Cotissois 31 Posté(e) 18 septembre 2016 Brest Partager Posté(e) 18 septembre 2016 Je crois qu'il est inutile de se concentrer sur une hausse très récente du signal rapide. Il faut attendre les hausses (ou les baisses) significatives. Au XXIe siècle, attendre paraît bizarre, mais c'est la clé pour ne pas tomber dans le yo-yo émotionnel. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Sky Blue Posté(e) 18 septembre 2016 Partager Posté(e) 18 septembre 2016 (modifié) Il y a 2 heures, EXPRESS04 a dit : L ambacle cette année semble avoir repris plus tôt pAR rapport aux années passees ? Est ce bon signe ? Ce que je vois surtout, c'est que des ogives sont lancées en permanence sur le bassin Arctique (été comme hiver) et ca c'est pas bon signe. Le reste n'est que blablas. Modifié 18 septembre 2016 par Sky Blue Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 18 septembre 2016 Partager Posté(e) 18 septembre 2016 En effet, si on commence à psychoter sur chaque haut/bas relatifs on a pas fini. Ce qui apporte une information plus profonde c'est la composante lente qui, elle, nous dit que la banquise continue de creuser le plancher. 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 18 septembre 2016 Brest Partager Posté(e) 18 septembre 2016 (modifié) Je comprends mieux : le NSIDC a déjà fait un communiqué presse sur la base du minimum dernier. Ils aiment le risque, mais on s'incline. Et bien sûr : https://twitter.com/nsidc?lang=fr Modifié 18 septembre 2016 par Cotissois 31 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nanuq Posté(e) 18 septembre 2016 Partager Posté(e) 18 septembre 2016 (modifié) Il y a 22 heures, Sky Blue a dit : Ce que je vois surtout, c'est que des ogives sont lancées en permanence sur le bassin Arctique (été comme hiver) et ca c'est pas bon signe. Le reste n'est que blablas. Oui, mais pas seulement. Il se passe quelque chose d'assez fou dans l'océan Pacifique avec la PDO en 2016. Cette évolution fait partie des tendances saisonnières et il faut l' étudier et essayé de la prévoir.. La MJO interagit avec l'indice PNA, se sont les teleconnections, mais si je reprends l'évolution actuelle de l'AO: Le changement de phase de la PDO influence aussi l'AO en AO+. C'est le match de la future Nina qui n'arrive pas a ce mettre en place. Si on regarde l'évolution de la PDO, elle semble vouloir repasser en positif (SST froide Nord Pacifique). C'est pour cette raison que je parlais de l'évolution de l'AO positive et son influence ces deux prochaines semaines et son influences sur notre climat Européen sur le court terme, mais dans une tendance en NAO+ voir neutre. Le changement de phase PDO (EL-Nino) influence aussi l'AO et l'évolution du NAO en NAO- par la future Nina => la PDO et l'AO.. Il y a 21 heures, Higurashi a dit : En effet, si on commence à psychoter sur chaque haut/bas relatifs on a pas fini. Ce qui apporte une information plus profonde c'est la composante lente qui, elle, nous dit que la banquise continue de creuser le plancher. Oui, sur le long terme, il y a aussi l'AMO qui influence l'évolution de la banquise en mer de Berents entre autre et donc, l'évolution de nos glaciers Alpins et le temps en Europe. Et la PDO influence l'évolution de la banquise Arctique dans le détroit de Bering.. C'est pour cette raison que j'étudie l'indice OPI. Ce sont les rétroactions océans => atmosphère => banquises. En couleurs, les phases de l'OPI, l'évolution du CO2 et les températures globale.. Pour comprendre l'évolution des banquises, il faut étudier les océans selon moi.. Nanuq Edit: Source: NSIDC Citation Un article récent (Miles et al., 2013) a examiné ces documents, ainsi que des données paleoproxy, pour examiner l'étendue au cours des quatre cents dernières années. Ils ont trouvé un cycle de 60 à 90 ans dans la mer de Barents et du Groenland étendue des mers de glace liée à la Multidecadal Oscillation Atlantique (AMO); l'AMO est un cycle de l'ensemble du bassin de la