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Statistiques et anomalies climatiques globales


Sam82

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Selon la NASA, décembre 2019 est le 2ème plus chaud avec 1.11°C par rapport à 1951-1980, juste derrière 2016 (1.16°C).

L'année 2019 est la deuxième plus chaude avec 0.98°C, à peine derrière 2016 (1.02°C).

Personnellement je ne comprends pas bien ce qui se passe, mais bon...

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Je reviens sur ce sujet mal placé dans le national car c'est global. "Le réchauffement climatique en pause : records de chaleur mondiaux, c'est fini !" http://www.lameteo.org/index.php/news/2822

Ok, je rajoute donc une couche dans la "censure" de cet énergumène...     Et du coup, Infoclimat va pouvoir me verser une prime supplémentaire.

Beaucoup d'erreurs élémentaires et incroyables pour des pro dans tout ce que je viens de lire, que ce soit dans l'édito de Fred sur "Où en est le RC", https://www.lameteo.org/index.php/news/3149-ou-en

Images postées

Ce qui est surtout complètement délirant, c'est l'anomalie de l'hémisphère nord qu'on relève jusqu'à présent pour ce mois de janvier.

 

Juste pour mémoire, quand janvier 2016 est sorti avec son +1,07° (HN), pour un ancien record à +0.78° (janvier 2007) qui faisait désormais pâle figure, on avait déjà trouvé ça complètement surréaliste - mais on pouvait au moins l'expliquer en partie par l'épisode exceptionnel d'El Niño qu'on était en train de vivre.

 

Eh bien je n'ai pas regardé au détail près mais on doit être à quelque chose comme +1,4° en provisoire pour janvier 2020 par rapport à la moyenne 1981-2010 dans la réanalyse NCEP. Je veux bien que la dynamique AO+ (variabilité naturelle) joue forcément dans le constat, mais là c'est franchement dingue.

 

 

J'en suis limite à me demander si j'ai pas fait une bourde dans le calcul, faudrait que je vérifie dès que j'aurais le temps* --> Bourde

 

 

 

Modifié par TreizeVents
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Bonjour 
Est ce que la répartition du CO2 atmosphérique est-elle homogène dans l’atmosphère au niveau du globe d’un point de vue géographique ? Et si ce n’est pas le cas, dans ce cas cette variation de répartition  aurait elle des conséquences plutôt locales que globales? 
j’essaye de comprendre cette anomalie de température positive récurrente et de plus en plus marquée; la corrélation avec le taux de CO2 atmosphérique est elle linéaire ou exponentielle?

Merci de vos explications.

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Il y a 3 heures, th38 a dit :

Et ça continue..

Première quinzaine de janvier avec du +1.10°C..... ça questionne, c'est sûr...

C'est trop haut pour une phase neutre. Ca ne va pas.

 

La SST globale est dans le top 2 si on suit NCEP en décembre. Depuis 2015, le Pacifique Nord affiche une SST d'un "autre" niveau.

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Posté(e)
Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement
Il y a 6 heures, TreizeVents a dit :

Ce qui est surtout complètement délirant, c'est l'anomalie de l'hémisphère nord qu'on relève jusqu'à présent pour ce mois de janvier.

 

Juste pour mémoire, quand janvier 2016 est sorti avec son +1,07° (HN), pour un ancien record à +0.78° (janvier 2007) qui faisait désormais pâle figure, on avait déjà trouvé ça complètement surréaliste - mais on pouvait au moins l'expliquer en partie par l'épisode exceptionnel d'El Niño qu'on était en train de vivre.

 

Eh bien je n'ai pas regardé au détail près mais on doit être à quelque chose comme +1,4° en provisoire pour janvier 2020 par rapport à la moyenne 1981-2010 dans la réanalyse NCEP. Je veux bien que la dynamique AO+ (variabilité naturelle) joue forcément dans le constat, mais là c'est franchement dingue.

