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lc30

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  1. merci beaucoup snowman ! c'est très intéressant parce qu'on voit bien la zone qui a été touchée, ce ne sont pas seulement les endroits habituels mais bien plus. -- lc30
  2. cévenols connus à Nîmes ( extrait des risques naturels en montagne de L. BESSON 29 août 1399 , ville recouverte, pans de murs abattus. (J'ajoute qu'il s'agit d'un cévenol généralisé puisque la vallée de l'Allier fut aussi touchée ) août 1403 ravages considérables 25/26 août 1656 dans la nuit, en 2 heures, dégâts considérables 9 août 1873 plusieurs arbres de la Fontaine déracinés, torrents furieux s'engouffrant avenue feuchères ( avenue située devant- la gare) 30 août 1904 Quartier de Font-Chapelle très éprouvé, 0, 8 mètres d'eau par endroits au cadereau de la route d'uzès ( J'ajoute que le cadereau de Font-Chapelle est l'un des constituant du cadereau des Arques, alias la rue Sully, jusqu'à la station-service BP du chemin d'avignon). il y a aussi ce qu'à Nîmes les vieux nîmois appellent l'orage du 15 août, suivi en général d'un épisode de mistral... classique ( exactement comme un petit cévenol) -- lc30
  3. La Galice étant d'une géologie cristalline, la présence de chênes-liège y serait absolument normale. En ce qui concerne le pin d'Alep, quel que soit l'avis du SDIS des BDR, ceux des autres départements sont très différents. Maintenant si le BDR veulent accroître l'aléa on peut leur donner quelques espèces à implanter en sous-bois de pinèdes de pins d'Alep : lauriers-tin, genêts,.... Il y a une méconnaissance complète de la forêt originale méridionale de la part de trop de personnes. Dans les zones calcaires ou marno-calcaires l'es espèces originelles étaient le chêne blanc ( au demeurant presque toujours truffier /emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/ohmy@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) et le chêne-vert. Les résineux d'origine étaient le pin sylvestre ( dont l'utilisation industrielle est excellente puisqu'il est à la base du lamellé-collé, donc rentable, donc avec forêt entretenue, donc avec moindre risque) et le cyprès. Comme son nom l'indique le pin d'Alep est une espèce importée à croissance rapide, contrairement au pin sylvestre. En bordure de méditerranée c'est le pin maritime... et en Corse, je n'apprendrai rien à personne : le pin laricio. Autre inconvénient de la variété "pinus" : les dégâts pouvant être causés aux routes et constructions lorsque l'arbre "recherche" l'eau ( exactement comme un peuplier ou un figuier). Il s'agit d'un aléa à évolution lente, mais difficile à éradiquer (surtout pour le figuier). -- lc30
  4. on vit sous des lois avec des définitions: c'est ainsi !à trois jours ce sont des prédictions, pas des prévisions. la canicule rebviendra, mille regrets c'est de la prévision, pas de la prédiction; il y a lont=gtemps que les choses sont ainsi fixées. les anglais en distinguant forecast et prediction l'on compris depuis longtemps. le risque natureln'existe qu'en présence d'un aléa. Si on fait de la prévention il faut savoir si l'aléa a exsité donc s'il est prévu. Comme disait feu Michel JOBERT, le reste c'est se cacher derrière son petit doigt pour ne pas voir les réalités. -- lc30
  5. on prévoit ou on prédit la survenance d'un aléa selon la distance dans l'espace et dans le temps. le risque n'intervient que s'il y a activité humaine ! exemple : couloir d'avalanche les avalanches passent, c'est l'aléa; s'il y a quelqu'un dedans à ce moment là il est vulnérable donc il ya risque Formellement on peut écrire : Risque = aléa x vulnérabilité (aléa = 0 ou 1 vulnérabilité = 0 ou 1) reste à savoir quelles sont les précautions que l'on prend pour diminuer la vulnérabilité en fonction de ce que l'on connait de l'intensité de l'aléa ( vitesse du vent, hauteur d'eau,...), et de l'état de la technique. les tribunaux ne sont pas tendres (voir arrêt de la C.A.A. de Lyon sur la tragédie du Grand Bornand) lorsqu'on connait l'intensité d'un aléa et qu'on n'en a pas tenu compte dans l'exposition à l'aléa (cela s'était déjà produit, vous deviez savoir, vous avez exposé des vies,....) c'est aussi la jurisprudence du Conseil d'Etat ( arrêt val d'Isère), et celle de la juridiction pénale. Là, c'est en matière d'aléa naturel. C'est plus complexe en matière industrielle pour une raison simple c'est que le responsable d'un aléa industriel ( exemple un explosion) est aussi celui qui est vulnérable, donc c'est la même personne( morale ou physique) alors qu'en matière naturelle il y a une dichotomie évidente entre l'aléa ( la nature si l'on veut) et la vulnérabilité ( qui a voulu ou autorisé cette activité dans telle zone où l'aléa était connu). pour le cas industriel pensez à AZF ! -- lc30
