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Tendance été 2013


phoenix
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Oui, l'étude de 13vents répond bien à la question.

Cela étant, l'été commence dans 9 jours, et ce qu'on en voit, c'est la poursuite d'un temps pourri.

Pour avoir un bel été, il ne faut pas trop que ça traine : vu la quantité incroyable de l'humidité accumulée, et qui sera véhiculée par la végétation, vu la température des sols de surface qui en France est à un niveau d'une mi-avril...il n'y aura bientôt plus de temps à perdre....

Entièrement d'accord avec toi, il faut que l'opération séchage rapide comme sans tarder, sinon gare.

Oui c'est pourquoi les masses d'airs chaudes d'altitudes ont intérêt à vite débarquer ce qui n'est pas gagner si la NAO- domine comme les été précédent.
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Oui, l'étude de 13vents répond bien à la question.

Cela étant, l'été commence dans 9 jours, et ce qu'on en voit, c'est la poursuite d'un temps pourri.

Pour avoir un bel été, il ne faut pas trop que ça traine : vu la quantité incroyable de l'humidité accumulée, et qui sera véhiculée par la végétation, vu la température des sols de surface qui en France est à un niveau d'une mi-avril...il n'y aura bientôt plus de temps à perdre....

Justement je me demandais dans quelle mesure le froid accumulé par les sols peut réduire le potentel de réchauffement dans des synoptiques apportant la chaleur, et combien de temps de chaleur il faut pour absorber tout le décalage actuel.

Ici les sols sont plutôt à un niveau de température de fin mars, mais le vent n'y est pas pour rien.

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Statistiquement, nous avons combien de chances d'avoir un été dans les normes avec un printemps "pourri" ? J'ai entendu parlé de 1 à 2 chance sur 10 est-ce vrai ?

Mine de rien, le Rolland Garros va se terminer en Août si ça continue.

La loi des probabilités permettrait d'espérer un été plutôt estival.

Pas très scientifique blush.png

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Pour avoir un bel été, il ne faut pas trop que ça traine : vu la quantité incroyable de l'humidité accumulée, et qui sera véhiculée par la végétation, vu la température des sols de surface qui en France est à un niveau d'une mi-avril...il n'y aura bientôt plus de temps à perdre....

Mais QUI a dit que l'été se décidait sur ce critère ?

Comme si l'atmosphère allait s'arreter à cause de sols humides en France...

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Posté(e)
Malmedy ( Province de Liége ) 342m

je suis tout a fait d'accord avec vous deux , la Prévisibilité pour l'été est Mauvaise dans le Cas ou les Sols sont humides , elle est par contre bonne dans le Cas Contraire ( printemps Sec ) . bien-sûr ces Paramètres sont a utilisées en combinaison avec d'autres indices Atmosphériques. pour avoir des Résultats exploitables .

flowers.gif

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Comme si l'atmosphère allait s'arreter à cause de sols humides en France...

Oui, c'est un peu n'importe quoi...

Ici, au Québec et plus généralement dans le nord-est de l'Amérique du Nord, le printemps et l'été sont presque tout le temps humides à très humides. C'est la signature de notre climat.

Eh bien ça n'empêche aucunement d'avoir de la chaleur entre juin et août...

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Mais QUI a dit que l'été se décidait sur ce critère ?

Comme si l'atmosphère allait s'arreter à cause de sols humides en France...

L'atmosphère ne vas pas s'arrêter à cause des sols humides...évidemment

Mais un air chargé d'humidité limite toujours la hausse du thermomètre. Les records de chaleur sont chaque année observés dans les déserts, pas dans la zone équatoriale qui regorge d'humidité et qui est pourtant plus près du zénith.

Ce qui explique aussi pourquoi chez nous, les records absolus sont si tard dans la saison : partout entre le 20 juillet et le 15 août.

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Posté(e)
St-Étienne-du-Valdonnez (Lozère) - 885 m d'altitude au pied du Mont Lozère et du causse de Sauveterre. A 9 km au SE de Mende

Oui enfin un été à 30 degrés généralisés serait certes loin des records mais pourrait être qualifié de chaud...

L'humidité actuelle limite les risques de canicule mais pas d'été chaud !

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Si je peux me permettre, c'est le changement d'état qui absorbe ou libère l'énergie en créant, de fait, le froid ou le chaud.

L'air lorsqu'il est chargé d'humidité, il se comporte en réservoir d'énergie, très stable en température, au contraire.

Par contre, l'eau qui s'évapore du sol, se comporte en refroidisseur ambiant (comme ta transpiration te refroidit quand elle s'évapore de ta peau).

A l'inverse, la vapeur d'eau, lors de sa condensation pour revenir à son état "eau" libère son énergie et réchauffe l'air ambiant.

