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ChristianP

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Tout ce qui a été posté par ChristianP

  1. Sans le Td, je ne vois pas trop où est la lourdeur dans une T seule de 22.8° (même avec 40° à cet horaire /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) Dans une étude sur le nb de jours de chaleur lourde dans un coin de l'Italie près de la médit, la chaleur lourde était définie par un Td > 18° arrondis (plus précisément 21 hPa) avec une T > 21°, la chaleur très lourde Td > 22° (26 hPa) et une T > 24°.
  2. Tx 26.6°, le record faiblard d'avril égalé hier (26.7°) tient toujours. Le record de mars est plus élevé ici : 27.7°. Avril est le mois qui s'est le plus refroidi dans le secteur (-0.2° dans les dernières normales par rapport aux normales 61-90). Ma moyenne du nb de jours à 25° n'est que de 0.9 j en avril. Dans les 9 dernières années, il n'y a eu que 3 mois d'avril avec au moins une Tx >= 25°. Un mois à oublier ici pour un amateur de chaleur.
  3. Tx 26.7° à Besse qui égale le record du mois d'avril depuis l'ouverture en 93 (le record potentiel à Besse si la station avait été ouverte depuis 1949 ans, tournerait autour de 29°). C'est le premier jour à 25° de l'année. Tn 6.5°.
  4. Salut Mike Oui c'est clair qu'avec ta ventilation à cette hauteur, tes valeurs sont bien représentatives. Je trouve d'ailleurs dommage que les normes n'aient pas encore évolué vers un abri à 10 m au-dessus du sol depuis que les stations auto existent (enfin c'est toujours pareil il faut pouvoir continuer à comparer avec les manuelles et les anciens relevés à 1.5/2m pour les facilités d'accés à l'époque ) D'après des spécialistes, ça éviterait pas mal de biais dus au site, aux diff de sol et à un manque de ventilation. Aux US un des réseaux haut de gamme comporte un abri à 2 m et un autre à 10 m (dégagement mini de 20 fois la hauteur des obstacles autour des stations /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> ). A une époque j'avais placé une Vantage à 10 m sur mon mât (donc 10 m d'air sous l'abri, pas de toit), je captais rapidement les changements de masse d'air en évitant les problèmes de rayonnements trop près du sol. A 10 m, je relevais des écarts de -1° en Tx moy et de +1° en Tn moy. Les plus gros écarts se produisaient quand le Mistral se levait en fin de nuit froide. La couche d'air froid plus bas se dissipait plus tard, j'avais parfois plus de 3° d'écart en instantané. Bonne soirée
  5. C'est du bon matériel mais il est plus que délicat à exploiter en station climato permanente, tant qu''il n'y aura pas une interface mémoire déconnectable du micro, pour éviter de risquer de le perdre presque à chaque impact trop proche, avec le port série branché et relié au câble qui va jusqu'à l'anémo/station sur un mât. (ou pour éviter de perdre les relevés en déconnectant la station du port série quand on le souhaite, par ex pour la maintenance du micro, ou pour éviter les coupures pendant le redémarrage du micro. Quand il y a un plantage en plein gros Mistral, ça me ferait mal de rater des maxi pour cette raison alors que la station est de qualité)Le logiciel ne suffira pas à la rendre assez efficace à ce niveau, sans une mémoire déconnectable du micro. Sinon pour le prix, vu le type de capteurs pro, la facilité et le temps de maintenance qu'elle offre et si on raisonne sur le long terme, elle est donnée.
