Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

Kyrion

Adhérent Infoclimat
  • Compteur de contenus

    3968
  • Inscription

  • Jours gagnés

    4

Tout ce qui a été posté par Kyrion

  1. Plus que la position du déterministe par rapport à l'écart-type (rien de surprenant à ce que celui-ci soit plus au moins important selon que l'on se rapproche de la limite barocline), c'est bien le plateau que l'on observe sur l'ensemble du panel qui est notable. Si les européens ont raison, et même en excluant le scénario peut-être extrême de CEP, on semble tout de même se diriger vers quelque chose de bien différent par rapport à juin. La dernière canicule a été intense mais relativement brève (exception faite du pourtour Méditerranéen) car alimentée par une goutte froide particulièrement dynamique qui ne s'est isolée que temporairement au niveau des Açores avant d'être progressivement reprise par le courant d'ouest (< 5 jours : mardi -> samedi) : Au contraire, ce qui est modélisé ce soir met en exergue le risque d'une synoptique bien plus stable et durable avec un pont de hauts géopotentiels du Labrador à la Scandinavie avec une limite barocline très bien dessinée (cf : le plateau visible sur les diagramme avec un maintien durable à des températures élevées) : On est donc sur un schéma moins méridien qu'en juin et plus proche d'une forme de "zonal anticyclonique". Honni en hiver par son caractère durable, je pense qu'il nous expose au même risque ces prochains jours. Dans l'idée, je trouve qu'on se rapproche pas mal de ce que l'on a connu en 2006. Edit : je viens de voir le message de Sebb que je rejoins dans les grandes lignes.
  2. Sinon pour multiplier les opportunités de rando : au départ de la gare routière il y a une ligne de bus régulière qui vous amène dans le Vercors en passant par Saint-Nizier du Moucherotte -> Lans-en-Vercors -> Villard-de-Lans. A partir de ces 3 villes, les possibilités de rando sont multiples et c'est plus sympa que de partir de l'hypercentre. Il doit probablement exister l'équivalent pour la Chartreuse.
  3. Et sacrée amplitude (25,4°) à la station de Lans en Vercors - Les Bruyères : 9,2° - 34,6° (provisoire).
  4. Surtout que même si les dernières sorties sont plus "favorables", il reste tout même encore quelques incertitudes sur le placement exact de la goutte froide et subséquemment du thalweg qui va glisser vers l'Europe orientale : On se situe encore sur une plage d'incertitude de l'ordre de 2-3° à j+4. Nota : je me permets de vous rendre visite sur ce topic parce qu'il y a davantage d'incertitudes que sur celui du centre-est. Ici, on va se manger du 20° à 850 hPa jusqu'à... ?
  5. Le seul argument susceptible de justifier ce décalage dans la mise en place d'une alerte plus globale est qu'on ne souhaite solliciter qu'au dernier moment le personnel (astreintes & co) parce que l'on sait que la semaine va être longue et que l'on ne dispose que de ressources humaines limitées. Et c'est sur ce dernier point que le bât blesse à mon avis. Depuis 2003 on a très certainement optimisé nos hôpitaux ou les lieux d'accueil mais je doute que le facteur humain ait été préservé ou renforcé...
  6. Et ce n'est pas la première fois. Sur les sorties de mardi (j'aurais aussi pu mettre mercredi), ens + déterministe, combien de scénarios sur les 50 du panel envisageaient d'atteindre les 25° à 850 hPa en Bretagne : Au final, quelques jours plus tard, voici ce qu'il en sera : Rafraichissement il y aura en début de semaine prochaine, on ne peut rester à un tel niveau d'intensité. Mais ce n'est pas pour autant que la canicule sera balayée en 24h or c'est bien là que réside désormais le principal danger puisque les modèles réajustent en permanence vers une transition de moins en moins franche. Et peut-être même inexistante sur le bassin Méditerranéen.