Un air chargé d'humidité est stable en température, mais quand cette humidité se condense, elle réchauffe l'atmosphère, hors, c'est la seule chose possible dans ce cas wink.png

C'est donc bien les sols détrempés qui refroidiront l'atmosphère durant l'été.

Et c'est cette humidité atmosphérique qui le réchauffera l'automne venu.

D'où le terme "chaleur latente" default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Mais QUI a dit que l'été se décidait sur ce critère ?

Comme si l'atmosphère allait s'arreter à cause de sols humides en France...

Je crois que personne ne l'a dit, Cotissois.

Mais vis a vis des phénomènes locaux, l'eau accumulée en surface a son importance.

C'est tout. Pour le reste, tu as raison default_wink.png/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Invité Sky Blue

Si je peux me permettre, c'est le changement d'état qui absorbe ou libère l'énergie en créant, de fait, le froid ou le chaud.

L'air lorsqu'il est chargé d'humidité, il se comporte en réservoir d'énergie, très stable en température, au contraire.

Par contre, l'eau qui s'évapore du sol, se comporte en refroidisseur ambiant (comme ta transpiration te refroidit quand elle s'évapore de ta peau).

A l'inverse, la vapeur d'eau, lors de sa condensation pour revenir à son état "eau" libère son énergie et réchauffe l'air ambiant.

Un air chargé d'humidité est stable en température, mais quand cette humidité se condense, elle réchauffe l'atmosphère, hors, c'est la seule chose possible dans ce cas wink.png

C'est donc bien les sols détrempés qui refroidiront l'atmosphère durant l'été.

Et c'est cette humidité atmosphérique qui le réchauffera l'automne venu.

D'où le terme "chaleur latente" wink.png

Voila une belle explication .thumbup1.gif

Comme quoi, il ne raconte pas que des c*******s.smile.png

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Ceci explique pourquoi le thermomètre montera moins haut sur sol humide pour une masse d'air de température équivalente en altitude.

Mais ça n'explique pas la synoptique à venir. Si d'un coup un régime BL devait se manifester avec la chaleur sèche qui lui est associer en cette saison.

Dans un premier temps, les sols humides limiteront l'explosion du thermomètre mais à force si cette synoptique perdure, je ne parierait pas sur les sols humides pour nous éviter des canicules.

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Posté(e)
Saint Rambert / Loire

A Saint Etienne, le tandem avril + mai 1983 ont battu tous les records de pluviométrie et en juillet de la même année, le thermomètre a dépassé 2 fois les 40°C , valeurs non atteintes depuis...même en 2003

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A Saint Etienne, le tandem avril + mai 1983 ont battu tous les records de pluviométrie et en juillet de la même année, le thermomètre a dépassé 2 fois les 40°C , valeurs non atteintes depuis...même en 2003

Il faut voir que la météo peut varier très vite en 2-3 mois. C'est pour cela qu'on ne peut pas trop se baser aux mois précédents pour la prévisions saisonnières.

Williams

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A Saint Etienne, le tandem avril + mai 1983 ont battu tous les records de pluviométrie et en juillet de la même année, le thermomètre a dépassé 2 fois les 40°C , valeurs non atteintes depuis...même en 2003

Ouais on peut pas se baser sur les conditions de pluviométrie des mois printaniers pour prévoir ce qu'on aura en juillet... Mais la quand on regarde les températures on va être entre 5 et 10 °C en dessous des normale de saison début juin....Après oui le temps de ces dernières années nous montre que des fois de deux trois jours on peut passer d'une extrême à l'autre.
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Oui, c'est un peu n'importe quoi...

Cela rappellera à ceux qui fréquentent le forum depuis pas mal d'années les débats endiablés qu'il y avait eu à une certaine époque sur les sols trop chauds à la fin d'automnes trop doux et qui allaient nous gâcher nos débuts d'hivers car la neige ne tiendrait jamais dessus tongue.png

Plus sérieusement, les argumentations sur les sols humides et frais limitant la hausse du mercure sont tout à fait justes, mais on ne doit pas pour autant oublier qu'il peut parfois suffire de 10 à 15 jours pour sécher et réchauffer la couche de surface. On aura de l'eau dans les nappes tout l'été et même plus ça on peut en être assurés, mais la surface peut néanmoins très vite revenir vers des conditions "normales" de température et d'humidité avec un soleil de juin.

On peut le constater par exemple en reprenant le tableau de l'indice "climatologique" que j'ai donné un peu plus haut (pas de tableau de l'indice "humain" qui est relatif et pas très adapté à ce genre de comparaisons).

L'exemple le plus "violent" est bien entendu 1983 qui nous a pondu un été exceptionnellement chaud, sec et ensoleillé alors même que l'on sortait de ce qui est encore le printemps le plus pourri en France depuis les années 1950 (même le printemps 2013 c'est une aimable plaisanterie à côté). Maintenant, on peut aussi citer pour exemple 1975 ou 1986 dans le genre printemps frais et humides et étés chauds et secs.

