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lame2

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Tout ce qui a été posté par lame2

  1. Oui enfin on a aussi du flux de SO sur le panel GEFS avec pas mal de scénarios entre 5 et 10°C à 850 hpa. En tous cas on peut effectivement retenir avant tout la dispersion des scénarios à partir du 12-13 du fait d'une circulation modélisée plus ondulante et dans ces conditions tout dépendra du positionnement et de l'ampleur des ondulations. A noter 4 scénarios évoluant peu ou prou en blocage sur GEFS 0z avec un seul GA.
  2. Qui de la vilaine sorcière ou du gentil monsieur va emporter la bataille???? Malheureusement il n'y a pas beaucoup de doutes
  3. Le résultat n'a pas tardé à se faire sentir sur le bassin Arctique: http://www.lemonde.fr/climat/article/2015/12/31/douceur-anormale-sur-l-arctique-plus-de-0-degre-au-pole-nord_4839959_1652612.html
  4. Cruel Run 18z qui gonfle encore l'isolement de HTP aux hautes latitudes, qui nous fait exploser/expulser le VP du Groenland vers le Labrador(!?) grâce à une branche du jet inversée (!?) au sud de l'Inlandsis,, qui nous étire le talweg Atlantique comme jamais, qui nous ramène le cut-off continental aux portes de la France et qui nous fait finalement retomber au fond du gouffre de notre récurrence actuelle.... Consolons-nous en nous disant que ce n'est qu'un run.
  5. Attention quand même à ne pas déformer mes propos. De mon côté, j'ai simplement indiqué la présence d'une zone d'incertitude sur le proche Atlantique à partir de 144h. Tu n'as qu'à lire mon précédent post et notamment la 1ère ligne pour te rendre compte que je n'émets pas beaucoup de doutes. Ce qui m'a fait réagir c'est le caractère provocateur et limite de mauvaise foi de ton post alors qu'on a l'habitude de te voir plutôt objectif. Bref tout ça n'est pas bien grave.
  6. Attention quand même à ne pas faire dans la caricature. C'est légèrement casse g****e de prendre la carte d'un modèle à 216 heures d'anomalie à 850 hpa qui plus est, pour faire une analyse....
  7. Ce soir il y a quand même clairement une confirmation qu'on resterait sous flux majoritairement d'ouest sous blocage. CEP/GFS sont clairs en ce sens. GEM et Navgem sont plus hésitants voire intermédiaire pour le 2ème mais restent "océanisés." Seul UKMO (un peu trop court pour être complètement formel) et 2 scénarios GEFS penchent pour des scénarios nordiques ou continentaux. Ca fait finalement peu même s'il reste une vaste zone d'incertitude sur le proche Atlantique à 144 h s'élargissant ensuite.
  8. Oui GEM propose une rupture (très temporaire) du train d'anomalies basses Atlantique à 144h ce qui laisse le temps par la suite aux anomalies basses continentales de lécher le pays par l'Est de manière temporaire aussi. Tout cela est anecdotique mais ca montre que la moindre faiblesse du flux Atlantique laisse la place à l'avancée du bloc froid continental. GEM est effectivement plus proche d'UKMO que de GFS effectivement et on a le sentiment sur le modèle Anglais d'une rupture plus net du train d'anomalies basses au sud de l'Islande.
  9. Franchement cette situation m'intrigue. Je n'arrive pas à me résoudre pour considérer que la prévisibilité s'éclaircit. Les différences entre GFS et UKMO concernant le comportement des anomalies basses sous le pseudo blocage sont telles qu'on a vraiment le sentiment que les modèles pataugent (toujours ce problème d'appréhension par la modélisation du jet sous blocage et de la cyclogenèse Atlantique.) Je remarque aussi que GFS revoit à chaque fois un peu plus à la hausse l'alimentation en anomalies hautes des hautes latitudes (sans conséquences flagrantes pour le moment= simplement un train d'anomalies basses un peu moins organisé entre 144 et 200h environ puis avec un gros déferlement sur le centre Atlantique ensuite mais on est alors dans des échéances astronomiques vu la complexité de la situation). Pour autant, il est vrai qu'on reste en flux d'ouest sous "isolement de HTP".