  7. Oui, pour la station de Nancy Essey, en prévision probabiliste basée sur l'ens CEP on a une Tx médiane à 38,9° pour jeudi. De manière empirique on peut généralement y ajouter 1°. Sur les 20% supérieur on est à 40,3° et le scénario extrême modélise 41,9° donc pas loin d'un 43° théorique. On pourrait éclater un record mensuel de plus de 3°. Et atteindre voire dépasser un record absolu établi dans les conditions optimales d'août 2003 (avec 1 chance sur 5 on est loin d'une hypothèse farfelue). Je ne sais plus quoi dire.
  8. La dernière sortie de l'européen va faire phosphorer car comme le mentionne JT75 on combine désormais les 2 critères les plus dangereux à savoir intensité (c'était déjà acté) mais désormais on voit aussi apparaître celui de la durée. Et ça c'est la nouveauté de la matinée, les sorties ne cessant de repousser le refroidissement au-delà de j+7.
  9. Oui, on peut pressentir que la chaleur ne va pas s'évacuer de manière aussi rapide que l'entrevoit régulièrement les modèles à long terme. On ne va pas rester ad vitam aeternam au niveau d'une masse d'air record, cependant une prolongation de flux de SO parait tout à fait envisageable. On voit bien sur les moyennes que l'échéance approchant : - la limite barocline ne cesse de progresser vers le nord - le bassin Atlantique et plus particulièrement le Groënland tend à demeurer dépressionnaire, verrouillant l'élévation franche d'une dorsale. Dorsale susceptible de favoriser l'écoulement de thalwegs vers l'Europe occidentale. Ens CEP pour samedi (12z jeudi - 12z d'hier soir) : Même comparaison pour dimanche : Clairement, les ensembles sont unanimes pour un rafraichissement en début de semaine prochaine mais à l'image du dernier déterministe, bien qu'isolé, je ne serais pas étonné que les autres scénarios du panel s'alignent progressivement sur une pente bien plus douce concernant la chute des températures : Edit : Le dernier CEP est la caricature de cette évolution...
  10. Oui, mais GFS a aussi évolué même si la multiplicité des sorties rend cela peut-être moins visible et que cela rend l'événement toujours moins durable que sur l'européen. Cette évolution prend la même forme que sur CEP et peu importe finalement qui l'a vu le premier, c'est bien la tendance qu'il est important d'observer. Cet ajustement des modélisations prend une double forme (0z GFS jeudi à gauche - 0z du jour à droite) : - propagation moins nette du pied occidental du blocage vers les latitudes nordiques (flèches rouge et orange). - courant jet plus zonal entre Groënland et Islande (flèches bleues) Dès lors, on assiste à un échange bien moins méridien avec un écoulement bien plus complexe des bas géopotentiels en direction de la France. La latitude nordique du courant jet ouvrant la porte à un flux de SO plus durable. On ne se situe pas sur la même durée que CEP, mais dans l'idée et même sur les cartes, GFS a lui aussi bel et bien prolongé l'épisode caniculaire.