 

 

J'en suis limite à me demander si j'ai pas fait une bourde dans le calcul, faudrait que je vérifie dès que j'aurais le temps*

 

 

 

Meme si c'est delirant comme tu dis, çà ne m'etonne pas plus que çà quand on voit les anomalies qu'on se tape depuis le debut du mois du nord de l'europe jusqu'à la siberie centrale (parfis plus de 20°!!). Le flux dynamique empeche d'avoir l'extension de l'anticyclone thermique siberien et de generer au sol les temperatures glaciales habituelles

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Posté(e)
Mauzun, Puy-de-Dôme (63), 600 m
Il y a 2 heures, serge26 a dit :

Meme si c'est delirant comme tu dis, çà ne m'etonne pas plus que çà quand on voit les anomalies qu'on se tape depuis le debut du mois du nord de l'europe jusqu'à la siberie centrale (parfis plus de 20°!!). Le flux dynamique empeche d'avoir l'extension de l'anticyclone thermique siberien et de generer au sol les temperatures glaciales habituelles

 

Là je pense très fort aux populations autochtones en Sibérie, qui ont besoin de la neige et surtout du froid pour survivre, aussi contre-intuitif que ça puisse paraître, et notamment aux populations d'éleveurs nomades de rennes (et chasseurs), qui galèrent déjà depuis une décennie (d'après leurs propres observations) avec les qualités de neige de moins en moins adaptées aux déplacements des troupeaux (la neige d'automne fond ou demeure trop humide au lieu de fournir un sol gelé stable, les périodes de fonte arrivent plus tôt dans l'hiver, il y a des redoux (!), le printemps arrive plus tôt, avec toutes les conséquences que ça peut avoir, débâcle, neige trop humide et sols instables, et même : le réveil de l'ours en pleine période de naissance des jeunes rennes en mars avril). Il y a sur le sujet un ouvrage passionnant dont j'ai fait une brève présentation :

http://outsiderland.com/danahilliot/la-typologie-de-la-neige-chez-les-evenkis/

http://outsiderland.com/danahilliot/an-arctic-indigenous-knowledge-system-of-landscape-climate-and-human-interactions/

On peut le lire en pdf :

http://library.arcticportal.org/1966/?fbclid=IwAR3cZJdOc3pT6hslwt3xc6yaKFR_9ZpoXuHDYT4qzs8o9ltIi2O98wylmqs

Les observations de ces populations sont désormais prises au sérieux dans la mesure où ces nomades sont "en première ligne" des changements climatiques (et concernés au premier chef)

 

Sinon, et là c'est une question à mille francs : quid de l'accélération de la fonte du pergélisol dans ces conditions ?

@TreizeVents parlait d'un nouveau "palier".. C'est vraiment le facteur X du climat futur cette fonte du pergélisol. le truc assez terrifiant, c'est qu'on risque fort d'avoir des effets de seuil - passé un certain % de fonte, les processus s'accélèrent, notamment la hausse probable des températures, laquelle hausse accélère la fonte et ainsi de suite. On est habitué à concevoir au niveau climatique des évolutions lentes et régulières, mais avons-nous seulement l'expérience (excepté sur des phénomènes locaux) de changements brutaux (sur dix ans par exemple). Enfin vous connaissez ça mieux que moi. C'est un truc qui m'inquiète vraiment. Des chiffres que le GIEC envisageait pour 2020/2030 (et encore, dans le pire des scénarios) semblent être mesurables dès aujourd'hui..

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Il y a 20 heures, TreizeVents a dit :

Ce qui est surtout complètement délirant, c'est l'anomalie de l'hémisphère nord qu'on relève jusqu'à présent pour ce mois de janvier.

 

Juste pour mémoire, quand janvier 2016 est sorti avec son +1,07° (HN), pour un ancien record à +0.78° (janvier 2007) qui faisait désormais pâle figure, on avait déjà trouvé ça complètement surréaliste - mais on pouvait au moins l'expliquer en partie par l'épisode exceptionnel d'El Niño qu'on était en train de vivre.

 

Eh bien je n'ai pas regardé au détail près mais on doit être à quelque chose comme +1,4° en provisoire pour janvier 2020 par rapport à la moyenne 1981-2010 dans la réanalyse NCEP. Je veux bien que la dynamique AO+ (variabilité naturelle) joue forcément dans le constat, mais là c'est franchement dingue.

 

 

J'en suis limite à me demander si j'ai pas fait une bourde dans le calcul, faudrait que je vérifie dès que j'aurais le temps*

 

 

 

 

 du 1 au 16 janvier 2020, je ne suis pas si chaud que cela (je revérifierai)

 

global:0.63°C

HN:0.90°C

HS:0.37°C

Arctique:1.61°C

tropiques:0.49°C

Antarctique:0.08°C

 

EDIT: Après vérification, je confirme.

EDIT2: bon, avec 0.63°C d'anomalie on est quand même très élevé, puisque le janvier le plus chaud est le 2016 avec 0.71°C.

