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hma

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  1. L'ombre de 2018 commence à planer sur la Belgique. Les prairies du Condroz et de l'Ardenne (centre et sud de la Wallonie) sont en train de perdre leur vert pâle, et en certains points c'est déjà bien sec. Une petite photo d'une randonnée dans le Condroz namurois la semaine passée pour illustrer: Par ailleurs, la courbe de l'indice de sécheresse de l'IRM plonge inexorablement vers le sec. Les quelques orages du 12 juillet n'auront fait que retenir un temps la courbe: J'imagine que ça doit être un peu pareil de votre côté. Le "bon" côté des choses, c'est que je pourrai me rendre sur votre belle Côte d'Opale en mentant à mon cerveau qui s'imaginera dans le Midi en voyant les paysages jaunis. L'état de la végétation début août 2018 dans les Flandres m'avait vraiment marqué.
  2. En Wallonie, le démarrage a été poussif au possible au début du printemps, mais juin a quelque peu rattrapé le coup (notamment le 4 juin avec l'épisode localement sévère qu'a également connu une partie de la France). Grand calme depuis le 20 juin. Nous sommes à présents entrés dans la "torpeur" juilletiste, dans le sens où un bel orage en Belgique en juillet, c'est devenu pratiquement une utopie (les deux derniers épisodes costauds que j'ai connu en juillet, c'est 2010 et 2013), au contraire d'août qui nous sert chaque année au minimum un épisode violent. Allez savoir pourquoi... De manière générale, j'ai de plus en plus l'impression que canicule et orages ne font pas bon ménage. Le coup parfait (tout du moins de mon côté), ça reste le coin d'air chaud à 15°C à 850 hPa qui dure un ou deux jours avant d'être balayé par un front froid. Les chaleurs qui durent se produisent sous de grosses cloches de hauts géopotentiels qui ont du mal à dégager franchement et qui ont le temps de bien assécher la masse d'air en-dessous. J'aurais même tendance à dire que 24-28°C sur deux-trois jours est plus propice à se finir en orages organisés que plus de 30°C sur une semaine...
  3. J'interviens rarement, mais au-delà d'une possibilité de records de température "classique", le dernier GFS propose pour le nord de la France et la Belgique des niveaux d'inconfort liés à la lourdeur que personnellement je ne pense avoir jamais vu. Des points de rosée à 27°C, c'est quand même assez sensationnel. Contrairement à l'année dernière, la canicule ne sera pas sèche, et le ressenti risque d'être vraiment très désagréable (quand on voit des humidex à 46 voire 47, ça laisse songeur...). Ca donne aussi une CAPE vraiment monstrueuse mais qui en l'absence de dynamique sera sans doute laissée en l'état (orages très rares, mais là où ça prendra, on aura tout de suite un risque sérieux étant donné les énergies mises en jeu). Si quelqu'un a des souvenirs de paramètres pareils dans un passé plus ou moins proche, je suis preneur.
  4. Attention que je fais bien la distinction entre sol superficiel et nappes (sous-sol). Ce qui peut fournir de l'humidité à l'air en basse couche, ce sont les premiers centimètres du sol. Or, ces premiers centimètres peuvent s'assécher au bout d'une bonne semaine ou une dizaine de jours. Après, je ne suis pas expert en pédologie (malgré quelques cours bien lointains à l'Université), mais pour reprendre un message suivant, une masse d'air qui remonte du golfe de Gascogne, nous sommes bien d'accord qu'à son origine, elle sera en général bien humidifiée. Par contre, si elle a, comme en 2018, plusieurs centaines de kilomètres à parcourir au-dessus de sols superficiels asséchés, elle va sans doute perdre une partie de son contenu en humidité avant de parvenir dans le nord, nord-est de la France ou en Belgique. Je suis d'accord que, ponctuellement, un lac ou un marais ne va pas fournir grand chose. Par contre, si l'on considère les échanges sur plusieurs milliers de kilomètres carrés, on arrive à quelque chose qui est loin d'être négligeable me semble-t-il. Et je pense que cela fonctionne assez indépendamment du passé météo de la saison précédente. C'est plutôt la présence ou l'absence de pluie de la semaine ou des quelques semaines précédant une dégradation orageuse qui est prépondérante. Pour reprendre l'exemple de 2018 en Belgique, nous avons connu des orages à gogo au printemps avec de réels excédents pluviométriques en certains points du pays, et quelques semaines plus tard ces mêmes endroits roussissaient sous le soleil et enregistraient des taux d'humidité relative aussi bas que 13 ou 14% fin juillet. La situation était celle d'une sécheresse surtout superficielle, tandis que les nappes, nourries par les pluies de l'hiver et du printemps, tenaient le choc (elles ont fini par descendre de manière prononcée à la fin de l'été et au début de l'automne).
