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Nicolas 17/69

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Tout ce qui a été posté par Nicolas 17/69

  1. Pour joindre M. Dessens, je peux en parler à Remy Madureira qui le connaît très bien et peut te mettre en relation avec lui, ou même je peux lui en faire part directement. Sinon par le biais du CRA, ça peut le faire aussi.
  2. Justement quand je parlais de progrès plus haut, en fait on pourrait aussi parler -c'est vrai- de "croissance" ciblée, intelligente, qui sait faire la part des choses entre l'inutile voire le nuisible d'un côté (les gadgets high techs qui nous rendent complètement dépendants, les gaspillages éhontés d'énergie et autres aberrations auxquels on assiste tous les jours au nom d'une prétendue "efficacité" rentable...), et de l'autre les progrès scientifiques comme ceux de la médecine ou ceux qui améliorent notre sécurité en général, la recherche fondamentale... ou la culture. Un choix d'où au passage la notion de plaisir, très importante elle aussi, ne serait pas exclue. Et ce que j'entendais au-dessus par "croissance" c'était cet état d'esprit général du toujours plus, toujours plus vite, complètement irrationnel et dangereux à terme, et qui nous transforme en d'éternels insatisfaits. En cela, j'ai peut-être employé le terme dans un sens trop restrictif. Le principe de développement durable pourrait entrer dans le cadre d'une "croissance raisonnable" telle qu'on peut l'entendre (progrès) s'il ne servait pas malheureusement trop souvent à justifier l'immobilisme de nos habitudes de vie. Et c'est justement là que ça passe par la "philosophie" qui est loin d'être inutile. Bien au contraire, c'est elle et uniquement elle qui peut nous aider à relever le nez du guidon. Pour nous apprendre à trier l'essentiel du superflu, à découvrir ou re-découvrir d'autres façons d'envisager la vie, tout simplement. Une vie qui ne se réduirait pas au matériel et à la course à l'argent. Combien d'entre nous, qui en ont pourtant largement assez pour s'épanouir, n'hésitent pas à sacrifier des heures à la poursuite d'une réduction ou autre chimère consumériste [je ne parle évidemment pas, ici, de ceux pour qui l'argent est une vraie nécessité]? Avec au bout le stress qui vient aussi de là et pas seulement des contraintes imposées ? J'ai entendu un jour une personnalité parler de "drogue" et même de "drogués de la croissance" en parlant des politiques, des financiers et autres acteurs de la vie socio-économique (le mot "croissance" pris dans ce sens-là de frénésie matérialiste et accumulative bien sûr). Perso j'y rajouterai bien les consommateurs que nous sommes tous, et je crois qu'effectivement le mot n'est pas trop fort. Tout cela nous entraîne bien au-delà du climat je le reconnais et le rapport de tout ça avec Copenhague semble bien loin, et pourtant... A mon avis il y a tout cela à la base. La philosophie c'est simplement réfléchir aux choses, aller au-delà de l'immédiat et de l'accessible, être réaliste tout simplement. Et du réalisme, on en a besoin plus que jamais en ce moment pour qu'un jour ça puisse réellement évoluer en profondeur, et non échouer lamentablement comme à Copenhague. ça ne se ferait pas en 5 minutes c'est clair, tout le monde est pour l'instant soumis aux impératifs liés à ces fonctionnements socio-économiques et c'est bien là le malheur. Tout ceux qui sont obligés de prendre leur voiture pour aller travailler, les patrons de PME obligés de prospecter à l'étranger pour vendre leur produits sinon ils se font bouffer par la concurrence etc. le savent. Et si le vert marche si bien en ce moment, c'est avant tout parce qu'il est devenu un superbe argument de vente. ça, c'est la réalité de tous les jours, incontournable il est vrai. Mais prendre conscience de tout ça dans sa globalité en levant les yeux, c'est déjà un premier pas. Wait and see... Ps : sur l'Express du 17 décembre dernier, la rubrique de Jacques Attali aborde justement ce sujet de la décroissance en insistant sur la notion de décroissance voulue et non pas subie. Même sans être en accord avec tout ce qu'a pu dire Attali, j'ai trouvé intéressante cette position. Rien à ajouter, c'est le genre de focale qui en dit plus long qu'un long discours. Quelqu'un plus haut se demandait s'il ne faudrait pas confier les rênes de nos destinées à d'autres personnes. Hum... Le problème c'est que nos politiques sont le reflet de ce que nous devenons tous, dès que nous cessons de réfléchir au-delà de nos habitudes et de nos préoccupations premières.