  6. Salut Mike, /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Intéressant tout ça ! J'ai regardé de plus près la situation. Plan MF : http://www.sandre.eaufrance.fr/REF/PLUVIO/30003001 (tu vas pouvoir nous dire si le pointage est bon) Vue aérienne (récupérée dans l'annuaire) du secteur avec à priori l'emplacement donné par MF, pointé en rouge : http://meteo.besse83.free.fr/imfix/aigues-mortes.jpg Les Tn sont plus souvent relevées par vent faible que les Tx, elles sont donc plus souvent influencées par l'environnement et les surfaces les plus proches. Donc dans le cas d'Aigues-Mortes, il n'est pas étonnant (si le pointage est assez juste : station aussi entourée d'eau même si elle était placée ailleurs) que toute cette eau soit capable de donner des Tn relativement élevées à 1.5 m (par rapport à un sol standard dans le même rayon que le plan) et plus proches de celles à 15 m sur ton toit, si ton secteur très proche autour de l'immeuble ne comporte pas autant de surfaces d'eau dans le même rayon que le plan. Je pense que tu peux descendre l'abri de 50 cm sans problèmes pour les Tx y compris l'été, vu que ton toit de gravier est moins chaud et moins étendu qu'un sol de terre du SE l'été et que ton coin est ventilé. Pour les Tn je ne sais pas qu'est-ce qui l'emportera l'été, entre une moindre ventilation favorisant la baisse des Tn, et l'influence du toit plus chaud aux belles saisons ( l'hiver l'énergie accumulée étant faible, le toit plus proche ne devrait pas géner, s'il est assez isolé de l'appart dessous, tu devrais obtenir une petite baisse bénéfique des Tn qui pour moi, restent chaudes par rapport à celles que tu trouverais en bas après le passage d'un bull /emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) Enfin l'idéal ce serait de réaliser des mesures en double avec des thermos identiques ((thermos bien étalonnés car les écarts à détecter ne permettent pas l'à peu près) avec un autre 7714, 50 cm plus bas que ton abri actuel (sinon vaut mieux faire la modif un 1er janvier à 0h TU pendant le réveillon /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> ). Ce qu'il serait intéressant d'étudier, ce sont les Tn et Tx par vent soutenu venant de la station d'Aigues (> 30 km/h/10 mn dans les 2 stations pour être certain d'avoir la bonne vitesse >18 km/h de vent au niveau de l'abri à 1.5 m à Aigues-Mortes et ainsi exclure un biais dû à une diff de ventilation des 2 abris) quand le ciel est stable par ciel clair toute la journée (pas de nuages portant une ombre sur la zone des 2 stations dans toute la journée ) ou totalement couvert (peu lumineux toute la journée). Il faut éviter les variations du rayonnement dans la journée ou dans la nuit. Même un décalage de qq nuages peut jouer sur les Tn si ces qq nuages se trouvent pile au-dessus de l'abri d'une des stations. Normalement, tu devrais récolter les plus faibles écarts, les + "purs", dans ces conditions et donc ils serviront de base pour étudier d'autres cas plus difficiles où les conditions météo, les directions de vent, et/ou sites, vont jouer bien plus et rendre les explications plus délicates tellement il y a de variables. Si le cas se présente, à voir si ces écarts varient pendant une période où les salins les plus proches autour de la station d'AM, sont totalement asséchés.
  7. Il vaut mieux éviter cette solution, un ventilo a un moteur, ça fabrique du chaud, ça reste gérable avec des précautions, mais plusieurs ! C'est aussi pour cette raison qu'on ne souffle pas avec un ventilo vers une sonde pour éviter le réchauffement direct par convection. Mais même en aspiration, il reste le rayonnement des moteurs bien plus chauds que les parois internes d'un abri. Un ventilo nous refroidit surtout par évaporation de l'humidité/sueur sur la peau, mais c'est justement quand il y a condensation qu'il ne devrait plus tourner dans un abri pour éviter de fausser la mesure par effet psychrométrique. Dans l'abri, il ne fait que tenter de mettre en équilibre plus rapidement la T des matériaux avec celle de l'air. Dans les meilleurs abris ventilés, le ventilo est déporté loin de la chambre où se trouve le capteur (il aspire l'air par un très long tube, et bien entendu toutes les parois sont concernées par la ventilation ) Même en aspiration un ventilo d'abri un peu trop proche du capteur, a une influence sur la T (ça été mesuré pas les spécialistes. Ici ça sautait aux yeux si je montais le capteur vers le ventilo du Davis (modèle 24h/24h pourtant pas très thermique comparé aux 12 V que j'ai ensuite testés pour augmenter la vitesse de ventilation dans le Davis)). Dans le cas d'Eric, le ventilo n'est pas efficace à cause de ce boîtier qui isole beaucoup trop le composant de T, du flux. Il est indispensable de sortir ce composant (ou de supprimer le boîtier, il n'y a déjà pas photo entre un capteur avec filtre Davis, alors qu'il n'est pas aussi fermé qu'un boîtier) Dans son cas, il vaut mieux le transformer en capteur