  5. Une chose à ajouter aussi, c'est cette récurrence à avoir de l'air trop sec en basse couche, et ce n'est guère étonnant. A force de semaines de temps sec, le contenu en eau superficiel du sol diminue, c'est autant d'humidité en moins qui peut être fournie à l'atmosphère. 10 jours de temps bien sec peuvent déjà bien diminuer ce contenu. Et quand on ajoute la mise en stress hydrique de la végétation à force de sécheresse, c'est de l'évapotranspiration en moins aussi. Et tout ceci est bien entendu déterminé par le placement des dépressions et anticyclones, on en revient à notre problème de base. Dans ce contexte, il n'est guère étonnant d'avoir pourtant une certaine instabilité, un poil de dynamique d'altitude, mais des convergences préfrontales qui se ratent en "dégradation silencieuse" faute d'humidité, et qui ne donnent rien d'autre que des rafales plus fraîches et quelques castellanus nargueurs. Ca arrivait de temps à autre auparavant, mais l'année passée ce cas de figure s'est produit plusieurs fois. Ou alors si l'instabilité est vraiment élevée et que la dynamique suit, on se retrouve avec des cumulonimbus dont les bases planent à 3 ou 4 km d'altitude, comme ce fut le cas pendant la canicule de fin juillet-début août. Dans nos contrées, ça arrive très rarement. Mais à moins d'une CAPE vraiment énorme, ces orages à base élevée sont les rois des intranuageux et du tonnerre ronronnant. Pas vraiment l'orage recherché non plus...
  6. Pour que ça soit clair pour tout le monde ("dynamique" étant quelque chose de très générique), quand tu parles de dynamique supérieure pour les étés 2015, 2016 et 2017 sur le nord de la France, tu parles bien de cet espèce de flux d'ouest relativement rectiligne absolument anti-orageux? J'ai volontairement pioché à la même date d'années en années pour la simple et bonne raison que la dernière décade de juillet et la première d'août ont toutes les trois vu se produire un hiatus dans la saison des orages en Belgique (j'ignore pour le nord de la France, mais ça ne doit pas être fondamentalement différent j'imagine, corrigez-moi si je me trompe). En clair, pour que la dynamique soit favorable, elle ne doit pas être trop importante (cfr les cartes) ni complètement absente (comme ce fut souvent le cas l'été dernier, par succession de cloches anticycloniques). En somme, il doit y avoir un peu de dynamique sous la forme d'une ondulation du Jet-stream advectant des bouffées de chaleur instable et donnant le coup de pouce (divergences en altitude). Pour en revenir à cette dynamique "accrue" ces derniers étés, il y a sans doute un parallèle à faire avec la tendance d'étés plus humides que la normale sur les Iles britanniques depuis une dizaine d'années, pendant que régulièrement le Midi fond sous la canicule et la sécheresse: Britain’s recent wet summers can be blamed on the Atlantic jet stream, says new study. Je lirai l'étude à tête reposée.