  3. C'est sûr, l'intérêt d'une chose n'empêche pas les inconvénients inhérents à sa mise en oeuvre. Peut-être alors pourrait-on réserver cette procédure de "pré-vigilance" aux cas les plus sérieux (quand on commence à pressentir de l'orange ou du rouge par ex)... ce qui en limitant le nombre éviterait de diluer et trop démultiplier les infos ? Faire remonter les suggestions à la hiérarchie via un topic comme celui-là c'est déjà énorme, de même le rôle joué par Infoclimat au sein de la Commission du CSM. A ma connaissance, je crois même que c'est la seule passerelle existante pour l'instant entre passionnés-usagers et professionnels dans le monde de la météo. Dans les deux cas, ça permet de créer du lien et un vrai dialogue dans la mesure où il y a de la bonne volonté et un réel intérêt à la chose de part et d'autre (ce qui semble être de plus en plus le cas). Je n'ai jamais eu de cesse d'encourager ça, même si évidemment le pouvoir final revient aux seuls décideurs (et pas seulement au sein de MF).
  4. Un des nombreux sujets d'objection c'est vrai. La fréquente grande étendue des zones en jaune pourrait induire un brouillage avec moults pictos identiques, mais peut-être y a-t-il d'autres d'autres solutions graphiques comme par ex un gros picto unique en filigrane sous la zone concernée... Tout à fait. ça serait d'un réel intérêt pédagogique.Une autre question aussi : pourquoi pas établir, sur le plan chronologique cette fois, deux étapes différentes : celle de la simple vigilance et celle de la véritable alerte ? La première n'impliquant pas évidemment la même responsabilité à l'approche d'un phénomène violent difficile à cerner, et permettant de mieux faire admettre au public le "droit à l'erreur" des prévisionnistes ?
  5. Si je peux me permettre bien que je ne sois pas modérateur ici, ce sujet apporte justement tout ce que nous avons besoin de savoir pour mieux comprendre ces fameuses vigilances. Loin d'être inutile, et dans la mesure où il admet la perfectibilité des vigilances et la nécessité du dialogue, un tel message vaut même largement 10 messages d'idées toutes faites. Certains aspects ont déjà été évoqués ça et là je me souviens (le caractère relatif des vigilances reliées au climat et aux infrastructures spécifiques des départements...) mais pas assez à mon goût. Merci donc pour ces informations. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  6. Bien sûr ça paraît difficile actuellement, surtout à l'échelle individuelle dans notre société où l'inter-dépendance est devenue énorme, peut-être justement l'une des difficultés intrinsèques de notre époque, en particulier sur le plan économique. Nous sommes tous individuellement liés aux fonctionnements de notre société, et de ce fait tout changement individuel ne pourra se faire que si des mutations s'opèrent aussi au sein des collectivités (transports en commun par ex...). Ceci dit, faire évoluer des mentalités chevillées à un Ancien Régime vieux d'un millénaire devait sembler bien plus difficile encore. Alors qu'à l'aune de l'Histoire humaine, le développement industriel n'est qu'une très courte passade, sur laquelle on pourrait très bien un jour tourner la page pour évoluer autrement... Il ne s'agit malheureusement plus de droit ou d'honnêteté, mais de nécessité pure et simple. A mon humble avis et dans la limite de mes propres connaissances dans le domaine, la meilleure façon de régler notre dette morale vis à vis de ces pays serait d'avoir le courage de leur dire "ne faites pas les mêmes c*******s que nous"... en les aidant évidemment à franchir ce pas.