ventilé et non le modifier en abri ventilé, ce qui nécessiterait un gros ventilo en aspiration dans le toit. L'aspiration devrait être telle, qu'il faudrait être certain qu'il débite assez pour pomper aussi l'air par le fond et les autres ouvertures des parois intérieures (et pas seulement par les premières ouvertures du haut des parois faute de débit suffisant. Sinon on n'équilibre pas les parois de l'abri et on ne renouvelle pas grand chose). Autant dire qu'on devrait brancher un sacré modèle sur ce grand abri aux nombreuses ouvertures (c'est plus simple de ventiler un abri à chambre, mais il ne tolère aucun arrêt de ventilo). Thermo ventilé par ex : thermo placé en bas d'un tube avec aspiration par ventilo en haut de ce tube simple assez long pour éloigner le ventilo, le tout placé dans l'abri. Le thermo ventilé ne permet pas de refroidir les parois de l'abri et vu le cloisonnement, si l'abri n'est pas à l'ombre, elles sont trop chaudes aux belles saisons, donc il obtiendra bien moins de gains sur ce site, que dans un abri réellement bien ventilé (parois complétement ventilées en aspiration). Sur son site, placer son abri dans une zone à l'ombre l'été/fin de printemps, sous un arbre (qui n'aura plus de feuilles l'hiver) sera plus efficace qu'une ventilation méca qui n'évacuera pas le surplus de chaleur du sol et du site clos. Dans ce cas, il sera certain que les parois ne surchauffent pas et que le sol proche de l'abri ne sera pas trop chaud, faute de ventilation naturelle. J'ai fait des essais ici pour voir le comportement d'un abri 7714 placé en classe 4 cloisonnée à l' ombre d'un arbre (ombre complète dès 9h30 le matin et pendant tous les horaires chauds à la belle saison, complétée par l'ombre portée en début de soirée, par d'autres obstacles). Les Tx ont toujours été très correctes par rapport au poste en classe 2. L'abri 7714 à l'ombre était à 10 m de l'abri MF en classe 4 qui a pourtant relevé 2 fois 40° pendant ces essais et des surchauffes courantes de 2 à 3°. Les Tn ont été un peu plus douces mais dans le cas d'Eric (site très difficile), ça ne changera pas grand chose par rapport au gain obtenu sur les Tx. Sinon un abri ventilé méca à chambre est simple à bricoler. On peut le réaliser avec 3 tubes simples de diam différents (pas de coupelles autour), surmontés d'un large double toit avec lames d'air (2 soucoupes blanches très larges par ex), pour que le tube externe soit bien à l'ombre. Les tubes constituent une chambre à 3 parois avec une lame d'air entre chaque tube, avec un ventilo en haut (pratiquement du diam du plus gros des tubes,) capable d'aspirer un assez gros volume en un temps donné pour que la vitesse dans les tubes soit assez importante. Ne pas oublier de réaliser un déflecteur à la base des tubes (ouverture en chicane, le capteur ne doit pas être visible du dessous si le flux ne dépasse pas 5 m/s). Il faut calculer à peu près la vitesse dans la chambre (hors effet venturi) en fonction du volume de la chambre d'après les données constructeurs du ventilo. Un ventilo trop faiblard ne sert pas à grand chose. Il faut obtenir au moins 2.5 m/s, à partir de 5 m/s c'est mieux pour limiter l'influence d'éventuels défauts de conception. Installer un ventilo c'est bien, mais ensuite il faut veiller à ce qu'il y ait toujours un débit assez constant. Faute de mesure de la rotation, ça nécessite de le changer très souvent à périodes régulières avec un modèle identique qui débite autant, pour éviter les dérives importantes si on n'est pas à cheval sur cette maintenance. Un abri ventilé mal suivi au niveau ventilo, c'est le meilleur moyen d'obtenir des relevés incomparables avec ses propres relevés (très rapidement dans le temps)
  8. Les Suisses utilisaient déjà des thermo ventilés performants dans des abris standards, là c'est encore un niveau au-dessus. C'est un abri thermo/hygro ventilé à miroir de point de rosée permettant une mesure du point de rosée plus précise. Ce système est une usine à gaz, il y a un miroir de 2 mm qui est refroidi (pour faire apparaître la condensation détectée ensuite par la variation d'un rayon lumineux), il a même un petit essui glace qui s'active automatiquement selon la détection du niveau de salissures, le boîtier est réchauffé, le tout est régulé automatiquement en fonction de la T, la ventilation méca varie aussi d'après des calculs élaborés, en fonction de la HR et de la tension de vapeur... Pour la Suisse ce n'est pas obligatoirement le meilleur choix, car cet abri/capteur surchauffe de plusieurs degrés quand il est totalement bouché par la neige/givre. C'est un système surtout plus performant pour la mesure du point de rosée (+- 0.25° ) qu'il vaudrait mieux installer dans les régions où la neige et le givrage important ne sont pas fréquents. Enfin quand les systèmes soniques seront bien étalonnés dans les vents forts, ce sera beaucoup moins cher de récupérer une mesure bien plus précise et abordable pour le particulier moyen.