  7. Pareil ici en Belgique, à force d'entendre autour de moi qu'il y a "moins d'orages qu'avant", ça finit par poser question. Pour ma part, si pour moi le nombre d'orages ne diminue pas, c'est le nombre de gros multis ou de MCS venant de France qui fait clairement défaut depuis plusieurs années. Début des années 2000, il était assez fréquent que j'entende dire de mes grands parents qui regardaient Roland Garros quelque chose comme "il y a de l'orage à Paris, il sera chez nous ce soir". Ca marchait régulièrement... Chaque année, nous avions ces systèmes orageux qui remontaient, et on savait qu'ils allaient arriver chez nous très actifs. 2014 est la dernière année de ce genre. Depuis, pour résumer, soit on a des orages qui meurent devant le massif ardennais, soit qui se créent à la frontière, mais l'un comme l'autre, c'est beaucoup plus compliqué pour les nerfs quand on fait un peu de chasse. L'avantage avec les MCS "d'antan", c'est qu'on avait tout le loisir d'aller s'installer sur les crêtes du Condroz et de voir les premiers éclairs à l'horizon en sirotant une bonne bière (cliché bonjour). A présent, dans ce genre de configuration de SO, c'est soit le déplacement pour rien, soit la prise de court et la recherche d'un spot en urgence. Par contre, ce qui est clairement en augmentation pour ma part, ce sont ces orages mous de marais barométrique à léger flux d'est, dans une ambiance brumeuse où on ne voit rien. Par contre, niveau flotte ça y va, et les inondations des dernières années en Belgique leur sont imputables pour une grande part. Je n'ai jamais connu autant de combos "18°C-90 %-cinquante nuances de gris-déluge soudain-éclairs invisibles du fait du brouillard" que ces dernières années. Les orages violents existent toujours, mais sont plutôt le fait de cellules ou d'amas de petite taille qui explosent d'un coup sans qu'on ait le temps de "voir venir de France". Au cours de la saison, la répartition a aussi, selon mon impression (mais partagée par quelques collègues amateurs d'orages), une tendance au changement: juillet est devenu un quasi désert en la matière, de telle sorte qu'on sait limite qu'on peut ranger le matos et vaquer à d'autres occupations entre début et fin du mois. Même juin qui était, aussi loin que je m'en souvienne, le mois des beaux et/ou violents orages quand j'étais plus jeune l'est à présent beaucoup moins. A l'inverse, août qui ne m'a jamais donné ce genre de manifestations commence à le faire depuis plusieurs années déjà. Les intersaisons ont par contre tendance à devenir plus "violentes", dans le sens où avril et début mai présentent depuis une dizaine d'années des choses dignes de l'été... et qu'on n'a parfois par au coeur de celui-ci. Encore la semaine dernière, le Hainaut belge a connu deux orages très électriques et grêligènes, à tel point qu'on a du déblayer les dépôts à la pelleteuse. Chose qui n'arrivait pas il y a dix ou 20 ans (pour autant que je m'en souvienne). 2014, 2016 et 2018 ont aussi connu de forts orages en avril. Pour l'automne, la tendance est moins claire, mais depuis cinq ou six ans, septembre (voire début octobre comme l'an passé) ont aussi tendance à donner de beaux orages. Concernant l'explication, il me semble effectivement difficile d'en donner une, mais comme on voit la tendance à avoir soit des cloches de hauts géopotentiels soit des espèces de "pseudozonal estival" comme cela est arrivé fréquemment ces derniers temps au cœur de l'été, ça pose question...
  8. Côté belge jusqu'à présent: Province de Flandre occidentale 112 km/h à Beitem 112 km/h à Oostende 119 km/h à Zeebrugge Province de Flandre orientale 108 km/h à Melle Province d'Anvers 123 km/h à Stabroek 105 km/h à Anvers-Deurne 101 km/h à Sint-Katelijne-Waver Province de Limbourg 112 km/h à Diepenbeek 101 km/h à Schaffen 94 km/h à Kleine-Brogel Province de Hainaut 97 km/h à Chièvres 101 km/h à Charleroi-Gosselies Bruxelles + Brabants 101 km/h au site de l'IRM à Uccle 112 km/h à l'aéroport de Zaventem 90 km/h à Beauvechain Province de Namur 97 km/h à Florennes et à Ernage Province de Liège 94 km/h à Bierset et au Mont-Rigi Province de Luxembourg 101 km/h à Humain et à Saint-Hubert Nombreux dégâts et malheureusement une victime à l'heure actuelle.
