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lame2

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Tout ce qui a été posté par lame2

  1. L'enjeu est de savoir si l'ondulation prévue s'élever à l'horizon de jeudi à partir du continent Américain et se déplacer vers l'ouest va finir par s'affaisser sur la France en fin de semaine ou si elle va se propager suffisamment aux hautes latitudes vers le Groenland ou l'Islande pour consolider le blocage naissant voire renouveler l'ondulation sans générer de véritable blocage. Pour le moment, sur les ensembles le scénario majoritaire est à l'affaissement plus ou moins lent de cette ondulation en toute fin de semaine ou début de l'autre. On se rend compte que nos déterministes se promènent encore sur les différents scénarios du panel: allant de l'affaissement de la dorsale (GFS), à une ondulation marquée renouvelée (CEP-GEM- GFS)voire à un blocage (UKMO). Certains scénarios type CEP, sont très hivernaux sur la fin de semaine et début de semaine suivant avec mise en place d'un flux continental très froid (scénarios à VDF), d'autres sont rapidement plus doux en flux d'ouest après un bref passage en flux de Nord (GFS). En tous cas la situation ne me semble pas encore calée dans la mesure où des acteurs clefs de notre configuration synoptique sont encore appréhendés différemment. Le jet Atlantique lors du parcours de notre ondulation de jeudi varie dans sa trajectoire et son intensité selon les modèles. L'isolement Groenlandais se décalant vers Baffin ne part pas vers l'ouest dans le même timing en fonction des modèles. Du coup Le VP entre Groenland et Scandinavie descenadant éventuellement vers l'Islande n'a pas du tout la même intensité en fonction des modèles. Le tourbillon anticyclonique présent en aval de l'anomalies Açorienne est modélisé se comporter différemment en fonction des modèles également. C'est une éléments essentiel, car dans les situations de blocage ou d'ondulation répétée, il finit par rejoindre majoritairement les hautes latitudes (UKMO-CEP). Sur GFS, il ne rejoindrait que partiellement les hautes latitudes (encombrées par le VP et un jet virant plus à l'ouest) et finirait par être advecté vers la France.
  2. Peu de scénarios suivent GFS déterministe dans sa propension à faire interagir autant le talweg Arctique avec l'anomalie Açorienne et avec le talweg Américain. C'est quasiment LE scénario qui envisage le plus ces interactions. Ces interactions ont à chaque fois pour conséquence de repositionner le jet majoritairement à l'ouest sur l'océan ce qui contrarie l'ascension de la poussée méridienne située à 96 h à la sortie de Terre-Neuve. Et sur GFS DET celle-ci est rapidement rabattue par un jet qui ne bifurque jamais franchement vers les hautes latitudes par la suite. Sur les scénarios qui envisagent moins d'interactions, la poussée de 96 heures est davantage propulsée vers les hautes latitudes par un jet (à la sortie de Terre-Neuve) qui se détourne plus longtemps vers le nord: dans ce cas le talweg Arctique finit par descendre plus franchement sur la France. En tous cas, quand on regarde les méandre du jet sur l'Atlantique d'Est en ouest sur la 1ère partie d'échéance, on comprend la difficulté des modèles à appréhender la situation.
  3. Ici Run, à condition de te créer un compte dans la rubrique my weather.
  4. Quand je parlais de méridien (j'aurais dû être plus précis), je visais la sortie du continent Américain, là où de façon récurrente, le jet a(vait?) depuis de nombreux mois tendance à plonger vers le sud.
  5. D'accord Sky, mais tout le monde a vu cela hier soir, il n'y pas que Cédric et toi qui avez vu qu'il pourrait faire froid dans le NE. Les lamentations d'hier soir venaient plutôt du fait que les modèles nous ont fait toucher du doigt à plusieurs reprises de nombreux scénarios très hivernaux, beaucoup plus que ceux d'hier soir. Sinon, ce matin nous avons une forte différence entre GFS et le CEP qui montrent que l'appréhension de la poussée méridienne modélisée s'élever de Terre-Neuve à partir de 96 heures (ici à 120 heures) n'est pas encore bien appréhendée (surtout la partie de celle-ci s'élevant ou pas vers l'Islande). Le panel GEFS encore très partagé entre le 16 et 17 janvier montre aussi cette incertitude quant au devenir de cette dorsale (dorsale à l'ouest immédiat du pays? se déployant jusqu'où vers le nord? Evolution en AF?). Le contexte méridien semble quand même pouvoir se maintenir sur notre cadran de l'hémisphère.
