Damia

Très bien ce programme, merci Question casse-dalle, j'ai pas d'idées donc je vais partir sur une valeur sûre : quelques trucs apéritifs salés (chips ou je sais pas quoi). J'aurais bien aimé vous faire ma spécialité : tartiflette volaille, mais froid c'est pas bon. Donc j'oublie. Pour le moment ^^

J'admets que le champs de force autour de Toulouse est très efficace. Bon, passons à une échelle plus large…

Vu de Saint-Astier, ça donnait ça tout à l'heure : A gauche, la cellule qui était vers Périgueux, à droite, celle qui était vers Bergerac. Au milieu c'est plus clairsemé, et ça permet de voir le sommet de l'orage bergeracois.

Je ne vois pas tellement en quoi ce serait supercellulaire, ça suit le flux, y a pas vraiment de crochet apparent. C'est de l'orage assez classique. Toutefois, de belles intensités, le tonnerre est audible depuis ici Saint-Astier. Je vais essayer de photographier ça, je suis à l'arrière (enfin, à l'ouest) de ce défilé de cellules.

@Matpo tu devrais check tes notif parce que je t'avais répondu, avant même que tu postes ici.

Il fait déjà chaud ici en région astérienne. 25.7°C à Périgueux, et 24.2°C à Coulouniex. C'est impressionnant, et vraiment tôt dans l'année. Je pense pas qu'on brise le record absolu de Périgueux (29.2°C le 20 Avril 2018). En tout cas pas pour cette journée. Demain peut-être ? En tout cas, sensation franchement estivale, y a pas à hésiter. Edit : la carte des températures actuellement.

C'est une image fantôme, ça arrive quand le radar se reflète sur une zone de précipitations éloignée. Il peut arriver que la distance de cette zone soit mal estimée et elle paraît plus proche sur la carte.

Je comprends ton appréhension, mais on ne peut pas trop établir ce qu'on aura cet été sur la base de cette première remontée chaude qu'on va avoir. Disons que ce n'est pas lié quoi

En ce qui concerne les poussières qui vont remonter du Sahara, cette modélisation de SKIRON est éloquente ! J'ai rarement vu de telles concentrations, on a quasiment le même niveau qu'au Maghreb Et ça va durer quelques temps, c'est pas juste quelques heures ou une journée. Ça commencera dès demain en franchissant les Pyrénées, et ça durera jusqu'au milieu de la semaine prochaine. Bref : faites vos ceintures, ajustez vos scaphandres, car nous allons sur Mars !

Okay, pas de problèmes Je vais faire donc le second plan. @acrid vintaquatre tu me communiquera votre adresse par MP quand tu le voudras, comme ça je pourrais établir mon trajet ^^

Je suis en train de voir pour mon itinéraire pour venir, et je voudrais savoir : @Neness064 Est-ce qu'il t'es possible de faire un crochet par Saint-Astier pour passer me prendre et covoiturer aller/retour ? Ou bien c'est trop loin/compliqué/pas envie ? Le cas échéant : @acrid vintaquatre @neige84 Je viens chez vous et covoit' pour le reste de la journée ? Si vous ne le souhaitez pas, je peux m'arranger quoiqu'il advienne Voilà, juste pour rendre les choses plus légères, plus efficaces (moins de CO2 dans l'air ??) allez savoir ^^

En effet, c'est une possibilité : 1.75 pouces donne 44,45 mm 0.79 pouces donne 20.66 mm Cela dit, c'est pas des cumuls si impressionnants que ça. Mais ça peut agir sur les cours d'eau, c'est clair.

Hank Pecos a fait une vidéo sur le sujet, qui explique assez bien tout ça (faut être anglophone par contre) : Mais en résumé, il explique plusieurs choses : - Le besoin, voire la nécessité de réussir, surtout quand on investit beaucoup de temps, d'argent et de matériel à se préparer pour la chasse à la tornade ; - Mentalité de meute : «si ce chasseur d'orage va par là, c'est qu'il s'y connait et donc je peux le suivre sans risque». Quelqu'un d'autre «Ah mais ils y vont donc j'y vais.» Et on se retrouve en gros groupes sur le bord de la route, à guetter la tornade, et à ne pas juger correctement du phénomène et des risques ; - Le fait d'être littéralement hypnotisé parce qu'on voit et qui nous empêche de partir (pour résumer) et qui nous fait oublier qu'une tornade peut être sacrément vicieuse ; - Mentalité de canard : «Si personne ne bouge c'est que c'est sécurisé c'est okay de rester.» Dans ce genre de situation, écouter son instinct plutôt que le groupe, c'est le conseil qu'il donne ; - Dernier élément : la volonté de réussir couplée à celle de faire LA vidéo qui fera le buzz. Se mettre en danger inutilement … pour du clic.