  11. CEP n'est effectivement pas à prendre à la légère puisqu'il s'inscrit dans une tendance qu'il modélise maintenant depuis plusieurs jours : à savoir un affaissement du blocage qui se ferait désormais sur l'Europe occidentale et qui ne s'évacuerait plus vers le Groënland comme envisagé il y a quelques jours. La goutte froide ayant de plus en plus de difficultés à progresser vers l'est. La comparaison des 0Z de CEP des 3 derniers jours est particulièrement parlante, cette sortie ne sort pas de nulle part mais s'inscrit bien dans la tendance des dernières 48h pour l'européen (0z : jeudi - vendredi - samedi). De gauche à droite on voit que l'interaction goutte froide/bas géopotentiels polaires ne s'effectue plus à proximité immédiate de notre pays mais selon un axe Açores-Groënland. La France restant dès lors d'autant plus longtemps dans l'advection douce : L'effet de seuil risque d'être important et conditionner fortement la suite de la canicule puisqu'on pourrait d'un côté basculer vers un vrai changement de régime avec un retour aux normes (gauche) ou au contraire créer les conditions favorables à un flux de SO pérenne (droite) : La comparaison avec 2003 peut se tenir puisqu'en terme de dynamique on retrouve les mêmes ingrédients à savoir un agglomérat de bas géopotentiels Groënlandais et redressement du flux en amont de l'Europe occidentale : Bon, on est encore loin de tout ça mais CEP montre bien qu'on se situe dans le champ des possibles même s'il s'agit d'une option pour l'heure minoritaire.
  12. Venez dans le Vercors . Plus sérieusement, bon courage à vous. La semaine va être éprouvante pour tout le monde mais encore davantage pour les citadins. J'ai connu ça dans un passé pas si lointain.
  13. On est un peu en bordure de topic mais outre l'intensité, j'ai de plus en plus l'impression que les modèles sont en train de se réajuster progressivement vers quelque chose qui pourrait être durable. C'est peu visible au niveau des cartes de géopotentiels dans cet océan de hautes pressions mais on remarque sur les modèles une tendance à isoler de manière de plus en plus nette la goutte froide au niveau des Açores (12z d'hier - 12z du jour) : On voit bien sur la carte de gauche (hier) l'isolement imparfait de la goutte froide. Sa trajectoire moins méridionale a pour double conséquence : - d'advecter un flux brulant moins durable car la GF se voit reprise par la circulation d'ouest avec donc une bascule assez rapide d'un flux de S à un flux de SO - favoriser l'écoulement en direction de l'Europe occidentale des bas géopotentiels présents sur la Scandinavie (courbe bleue) A contrario, sur les sorties du jour on se retrouve avec un blocage parfait ; l'isolement de la goutte froide est total et le dôme de hautes pressions parfaitement dessiné. Cela change fortement la donne pour la suite puisque : - on reste bien plus longtemps dans une advection d'air subsharien brûlant (S) sans bascule rapide en flux de SO - l'advection douce étant plus prononcée à l'avant de cette goutte froide, l'écoulement des anomalies basses scandinaves est repoussé bien plus à l'est du continent européen On est ce soir sur un schéma de "blocage rex" (idem sur CEP que je viens de regarder) contrairement à hier où on était simplement sur une circulation atmosphérique ralentie mais non bloquée. A voir si les sorties de demain vont confirmer cette tendance mais j'ai de plus en plus l'impression qu'on va en prendre pour 8-10j voire davantage que seulement 5 jours comme envisagé initialement.
  14. De retour pour quelques jours en Moselle, je pense avoir choisi le bon moment pour vivre potentiellement quelque chose de sympa demain soir. Toujours un plaisir de passer sur ce topic .
  15. Kyrion