  9. Oui :!: , une piscine c'est une source de chaleur artificielle assez significative pour la distance et le rayon concernés. Mais ne t'en fais pas, ça se jouera de quelques dixièmes sur ton site assez ouvert et cet écart sur Tn ne sera pas systématique. Ton site est assez ouvert, c'est l'essentiel, on ne verra pas de valeurs anormales avec cette bonne installation (avec le champ d'en face, probablement en classe 1, si tu as un autre 7714, tu peux t'amuser à essayer de détecter les éventuels mini écarts :!: )
  10. Salut Mike :!: Oui le béton avec du gravier est moins chaud la nuit que le béton sans gravier, mais d'après mes lectures de topoclimato urbaine, un toit en béton avec ou sans gravier est plus chaud la nuit qu'un toit de tuiles rouges, qui se comporte à peu près comme un sol de rase campagne (au niveau de l'IR). Ce qui ne veut pas dire qu'il fera aussi froid dans un abri sur un toit de tuiles rouges plus loin du sol, qu'en rase campagne à 1.5 m du sol ! C'est le jour que la tuile est plus chaude mais pas plus qu'un sol de terre sèche avec herbe clairsemée, l'été dans le SE (mesures au radiomètre par des pros). Enfin il y a d'autres paramètres qui jouent ensuite pour la T de l'air sous abri sur le toit en tuiles rouges. Comme ici le poste est normalisé, j'avais voulu voir le comportement du toit face au poste. Pendant l'été 2003, dans un 7714 j'ai relevé des Tx légèrement plus faibles (systématiquement) sur mon toit (le toit est relativement bas car mon habitation est une restanque plus bas que le plateau ou se situe la station, donc hauteur d'installation de 3.2 m au-dessus du sol où se situe le poste MF à une cinquantaine de mètres) et des Tn légèrement plus chaudes. Ces différences minimes ne vennaient pas des tuiles mais de la hauteur supplémentaire et des pentes qui font que la hauteur est rapidement plus importante autour de l'abri qui ne peut bénéficier d'assez de rayonnement d'autant plus que l'on s'éloigne de l'abri (froid la nuit, la tuile rayonne bien et refroidit plus qu'un gravier sur un toit. J'avais testé la T à 2 m au-dessus de la faîtière, ça s'est dégradé, encore plus frais en Tx et plus chaud en Tn, ). La meilleure mesure des Tx et des Tn dans l'absolu ici (en prenant aussi celles du poste normalisés), ce sont les Tx Tn relevées 1.5 m sur mon toit, car c'est cette position qui donne les valeurs les plus proches de celles qu'aurait donné un abri ventilé méca de qualité (l'abri ventilé méca 24h/24h Davis a été lui même légèrement moins chaud en Tx et légèrement moins froid en Tn que le poste de réf). Des pentes quand elles sont descendantes des 2 côtés sur un toit standard, sont favorables afin de limiter (même trop) l'influence des tuiles, car l'abri sera d'autant plus loin des 1.5 m/2m de haut par rapport aux tuiles. Du moins pour ceux qui respectent les 1.5 m au-dessus de la faîtière, point le plus haut du toit. Ce sol virtuel est fuyant des 2 cotês, et donc la surface chauffante est plus basse que si le toit était plat. Un toit avec 30% de pente aura les tuiles à 3 m sous l'abri à 5 m de l'abri. le surplus de lame d'air est largement suffisant pour que l'air à ce niveau soit moins chaud que l'air au dessus d'un toit plus froid le jour mais plat donc toujours à 1.5 m sur cette distance. Ca chiffre vite ici malgré la faiblesse relative de la hauteur du toit (pas favorable à d'importants refroidissements des Tx), avec +50 cm (passage de 1.5 m à 2 m de la faîtière) les Tx se sont refroidies de -0.5° en moyenne, soit un total de -0.8° par rapport au poste MF (-0.3° pour 1.5 m de la faitière). De plus une pente de toit sud est compensée par une pente nord plus froide. Le toit à 2 pentes avec l'abri +1.5 m du faîte, n'est pas comparable au cas du terrain sur un versant quand l'abri se trouve dans la pente. Vers le haut de la pente, on n'a plus du tout les 1.5 m sous l'abri dans le rayon préconisé par la classe, selon le pourcentage de pente. Quand la pente est trop significative, c'est équivalent à un mur particulèrement épais, rayonnant très près de l'abri et coupant la circulation d'air (comme la pente où est situé l'abri à Conqueyrac par ex, d'où les 44° dans un Cimel en prime ) Il faut bien entendu tenir compte de la surface du toit ( plus il est grand et plus il aura de l'influence par temps calme mais toujours moins qu'un sol plus étendu et pas naturel) et de l'importance du vent sur la zone (plus c'est venté et plus l'influence des matières du toit devient négligeable). Les plus gros écarts sur le toit ici ont été observés l'hiver avec neige sur le toit, de 1° à 1.2° (de tête). Le toit ici garde la neige bien plus longtemps que le sol (ou que du gravier très épais relativement blanc ici avec la même exposition solaire). Attention mes écarts donnés ici ne sont pas transposables chez ceux qui disposent d'un site trop cloisonné et/ou trop urbain/artificiel, car l'installation sur un toit est justement un compromis pour compenser plus ou moins la surchauffe/refroidissement (selon les cas d'ombres portées très importantes l'hiver) à 1.5 m du sol de ces sites trop fermés ou trop artificiels. La T à 1.5 m du sol (et plus haut) en site non conforme, n'est pas celle que l'on relèverait aux mêmes niveaux, si on rasait tout ce secteur non normalisé, pour le rendre classe 1 et 2. L'air arrivant au niveau du toit d'une construction donnée en zone artificiellement/cloisonnée, est