 

Modifié par meteor
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J'avais effectivement une bonne grosse bourde de calcul, et je me suis fait avoir par la surestimation (calcul différent ?) de Karsten Haustein qui collait en première approche et qui m'a donné l'impression de confirmer le constat.

 

Reste que ce +0.90° est quand même spectaculaire.

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En plus de l'anomalie de températures (qui, hélas, ne surprend même plus), il y a aussi une anomalie d'insolation

En tout cas pour le Centre-Est

une telle persistance sur la durée de conditions anticycloniques en hiver,  c'est du rarement vu auparavant (à part en zone méditerranéenne) :

- 20 jours consécutifs sans précipitation à Grenoble-Le Versoud (du 28 décembre au 16 janvier inclus)

- 1 jour de précipitation en janvier pour l'instant

- 2 mois hivernaux consécutifs  mesurés avec une insolation supérieure à 100h.  Mesurés avec le pyranomètre certes, mais on voit bien qu'il y a très longtemps qu'un hiver n'avait pas été aussi lumineux sur la durée (à supposer même qu'il y ait un précédent...)

- et pas de changement significatif annoncé à court terme...

Modifié par Dionysos
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Posté(e)
Naillat, 360m, 23
il y a une heure, Dionysos a dit :

En tout cas pour le Centre-Est

Salut,

 

le centre-est de l'hémisphère nord ou sud? C'est un nouveau concept, capitale: St G...?

Modifié par tao
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Il y a 3 heures, tao a dit :

Salut,

 

le centre-est de l'hémisphère nord ou sud? C'est un nouveau concept, capitale: St G...?

Mon message serait davantage à sa  place dans le sujet "Statistiques et anomalies climatiques nationales' effectivement , toutes mes excuses

 

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  • 2 weeks later...

du 1 au 28 janvier 2020:

 

global:0.62°C

 

HN:0.85°C

HS:0.38°C

Arctique:0.80°C

tropiques:0.53°C

Antarctique:0.18°C

 

Anomalie en très très légère baisse, tirée vers le bas par un Arctique beaucoup plus froid en fin de mois (-1.30°C le 28)

Bien sûr toujours le deuxième janvier le plus chaud, à mi-chemin entre 2016 et 2017.

Modifié par meteor
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D'après Copernicus (ERA5), janvier 2020 serait le mois de janvier le plus doux de la série, battant de (très) peu janvier 2016.

En Europe c'est par contre de loin le mois de janvier le plus doux qui ait été relevé, devant janvier 2007.

On commence bien l'année tiens.

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Oui, au sujet de Copernicus, donc ERA5, il se pourrait d'après Roy Spencer ( c'est un sceptique certes mais il pose quelquefois de bonnes questions) qu'il y ait quelques problèmes.

Voir cet article

On peut noter, à titre d'exemple, la forte différence, pour ce mois de janvier2020 , entre ERA5 (077°C) et NCEP/NCAR (0.60°C).

Comprendre les différences entre ERA5 et d'autres réanalyses comme NCEP ou MERRA demande une sacrée expertise, mais Copernicus ne semble pas prendre de gants lorsqu'il annonce les records de chaleur globale...

Non je rectifie Copernicus n'indique pas de valeur dans l'absolu mais bien dans leur propre base.

Rien à dire donc, mais on peut se poser des questions sur les différences entre réanalyses tout de même.

Modifié par meteor
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Tu as raison, Spencer soulève une vraie question. Note cependant que son argument quant à la manière dont on prend en compte la dégradation de l'orbite ou plus généralement la cohérence des mesures satellite s'applique évidemment à leurs propres analyses UAH.  Je crois bien me souvenir qu'on a précisément trouvé qq chose comme ça dans leur données.

Ca n'enlève rien à la valeur de l'argument.

 

Quant au record de températures dans la base COPERNICUS, il me semble que l'argument de Spencer reste valable. 

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Il y a 9 heures, meteor a dit :

 

On peut noter, à titre d'exemple, la forte différence, pour ce mois de janvier2020 , entre ERA5 (077°C) et NCEP/NCAR (0.60°C).

 

 

Quoiqu'il en soit, que janvier batte ou non janvier 2016, pose bien le problème.

Et le problème est que l'on puisse se poser la question.

Nous sommes en phase neutre, et titiller un Nino puissant d'il y a seulement 4 ans fait vraiment froid dans le dos....