  6. On peut aussi penser à l'explosion des pignes de pin qui projettent fort loin des débris enflammés. Ayant vu ce que j'ai vu je me repose 2 questions fondamentales : à quoi servent les tranchées coupe-feu, si le franchissement d'une autoroute qui doit au minimum faire 40 mètres de large est aussi facile ( certes il y avait du mistral, mais cela n'explique pas tout !) quels sont les c****** qui imaginent des espaces verts avec des résineux en proximité de garrigue ? et en question annexe quels sont ceux qui chargés des dossiers de contrôle dans l'administration ne savent pas qu'un résineux c'est un combustible de choix . De plus la haie séparant les deux voies... c'est du laurier-tin et le genêt pousse sur les bas-côtés.... Ah oui c'est pas cher, on achète cela à des prix ridicules, c'est joli le jour de l'inauguration, discours sur l'esthétique, petits fours... petits fours avant fournaise ! -- lc30
  7. c'est effectivement à craindre . Avec un flux Sud/Sud-est les masses d'eau chaude vont se rapprocher des côtes. Dans l'histoire de cévenols sur Nîmes on en note 4 ou 5 au mois d'août. Si on réfléchit bien aux derniers cévenols importants ( 2002/ 2005) ils ont eu lieu début septembre. il y a une tendance (deux pas en avant un pas en arrière) à ce qu'ils se produisent plus tôt en saison, le dernier important s'étant produit à la mi-novembre étant celui de l'Aude les 12/13 novembre 1999. cela voudrait-il dire que les gouttes froides descendent beaucoup plus tôt ? -- lc30
  8. quelqu'un pourrait-il en donner un résumé de traduction ; je suppose qu'il s'agit de portugais.-- lc30
  9. Epicentre à Sorgues ? c'est alors soit la faille de Sarrians ( probable) soit celle de Loriol - possible) ( parallèles à la faille de Nîmes) -- lc30
  10. eh bien vous ne comprenez rien de rien de rien /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/sleep@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">le risque est le croisement de l'aléa et de la vulnérabilité. l'activité humaine c'est la vulnérabilité, ce n'est pas l'aléa qui lui est l'élément naturel. Si le PDG de météofrance ne connait pas cela qu'il aille se rhabiller. S'iol n'y a pas d'activité humaine il n'y a pas de risque mais l'aléa subsiste : les deux exemples extrês venant de la dynamique interne du globe sont : un séisme en plein Sahara : où est l'activité humaine ? l'aléa existe, le risque n'existe pas une éruption de l'Erébus : où est l'activité humaine ?l'aléa existe, le risque n'existe pas vous avez le droit de nier ce que fait l'UNESCO; c'est une position... [Modéré] L'aléa météorologique peut être définie par un certain nombre d'écarts-type par rapport à des valeurs moyennes ( par exemple pour la température avec une distribution normale, ou le vent - mais là dans une distribution de Bernouilli ou de Poisson ou hypergéométrique) ou par un franchissement de seuils. -- lc30
  11. pour ce genre de problème je pense plus à deux choses : - pyrolyse d'essences aromatiques en atmosphère pauvre en oxygène - fuite d'animaux enflammés ( cervidés, lapins...) -- lc3O