  9. Du côté de Namur en Wallonie: - le front froid d'Eleanor le 3 janvier, avec des rafales plus vues depuis plus de 10 ans - l'orage du 29 avril venu de France, précoce par sa violence. Rien à mon niveau, mais gros dégâts dus au vent une dizaine de kilomètres au sud. - le mois de mai et ses orages quotidiens, mais esthétiquement rien de très intéressant - l'orage du 1er juin sur Liège sous lequel il a plu à seaux pendant des heures, importantes inondations à la clé. Renommée au-delà de nos frontières pour "la chaise à papy" - la sécheresse interminable, où les paysages roussis faisaient davantage penser à l'Albigeois que je connais bien qu'à la Wallonie. En y ajoutant les 30-35°C, on y était - les orages d'août, les premiers survenant par air sec, avec des bases planant à 3 ou 4 km d'altitude. Mention pour ceux de la nuit du 7 au 8 août, le fait de se faire survoler par ces ovnis clignottants et vrombissants dans l'air calme était vraiment particulier. - le bow echo de la nuit du 16 au 17 août, avec le combo grêle-rafales destructrices-pluie à l'horizontale-activité électrique incessante. Premiers dégâts dans l'Avesnois (à ma connaissance), les derniers au sud de Liège. A mon niveau (sud-ouest de Namur), jamais vu autant d'arbres et de branches abattues par le vent. Pour donner une idée: Nuit orageuse du 16 au 17 août en Wallonie. - Et depuis... un calme météorologique d'un ennui mortel.
  10. En repassant les images infrarouge de la dernière heure, c'est à se demander si ça n'a pas tourné au sting jet au large, plutôt au niveau du nord-ouest de la Sardaigne qui se trouverait en bout de course de celui-ci. L'effilochage de la pointe nuageuse était davantage marqué il y a une demi-heure - une heure qu'à présent. Ceci étant, je dis ça sans connaissance de la présence ou non des conditions requises pour le phénomène, qui plus est se joue à une échelle inférieure à celle qui nous est habituelle. Simple supposition donc.
  11. La circulation serrée de Adrian commence à se voir nettement sur les images satellites visibles, à l'ouest de la Sardaigne. Dommage qu'il n'y ait pas de bouées météo dans ce coin...
  12. Ce creusement a beau être de petite taille, c'est quand même d'une violence quasi inouïe. Arome qui modélise des pointes au-delà de 200 km/h à l'ouest de la Sardaigne. C'est un fait que le phasage est bon entre l'anomalie de surface et l'anomalie d'altitude, la sortie gauche du Jet. Mais tout de même...
  13. De retour juste à temps de dix jours dans le sud de votre beau pays (fin du HS). Je tente un parallèle compliqué avec la présentation sat d'Ophelia au même stade, et il semble fort probable que la transition extratropicale soit en effet en cours d'achèvement. Le dernier puff de convection s'effondre, donc sauf surprise, ça n'a plus la tête d'un cyclone. A moins d'une surprise... EDIT: encore été trop vite... la suite du topic l'a confirmé.
  14. Pour le coup, ça ressemble bien à quelque chose...
  15. C'est pour cela que, pour ma part, je reste dubitatif sur la nature du système. Le champ de pressions reste assez lâche, et le détachement des fronts va se faire assez tard, sans doute juste devant la Grèce. Et pour ce qui est d'un coeur chaud, on en a déjà vu des plus prononcés. A voir...
  16. D'autant plus que sur les dernières images satellites, la plaque de cirrus qui s'étend à son nord prend de plus en plus les aspects d'une "barocline leaf", l'un des premiers signes vers une extratropicalisation. Il y a un front ondulant qui traîne sur les Carolines justement. Toute proportion gardée, j'ai l'impression de revoir Sandy, ce "bâtard" d'ouragan avec une couronne externe proche des dépressions extratropicales et dans le tas le coeur interne qui reste tout à fait tropical. Le fait que le champ des vents soit en train de s'étendre est aussi un signe. Cette extension du champ des vents va surtout déboucher sur une houle de cinglés. Selon le NHC des vagues aussi hautes que 25 mètres ont été détectées dans le cadrant droit de l'ouragan.