Si je peux me permettre, je réagis sur ce qui à mon sens est devenu un abus de langage, notamment lors des présentations de bulletins météo, c'est "façade est". Ce n'est pas vraiment approprié, car le terme façade est dévolu aux façades maritimes, littorales : https://fr.wikipedia.org/wiki/Façade_maritime https://www.aquaportail.com/dictionnaire/definition/5288/facade-littorale Par quoi pourrait-on remplacer cet usage ? "Frontière est", "est de l'Hexagone", "zone Est" tout simplement. Juste des idées

Je suis très partagée. Autant objectivement, cette nouvelle période fraîche et franchement pluvieuse est extra, ça permet de recharger, d'avoir un peu plus d'eau pour pouvoir affronter plus sereinement la prochaine canicule et période sèche (inévitable selon moi). Autant très subjectivement, c'est pas évident, car c'est frais, c'est trempe de partout, et ça ne me donne plus tellement envie de bosser. Mais bon, je préfère regarder le verre à moitié plein d'eau

Idem. J'ai pu faire pas mal de taches en extérieur et intérieur plus aisément et sans moins de fatigue. Je sais pas, le temps gris, frais et humide, pas ma tasse de thé. Tiens, tu as oublié un point quelque part : . Ou bien tu vis littéralement dans un four. Un plat à préparer ? Mais oui, je dois admettre que cette douceur est quelque part la bienvenue, on peut franchement aérer, le chauffage la met en veilleuse (littéralement) et plus besoin de mettre de manteaux. 22.8°C ici, environ. J'ai pu faire quelques courses à vélo, c'était agréable

Té ! Y en a ça va leur faire plaisir ^^ Pour cette journée essentiellement, demain également mais moins. De quoi je parle ? Des remontées poussiéreuses du Sahara of course ! Donc en plus du voile de nuages d'altitudes, s'attendre à une ambiance légèrement ocre.

Nan mais c'est ridicule, car en plus la source de l'info c'est l'AFP quoi. Edit : tweet supprimé. Je vais quand même mettre le texte avant sa suppression de Twitter : Et résultat, on se retrouve avec ce types de rigolos : Ça me gonfle parce que l'Humidex est un indice, on ne met jamais °C derrière, et ça fiche de la confusion avec les températures relevées sous abris, qui elles sont de vraies données météo, et qui seront toujours inférieures à l'humidex dans les situations de chaleur. Bah résultat, ça fout par terre le travail de communication et de pédagogie des scientifiques, des gens qui vulgarisent, qui sensibilisent au réchauffement climatique et ses conséquences. Je trouve ça même plus grave que les articles de France Bleu illustrés par des enseignes de pharmacie. C'est dire !

Effectivement, il y a sans doute des problèmes d'accessibilité à revoir, éventuellement. Alors mini-guide pour t'y retrouver. 1. Insérer une citation : Tu cliques sur le bouton que j'ai entouré en rouge. Tu vas voir apparaître dans le champs de saisie de texte un rectangle nommé "citation". Dedans, tu poses le texte que tu as copié. 2. Mettre un lien URL : Tu vas dans la zone de l'adresse internet de la page que tu veux partager, tu copies : Et tu colles : Et y a plus qu'à envoyer. 3. Editer son message : Tu vas dans les points de suspension en haut à droite de ton message. Tu cliques dessus, ça t'affiches les options suivantes (pas toutes car je suis modo) : Tu cliques "Editer" et tu peux modifier ton message. J'espère que tu y verra plus clair

Les bonnes pratiques voudraient que, quand on c/c un texte provenant d'une page web, article, etc. on fasse deux choses : La première, on met le texte dans la balise "citation" (le petit machin à droite de la chaîne dans la barre d'outil), ou, à défaut, de mettre entre guillemets (ceux ci : «»). La seconde est ensuite de mettre le lien vers l'article en question, c'est à dire l'url complète.