  12. compte rendu : avant-hier vers 17 heures je suis bloqué au niveau du parking de Lédenon sur la languedocienne en raison d'un incendie de garrigue ayant pris au nord . hier j'ai voulu en savoir plus : le feu a franchi l'autoroute ( ce qui au demeurant montre que le système des tranchées coupe-feu est sujet à caution) et est arrivé jusqu'à la voie férrée Givors-Nîmes ( rive droite du Rhône). il y a des choses qui ne sont pas trduisibles en mots ; a) les dialogues que les automobilistes ont échangé entre eux pendant le blocagesur le sujet de la mise à feu ....comme par hasard avec un bon mistral ! hier l'odeur de brûlé qui persistait.. Ne jamais oublier (cela c'est mon métier) que quelles que soient les photos que je pourrais montrer ( au fait on fait comment ... je ne suis pas très doué là-dessus- même pas du tout !) on a vécu une scène de théatre sachant cette fois que le risque pour nos vies était quasiment nul, et vous ne verrez même pas un film mais seulement des photos. ( Classique en matière de risques) Autre leçon : mais quels sont les c****** ( à la puissance aleph2) qui ont planté des résineux le long de l'autoroute, qui laissent pousser des ginestières, des lauriers-tin.... manque plus que les pistachiers-térébinthe dernière leçon : le long de la route qui mène à Sernach... les cables téléphoniques sont hors d'usage. les personnes qui sont au bout par quels moyens avertiront-elles qu'elles ont éventuellement besoin de secours ?le vigneron qui est au bout combien de temps il attendra le rétablissement de sa ligne qui peut lui servir pour assurer une commande ? les coûts directs ( une vingtaine de largage selon Midi-Libre et j'ai dû en voir au moins une dizaine) et les coûts implicites cela n'a rien à voir, plus les embouteillages monstres, le demi-tour ( logique) sur l'autoroute, plus,...plus,... Il aparitq u'il y a des éconconconconmistes qui trouvent cela normal ! -- lc30
  13. rien d'étonnant vu l'état des sous-bois dans les zones boisées et l'état de la garrigue sur les zones calcaires ( à noter que nant se trouve sur les terrains karstifiés du larzac et à côté Saint jean de bruel est sur le cristallin cévenol donc avec forêt de chataigniers, la frontière entre les deux étant le hameau de Dourbias "on nait à Nant, on meurt à Saint Jean"). Tant qu'on ne voudra pas subventionner le pacage des chèvres et des moutons plutôt que d'envoyer au casse-pipes trackers, canadairs et pompiers, qu'il faut aussi payer, on aura ce genre de problème ! -- lc30
  14. Le risque est le croisement de l'aléa et de la vulnérabilité. c'est la définition fondamentale sur laquelle tout le monde est d'accord, elle vient de l'Unesco. quels que soient les auteurs, comme Liliane BESSON ( les risques naturels) ou Lucien COSTE ( préventique n° 29 septembre 1996 ou La Houille Blanche 2-2001, ce dernier article à l'expresse demande de plusieurs hauts fonctionnaires qui avaient trouvé intéressants les articles précédents) la vulnérabilité c'est l'activité humaine, l'aléa est l'élément naturel. la météo n'est qu'une réunions d'aléas, froid/chaud, alternances humide/sec. Or une réunion d'aléas est encore un aléa, c'est une application classique de topologie. Après il y a la définition de m***** des assurances où le risque se définit par la fréquence et la gravité : c'est un affaire de fric, pas une affaire sérieusement exploitable sur le plan de la prévision, de la prédiction et de la prévention (P.P.P. selon la terminologie de Lucien COSTE) -- lc30
  15. désolé d'être iconoclaste, mais les séries de Fabre me posent bien plus de questions qu'elles n'en résolvent !En effet que vers 1860 il ait fallu reboiser l'Aigoual comme d'autres massifs montagneux c'est certain ! mais n'y avait-il pas d'autres enjeux surtout dans l'Aigoual et dans sa périphérie. Or si dans les départements alpins et pyrénéens on créait des services RTM, donc des services spécifiques au maintien des sols, et pas seulement par des actions de reboisement, on ne fit rien dans le Gard et la Lozère.... Les Cévennes, n'en déplaise à certains sont des montagnes jeunes, très jeunes issues du contrecoup du plissement alpin sur le bord oriental du Massif Central donc cela aurait dû justifier d'autres actions de style RTM : qu'a-t-on fait ? du reboisement en pin à crochet ..... Bizarre non /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> petite interprétation personnelle : à l'époque de Fabre de quoi a-t-on besoin à moins de 100 km de l'Aigoual ? De bois de mine, pas seulement pour le bassin alésien, mais aussi pour tous les petits bassins voisins comme Saint Georges de Luzençon, Nant/Saint-Jean de Bruel dont les mineurs se déplacèrent à Alès après la fermeture des mines vers 1925/1930. Les forêts restèrent, les voies ferrées subsistèrent quelques temps ! Quant à l'influence