surface de la mer variabilité de la température similaire aux cycles El Niño et La Niña dans le Pacifique, mais variable sur des périodes plus longues. Cette recherche montre que, en plus de la tendance au réchauffement dans l'Arctique, certaines régions de la glace de mer sont susceptibles également de répondre à la variabilité naturelle du climat. http://nsidc.org/arcticseaicenews/2014/03/in-the-arctic-winters-might-doesnt-have-much-bite/ Pour la PDO: Citation Ce changement de modèle est associé au développement d'un espace important et persistant de modérée à haute pression sur le nord-est du Pacifique (sud de l'Alaska) qui a formé début à la mi-mai. Cela peut être lié à un changement en cours dans le Oscillation décennale du Pacifique au cours du printemps et début de l' été cette année. http://nsidc.org/arcticseaicenews/2016/08/a-cool-and-stormy-arctic-in-july/ Pour l'IPO: Citation Toutefois, une explication pour l'Antarctique la glace de mer en expansion semble résider dans le Pacifique Oscillation interdécennale (IPO), un mode naturel de la variabilité du climat. L'introduction en bourse est passé d'un résultat positif à une phase négative à la fin des années 1990, en même temps que l'augmentation totale étendue de la glace de mer de l'Antarctique accéléré. L'introduction en bourse négative a un refroidissement des températures de surface de la mer du Pacifique tropical, et l'approfondissement de la mer d'Amundsen Bas près de l'Antarctique. ..expériences modèles supplémentaires montrent que ces changements de la circulation atmosphérique sont principalement tirée par les précipitations et les anomalies de chauffage par convection liés à l'introduction en bourse dans la zone équatoriale du Pacifique oriental. Ils concluent que les modèles ne sont pas mal, mais peuvent simuler les processus impliqués dans la variabilité naturelle du climat qui se traduit par une augmentation de la glace de mer de l'Antarctique, même lorsque les températures mondiales sont en hausse. http://nsidc.org/arcticseaicenews/2016/07/despite-a-stormy-arctic-low-ice-continues/ => http://nsidc.org/search-results.html?q=Pacific Decadal Oscillation&cref=//nsidc.org/google-search.xml&cof=FORID:11 Modifié 19 septembre 2016 par Nanuq Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sirius Posté(e) 19 septembre 2016 Haut Doubs Auteur Partager Posté(e) 19 septembre 2016 J'adore " L'introduction en bourse " 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 20 septembre 2016 Partager Posté(e) 20 septembre 2016 (modifié) Le 16/09/2016 à 17:38, tophe71 a dit : Et ce n'est pas la COP et autres billevesées qui vont modifier les consciences, quand les enjeux sont la croissance économique et le renouvellement de son portable tout les ans par exemple ;). Je m'auto-cite mais : http://www.liberation.fr/planete/2016/09/20/si-le-ceta-passe-l-accord-de-paris-sur-le-climat-trepasse_1504195 Je crois que nous n'avons pas fini de nous plaindre... Jusqu'au bout, ils iront et nous avec ! Édit: mais pas de problème, la COP 22 arrive Modifié 20 septembre 2016 par tophe71 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
franckdemline Posté(e) 21 septembre 2016 Normandie Partager Posté(e) 21 septembre 2016 Belle reprise ..... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Big-Winter Posté(e) 21 septembre 2016 Massif du Jura // La-Chaux-de-Gilley (25), 895m (Village Alt. mini/maxi : 880-1120m) Partager Posté(e) 21 septembre 2016 Pourvu que cela dure... 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Martini Posté(e) 21 septembre 2016 Altkirch 301m / Retzwiller 315m dans le Sundgau Partager Posté(e) 21 septembre 2016 Belle reprise qui se conjugue à une reprise des embâcles assez tôt dans la saison. Vu ce à quoi nous assistons cette année et ces dernières années, il n'aurait pas été étonnant que l'été indien s'installe aussi dans le grand nord empêchant la glace de se reformer avant fin septembre. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 21 septembre 2016 Partager Posté(e) 21 septembre 2016 (modifié) il y a 31 minutes, Martini a dit : il n'aurait pas été étonnant que l'été indien s'installe aussi dans le grand nord empêchant la glace de se reformer avant fin septembre. De toute façon, que l'embâcle puisse démarrer relativement rapidement pour différentes raisons, mais la reprise sera d'une manière ou d'une autre limitée plus tard dans la saison, rattrapée par la réalité de l'état climatique de fond. Modifié 21 septembre 2016 par Higurashi 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lolox Posté(e) 21 septembre 2016 Remiremont - Porte des Hautes Vosges (400 m) Partager Posté(e) 21 septembre 2016 C'est intéressant de constater que de manière générale (mais pas systématique), à l'issue de chaque période estivale marquée par une forte débâcle, on assiste à une reprise de l'embâcle assez précoce dans la saison. A l'exception de 2012 où après une très brève reprise un nouveau coup de Trafalgar avait poussé la débâcle jusqu'à la fin du mois de Septembre. Ainsi, sur les dernières années, seules 2010, 2013 et 2014 où la période estivale avait connu un ralentissement de la débâcle (par rapport à la tendance de fond), ou disons plutôt que le minimum observé était parmi les moins faibles extents finaux, ont été marquées par des reprises débutant aux portes de la dernière décade de septembre. A l'inverse, 2011 et 2015 ont connu une reprise en fin de première décade alors que la période de débâcle avait été particulièrement marquée. Cette année, c'est à peu près la même chose, une forte débâcle suivie d'une reprise assez rapide pour ne pas dire vigoureuse selon les graphiques de ces derniers jours. Est-ce un effet de seuil qui, en dessous d'une certaine limite d'extent, favorise naturellement une reprise précoce du fait de l'avancée dans la saison de la diminution du rayonnement solaire ? 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 21 septembre 2016 Partager Posté(e) 21 septembre 2016 (modifié) il y a 17 minutes, Lolox a dit : Est-ce un effet de seuil qui, en dessous d'une certaine limite d'extent, favorise naturellement une reprise précoce du fait de l'avancée dans la saison de la diminution du rayonnement solaire ? Un effet qui doit jouer de manière sensible c'est que lorsque la débâcle est très marquée, on a plus de marge de progression au début de la saison d'embâcle (plus d'océan libre). Si le schéma de circulation atmosphérique est favorable, ça peut partir très vite. Néanmoins, on voit que ça finit toujours par caler de manière plus ou moins importante plus tard dans la saison. La diminution de la banquise estivale étant plus marquée que la diminution de la banquise hivernale, ça a tendance à augmenter le taux de reprise notamment. Différents auteurs avaient abordé cette modulation du cycle saisonnier de la banquise il me semble. Modifié 21 septembre 2016 par Higurashi 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 21 septembre 2016 Partager Posté(e) 21 septembre 2016 (modifié) il y a 24 minutes, Ciel d'encre a dit : Je pense que les conditions de cet été 2016 en Arctique (températures durablement fraîches et nébulosité) jouent un rôle bénéfique pour une embâcle rapide et "précoce". On voit que, même en plein océan libre, il reste des plaques de glace significatives sur des surfaces très étendues. Certes la banquise était fine au départ, elle a donc fondu sur une large superficie malgré les conditions estivales relativement froides, mais ses nombreux résidus fonctionnent comme autant noyaux à partir desquels elle se reconstitue rapidement. Compte tenu du faible ensoleillement, la mer est restée proche de son point de congélation. De surcroît, les grandes plaques de glace cassent probablement la houle océanique qui aurait autrement contrarié l'embâcle. En conclusion, un pack peu étendu et une banquise très morcelée après un été frais ne sont pas une "mauvaise