  17. Il termine un cycle de remplacement du mur de l'oeil, on voit bien le nouveau mur au sud de l'ancien oeil qui se comble. D'ici quelques heures, on pourrait donc se retrouver avec un Florence à l'oeil grand ouvert, annulaire, plus large en termes de champ des vents et bien armé pour tirer plein profit des eaux chaudes qui lui passent en-dessous tout en se "murant" contre les éventuelles attaques externes (cisaillement, air sec...). Pas spécialement une bonne nouvelle pour les côtes...
  18. De fait, un front froid lui colle aux basques, mais c'est bien quelque chose de tropical ou tout du moins à peine altéré qui atteint la Galice ou le sud du Portugal sur GFS. Après en termes d'intensité, on est dans la faible tempête tropicale, voire une dépression tropicale. Une espèce de Vince un peu plus au nord.
  19. La convection est impressionnante sur les dernières images satellites. On devine notamment des "hot towers" dans le mur de l'oeil, ainsi qu'une certaine activité électrique. La littérature semble indiquer que ces deux éléments sont des précurseurs immédiats d'une intensification rapide d'un cyclone. Affaire à suivre. Plus d'infos sur les hot towers: https://en.wikipedia.org/wiki/Hot_tower
  20. Je ne pense pas que ce soit juste une question de cycle de renouvellement du mur de l'oeil. Ici on voit bien que tout le système se bat contre le cisaillement, les renouvellements se font dans les cyclones puissants, symétriques et donc en bonne santé. Même le flux sortant en altitude (les "rayons" de nuages) est ici à la peine, contrairement à hier où il était bien établi.
  21. Effectivement, sur les dernières images satellites, Florence a la tête des cyclones qui mangent du cisaillement. Le coeur est pratiquement ouvert, j'étais même assez surpris que le NHC n'ait pas davantage diminué son intensité. La petite taille du système le soumet à des variations importantes d'intensité (parfois presque pour un oui ou pour un non, on l'a vu hier). Par contre, ça allume la convection un peu partout, on a ainsi quelques belles tours convectives...
  22. Le dernier bulletin du NHC ajoute aussi que le cyclone évoluerait dans une petite région où le cisaillement est un poil plus faible que modélisé. Etant donné qu'on est en plein océan, la fiabilité des paramètres modélisé n'est pas aussi forte qu'à proximité des continents. Les eaux seraient aussi un poil plus chaudes. Et en plus cette histoire de PWAT. Bref, un cyclone d'un opportunisme implacable.
  23. Effectivement, au NHC on semble se tirer les cheveux. Sur Twitter, on évoque notamment le fait que Florence est actuellement dans une zone très humide (PWAT > 50 mm), ce qui tendrait à "protéger" le cyclone. Et la tendance qu'a le système à devenir désormais annulaire pourrait encore déjouer les modélisations.
  24. Je ne sais pas ce qui se trame sur GFS et ECM en mer du Nord, mais ça me semble sortir un peu de l'ordinaire... Grosse séclusion chaude, voire quelque chose qui ne tourne plus à 100 % à l'instabilité barocline. Je sèche un peu, mais en tout cas le duo "coeur chaud peu profond" et "symétrisation" a attiré mon attention. EDIT: sur le 18z ça n'y est plus. C'était sympa, merci GFS!
  25. hma

    Le football sur IC #2

    Aller une petite blague de Belge en passant, merci Lloris pour cette boulette qui offre le titre de meilleur gardien du monde à Courtois, super fair-play! Plus sérieusement, bien joué les Bleus. Avec un jeu certes pas super mais une tactique bien rôdée. Etant un adepte d'une défense imperméable avant de songer à empiler les buts, je ne peux que tirer mon chapeau.
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