Dans le fond, je suis d'accord sur un point : c'est la synoptique qui décide du caractère d'une saison (chauf/froid, ensoleillé/gris, humide/sec), et il n'existe à ce jour aucune démonstration concrète que nos étés français dépendraient en tout ou partie des conditions de la saison précédente.

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Cela rappellera à ceux qui fréquentent le forum depuis pas mal d'années les débats endiablés qu'il y avait eu à une certaine époque sur les sols trop chauds à la fin d'automnes trop doux et qui allaient nous gâcher nos débuts d'hivers car la neige ne tiendrait jamais dessus tongue.png

Plus sérieusement, les argumentations sur les sols humides et frais limitant la hausse du mercure sont tout à fait justes, mais on ne doit pas pour autant oublier qu'il peut parfois suffire de 10 à 15 jours pour sécher et réchauffer la couche de surface. On aura de l'eau dans les nappes tout l'été et même plus ça on peut en être assurés, mais la surface peut néanmoins très vite revenir vers des conditions "normales" de température et d'humidité avec un soleil de juin.

On peut le constater par exemple en reprenant le tableau de l'indice "climatologique" que j'ai donné un peu plus haut (pas de tableau de l'indice "humain" qui est relatif et pas très adapté à ce genre de comparaisons).

L'exemple le plus "violent" est bien entendu 1983 qui nous a pondu un été exceptionnellement chaud, sec et ensoleillé alors même que l'on sortait de ce qui est encore le printemps le plus pourri en France depuis les années 1950 (même le printemps 2013 c'est une aimable plaisanterie à côté). Maintenant, on peut aussi citer pour exemple 1975 ou 1986 dans le genre printemps frais et humides et étés chauds et secs.

Dans le fond, je suis d'accord sur un point : c'est la synoptique qui décide du caractère d'une saison (chauf/froid, ensoleillé/gris, humide/sec), et il n'existe à ce jour aucune démonstration concrète que nos étés français dépendraient en tout ou partie des conditions de la saison précédente.

Si y a 30 ans c'était catastrophique et que Noah a gagné le Rolland Garros, on a peut être une chance qu'un français gagne le tournoi cette année c'est peut etre un signe ^^
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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

même le printemps 2013 c'est une aimable plaisanterie à côté). Maintenant, on peut aussi citer pour exemple 1975 ou 1986 dans le genre printemps frais et humides et étés chauds et secs.

Le printemps 2013 c'est une plaisanterie à coté de 1983? Dans le NE ca m'étonnerait fort, mars 1983 avait été doux à coté, avril de même pas 1° de différence et pour le mois de mai, le déficit va largement s'accentuer dans cette dernière décade et dépasser 1983 sans aucun doute au final. Après coté pluviométrie, le printemps 1983 est beaucoup plus humide grace au mois de mai par rapport à 2013.

c'est une plaisanterie coté pluviométrie mais certainement pas coté température et surtout l'ensoleillement

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Posté(e)
La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire)

et il n'existe à ce jour aucune démonstration concrète que nos étés français dépendraient en tout ou partie des conditions de la saison précédente.

D'autant que cela supposerait de décréter que le froid ou le chaud se génère ex-nihilo sur place et que donc la météo est statique, il n'y a aucun flux et que la Terre ne tourne pas sur elle-même...etc

Ca fait beaucoup de conditions improbables tout ça. default_tongue.png/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">

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Le printemps 2013 c'est une plaisanterie à coté de 1983? Dans le NE ca m'étonnerait fort, mars 1983 avait été doux à coté, avril de même pas 1° de différence et pour le mois de mai, le déficit va largement s'accentuer dans cette dernière décade et dépasser 1983 sans aucun doute au final. Après coté pluviométrie, le printemps 1983 est beaucoup plus humide grace au mois de mai par rapport à 2013.

c'est une plaisanterie coté pluviométrie mais certainement pas coté température et surtout l'ensoleillement

Mike, il faudra un jour que tu comprennes que quand je dis que je parle "au niveau national", la France ne se résume pas à l'Alsace et à la Lorraine...

Dans le Nord-Est on va être à quelque chose près en effet dans les valeurs de 1983 niveau thermique, mais parce que c'est mars 2013 qui tire vers le bas alors que mars 1983 avait été moins froid (avril-mai 1983 à Strasbourg : 11,4° de Tm, contre 12,2° en provisoire pour 2013).

Pluviométrie, on tourne dans les 30 jours en moyenne avec RR >= 1mm dans le Nord-Est depuis début mars hors spots pluvieux vosgiens, contre du 45-50 jours en 1983.