Effectivement. Je ne sais pas pourquoi, j'ai longtemps admis que sur ces diagrames pyschrométriques la partie tronquée c'était juste parce que l'air ne pouvait physiquement pas être saturé à 100% passé une certaine température. Et en fait si. J'imagine que c'est tronqué parce qu'on atteint des valeurs assez irréalistes pour l'air, genre 100% d'HR à 40°C, pour nos contrées. D'ailleurs, je me pose une question : pour un litre d'air, quelle est la quantité d'eau maximum que celui-ci peut contenir ? Est-ce qu'il arrive à un moment donné où il n'y a plus de place pour les molécules d'eau dans le mélange de molécules d'air ? Car si je m'en réfère au diagramme, et en extrapolant la courbe de saturation à 100%, on arrive à des valeurs d'humidité spécifiques énormes.

Sujet épinglé pas plus tard que Dimanche dernier. Faut rechercher avant de poster

Je vais tenter Ce qu'on voit sur ce diagramme : - En x, on a la température sèche. C'est la température qu'on relève avec n'importe quel capteur thermique ; - En y, verticalement, on a l'humidité spécifique, qui est la quantité d'eau contenue en fonction de la masse d'air, pas son volume. Ainsi ici, cette humidité spécifique est exprimée en grammes d'eau par kilogrammes ; - Et en courbes, on a le pourcentage d'humidité (le rapport d'eau contenue dans un volume donné), c'est donc un ratio ; - En rouge, à 45° (l'angle pas la température), en kilojoules par kilogramme d'air, là je suppose qu'il s'agit de l'énergie contenue, en fonction de l'humidité et de la température d'un volume d'air. Ce qui fait sens car on sait que plus une masse d'air est chaude et humide, plus elle est potentiellement instable (orages). Ce diagramme permet de voir plusieurs choses : - Que l'air froid est mauvais pour contenir beaucoup d'eau, et qu'il arrive à saturation "facilement". Il suffit juste d'un petit apport en humidité, ou d'un petit refroidissement, et hop, on atteint la saturation : brouillard, bruine, pluie, neige ; - Que l'air chaud au contraire peut contenir beaucoup plus d'eau, et qu'il a besoin d'apports d'eau plus importants pour être saturé ; - Et sur le coup ça paraît un peu contre intuitif comme ça, mais il est plus difficile d'avoir de l'air sec en été qu'en hiver (en intérieur notamment), mais ça fait sens quand même car en haute-montagne où il fait très souvent moins de 0°C en hiver, on à la peau sèche assez vite ; - Cela permet aussi de comprendre comment l'effet de Foehn fonctionne : on prends un volume d'air, chargé en humidité. En passant au dessus de la montagne, il se refroidit. Celui-ci ne peut plus contenir son eau, il sature. Nuages, précipitations. Et en redescendant de la montagne, de l'autre côté, ce volume d'air auquel il va manquer une bonne partie de l'eau qu'il a évacué, se réchauffera car il aura perdu de l'humidité. Bon, c'est ma compréhension globale et sans doute approximative de ce diagramme, il y a sans doute des précisions ou des corrections à apporter à mon texte (j'invite les vrais experts à le faire), et je continue d'apprendre de tout ça, car c'est fascinant d'arriver à comprendre les mécanismes atmosphériques.

J'ignore s'il faut étalonner un capteur d'humidité, mais ce que je sais en tout cas, c'est que le brouillard se forme à saturation de l'air. Et cela ne veut pas nécessairement dire qu'on a 100% d'humidité relative, ainsi que l'exprime ce graphique (un peu avant 25°C, l'air ne peut plus être chargé avec une HR de 100%) : Bon, dans le concret, on n'a pas beaucoup d'occasions de voir du brouillard se former à 25°C, ce qui serait très étouffant (fort Humidex), avec des conditions franchement tropicales du coup.

Bah du coup c'est bien : on est en Mars, et on est au début du printemps météo en plus