artificiellement plus chaud que celui arrivant sur le même toit isolé et dégagé en rase campagne. L'installation sur le toit permet une bien meilleure représentativité qu'un site trop fermé/artificiel. La ventilation naturelle d'un site (celle mécanique d'un abri est insuffisante) est la base de toute mesure de T représentative (avant même l'installation d'un bon abri, une sonde vraiment minuscule, donne de meilleures mesures hors abri en plein soleil en site ventilé, qu'une sonde dans un abri MF placé en classe 4 naturelle cloisonnée que dans un secteur). Je reviens enfin à ton cas de toit terrasse + gravier. Dans ton cas de zone souvent ventée, la matière du toit influencera peu les valeurs finales (hors jours de vents faibles à ce niveau aux horaires des valeurs finales). Avec ce bon brassage fréquent, c'est la hauteur supplémentaire qui fixera l'écart de tes Tx Tn par rapport à une installation à 1.5 m (site 1 ou 2 au même endroit) La ventilation constante n'est pas un facteur de refroidissement des Tn, au contraire ça chauffe les Tn. D'après moi si on comparait tes Tx Tn avec une installation normalisée à l'endroit exact où tu te trouves (donc après avoir tout dégagé et rasé pour être classe 1 et 2) Il ne fait aucun doute que tes Tx seront trop faibles (tu as moins d'écarts à compenser sur ce site que d'autres plus urbains et moins ventés) et tes Tn trop hautes, du fait de la hauteur plus importante qu'une habitation standard et que c'est un immeuble avec toit terrasse+ gravier, moins favorable aux Tn fraîches. Tes Tn ne peuvent pas être trop faibles, sauf problème de capteur ou d'abri, ou de référence. Quand tu n'as pas le toit qui influence la surchauffe des Tn par temps calme, tu as le vent et la diff de hauteur qui les chauffent plus qu'en bas (en bas = cas du site qui a été normalisé à cet endroit). Par contre il est tout à fait possible et courant de relever des Tn plus froides (mais pas TROP froides dans l'absolu par rapport à un site conforme au même endroit) sur un toit, qu'en bas de l'immeuble (ou de la maison) quand le site à 1.5 m et le sol sont trop artificiels, trop fermés et que le sol est plat sur une bonne étendue. L'énergie stockée la journée ne s'évacue aussi bien que sur un toit très dégagé, et il y a bien plus de surfaces de matériaux accumulateurs, verticaux et au sol autour d'un abri dans ces cas, que sur un toit qui ne fait office que de sol artificiel très limité en surface sur l'horizon par rapport au sol plat (même sur mon véhicule à environ 2.5 m du sol, dans la Vantage mobile il y fait légèrement trop chaud en Tn (+0.2° en moy) malgré le froid de la carrosserie à quelques dizaines de cm de l'abri, la diff de hauteur par rapport au sol a plus d'influence que la carrosserie très proche mais très limitée en surface). :!:
  11. Avec la piscine à cette distance, tu es probablement classe 3 (assez bonne classe 3 pas cloisonnée, donc pratiquement pas de surchauffes des Tx, la piscine joue plus sur tes Tn )
  12. Salut Je n'ai pas pu te répondre plus tôt. Elle a l'air très correcte. Qu'est ce qu'il y a derrière la haie et la palissade (nature du sol,bricoles artificielles et autres constructions, piscine... )? Cette palissade et ta maison sont à combien de mètres ?
  13. Et oui c'est dommage qu'on n'utilise pas le pluvio international (conçu avec 10 ans d'études pour l'OMM) qui comporte des écrans énormes (utilisé par les US dans le meilleur de leurs réseaux haut de gamme). Je ne connais pas le site de la station du Puy de dôme, mais ce n'est pas parce qu'une station est située sur un sommet qu'elle sera classée 5. Heureusement que le vent ou un sommet ne déclassent pas un site. Il suffit qu'elle soit située sur une petite partie pas trop pentue du sommet et assez dégagée dans le rayon de 30 m pour être classe 2 , ou 1 si elles est assez dégagée sur 100 m en respectant les critères de pourcentage de pente près de l'abri (il peut y avoir un précipice à 100 m, elle sera classe 1) En montagne malgré de bons dégagements, des stations sont classées 5 parce que l'abri est à plus de 2 m du sol pour éviter les problèmes de hauteur de neige. Ca signifie que la station sera moins froide en Tn et moins chaude en Tx que si elle était située entre 1.5 et 2 m du sol. En fait, en étant classe 5 pour cette raison, une station est plus représentative de la masse d'air car moins influencée par le sol (mais classe 5, incertitude plus importante, moins comparable avec les autres). Pour le pluvio, s'il est plus haut que 1 m au-dessus du sol, il y aura plus de pertes que celles que j'ai indiquées pour 1 m. L'automatisation de la mesure des précipitations a induit une baisse plus que virtuelle des précipitations (entre un SPIEA et un certain pluvio auto par ex, perte annuelle de -12%, ça peut monter à -20% selon la station), hors problème de vent et de site. D'où l'inutilité de comparer l'évolution des données brutes des différentes normales sans avoir la date des changements de matos, de site, même pour les dernières vendues à prix d'or sur la climathèque (perso je ne m'amuserai pas à comparer des données même très récentes, si on ne sait pas quand la station est passée d'un modèle de pluvio auto à un autre auto différent...) Pour le Puy, il suffirait qu'une nouvelle construction aient été installée entre la direction du vent courant par temps de pluie, et le pluvio, pour tronquer un max le cumul réel.