  7. Pour les ONG je ne me prononcerai pas, ne connaissant pas assez le sujet et les positions précises des unes et des autres. Les excès sont souvent bien partagés c'est vrai, et l'éclairage que tu apportes à ce sujet vient contrebalancer une vision peut-être trop unilatérale. Ceci dit, je ne peux pas comprendre pour autant qu'elles aient été exclues des débats à Copenhague. Sinon, bien sûr les politiques ne sont pas les seuls à "bloquer". Ils sont la partie la plus visible de blocages bien plus profondément ancrés dans nos sociétés. Perso je ne crois guère au principe du développement durable cad continuer la croissance mais de manière différente. Qu'on le veuille ou non, la surpopulation et la pollution sont tels qu'ils vont nous obliger un jour ou l'autre à réduire cette croissance, et ce d'ailleurs tout à fait indépendamment du réchauffement réel ou supposé, anthropique ou non. L'être humain est-il à ce point immature qu'il ne faille surtout pas envisager les efforts personnels ni la vision à long terme au-delà des 4 ou 5 ans de mandats des chefs d'Etat ? Quand je vois certains exemples individuels au quotidien je serais bien tenté de ne pas trop me faire d'illusions sur la capacité de changement /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> , mais à des échelles géographiques et temporelles plus importantes, c'est autre chose. Les mentalités ont énormément changé depuis 2 siècles dans certains domaines depuis l'époque où on écartelait en place publique, où on admettait sans réserve le principe d'une classe sociale privilégiée, le caractère intrinsèquement soumis de la femme et autres choses aujourd'hui totalement inconcevables pour nombre d'entre nous... Bien sûr ce n'est pas la même chose partout et je ne fais pas d'euro centrisme. Mais c'est juste pour dire que l'esprit humain peut changer (avec le recul de l'Histoire, on voit en outre qu'il change de plus en plus vite, comme si l'Homme "apprenait" à changer). En revanche là où réside l'une des différences essentielles avec les grands bouleversements du XVIIIème siècle, c'est qu'à cette époque ce sont les philosophes qui ont préparé le terrain et l'opinion en lançant ces idées et notions nouvelles, lesquelles bien que combattues ont fini par pénétrer l'opinion publique naissante. Aujourd'hui, les décroissants même raisonnables (cad hors du cliché extrême "vie sous la tente et éclairage à la bougie") sont encore minoritaires, alors qu'à mon avis les vrais visionnaires c'est eux, pas ceux qui s'accrochent désespérément aux hochets de la croissance. Mais c'est vrai, le bouleversement des idées et des concepts liés à cette notion de décroissance est tellement fondamental, bien au-delà des simples questions économiques ou matérielles que bien peu d'entre nous sont prêts à les accepter. C'est pourquoi aujourd'hui, si personne ne joue le rôle qu'ont joué les Diderot et autres Voltaires en d'autres temps pour d'autres grandes idées, je crains fort que cette précieuse étape préliminaire au changement des mentalités ne soit négligée pour ne pas renoncer à la sacro-sainte croissance. Et c'est pourquoi malheureusement le discours dominant actuel, dont les politiques se font évidemment le reflet, risque de ne pas faire beaucoup avancer le schmilblick. Perso je serais plutôt pour un mariage intelligent entre les techniques alternatives et l'utilisation des énergies renouvelables d'un côté, et de l'autre un véritable changement de mentalité lié à une conception plus raisonnable de la vie. Petite précision utile en passant, je distingue bien la notion de croissance de la notion de progrès, à laquelle j'adhère totalement dans son acception la plus générale. Quant aux échéances des mandats des chefs d'Etats... Je ne sais plus dans quel canard j'ai lu un jour la proposition de créer un "comité du long terme" ou quelque chose d'approchant, constitué de représentants de différentes disciplines concernées par le long terme et les générations futures (dont la climatologie), et dont l'objectif aurait été justement d'apporter cet éclairage si important à chaque débat au sein de l'Assemblée. J'avais trouvé ça intéressant et très novateur. Ps : ce message est peut-être un peu HS je m'en excuse, mais tout est tellement lié que c'est difficile de ne pas "déborder" un peu.