nouvelle". Si la banquise se reconstitue tôt dans la saison, elle prendra un peu d'épaisseur pendant la saison hivernale...en attendant d'affronter l'été suivant...Ceci dit, vu la tendance, je ne me fais pas d'illusion sur les prochaines années...Chercher à se rassurer sur l'état actuel de la banquise, c'est comme dire à un cancéreux généralisé qu'on lui trouve meilleure mine, aujourd'hui ...tout en sachant qu'évidemment ça ne durera pas. Le réchauffement est là, très marqué, quoiqu'on veuille. Oui en effet, la structure particulière de la banquise de cette année doit participer à ce sursaut d'embâcle. Dans mon post, je faisais plutôt une réflexion générale à la remarque de Lolox qui soulevait un réalité plus large, notamment depuis 2007 où il y'a eut une bascule évidente dans le cycle saisonnier de la banquise arctique ( http://www.the-cryosphere.net/7/275/2013/ ). Pour ton dernier point, c'est un peu sec dit comme ça mais c'est l'idée : ne pas confondre des valeurs ponctuelles avec une valeur moyenne ou une tendance. Modifié 21 septembre 2016 par Higurashi Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Sky Blue Posté(e) 21 septembre 2016 Partager Posté(e) 21 septembre 2016 Un petit résumé de l'année. Source : National Snow and Ice Data Center Cette fonte significative s'est pourtant déroulée en plusieurs étapes : Le recul a été exceptionnel en début d'année, avec un record de fonte battu au cours du mois de Mars ainsi qu'une perte rapide en Mai. Malgré tout, d'assez bonnes conditions au cours de l'été (juin-juillet) ont permis un ralentissement de cette fonte (présence de basses pressions atmosphériques et de perturbations provoquant l'absence d'ensoleillement). Mais c'est à la fin de l'été, en Août et jusqu'en début Septembre que la dynamique de fonte a repris du galon avec une succession de deux tempêtes ayant traversé l'Arctique le long des côtes Sibériennes, permettant une dislocation rapide de la couche gelée dans les mers des Tchouktches et de Beaufort. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
zonal 45 Posté(e) 23 septembre 2016 Partager Posté(e) 23 septembre 2016 Bonjour à tou(te)s, Le mercredi 21 septembre 2016 à 11:32, Higurashi a dit : De toute façon, que l'embâcle puisse démarrer relativement rapidement pour différentes raisons, mais la reprise sera d'une manière ou d'une autre limitée plus tard dans la saison, rattrapée par la réalité de l'état climatique de fond. Peut-être aussi plus simplement que ce qui a fondu très récemment regèle plus facilement (cf. les équations physiques de changement d'état, avec les chaleurs latentes...). Pour peu que la météo soit favorable à une embacle... Zonal 45 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 23 septembre 2016 Partager Posté(e) 23 septembre 2016 (modifié) J'ai eu un petit échange hier avec Neven sur ce sujet ( son blog très populaire : http://neven1.typepad.com/blog/ ). Sa réponse confirme quand même ce que j'avais exposé plus haut : plus d'océan libre signifie globalement un embâcle plus rapide entre septembre/octobre. En fait on voit ce qu'on ne voyait pas à l'époque ou le minimum annuel était très près des côtes (la progression saisonnière du froid emmenant avec lui la banquise). Il n'a pas ajouté grand chose à l'explication excepté un "You've got it exactly right.". Au premier ordre, cet effet explique la tendance à des reprises plus rapides depuis la fin des années 2000, sur lesquelles se superposent certainement des effets de second ordre comme celui avancé par Ciel d'encre. Modifié 23 septembre 2016 par Higurashi Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