  14. ChristianP

    Vantage Pro 2

    Attention 125W, c'est un seuil de direct pour l'héliographe, pas un seuil de global comme la valeur fournie par ce capteur (direct + diffus) . Tu auras de bons résultats en choisissant le réglage indiqué pour wswin, donné dans des échanges de msg avec Michel (MM91) sur un sujet sur ce forum, concernant ses essais de la mesure d'insolation d'après la diff de 2 T . (je ne suis pas sur un micro avec wswin, je ne peux t'indiquer les réglages sur ce soft, je me rappelle seulement qu'il faut cocher la case du style : "correction de la position du soleil" et donc ne pas choisir de seuil pour le pyrano) L'ombre n'est pas une référence, c'est une vieille def.
  15. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Le choix de la ventilation active n'a pas de rapport avec la nature du sol. Dans son cas même en plaçant correctement l'abri pour son terrain, elle sera bénéfique pour compenser en partie la moindre ventilation de son site (environ classe 3) par rapport à un site classe 1 et 2.
  16. Il est simple de réaliser des rallonges pour ces 2 capteurs et de pratiquer une petite tranchée superficielle à la pioche (ici les câbles sont à 10 cm de profondeur sur 5 cm de large, sous gaine ICT, des camions de livraison sont passés dessus sans problèmes). Ici la station filaire est à 50 m de la console et les capteurs UV et solaire sont installés 10 m plus haut que l'ISS. Si tu t'approches autant de l'arbre, ce n'est pas bon pour le pluvio. Il suffit de d'installer l'ISS à au moins 10 m de ta maison tout en évitant de t'approcher trop des autres obstacles. D'aprés les distances indiquées et ton terrain ça paraît très faisable. La ventilation active ne rattrapera pas un problème de site, ça limite l'erreur d'abri, pas celle due à une mauvaise position de site, plus importante que celle due à l'abri (si tu l'installes trop près du mur de la maison, il n'empéchera pas de capter une partie de la T du mur et il ne refroidira pas l'air immobile surchauffé anormalement avant d'entrer dans l'abri. Tu as un assez bon terrain pour installer la station au sol. Il suffit de centrer l'abri sur la zone dégagée en respectant en priorité les 10 m par rapport à ta maison. Il vaut mieux un site ventilé sur un toit sans gazon qu'un site trop cloisonné avec gazon. La norme c'est la végétation courte (< 25 cm, l' idéal 5 à 10 cm) représentative de la région et pas spécialement le gazon (donc pas de gazon ou d'herbe verte sans pluie ici dans le SE, Qui irait arroser chaque jour l'été, les stations auto MF en pleine nature, loin de toute source d'eau ?). Heureusement qu'il y a beaucoup de stations d'amateur sur les toits lorsque les sites sont trop urbains ou trop cloisonnés. Sinon pendant les belles saisons, on aurait de bonnes surestimations des Tx et des St Christol les Alés à la pelle, donc peu de valeurs représentatives de la T de l'air assez seul (sans trop d'influence de la T des matières et matériaux d'un site trop cloisonné et peu ventilé) A insolation identique, les tuiles rouges n'ont pas plus d'influence l'été sur les Tx, qu'un sol de terre parsemée d'herbe sèche ici avec la sécheresse systématique l'été. La tuile ici ne fait qu'environ 2 cm d'épaisseur et ne peut stocker l'énergie en profondeur comme un sol. La tuile chauffe plus vite et se refroidit plus rapidement qu'un sol (un toit de béton + gravier est plus délicat pour les Tn qu'un toit de tuile rouge, car le béton stocke plus l'énergie que les tuiles fines). Le problème de la tuile par rapport au sol, se produit lorsque la terre est assez humide. La tuile est bien plus chaude dans ce cas. L'évaporation de l'eau dans le sol absorbe une partie de l'énergie du rayonnement ce qui n'est pas le cas d'un toit de tuiles qui ne stocke pas l'eau, pas plus que le toit de béton (ou d'autres matériaux artificiels). Mais la meilleure ventilation sur un toit, la hauteur supplémentaire de l'installation, la surface limitée du toit à 1.5 m sous l'abri par rapport à un abri 1.5 m du sol, "panneau rayonnant" à ce niveau présent sur une bien plus grande étendue (hors de l'habitation à la hauteur du toit, on capte l'air qui survole le sol à plusieurs mètres de haut. A ce niveau, il est plus frais le jour l'été que l'air que l'on a à 1.5 m au-dessus de ce même sol), compensent ces surchauffes de matériaux et donnent des Tx plus proches des valeurs synoptiques. Le toit n'est pas aux normes mais c'est un compromis qui permet de capter