  8. oh que oui, y a vraiment de quoi pousser des coups de g****e,... ou plutôt en rire comme Lorenz plus haut qui a trouvé LA phrase qui résume tout /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
  9. Je crois comprendre que par cette phrase, Emma déplore surtout le manque d'évocation du problème sur les forums ou les bulletins, aspect tellement présupposé qu'on en parle très peu en effet. Peut-être devrait-on plus souvent préciser cet aspect-là des choses, ou avoir davantage le réflexe d'y penser face à des valeurs apparemment exagérées ou sous-estimées (?). Après, le problème lui-même reste inévitable pour toutes les raisons que vous évoquez. Moi-même je regrette d'ailleurs de ne plus disposer de la station GES de Lyon 6ème, dont le contexte correspondait bien davantage à celui de Villeurbanne que celle de Bron située plus en hauteur (notamment pour les valeurs de vent et les températures). Et quant à la solution, celle préconisée me paraît la plus raisonnable quand on peut se le permettre. En rejoignant le réseau des stations, on augmente la finesse du maillage, qui s'en trouve plus également réparti et donc réduit le phénomène d'interpolation. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Ps : moi aussi je ne connais le mot que depuis très peu de temps.
  10. C'est clair. Ce matin encore, France Info évoquait la Chine et les USA qui jouent à "je te tiens, tu me tiens par la barbichette", chacun reprochant à l'autre son manque d'engagements.
  11. Vendredi sera-t-il jour de fête pour les lyonnais frustrés de blanche depuis 2 ans ? On y croit bien fort
  12. Je crois qu'on s'est pas bien compris là. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> L'un n'empêche pas l'autre puisqu'on ne se situe pas à la même échelle temporelle, l'accalmie pointée plus haut n'est pas significative à l'échelle de 50 années ou plus. De même dans mon suivi des tornades sur ma région d'origine, la fréquence et l'intensité marquent une certaine accalmie également depuis 2-3 années, alors que le taux moyen de retour reste le même.Quoi qu'il en soit, on s'entend tout à fait sur le fait qu'on ne peut rien corréler pour l'instant avec le RC. On a regardé quelques minutes seulement du documentaire hier soir, mon amie n'étant pas spécialement branchée là-dessus. Je ne peux donc pas en dire grand chose mais c'est clair qu'on attend toujours trop de ce genre d'émissions grand public, qui ne peuvent approfondir tous les aspects de la problématique. Pour le reste, je m'en remets à vos commentaires.
  13. Merci toi aussi Dans les tempêtes mémorables, on a eu effectivement 87 et 90 (plus violentes encore que 99 en Bretagne) et aussi 86 (24 mars), 93, 96 (plus localisé), 97, puis 99... et si ça se trouve, j'en oublie dans les coins. En fait quand on prend un peu de recul on se rend compte que dans la période 86-99 on avait en réalité un taux de retour de 2-3 ans environ pour les cas les plus marquants. Depuis 99, à part mai 2000 et fin 2004 qui dans une moindre mesure restent aussi dans les mémoires, on remarque plutôt une accalmie jusqu'à 2009 et le réveil brutal de Klaus. Un petit recul historique ne fait jamais de mal, surtout quand on se pose ce genre de question. /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">
  14. Effectivement j'avais pas vu que c'était un doc allemand, je retire ce que j'ai dit /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> (ceci dit ma réaction peut aussi se comprendre...) Du coup je tâcherai de le regarder, ça a l'air bien intéressant. Oui c'est l'avenir seul qui pourra nous le dire, les 10 ans d'intervalle entre Klaus et Lothar/Martin n'étant probablement pas significatifs en ce sens. Dans les décennies précédentes, de très grosses tempêtes se sont succédées parfois à intervalle très court, même si elles n'ont pas forcément touché les mêmes régions. D'ailleurs quand la critique reproche à ce docu de manquer de mise en perspective, je crois au contraire qu'il faut lui reconnaître le courage de "dire" qu'on ne sait rien plutôt que de raconter n'importe quoi pour remplir. Voilà qui me donne encore plus envie de le regarder finalement (mais oui Sebaas je peux changer d'avis /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> )
  15. Encore merci pour ce blog sympa qui me rappelle toujours nos vacances. Et pas seulement que pour ça. On voit que tu aimes travailler sur les couleurs, et la présentation est pratique avec les vignettes en haut. Bonne continuation
  16. Déjà pas un mot sur Martin. rien que pour ça j'ai pas envie de voir ce docu. Y en a marre des oeillères !
  17. Brouillard et neige associés, ivresse de blanc... J'adore quand ciel et terre se confondent comme ça. http://www.infoclimat.fr/multimedia/photolive.php?photoid=89969&d=&dept=&region=&motcle=&start=&auteur=&ord= Dans la foulée j'ai remonté un peu le topic. Une fois de plus un vrai régal, et pas seulement du aux paysages ou aux beautés du ciel. Il y a vraiment des artistes sur le photolive.