Cela donne un petit tour de vis supplémentaire en direction d'une possible accélération du RC....

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Posté(e)
Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m)
il y a 36 minutes, th38 a dit :

 

Quoiqu'il en soit, que janvier batte ou non janvier 2016, pose bien le problème.

Et le problème est que l'on puisse se poser la question.

Nous sommes en phase neutre, et titiller un Nino puissant d'il y a seulement 4 ans fait vraiment froid dans le dos....

Cela donne un petit tour de vis supplémentaire en direction d'une possible accélération du RC....

 

Vraiment?

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Il y a 15 heures, th38 a dit :

 

Quoiqu'il en soit, que janvier batte ou non janvier 2016, pose bien le problème.

Et le problème est que l'on puisse se poser la question.

Nous sommes en phase neutre, et titiller un Nino puissant d'il y a seulement 4 ans fait vraiment froid dans le dos....

Cela donne un petit tour de vis supplémentaire en direction d'une possible accélération du RC....

 

Il y a eu une étude il y a peu qui indiquait que la couverture nuageuse de nuages bas avait diminué significativement après le "hiatus".

Diminuant ainsi l'albédo et contribuant à l'augmentation de la température après le hiatus.

Je crois me souvenir que la période très récente, encore moins actuelle, à l'évidence n'en faisait pas partie.

Mais l'étude ne démontrait pas vraiment si cette diminution faisait partie de la variabilité naturelle du climat ou s'il s'agissait d'une rétroaction positive augmentée.

Dans ce dernier cas on pourrait craindre en effet une accélération.

Enfin  ce que j'appelle, moi, accélération, car une action de la variabilité, comme dans le cas du hiatus mais à l'envers, n'en n'est pas une.

Si j'ai le temps j'essaierai de retrouver l'étude en question.

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Il y a 20 heures, th38 a dit :

Cela donne un petit tour de vis supplémentaire en direction d'une possible accélération du RC....

 

Comme toujours, j'attendrai l'avis du GIEC. Il parle tous les 5 ans, mais ce n'est pas un problème pour moi.

Modifié par Cotissois 31
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https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/climatologie-rechauffement-climatique-modeles-sont-ils-train-emballer-79588/

 

Pour faire suite aux propos de Meteor qui relayait la suggestion d'une étude...

Les nuages bas? encore eux?

 

 

Un extrait:

Des révisions à la hausse jusqu’à +75 %

Une étude publiée dans Geophysical Research Letters par Marc Zelinka, climatologue au Lawrence Livermore National Laboratory, a jeté un pavé dans la mare en janvier 2020. Le scientifique a passé en revue 27 modèles déjà dévoilés et comparé la sensibilité climatique du Cmip6 par rapport à la précédente version. Pour un doublement de la quantité de CO2, le nouveau modèle Cmip6 du CNRM (de Météo France) donne, par exemple, une augmentation de température de 4,9 °C contre 3,3 °C pour le Cmip5.

Le modèle de l'Institut Pierre-Simon Laplace (IPSL) passe de 4,1 à 4,6 °C. Le modèle américain du National Center for Atmospheric Research (Ncar) suggère un quasi doublement, passant de 2,9 à 5,1 °C. Le plus alarmiste, le modèle CanESM5 du Canadian Centre for Climate Modelling and Analysis (CCCMA) prévoit une hausse de 5,6 °C. En moyenne, la sensibilité climatique passe de 3,3 à 3,9 °C, soit une progression de 16 %, avec une fourchette qui s'est étendue (de 1,5 à 4,5 °C pour Cmip5 à 1,8 et 5,6 °C pour Cmip6).

 

 

 

Modifié par sebb
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Mois de janvier le plus chaud selon la NASA avec 0.73°C d'anomalie globale par rapport à 1981-2010, au dessus de 2016 (0.72°C)

Ce résultat est plus proche de ERA5 (0.77°C) que de NCEP (0.60°C).

 

On notera l'énorme étendue chaude en Asie/Sibérie et dans une moindre mesure en Amérique du Nord excepté l'Alaska.

 

amaps.png

 

Parmi d'autres anomalies très élevées on notera peut-être aussi que celle de janvier 2020 est la 3ème plus élevée pour l'hémisphère nord, tous mois confondus, avec 1.50°C au dessus de la moyenne 1901-2000.

La plus forte étant pour mars 2016 avec 1.70°C mais avec un super Niño.

 

Modifié par meteor
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