  10. On remarque ce soir que nos déterministes maintiennent tous une bulle tiède aux environs de la Mer de Norvège (plus ou moins bas en latitude, plus ou moins importante). Ce phénomène a au moins pour conséquence (sur nos sorties de ce soir) de maintenir une zone barocline suffisamment sud pour que la ligne 552 recouvre majoritairement la France sur une bonne partie de l'échéance. On remarque que cet isolement de HTP aux hautes latitudes (après la surpuissante poussée initiale qui malheureusement crève le plafond) est renouvelé vers 96 h puis 120-130 heures. Ce sont des moments clefs où le jet Atlantique se sépare en 2 branches (voir cep à 132 h)= l'une partant vers les hautes latitudes, l'autre plongeant vers la méditerranée. On voit que nos modèles piétinent encore sur la modélisation de ces 2 moments importants qui peuvent décider de la puissance de l'éventuel blocage (réalimentation plus ou moins important de la bulle tiède en HTP) ou de celle de l'éventuel zonal plus ou moins haut en latitude et plus ou moins incliné (plongée + ou moins importante du jet vers le Sud). Les modèles optent pour le moment pour un intermédiaire= circulation zonale d'ONO sous isolement de HTP. Mais la situation reste tellement complexe avec en prime le cut-off continental qui reste toujours présent loin dans l'échéance sur l'Europe de l'Est et du Nord qu'il n'est pas encore tant de tirer des conclusions sur notre semaine.
  11. L'ENSCEP doit être plus hésitant sur ce point puisque le scénario médian voit un effacement plus lent du blocage et une zone barocline plus sud que GEFS.
  12. Il y a pourtant une réalimentation du pseudo blocage à plusieurs reprises sur les modèles (CEP/GFS/GEM) comme l'illustre par exemple cette image à 120h. Mais l'isolement ne s'ancre jamais suffisamment bas en latitude pour véritablement gêner la progression du flux d'ouest même si le CEP créé un peu l'illusion jusqu'à 168 h. On ne peut s'empêcher d'ailleurs d'être étonné de l'incapacité du VP à retenir ces bulles douces plus au sud et de la courbure S/N du jet aux hautes latitudes.
  13. On ne peut pas te donner tort Nico. C'est vrai que même sur le CEP qui est le déterministe qui modélise la synoptique la plus engageante (pour les hivernophiles) n'envisage pas le débordement des masses d'air froid continentales jusque sur la France au bout de son run, elles ne feraient qu'échouer à nos portes. Mais, de mon côté, je me suis enthousiasmé sur ce run (peut-être à tort) car, il repositionne une partie de l'isolement de HTP plus au sud et à l'ouest laissant peut-être augurer des actualisations à suivre plus prometteuse (sachant que ce type de scénario était en voie d'abandon depuis hier soir). Les modélisations sont en tous cas très intéressantes à suivre et nous avons déjà au moins la garantie de (re)trouver des conditions plus cohérentes avec la saison en 1ère partie d'échéance.
  14. Sur le CEP de ce soir, c'est un véritable blocage qui se met en place avec une partie de l'isolement de HTP qui se repositionne vers le Spitzberg sur la 2ème partie du run. Par ailleurs on voit que l'air glacial continental n'est jamais très loin et qu'il est prêt à déborder plus au sud dès que le flux Atlantique plonge vers la méditerranée et à condition que la cyclogenèse ne soit trop intense avant d'atteindre le sud. Ce run montre à nouveau tout le potentiel de la situation et sa fragilité aussi pour nous. 2 conditions sont nécessaires à l'arrivée des masses d'air très froides jusqu'à nous= maintien d'une partie du blocage dans les parages de l'Islande, mer de Norvège, plongée continue du flux Atlantique en direction de la méditerranée. (je radote) Par ailleurs, pour le moment, il est inutile de parler de potentiel de neige en plaine, la situation générale n'étant pas encore fixée.