  18. Toujours un peu honteux de dire ça vu tous ceux qui sont à la rue, mais à titre personnel quelle joie de voir enfin arriver la neige à nos portes ! Si seulement cette fois-ci elle se décidait à franchir les portes de la ville... Allez soyons fous, peut-être un Noël blanc en vue ?
  19. Et ben il s'en passe des choses au-dessus de nos têtes...
  20. Aucune région n'est inintéressante en fait. Et ce ne sont pas ces extraordinaires cathédrales de vapeur d'eau qui nous diront le contraire.
  21. Eh oui, éclipsée par son encombrante voisine chronologique (15 jours d'intervalle seulement) un peu comme Martin l'a été par Lothar. Je viens de revérifier moi-même pour le 17, dpt le plus touché par Quentin : vents entre 120 et 140 km/h sur le littoral, vents > 100-110 km/h dans les terres jusqu'en Charente. 550 interventions des pompiers pour arbres tombés, toitures endommagées, lignes SNCF coupées etc. C'était pas rien quand même. Pour moi perso, l'évènement marquant reste quand même Klaus qui boxe manifestement dans la catégorie au-dessus. Ou alors peut-être cette fameuse vague de froid de janvier (histoire de me rattraper lol ). Ou alors les orages des 11 et 25 mai... Oh zut, j'arrive pas à me décider. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> De toute façon si ça se trouve, ce qui va arriver dans la quinzaine à suivre va tous nous mettre d'accord. /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">
  22. Tout est dit là /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Bonne idée pour la visibilité d'Infoclimat et sa communication en général. En ce qui me concerne, je me suis retrouvé sur Facebook quasiment malgré moi et c'est pas trop mon truc. Du coup je ne suis pas très présent et c'est pourquoi j'hésite à m'inscrire.
  23. Désolé je reposte car j'ose plus éditer (à nouveau des problèmes même avec Chrome). A relire ton premier post M4x, pour l'épisode de Janvier ça me rafraîchit drôlement la mémoire si j'ose dire. Je ne me souvenais plus qu'il avait été aussi extrême. Quand on a vécu 85 ça pousse à relativiser, mais tout de même la banquise à Dunkerque... Idem pour la neige à Nice, je reviens donc sur ce que j'ai dit (un peu vite) dans mon post précédent à propos des vagues de froid.
  24. J'hésite entre Klaus et les deux épisodes orageux des 11 et 25 mai, mais je serais bien tenté de voter pour Klaus, dont les dégâts ont été à la fois catastrophiques et étendus, avec de lourdes conséquences économiques et écologiques pour les Landes et régions avoisinnantes. L'épisode supercellulaire du 11 mai a donné une tornade (a priori non destructrice). Trop souvent laissé dans l'ombre au profit du 25 mai, alors que ses dégâts ont été tout aussi énormes avec des toitures carrément traversées par la grêle (!). Celui du 25 mai évidemment est à retenir, inutile de m'attarder dessus on en a suffisamment parlé comme ça. Les vagues de froid par contre ne m'ont vraiment pas parues exceptionnelles cette année. Peut-être la fin 2009 me fera-t-elle mentir... ? Enfin je rajouterais bien le 2 juillet et ses 70362 impacts sur toute la France, et puis aussi Quentin (Quinten), d'importance moindre que Klaus mais qui a fait quand même parler de lui. Pour l'instant impossible d'affirmer ça. Nous n'avons aucun recul en France pour l'étude des SP et bien des épisodes antérieurs pourraient relever de cette même catégorie. Par contre cet épisode a le mérite d'être le premier à être identifié en tant qu'outbreak de supercellules. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  25. Modeste ? Eloignée plutôt. Et c'est d'autant plus méritoire d'avoir eu le coup d'oeil. Juste au-dessus de vos têtes comme ça, valait mieux pas que ça descende de toute façon. Son angle de vue rend cette photo impressionnante.
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