et à contre sens des idées reçues Il va me falloir du temps !
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Je pensais en 2006 que le lancement de Calipso allait apporter cela, au moins en partie.Malgré un lot de publications déjà faites, je n'ai pas perçu de progrès manifestes dans la connaissance de la nébulosité. Je dois être inattentif.
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Qu'il soit fort ou faible, en 2011-2012 on aura les premiers résultats de l'expérimentation Cloud bien que sur ce sujet il y ait des sceptiques qui se sont déjà exprimés ici. Ces données nouvelles et les observations satellitaires lèveront j'espère, certaines interrogations actuelles.
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Oui, je viens de faire la correction, confus d'avoir écrit trop rapidement.
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Pour une comparaison aux tropiques entre TLT mesurées et prédictions des modèles :Un article de Douglass et alii dans IJC, publié le 5 décembre 2007 dans International journal of climatology. Un communiqué de presse sur cette publication. Selon les auteurs David Douglass “The observed pattern of warming, comparing surface and atmospheric temperature trends, does not show the characteristic fingerprint associated with greenhouse warming. John Christy “Satellite data and independent balloon data agree that atmospheric warming trends do not exceed those of the surface. Greenhouse models, on the other hand, demand that atmospheric trend values be 2-3 times greater. We have good reason, therefore, to believe that current climate models greatly overestimate the effects of greenhouse gases. Fred Singer “Our research demonstrates that the ongoing rise of atmospheric CO2 has only a minor influence on climate change. We must conclude, therefore, that attempts to control CO2 emissions are ineffective and pointless. – but very costly.”