  15. Oui c'est vrai, le potentiel à VDF serait beaucoup plus présent si le blocage s'ancrait sur la Scandinavie, ce qui est moins le cas aujourd'hui. Cependant, on remarque que malgré la fuite de l'isolement de HTP vers la Sibérie, le flux Atlantique est obligé de s'orienter majoritairement NO longtemps sur les modèles à cause du cut-off continental. Sur le dernier GFS, il reste dans cette orientation jusqu'à 240 h. Il va falloir regarder si des nouvelles petites pulsions d'HTP remontent vers l'Islande lors des différentes petites anomalies négatives Atlantiques (1-2-3) dont je parlais tout à l'heure. A mon avis rien n'est joué pour le moment, le basculement d'un côté ou de l'autre est très proche à chaque fois.
  16. L'évolution notable que l'on constate sur nos modèles depuis hier est l'évacuation de l'isolement de HTP initial qui filerait vers la Sibérie. Les déterministes reprennent tous ce schéma et la majorité des ensembles s'orientent vers cette option. Cela signifie que le rempart à la pénétration de la circulation Atlantique en Europe pourrait principalement être joué par le cut-off continental= masse d'air froid continental portée par une branche du jet orientée Est/Ouest. La carte à l'échéance de vendredi prochain ci-dessous montre les forces en présence. A l'ouest, sur l'Atlantique, on remarque 2 branches du jet d'ouest qui plongent vers le sud. Pour que le changement de circulation s'opère, il faut que les anomalies basses Atlantiques (1-2 et 3) plongent successivement vers la méditerranée, portée par ces branches du jet et les suivantes qui continueraient à plonger vers le sud. Cette plongée vers le sud des branches du jet étant elle même guidée à l'opposée par l'avancée vers l'Ouest et le nord du cut-off continental se trouvant sur l'Europe de l'est et centrale. Il faut aussi en parallèle, que quelques anomalies hautes Atlantiques se frayent un passage vers le Nord depuis le proche océan pour alimenter l'éventuel blocage en anomalie haute. Si ce schéma ne fonctionne pas parfaitement et que le jet Atlantique reprend une courbure plus rectiligne, la circulation Atlantique pénètre vers le continent et écroule le blocage naissant. Mais la poussée méridienne initiale est tellement puissante qu'elle met en quelque sorte le cut-off continental sur les rails pour pousser vers l'ouest. Et ce qui est assez remarquable, c'est de constater que malgré la fuite de l'isolement d'HTP vers le NE, l'inertie créée sur le cut-off continental est telle qu'on voit souvent en contrepartie de son cheminement ou de son campement sur ses positions, le jet Atlantique plonger vers le sud. Dans ce contexte, on a tendance à penser qu'on sera à un moment ou à un autre soumis à des conditions hivernales vu la puissance générée par la poussée méridienne initiale et vu la tendance des déterministes à envisager de plus en plus loin dans les échéances la poursuite de la plongée du jet Atlantique. Tout cela reste évidemment de toutes façons bien tendu, on l'a compris. -
  17. Ah oui, ça on ne peut que partager, si ce n'était pas le cas la France aurait un climat continental. Mais il serait intéressant de voir quelle est la proportion de situations dans lesquels un AS/AR s'est formé sans que l'air froid continental d'altitude nous atteigne. Car c'est bien l'enjeu de la situation, on voit bien que la mise en place d'un blocage de ce type même s'il reste majoritaire sur les modèles n'est pas garanti (voir le dernier GFS). C'est sûr que dans le cas où le blocage ne se met pas en place, il sera impossible que les masses d'air froides nous atteignent.