    Le Rugby sur IC !

    Je pense qu'on a probablement battu un record en 1ère période : 5" dans les 22 adverses ça doit être du jamais vu. La 1ère MT a du paraître longue aux supporters parqués côté virage Irlandais
  16. Je pense qu'une partie de la réponse se situe à très court terme (j+5). En effet, l'anomalie de HTP étaient déjà présentes hier sur les modèles mais celle-ci s'isolait rapidement à une latitude très septentrionale sans pouvoir être réalimentée (gauche). L'évolution qui semble aujourd'hui être pris en compte par les modèles est un premier renouvellement de cette anomalie dès jeudi (droite) : Ce premier renouvellement qu'on peut quasiment considérer comme acquis en raison de l'échéance devrait a minima retarder la mise en place d'une véritable circulation zonale. Là où cela pourrait devenir intéressant c'est si cette anomalie haute est capable de trouver un second relai en fin de semaine (début d'échéance de ce topic). Scénario minoritaire, mais GFS // insiste sur cette possibilité en envisageant une nouvelle advection de hauts géopotentiels suffisamment massive pour rejoindre ce blocage au moment même où celui-ci allait s'effondrer (gauche). Tout le contraire du déterministe "honoraire" qui envisage une gestion différente du complexe dépressionnaire, empêchant de fait tout éventuel renouvellement : Objectivement, le timing et l'intensité avec lequel ce second renouvellement se produit est très fragile et il y a 9 chances sur 10 pour que cet isolement ne soit réalimenté ou trop tardivement mais le // a le mérite de mettre en lumière l'effet de seuil important avec des synoptiques pourtant très proches.
  17. GFS // à la même échéance et... 72h plus tard : Plus sérieusement, option très minoritaire mais on peut tout de même noter sur les ensembles une tendance à la hausse du champ de pression sur l'Europe occidentale en milieu de 2ème décade : Evolution qui peut être intéressante selon la capacité qu'auront ces hauts géopotentiels à atteindre des latitudes nordiques. On a quelques scénarios du panel qui font échos au parallèle. A contrario, si elles ne parviennent à atteindre ces hautes latitudes et conservent leurs racines européennes, alors les premières sensations printanières seront proches. On est presque sur de la recherche de signaux hivernaux mais ça me semble bien être le seul élément à peu près intéressant à suivre dans l'échéance couverte par ce topic.
  18. Je pose ça là pour les archives, +35 hPa en seulement 24h : Rien d'exceptionnel mais symptomatique de cet hiver où à aucun moment la circulation n'a pu se bloquer. Côté prévision pas grand chose à ajouter, la fraicheur devrait résister en basse couche jusqu'à mercredi avant que le flux d'ouest n'emporte la valeureuse goutte froide Méditerranéenne. ---- Si on veut essayer de trouver un -tout petit- peu de grain à moudre avec les modèles, on peut commencer à regarder ce qu'il se passera en milieu de 2ème décade. Quelques pistes sur les ensembles en faveur d'une hausse du champ de pression sur l'Europe occidentale. Ca sera probablement un peu quitte ou double selon la capacité qu'auront ces hauts géopotentiels à progresser vers le nord (effluves printanniers ou flux d'est). En attendant, ce topic va probablement entrer dans une longue phase de léthargie.
  19. Toujours sur le brèche pour nous concocter de beaux reportages. Merci ;). Ps : Petit aparté, si possible essaye de stocker les images sur IC ; avec casimages, d'ici 1 ou 2 ans on n'aura plus aucunes traces de ces photos ;).
  20. Un point à Kalhausen (218m) après 48h de non observation volontaire des modèles : 2-3cm hier matin grâce à une petite activité pré-frontale en cours de nuit. Reprise des chutes de neige aux alentours de 9h mais sans véritable tenue. Neige faible et continue toute la journée avec un début d'accroche en fin de front aux alentours de 16h. Le gel est rapidement intervenu à la faveur d'un ciel dégagé rendant les chaussées extrêmement glissantes. Le front secondaire de la nuit nous a apporté 5-6cm supplémentaires. Plutôt une bonne surprise mais presque rageant quand on voit ce qui est tombé plus à l'ouest ;). Ce soir, neige de redoux depuis 20h avec de belles intensités mais elle est tellement gorgée d'eau que l'accumulation est faible (2cm) S'il fallait tirer un bilan je trouve que les modèles ont été plutôt bons à 48h de l'échéance, cernant bien la