  6. Je trouve quand même incroyable (du jamais vu pour moi), ce qu'il se passe de façon répétée au pôle concernant le vortex troposphérique. J'en parlais en début de semaine mais je ne pensais pas que l'intensité serait celle-là (hélas). Nous avons eu une 1ère poussée méridienne très importante la semaine passée= elle est partie de l'Europe occidentale pour frôler le pôle et descendre vers la Sibérie. Nous nous étions étonné de cette trajectoire et de l'incapacité du VP à retenir cette poussée de notre côté du cadran hémisphérique. Nous avons une 2ème poussée très puissante à partir de l'Est du continent Américain actuellement, elle devrait, elle, passer le pôle et aller échouer également en Sibérie. Et nous avons finalement notre 3ème poussée qui s'élèvera bientôt de l'Ouest Atlantique, passera par Baffin, frôlerait le pôle et redescendrait vers l'Ouest du continent Américain par les Grandes Plaines Canadiennes! Cette répétition, son caractère presqu'improbable doit participer, sans doute, à la difficulté qu'ont les modèles à appréhender la situation. En tous cas il est étonnant, peut-être un peu inquiétant de voir le VP se faire laminer en gruyère de la sorte. Concernant notre situation, nous avons finalement l'impression d'être face à une sorte de loterie (après j+7) dans laquelle une multitude de scénarios sont finalement encore possibles: tout est éclaté façon puzzle avec tous ces mouvements intenses et les mouvements méridiens resteraient présents ensuite. Malgré tout le potentiel hivernal a clairement reculé depuis que le blocage éventuel ne reste plus ancré sur le Groenland.
  7. Oui mais les scénarios envisageant la mise en place d'un blocage Nord Atlantique sont devenus minoritaires et les déterministes ont maintenant changé de camp. Reste à attendre le CEP, s'il confirme l'effondrement rapide, l'espoir se dissipera vite sans doute.
  8. Je n'ai pas dit qu'elle n'avait pas d'importance. Si tu regardes bien mes posts, j'en parle depuis le 05/01! Je voulais simplement dire que le rôle précurseur est joué par les différentes poussées méridiennes qui ont des conséquences directes sur la trajectoire des anomalies basses situées sur le flanc oriental de ces poussées. Bien sûr que cette anomalie joue un rôle majeur par la suite, elle intéragit le plus souvent avec le talweg. Mais cette interaction serait moins possible si la pulsion initiale était davantage dirigée vers Le Groenland et plus ancrée sur l'inlandsis (comme sur les scénarios ou le blocage prend). Par ailleurs cette anomalie soulève énormément de tourbillon subtripical en aval si elle part en cyclogenèse importante. D'ailleurs sur certains scénarios ce tourbillon suptropical alimente la cheminée du blocage naissant ou le plus souvent vient vers nous en flux de SO. En tous cas, c'est une situation extrêmement complexe qui nous est proposée et qui se joue en plusieurs phases à plusieurs niveaux. On remarque que lorsque la phase initiale foire (poussée méridienne avec trajectoire trop inclinée vers Baffin), le reste devient très aventureux pour la mise en place d'un blocage.
  9. Je ne suis pas sûr que l'acteur le plus important soit l'anomalie des Açores. Je pense que tout se passe avant tout au niveau de nos poussées méridiennes. De ce point de vue, on remarque quand même que les éléments ne sont pas encore complètement fixés. Notamment, sur le 6z GFS, on est tout près d'une realimentation du blocage naissant. L'orientation du jet à la sortie de Terre-Neuve a partir de 120h est déterminante. Sur le 6z, il a suffit que le jet pointe brièvement vers le Sud du Groenland pour que l'alimentation reprenne. Dès que le jet a viré plus franchement vers Baffin, tout à commencé à basculer: le blocage naissant vers l'ouest, les anomalies basses en aval de la dorsales ont interagi également vers l'ouest. Tout cela reste quand même bien serré et surtout ça bouge encore. Alors tant qu'il y a de la vie...