  18. Oui en plus des petites anomalies Atlantiques, c'est aussi cette fuite vers le Nord et l'Est de l'isolement de HG qu'il faut sans doute redouter. Car on remarque souvent sur les modèles que lorsque l'isolement est modélisé rester campé entre Scandinavie et Russie, il finit par perturber suffisamment la circulation Atlantique pour nous soumettre au moins partiellement à l'air froid continental ce qui est évidemment beaucoup moins vrai lorsqu'il s'éloigne vers le NE.
  19. C'est à partir de notre récurrence que va (en partie) naître cette formidable poussée méridienne prévue exploser une partie de notre vortex troposphérique la semaine prochaine. Sur cette carte à 1.5PVU à H+48 ci-dessous, on voit très bien nos anomalies basses Atlantiques poursuivre leur plongeon vers le Sud, ici au large de la péninsule ibérique avec remontée associée de tourbillon subtropicale vers l'Islande (petit clin d'oeil au talon d'achille de notre récurrence dont je parlais il y a quelques temps). C'est ainsi que se matérialise le début de la construction de notre édifice de HG, car cette poussée méridienne s'amplifiera par la suite et sera relayée par d'autres poussées, capables peut-être de remettre en cause le fameux schéma synoptique qui nous concerne depuis de longs mois. Les signaux de ce changement sont finalement visibles sur nos modèles depuis déjà une bonne semaine, ils étaient d'abord très faibles et ponctuels pour devenir de plus en plus prégnants depuis 48 heures. La mise en place d'un blocage devient maintenant majoritaire, l'invasion d'air froid continental sur l'Europe de l'Est ne fait plus de doute, son extension jusqu'en Europe centrale et également largement majoritaire. Pour le reste de l'Europe c'est beaucoup plus partagées car l'influence Atlantique est plus présente. Et la France est située tout près du point névralgique: - celui de l'alimentation du blocage (flèche 1 ci-dessous ) - celui de la pongée de la plongée d'une partie du talweg Atlantique (flèche 2 ci-dessous) Dès que la courbe d'une de ces flèches (jet) s'incline différemment (moins vers le nord pour la flèche1 et moins vers le sud pour la flèche 2) plus, la circulation Atlantique pénètre sur le continent. Quand on sait que le moindre décallage dans la modélisation du blocage fait changer la trajectoire des flèches et aussi celle du cut-off continental, on comprend pourquoi les modèles piétinnent. Pour autant, devant la dimension impressionnante de l'isolement majoritairement modélisé, je serai surpris qu'on ne soit pas à un moment ou un autre soumis à des conditions hivernales.
  20. Oui ça remet pas mal en cause "la fameuse théorie" des réserves d'air froid. On voit ici qu'avec une situation initiale dépourvue en air froid, c'est bien la configuration synoptique qui pilote l'arrivée de ce décrochage glacial massif indépendamment de la situation initiale de la masse d'air.
  21. Il y a une constante sur nos modèles, c'est la puissance de la poussée méridienne. qui est vue systématiquement au moins se déployer jusqu'au Pôle. Ce phénomène a systématiquement pour conséquence d'étirer le talweg Atlantique qui plonge au moins temporairement vers la méditerannée et qui cesse de plonger sur le centre Atlantique (mettant fin (temporairement?) à notre récurrence interminable). Pour le reste c'est le grand flou, puisque la position "finale" de l'isolement de haut géopotentiel est très indécis. En tous cas, on ne voit plus de modélisations qui envisagent que le cut-off continental dégoulinerait jusqu'à nous (blocage s'étendant voire s'évacuant maintenant majoritairement plus à l'est), l'air froid lorsqu'il parvient jusqu'à la France est essentiellement de basses couches. Pour autant, il ne faut surtout pas tirer un trait sur le potentiel de la situation. Devant des mouvements d'une telle ampleur, les modèles vont encore patiner un moment car les conséquences de la surpuissante poussée méridienne sont partout: à l'ouest, au nord, à l'Est.