une T de l' air bien plus représentative d'une grande échelle que celle de qq m2 de jardinet trop cloisonné + une partie de la T des obstacles verticaux et/ou des matériaux au sol + l'erreur d'abri bien plus fréquente dans ce cas. Quand on a un terrain dégagé dans un rayon de 10 m avec une végétation courte et des obstacles étanches significatifs (haies, maisons...) qui sont à une distance de plus de 2 fois leur hauteur, il vaut mieux l'installer au sol. C'est la limite mini car un abri situé pile à une distance de 2 fois la hauteur d'obstacles significatifs, (norme minimale OMM pour un poste de base) surchauffe déjà jusqu'à +1.4° en Tx par rapport à un abri qui est à 4 fois la hauteur de ces mêmes obstacles : ici pins avec trouées, donc pas étanches comme un mur (ce sera pire quand l'obstacle concerné n'évapotranspirera pas et/ou quand il rayonnera plus que mes arbres W à SW, faces à l 'ombre orientées vers l'abri au moment des Tx)
  17. D'après MF, avec un vent < 5m/s en site classe 1 et 2, donc ce qui se fait de mieux (loin des perturbations d'une pente), pour la pluie avec ce vent faible, on a déjà une incertitude de + 5% à -10% ( de 0 à -25% entre 5 et 10 m/s, et de -5% à -30% pour un vent > 10 m/s) Pour la neige sur ces mêmes bons sites, de 0 à -30% avec un vent < 5 m/s, de -10 à -50% avec un vent entre 5 et 10 m/s et de -30 à -80% avec un vent > 10m/s. En classe 3 pour la pluie, avec un vent < 5 m/s de + 5% à -15% , -5 à -35% avec un vent entre 5 et 10 m/s, de -10 à -50% avec un vent > 10 m/s En classe 5 ça monte jusqu'à -100 % d'erreur pour la pluie et la neige, avec ou sans vent. Tous les essais OMM et MF montrent qu'il faudrait installer un brise-vent. Je ne sais pas pourquoi ce n'est pas appliqué en France. En montagne, les pluvio auto chauffent (à partir d'une certaine T et pas trop pour limiter les pertes par évaporation) afin de faire fondre la neige et le givre.
  18. Dans l'anémo Davis, j'utilise le premier ( AMPOULE RELAIS ILS 1T), prends en un paquet de 10, ça te servira aussi pour le pluvio et pour de futures pannes courantes sur ce composant (et aussi pour les fausses manip en installant ce composant fragile). Mais attention il est bien plus long que celui d'origine. De plus pour ta version de Vantage, l'ILS est probablement collé horizontalement. Il faudra obligatoirement installé le nouveau verticalement dans un des orifices à coté des roulements du moulinet (un petit coup de colle au pistolet à colle pour le fixer dans un de ces creux comme sur les anciennes Vantage 2, 1 et monitor2). Il faudra déplacer l'aimant pour le positionner aussi verticalement (sinon 2 clics à chaque tour) en l'enfonçant dans le petit trou du moulinet, prévu pour pas très loin de l'axe.
  19. Et oui, j'ai regardé plusieurs fois les courbes des jours où il aurait pu faire + froid, tellement les 6.1° de maxi, paraissaient remarquables pour une AM du 31/03. La Txn des 13 derniers mois est de 3.2°, en janvier 2007 (c'est aussi la Txn des 15 derniers mois). Ici depuis que j'effectue des mesures (1992), je n'ai jamais vu de Tx <=0° (même en Tx provisoire en fin d'AM). Comme envisagé, la Tx d'hier a eu lieu ce matin (9.0°), actu 12.8°. Cumul 18.4 mm jusqu'à 6h TU ce matin + 6.2 mm depuis. Le soleil montre le bout de son nez. Cumul de mars 49.2 m (+ 10 mm/moyenne) dont 32 mm tombés les 3 derniers jours de mars, anomalie de +1.1°/normale Tm. Enfin ici c'est toujours bien trop sec pour les nappes et les puits, avec l'Issole sans eau sur une longueur identique à celle observée en général fin août. Sur 12 mois glissants on est toujours près du niveau du record de sécheresse (462,8 mm / 12 mois glissants), cumul au 31 mars 475 mm (- 429 mm/normale).
  20. ChristianP

    nivométre

    La mesure précise de l'épaisseur de neige est plus que délicate avec du vent. On mesure la hauteur de neige présente sur un sol assez plat et non à 1.5 m de haut où le vent souffle encore plus fort. Un gros rebord ne changera pas grand chose, pour la zone de la planche et du pluvio, pour améliorer la mesure, il faudrait de grands écrans comme pour le pluvio international (ces écrans brise-vent font plusieurs mètres de diamètre). On peut faire confiance aux Canadiens habitués aux chutes de neiges avec du vent, pour avoir trouvé d'assez bons compromis dans la conception de cette planche à neige (rebords de 2 cm). Il faut surtout soigner le choix de l'emplacement pour mesurer la neige présente au sol sur le site de la station.