  10. Le problème vient avant tout de la puissance de la poussée méridienne initiale revue à l a baisse sur les modèles et avec une trajectoire un peu plus ouest vers le Groenland. Du coup, les anomalies basses qui plongent sur la face orientale de la poussée ont tendance à circuler plus à l'ouest et à interagir avec le talweg Américain et avec les anomalies Açoriennes. Par ailleurs, l'isolement Groenlandais aurait tendance à s'évacuer vers le pôle. Ce n'est pas sans rappeler ce qui s'est passé la semaine passée avec notre poussée méridienne Européenne qui s'est évacuée par la Sibérie. Le VP aux hautes latitudes semble incapable de retenir les poussées méridiennes... Il n'y a qu'UKMO qui continue à voir une poussée plus Est dans sa trajectoire et plus massive et continue. Sur ce modèles les interactions fonctionnent moins en aval.
  11. C'est effectivement la réserve principale que l'on peut émettre concernant la situation car ce type de scénario reste présent sur GEFS notamment avec une fréquence qui reste minoritaire depuis hier soir mais qui ne faiblit pas au fil des réactualisations pour le moment. Il faut donc la prendre au sérieux. En regardant l'ENSCEP (scénario médian), on se rend compte aussi de cette incertitude notamment au regard de l'écart-type à 850 hpa. Il monte en flèche sur la France à partir de 192 heures au moment où l'interaction entre le talweg et les anomalies basses Atlantiques provoque un flux de SO sur le pays sur un certain nombre de scénarios. Ce qui est troublant, c'est que cet ET baisse par la suite par l'ouest à TLT tandis que la moyenne à 850 hpa se stabiliserait à -5°C sur la moitié nord (et les scénarios au-dessus de la moyenne baissent). J'ai tendance à en conclure que sur un certains nombre de scénarios ENSCEP, il pourrait y avoir un flux de SO temporaire lié à l'interaction et que la dorsale restant majoritairement présente, elle permettrait de rétablir le flux à composante nordique ensuite (scénario présent aussi parfois sur le panel GEFS).
  12. Le juge de paix CEP vient de nous sortir lui aussi un scénario avec blocage Atlantique, ça commence à devenir une tendance lourde après les 3 dernières sorties de GFS.
  13. Elles peuvent effectivement jouer un rôle de trouble fête, mais pas concernant l'élévation de la dorsale (il n'y a quasiment pas de scénarios en ce sens). Par contre, si elles circulent trop vers l'Est (en direction de l'Europe occidentale), elles peuvent interagir avec le talweg situé en aval de la dorsale et détourner le flux au SO en notre direction. C'est un vrai risque, minoritaire pour autant sur le panel GEFS depuis le 12z d'hier soir.
  14. Intéressant de constater que GFS, avec des modalités différentes, confirme son scénario de blocage Atlantique sur 3 runs consécutifs. Ca commence à donner une certaine solidité à ce scénario même si ça passe parfois tout juste concernant les anomalies basses sud Atlantique et au niveau du Labrador là-haut. Concernant UKMO, il est très proche du contrôle GEFS de ce midi, quand on voit ce qu'il envoie par la suite, ça fait rêver. En attendant l'arbitre CEP.
  15. Oui Oliv, au fil des réactualisations ensemblistes, on voit effectivement se maintenir voire se renforcer ces scénarios qui font jouer un rôle prépondérant aux anomalies basses Atlantiques sous le blocage. On va garder un œil attentif sur ce points lors des prochaines sorties, car on sait à quel point ces anomalies basses Atlantiques nous ont joué des tours ces derniers mois. En tous cas le potentiel hivernal proposé par les modèles est sans conteste le plus important depuis le début de l'hiver.