  22. Oui et en même temps à l'échéance des cartes que tu postes, on a le sentiment que la situation est déjà scellée sur le CEP concernant la suite et surtout concernant la capacité du blocage à drainer jusqu'à nous les masses d'air froides continentales. La poussée méridienne s'est déjà largement amplifiée au hautes latitudes (Est Groenland jusqu'en Russie), Le blocage est déjà massif, isolé de ses racines subtropicales. Et, le jet Atlantique n'a pas d'autres solutions que de plonger vers le sud en arrivant à proximité du continent européen. Le talweg Atlantique, porté par ce jet, s'étire alors en petits amas d'anomalies basses qui par salves successives (1 et 2) plongent vers la méditerranée. Dans ce contexte, le positionnement de l'isolement d'anomalies hautes Scandinave a évidemment un rôle majeur, car s'il est trop à l'est, le jet cesse de plonger vers la méditerranée, reprend peu à peu une trajectoire plus rectiligne Ouest/Est tel que le modélise GFS ce soir. C'est donc avant tout la puissance et la position du "blocage" et le comportement du jet Atlantique lors du passage des anomalies basses Atlantiques (1-2 et suivantes) qui seront déterminants pour la suite.
  23. Oui le commentaire run par run, en cours de sortie risque d'être une peu casse g****e sur de telles modélisations. Ce qui est important pour le moment c'est de voir se confirmer sorties après sorties la mise en place de cet oméga massif et impressionnant au niveau de la Scandinavie s'isolant en blocage. On sait bien qu'avec ce type de phénomène rare et extrême, le flux Atlantique finit souvent par s'étioler, le talweg se faisant souvent tailler en pièces ou étirer par petits cut-off plongeant vers la Méditerranée. Du coup, avec un tel cut-off continental, l'air froid finit souvent par s'écouler jusqu'à nous.
  24. Oui le scénario du blocage en AS devient majoritaire maintenant avec à la clef un puissant décrochage d'air glacial continental sur une partie de l'Europe (type de décrochage qu'on ne voit pas tous les ans d'ailleurs). Quelle évolution des modèles depuis hier quand même!! L'enjeu va effectivement être de savoir si cette masse froide va déborder jusqu'à nous= pour le moment c'est évidemment très flou puisque la position de l'oméga n'est pas encore fixée. Et l'influence Atlantique reste prégnante sur une bonne partie du pays selon les modèles sauf sur l'extrême Est ou on peut remarquer quand même que l'invasion d'air froid au moins en basse couche devient majoritaire. Tout cela va encore sans doute beaucoup bouger et on tient là une vrai chance de changement par rapport à notre interminable récurrence.
  25. La prévisibilité devient mauvaise sur GEFS avec de plus en plus de scénarios envisageant un blocage avec une vaste zone possible variant de la mer de Norvège à la Russie. La blocage est envisagé dans 50% des scénarios du 18z avec des conséquences diverses: Jusqu'en Europe centrale, le flux continental froid à toute altitude devient majoritaire, ce qui était encore loin d'être le cas hier encore (voir le diagramme de Varsovie par exemple). Plus à l'ouest, jusqu'en Allemagne, c'est souvent un flux de bas de couche qui installerait un air froid de manière majoritaire, et sur la France, le blocage (s'il se confirmait) nous laisserait le plus souvent en zone de transition. Sur le CEP, le blocage semble moins majoritaire au vu du scénario médian moins marqué, mais on remarque évidemment l'avancée en ce sens du déterministe, qui depuis 2 runs, modélise un amplification de la poussée méridienne même si la France resterait en marge du flux continental sur ce modèle. Difficile donc de prendre position dans ce patchwork, les scénarios flux de SO récurrent sur l'Europe de l'Ouest restant encore bien présents sur les ensembles. Mais indéniablement "l'option continentale" a pris encore du galon ce soir sur un bonne partie de l'Europe en devenant nettement majoritaire sur l'Europe centrale. Et si le grand mouvement méridien se confirme avec l'amplitude extrême modélisée par GFS/CEP ce soir, il est sans doute de nature à apporter un changement de récurrence même s'il nous positionne en bout de course du flux d'ouest Atlantique. Joyeux Noël à tous.
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