localisation des précipitations (Nancy, plaine d'Alsace...). Après avoir vu les photos sur ce topic, je mettrais tout de même un gros bémol sur l'intensité des précipitations. Il semblait difficile d'imaginer de telles chutes dans le secteur d'Amnéville, Thionville. Pas déplaisant de conserver cette part de surprise et d'incertitudes malgré la qualité de nos modèles. Au final c'est un peu tout le paradoxe de ce forum : sans avoir regardé les modèles/radars, j'ai été plutôt agréablement surpris par ce qui est tombé dans mon secteur de pure plaine. Et puis dès que l'on reprend le fil de ce topic où chacun poste ses plus belles photos, prioritairement dans les coins les plus enneigés, on ne peut qu'être un peu déçu ne pas en avoir autant. En somme, une belle séquence hivernale bien que trop courte.
  21. Oui, ta carte est parlante et réaliste. En revanche, je pense que même si la différence semble faible entre tes 2 traits, ça correspond tout de même à une synoptique nettement différente à l'échelle ouest européenne. Il doit exister des contre exemple, mais dans l'idée ta trace en pointillés correspond à la carte de gauche avec un point d'entrée par le nord et non par l'ouest (situation actuelle à droite) : Ca suppose un mouvement ondulatoire bien plus marqué. Le première situation me semble la plus classique et pourtant on a un mal fou à obtenir quelque chose de similaire ces dernières années. Heureusement, GFS est là pour nous faire rêver la semaine prochaine... :
  22. Pas grand chose à ajouter Thib, je pense que tu résumes bien les différents éléments qui vont nous être défavorables. Rien que du très classique finalement avec actuellement notre pays pincé entre l'advection froide à l'arrière de la dépression et les reliquats de notre descente polaire sur le nord-est : Sauf que là où tout se goupille mal pour nous c'est qu'on se trouve effectivement sur la trajectoire du cœur dépressionnaire avec l'intrusion sèche en altitude, facilement identifiable ici au sud-est de Paris (gauche) puis quelques plus tard sur nos régions : En soi, le phénomène est classique mais sauf qu'à ce placement défavorable s'ajoute le déphasage rapide de la dépression avec le courant d'altitude. Synoptiquement c'est très esthétique lors de la phase de creusement avec cette advection douce d'origine Méditerranéenne, la puissante advection froide à l'arrière et la résistance des masses d'air froide à l'est. Les heureux gagnants seront ceux se trouvant sur cette zone de convergence facilement identifiable sur la carte de droite : Quelques heures plus tard c'est déjà plus la même limonade : en phase de comblement et se heurtant aux masses d'air froides et sèches présentes sur nos régions en raison de sa trajectoire NE, on perd totalement le moteur Méditerranéen. Le front froid rattrape un secteur chaud agonisant et clap de fin pour nos régions... Et à plus fine échelle, je me demande aussi si le flux de S/SO ne favorise pas un petit effet de foehn via le plateau de Langres d'où cet assèchement encore plus marqué en Moselle/Meurthe et Moselle, a fortiori lorsque l'on arrive en fin de front avec des intensités déjà faibles :
  23. Je pense qu'on doit prendre les dernières cartes avec beaucoup de précaution. Je serais le premier ravi avec la dernière sortie du CEP mais je suis pas loin de penser qu'on ne saura qu'en live si l'on est bien placé ou non. Je sais qu'on est sur un topic de prévision où c'est un peu le jeu de zoner le risque mais j'ai l'impression qu'il y a dans cette configuration tellement de paramètres qui entrent en compte que même ce soir on ne tient pas encore le scénario définitif : - phasage avec le jet qui déterminera le creusement - trajectoire d'évacuation de cette anomalie - la puissance de l'advection douce à l'avant avec un iso très limite qui oscille entre 200 et 400m etc... Un tel écart-type à 48h sur un modèle aussi performant que CEP ça donne une idée de la complexité à cerner la nature des précipitations et leur zonage précis : L'anomalie secondaire dans la nuit de mercredi à jeudi semble paradoxalement plus simple à cerner puisqu'elle se produira dans un contexte déjà refroidi avec donc déjà une variable en moins.
  24. Ah la vermine !
  25. Comme prévu il neige en plaine (< 300m) et comme prévu elle ne tient pas (Sarreguemines). On a beau le savoir et s'y attendre c'est toujours aussi frustrant .
×
×
  • Créer...