  16. Oui clairement en forme le JMA :
  17. Belle évolution des modèles en effet ce matin pour les hivernophiles. GFS nous propose une solide dorsale Atlantique évoluant en quasiment en blocage. Ce qui est nouveau (encore fragile et donc à confirmer), c'est qu'il est maintenant suivi majoritairement par son ensemble sur le scénario du blocage ou quasi blocage: il y a clairement un tube correspondant sur le panel GEFS. Maintenant, il reste quand même encore pas mal de "bruit" sur le panel avec des scénarios dissonnants encore variés: - blocage ou tentative de blocage avec circulation d'anomalies basses au sud et flux de SO associé - ondulations plus ou moins forte s'affaissant plus ou moins vite Mais ils sont devenus minoritaires. Reste le CEP qui propose un scénario hivernal mais sans blocage, avec une forte ondulation mais qui ne s'amplifie pas vers les hautes latitudes. La principale différence entre l'Européen et l'Américain tient d'ailleurs à leur gestion différente du jet à la sortie de Terre-Neuve. Sur GFS, le jet biffurque longuement à partir de 168 h vers Baffin pour permettre à l'ondulation de s'amplifier: Sur le CEP, le jet reste orienté à l'ouest vers le Groenland, l'ondulation ne peut pas se déployer davantage: Il semble bien (avec malgré tout les réserves proposées par les quelques dissonnants de GEFS) que l'enjeu soit de savoir si nous serons soumis un épisode hivernal classique ou à un épisode hivernal marqué
  18. Etonnant talweg Américain quand même, qui n'arriverait à balancer que quelques paquets d'anomalies basses sur l'Atlantique une bonne partie de la semaine prochaine. Dans ce contexte, il n'est pas étonnant de voir se déployer sur nos modèles de belles dorsales Atlantiques qui cherchent à grimper vers le Groenland. Sur les dernières sorties, ensembliste GEFS compris, la tendance est à la forte ondulation peinant à s'affaisser mais n'évoluant cependant pas en blocage, faute à un jet d'ouest lâchant tout de même quelques anomalies basses américaines entre Groenland et Islande empêchant l'amplification. Pour autant la messe n'est pas encore dite (même s'il n'y a plus que 6 scénarios GEFS évoluant en blocage ce soir), la zone fatidique entre Labrador et Groenland est encore très incertaine entre moyen et long terme (voir les écarts-type). Par ailleurs, comme le souligne Sebb, il faut encore surveiller d'un œil nos petites anomalies basses Atlantiques sous la dorsale qui au fil des réactualisations ensemblistes continuent à jouer sur le panels quelques scénarios (de plus en plus rares) en flux de SO. Scénarios qui sont d'ailleurs parfois et presque paradoxalement ceux qui se rapprochent de blocages...preuve également que le passage d'un scénario à l'autre ne se joue pas à grand chose (scénario 2 du panel par exemple= hautement improbable à long et très long terme mais assez drôle [/img] )
  19. On a un peu l'impression parfois de lire des commentaires style matches de foot dans certains posts. Il est normal que les modèles divergent et passent d'un scénario à l'autre. Allez voir le panel GEFS et vous vous rendrez compte que les possibles restent évidemment très nombreux. Sans surprise,, ils pataugent énormément avec la zone du Labrador, sa cyclogenese et l'orientation du jet dans ce secteur. Sur l'ensemble Américain j'ai dénombré 6 scénarios avec ondulation suivie d'affaissement, 6 scénarios évoluant en blocage ou pseudo blocage nordiques, 4 scénarios avec renouvellement de la dorsale à l'ouest immédiat de la France. Les modalités de passage de l'un à l'autre des scénarios étant très minces. Pour les 4 scénarios restant, c'est soit flux de SO sous isolement, soit flux d'ouest après très faible ondulation. Quoiqu'il en soit et pour éviter les désillusions, il faut bien avoir en tête que ce type de configuration finit beaucoup plus souvent par un affaissement que par la mise en place d'un blocage. Rien de joué ni d'un côté ni de l'autre pour le moment en tous cas.