  21. A Besse, Tn -0.6° et Tx du jour particulièrement polaire pour ici : 6.1° . Record bas de Txn pour un mois de mars, un 31 en prime. Elle est peut-etre provisoire avec le vent d'Est prévu, il n'est pas exclu que la Tx ait lieu cette nuit ou demain matin avant 6h TU. Quoiqu'il arrive elle restera la 2 ème valeur la plus froide pour une AM dans ces 13 derniers mois ! Cumul du jour 10.8 mm, intensité max 11.0 mm/h.
  22. ChristianP

    nivométre

    Photo de la planche normalisée du Canada au bas de cette page (je l'utilise aussi pour MF) : http://www.msc-smc.ec.gc.ca/msb/circulars/...s_1_2001_f.html
  23. C'est tombé dans l'intérieur vers Seillans, Comps, avec un orage. Hier 13.1 mm à Besse, orages entendus hier et aujourd'hui, Tx 18.0° hier avec une Tn de 0.8° (-1.2° la veille, Tn -2.7° le 25 avec -5.6° à 10 cm du sol). 3.1° ce matin, Tx 17.2°.
  24. Bonsoir,Il vaudrait mieux centrer l'ISS sur la partie de terrain dégagée pour tenter d'obtenir un site de T/HR classe 3 (ou bien plus proche de la classe 3). Sur cette image, la position est au mieux classe 4 en T (surchauffe des Tx en été ), avec une maison à moins de 10 m et des buissons beaucoup trop proches. Tu as assez de place pour l'éloigner des obstacles les plus "nocifs" comme la maison. Il vaut mieux un arbre isolé dans le rayon de 10 m, qu'une maison. D'après la photo je décalerais l'ISS, soit en direction de l'arbre à 25 m, soit en direction de l'arbre à 20 m de façon à exclure la maison au-delà des 10 m tout en s'écartant des buissons. Le but c'est de tenter d'exclure tous les obstacles du rayon de 10 m, en commencant par les plus étanches et les plus chauds et donc ceux avec un coté de tendance Sud dirigé vers l'abri (donc s'éloigner + d' une maison au N NW NE de l'abri que d'une construction au Sud) Des buissons étendus en surface et bien > à 25 cm de haut, si près de l'abri, ne donnent plus une hauteur d'abri à 1.25 m au-dessus de la végétation significative en surface dans les rayons de 5 et 10 m (mes chèvres et surtout celle que l'on nomme Tartine83, règleraient rapidement ce défaut ). Tu pourrais aussi gagner 2 m en direction de l'arbre à 12 m, et plusieurs mètres latéralement vers la droite (mais bon, à voir avec la distance de la maison qu'on ne voit pas) On s'occupe des ombres portées une fois qu'on est assez loin des sources de chaleur dans le rayon de la classe considérée, dans ce cas 10 m. On ne s'approche pas d'une maison trop près au N pour éviter le soleil masqué par quelques branches sans feuilles l'hiver, sinon ça fait four solaire l'été et ce n'est pas ce qu'on cherche à mesurer. (Surtout lorsque les ombres portées sont absentes l'été pour les horaires courants des Tx et que les feuilles des arbres peu denses, sont absentes l'hiver ou que les ombres portées sont absentes pour les horaires courants des Tx l'hiver, à notre niveau) Il faudrait aussi regarder sa situation par rapport la direction du vent observée le plus souvent pendant les plus fortes Tx et Txx, de fin de printemps et pendant l'été, afin de favoriser la meilleure ventilation par de meilleurs dégagements sur ce côté (surtout éviter les plus mauvais de ce côté) Enfin dans ce site après avoir déplacé l'abri, pour gagner encore de la qualité, un peu plus de ventilation et donc de la représentativité, j'installerais l'abri à au moins 2 m du sol et non à 1.5 m (les normes de la hauteur d'abri sont de 1.5 à 2 m) qu'il vaudrait mieux réserver à des sites +ouverts et + naturels.
  25. ChristianP

    Raffales et VP2

    Oui Mike /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> , c'est variable ici aussi selon les secteurs comme dans beaucoup de stations côtières (pas la même rugo d'un coté à l'autre, effet falaise d'un coté et pas de l'autre...) ou avec obstacles variables. Sur un jour tout est possible (même une surestimation ici !) . C'est pour cette raison qu'il faudrait regarder les moyennes des coeff pour chaque direction. D'ailleurs MF dans une note sur la mesure du vent avec les obstacles, préconise une étude pour chaque secteur de vent pour déterminer un coeff réducteur ou multiplicateur quand c'est nécessaire sur le vent moyen (et surtout pas sur les rafales !), ce n'est pas appliqué en pratique.
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