fran39 Posté(e) 23 septembre 2016 Charenton-le-Pont Partager Posté(e) 23 septembre 2016 (modifié) Je me trompe peut-être mais il y a le fait aussi qu'une fonte marquée, notamment en fin d'été relâche logiquement pas mal d'eau douce qui regèle plus vite (elle se mêle à l'eau salée mais on va dire qu'elle est moins concentrée en sel...). Je ne sais pas bien dans quelle mesure cet effet de la salinité joue dans ces cas là... Modifié 23 septembre 2016 par fran39 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 23 septembre 2016 Partager Posté(e) 23 septembre 2016 il y a 45 minutes, fran39 a dit : Je me trompe peut-être mais il y a le fait aussi qu'une fonte marquée, notamment en fin d'été relâche logiquement pas mal d'eau douce qui regèle plus vite (elle se mêle à l'eau salée mais on va dire qu'elle est moins concentrée en sel...). Je ne sais pas bien dans quelle mesure cet effet de la salinité joue dans ces cas là... Salut, Ça peut jouer mais de façon locale, l'effet est à l'évidence très limité. L'océan Arctique ce n'est pas une simple marre d'eau, il y'a toute une dynamique qui se met en place et qui aurait plutôt tendance à avoir un effet inverse en augmentant le brassage avec l'océan plus profond etc. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
serge26 Posté(e) 23 septembre 2016 Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement Partager Posté(e) 23 septembre 2016 Oui et d'autant plus que la banquise arctique c'est de l'eau de mer gelée donc salée. seules les glaces pluriannuelles peuvent lacher de l'eau "douce" car elles ont un processus de perte du sel avec les années (il y avait eu un post à ce sujet il y a quelques années en arrière). mais vu ce qu'il reste de glaces pluriannannuelles........! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Elurra Posté(e) 23 septembre 2016 Fontaines 89 Partager Posté(e) 23 septembre 2016 Je me suis posé aussi la question comme fran de l'incidence de l'eau douce de fonte dans la reprise rapide de l'embâcle ces dernières années. Il y a l'apparition de la piscine froide nord Atlantique par fonte de l'inlandsis groënlandais.... Mais là les quantités de fontes doivent être sans commune mesure avec celles de la banquise arctique en quantité d'eau douce relachées C'est peut-être un paramètre secondaire car la quantité d'eau douce correspondent aux seules précipitation de l'année au pôle et pas suffisant certainement pour expliquer une reprise rapide dans un contexte de réchauffement. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kev Posté(e) 29 septembre 2016 Marcheprime, entre Bordeaux et le bassin d'Arcachon Partager Posté(e) 29 septembre 2016 En tous cas, même si l'extent remonte un peu, quand je vois les invasions douces et les anomalies de T° à 850 Hpa sur l’Arctique, j'ai la forte impression que l'on répète l'automne dernier..Je ne sais pas ce qu'il en est de l'area par contre. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
franckdemline Posté(e) 30 septembre 2016 Normandie Partager Posté(e) 30 septembre 2016 A ce jour, nous avons 3 semaines d'avance par rapport à 2012. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 30 septembre 2016 Partager Posté(e) 30 septembre 2016 Il est également intéressant de comparer la courbe actuelle à celles des dernières années : 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
franckdemline Posté(e) 30 septembre 2016 Normandie Partager Posté(e) 30 septembre 2016 Le 23/09/2016 à 17:52, serge26 a dit : Oui et d'autant plus que la banquise arctique c'est de l'eau de mer gelée donc salée. seules les glaces pluriannuelles peuvent lacher de l'eau "douce" car elles ont un processus de perte du sel avec les années (il y avait eu un post à ce sujet il y a quelques années en arrière). mais vu ce qu'il reste de glaces pluriannannuelles........! Heu, non, Serge, dans un mélange eau salée/eau douce, la glace est forcément douce C'est d'ailleurs un des moyens pour dessaler l'eau de mer. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00958034/document D'ailleurs, les eaux de surface ne sont qu'à des températures proches de 0 quand il faudrait entre -6°C et -8°C pour congeler de l'eau de mer. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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