  20. Sur le dernier GFS, nous sommes souvent très proches de la mise en place d'un blocage Nord-Atlantique qui échoue finalement à cause d'une branche du jet qui se réoriente à l'ouest au dernier moment à plusieurs reprises entre Groenland et Islande. Sur GEM, le blocage finit par s'installer avec un jet davantage et plus longtemps orienté vers le Groenland (mais avec des anomalies basses sous isolement qui gênent la progression du talweg Atlantique vers le sud). La PE hésite encore ce matin entre ondulation plus ou moins forte, reprise du flux d'ouest plus ou moins rapide derrière, blocage qui est encore souvent présent, et circulation d'anomalies basses sous isolement et flux de SO associé remontant plus ou moins. D'un coté, Il va falloir surveiller la cyclogénèse à la sortie du continent américain et l'orientation du jet entre Groenland et Islande pour ce qui concerne l'amplification de l'ondulation. De l'autre coté, sous l'isolement il faudra être vigilent concernant la circulation des anomalies basses Atlantiques pourrait perturber plus ou moins longtemps la descente du talweg Atlantique vers nous en envoyant éventuellement du flux de SO. Situation passionnante à suivre en tous cas.
  21. 4 scénarios en ce sens à LT sur le panel GEFS, pas impossible, mais les risques de survenance semblent limités jusqu'en limite de prévisibilité. Je crois que ça fait très longtemps qu'il y a eu si peu de scénarios en ce sens. Ciel d'encre nous a annoncé la fin de notre satanée récurrence il y a déjà un petit moment, les modèles semblent lui donner raison.
  22. Je ne suis pas sûr que ce soit cette anomalie qui change réellement la donne. Je pense plutôt que c'est le comportement du talweg Américain qui joue le rôle essentiel (compare GFS 6Z et GFS 12z à 1,5 pvu, on se rend compte que la cyclo à la sortie du continent joue comme souvent un rôle fondamental). En tous cas, on gagne en visibilité lorsque les ondulations partent de l'ouest Atlantique car le plus souvent, on se retrouve, au moins temporairement avec un flux à composante nordique. L'enjeu pourrait être de savoir si cette ondulation évoluera ou pas en blocage. De ce point de vue, je trouve le CEP étonnant concernant le comportement qu'il modélise du talweg Américain qui est comme recroquevillé (peut-être en lien avec l'énorme circulation méridienne Pacifique) et concernant l'amplitude qu'il donne à la dorsale Atlantique par effet de levier. Curieux de voir le scénario médian effectivement même si c'est loin dans l'échéance
  23. Forte à très forte même sur le CEP qui est tout près à virer au blocage. D'autant que l'isolement de HG au pôle est modélisé être conséquent et que le talweg en aval de l'ondulation est lui-même bien marqué.
  24. Sur GEFS nous avons ce soir: 9 scénarios qui envisagent maintenant un blocage sur le panel (allant du GA, au blocage Islandais, jusqu'à l'AS) contre 4 ce matin, c'est une belle avancée. 8 scénarios qui envisagent une ondulation Atlantique plus ou moins forte. 4 scénarios AF ou flux de SO. Les déterministes penchent plutôt pour l'ondulation pour le moment (quoique CEP à lt) et sauf GEM qui envisage la mise en place d'un GA. En tous cas l'option tendant à la mise en place d'un flux nordique plus ou moins prononcé et plus ou moins temporaire devient maintenant solide.
  25. C'est vrai que le VP est très attaqué. On peut même dire que ça a commencé la semaine dernière avec notre grosse poussée méridienne Européenne qui a explosé le VP pour échouer en Sibérie! Ca se poursuit actuellement par de fortes pulsions Pacifiques qui vont s'amplifier et sans doute atteindre le pôle en début de semaine prochaine. Et ça semble effectivement continuer ensuite sur le cadran Atlantique en début de semaine prochaine avec une succession de pulsions à partir de l'Est du continent Américain. Difficile de savoir ce qu'il en ressortira. D'une certaine façon cette déstructuration me fait penser à décembre 2010 avec l'éclatement du VP troposphérique que nous avions connu; les poussées méridiennes étant pour autant positionnées différemment.
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