Niveau ensoleillement, on va également être très proches au final de 1983 avec à peine dans les 300 à 320 heures (318 heures à Strasbourg en 1983, on en est à 296 actuellement).

Maintenant si dans le Nord-Est on arrive à peine à accrocher les valeurs de températures et d'ensoleillement de 1983 (pluviométrie ce n'est même pas la peine d'y penser) alors que c'est la région de France qui affiche les plus forts déficits d'ensoleillement et de température, on devine bien à quel point sur tout le reste du pays on peut être loin de 1983.

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Globalement je trouve un déficit de -1.73°c pour Mai par rapport aux normes 1981/2010.

Ce qui nous ferait un printemps déficitaire autour de -1.1°c par rapport aux normes 81/2010 car je ne pense pas que le déficit va tant s'accroitre que cela ni meme se résorber car aucune periode de douceur n'est attendu.

Donc en référence au tableau de 13vent d'il y a 2 pages, nous serions déficitaire de -0.5°c sur le printemps par rapport aux normes qu'ils utilisent (histoire d'être tous sur la même longueur d'onde).

Ce qui voudrais dire que nous serions légèrement plus froid que le printemps 1996 mais pas encore au niveau de 1983 et de 1987 qui sont un cran plus froid quand même.

Pour l'humidité, la différence entre 1983 et 1987 est que le premier est très humide et le second est assez sec cependant le printemps de référence en terme d'humidité au printemps reste 2001 bien qu'il a été doux.

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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

Globalement je trouve un déficit de -1.73°c pour Mai par rapport aux normes 1981/2010.

Ce qui nous ferait un printemps déficitaire autour de -1.1°c par rapport aux normes 81/2010 car je ne pense pas que le déficit va tant s'accroitre que cela ni meme se résorber car aucune periode de douceur n'est attendu.

Donc en référence au tableau de 13vent d'il y a 2 pages, nous serions déficitaire de -0.5°c sur le printemps par rapport aux normes qu'ils utilisent (histoire d'être tous sur la même longueur d'onde).

Ce qui voudrais dire que nous serions légèrement plus froid que le printemps 1996 mais pas encore au niveau de 1983 et de 1987 qui sont un cran plus froid quand même.

Pour l'humidité, la différence entre 1983 et 1987 est que le premier est très humide et le second est assez sec cependant le printemps de référence en terme d'humidité au printemps reste 2001 bien qu'il a été doux.

Pour 2001 c'est surtout grace au mois de mars ultra humide, c'est déjà moins le cas en avril ( moins humide mais toujours une pluviométrie excédentaire)) et encore moins en mai

pour la moitié nord, le printemps 1983 ressemblera bien à 2013 en juste beaucoup moins humide pour le NE. Mars 1983 fut également sec comme 2013. C'est vraiment la pluviométrie qui change vraiment par rapport à ces deux années

en ce qui concerne le déficit actuel, il devrait quand meme encore s'accentuer sur la moitié nord, je trouve qu'on oublie vraiment qu'on est 10° en dessous des normales en ce moment et toujours de la fraicheur la semaine prochaine, difficile de croire que le déficit ne va pas s'accentuer

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Pour 2001 c'est surtout grace au mois de mars ultra humide, c'est déjà moins le cas en avril ( moins humide mais toujours une pluviométrie excédentaire)) et encore moins en mai

pour la moitié nord, le printemps 1983 ressemblera bien à 2013 en juste beaucoup moins humide pour le NE. Mars 1983 fut également sec comme 2013. C'est vraiment la pluviométrie qui change vraiment par rapport à ces deux années

en ce qui concerne le déficit actuel, il devrait quand meme encore s'accentuer sur la moitié nord, je trouve qu'on oublie vraiment qu'on est 10° en dessous des normales en ce moment et toujours de la fraicheur la semaine prochaine, difficile de croire que le déficit ne va pas s'accentuer

Oui étant exposé au GF en premier, le nord ramassera tout évidemment cependant le sud devrait mieux s'en sortir cette fois c'est pourquoi je ne prend pas de risque quand à l'acroissement du déficit déjà élevé.

Par contre au niveau de l'ensoleillement, c'est tout juste une catastrophe, je ne sais pas si 1983 ou 1987 avait été si sombre.

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Posté(e)
Buhl-lorraine, Moselle ( 260 m )

Oui étant exposé au GF en premier, le nord ramassera tout évidemment cependant le sud devrait mieux s'en sortir cette fois c'est pourquoi je ne prend pas de risque quand à l'acroissement du déficit déjà élevé.

Par contre au niveau de l'ensoleillement, c'est tout juste une catastrophe, je ne sais pas si 1983 ou 1987 avait été si sombre.

le printemps 1987 connait un très bon ensoleillement, par contre 1983 est autant catastrophique que 2013 mais concernant le printemps. l'hiver 82/83 avait été nettement plus ensoleillé même très largement
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