bénéfique des forêts sur la régulation des crues cévenoles, j'ai plus que des doutes, j'ai même la certitude de mes doutes ! l'évapotranspiration d'une forêt de résineux est de l'ordre de 10 à 15 mm par jour au grand maximum. La capacité d'absorption des sols de la périphérie de l'Aigoual (granitiques et métamorphiques) est faible, de l'ordre de 80 mm. Ce qui fait que l'incidence de la forêt sur la régulation des débits est de l'ordre de 100 mm dans une période de sécheresse... inversement pendant les périodes de sécheresse la forêt pompe et assèche les sources. c'est un phénomène très connu dans le Massif Central où certaines rivières se trouvent avec des étiages nuls à certaines périodes, en raison d'un reboisement intensif lié à une exploitation minière.... qui n'existe plus ! c'est un langage dur à entendre, je le sais, mais la forêt du Massif Central, Aigoual compris, est une forêt industrielle. Les anciens tracés des voies ferrées sont très explicites : des forêts vers les centres miniers, petits et grands, des centres miniers vers les grandes agglomérations. -- lc30
  16. lc30

    lcm

    la première mesure barométrique est due à Pascal entre Clermont-Ferrand et le Puy-de-Dome, cela doit remonter à au moins 350 ans. les mesures étaient toutes faites à la colonne de mercure -- lc30
  17. mille excuses mais le risque c'est le croisement de l'aléa et de la vulnérabilité. il n'y a que les c**** des assurances pour parler de fréquence et de gravité, ce qui ne résoud strictement rien. Quant à la définition des juristes elle parle elle d'imprévisible et irrésistible pour définir le cas de force majeure. Et la notion d'imprévisibilité est bien celle de prévision et non de prédiction. c'est ainsi ! c'est pas autrement ! La météo c'est l'aléa. Elle peut être bonne ( de la pluie après la sécheresse, de la neige au mois de novembre) ou mauvaise ( la canicule). c'est un aléa : il est prévisible qu'il neigera en décembre sur les Alpes ! on verrea le 20 décembre si la météo prédit qu'il neigera le 24. Qaunt au langage qu'Altimonti me reproche, il fait parti du bagage de tout le monde, et pas seulement que quelques personnes bien ou hautement placées ou largement instruites, dès qu'on veut parler de risques ce qui évite de raconter n'importe quoi sur le sujet, et là les discussions de café de commerce vont bon train. -- lc30
  18. Je parle le langage des risques et je suppose que vous êtes un spécialiste de ce domaine. Tous les écrits public que j'ai fait dans ce domaine et l'enseignement que j'assure en grande école peut ne pas vous plaire. c'est possible ! l'ennui c'est que dans le langage international on distingue fort bien "Prediction and forecast" A l'origine Cinna Lomnitz, un imbecile peut être dans votre définition et son ouvrage "Fundamentals of earthquake prediction" publié chez un éditeur inconnu ( John Wiley and sons) auquel on ne porte pas un maniuscrit mais dont le comité sollicite tel ou tel auteur. -- lc30 alias Lucien COSTE
  19. Florent aborde effectivement deux gros problèmes celui de la collecte des informations ( exemple les inondations à Nîmes avant le XVIIIème siècle alors que l'urbanisme de la ville n'inclut pas les deux cadereaux les plus agressifs) et celui de la qualité des informations recueillies notamment lorsque la religion se mèle de la relation pour des motifs complètement étrangers à la relation scientifique. Donc comparer des statistiques aux origines très disparates comporte pas mal de réserves. -- Lucien COSTE
  20. certes mais l'eau chaude reste au large et ce n'est pas le refroidissement local en surface lié à la présence du mistral qui modifie la perspective d'un "cévenol" ne pas oublier qu'en langage des risques : " prévoir" veut dire se produira dans un temps inconnu sur une zone réputée pour avoir déjà subi le même aléa, alors que "prédire" signifie que l'aléa se produira dans une fourchette de temps précise ( variable selon l'aléa par exemple 6 mois pour une éruption volcanique 3 jours pour une tempête) et ( j'insiste sur le "et") dans une zone restreinte. Au sens habituels des risques les prévisions météos à 3 jours sont des prédictions. -- lc30
  21. ce soir vers 20 heures on entendait les canadairs ( ou les trackers) tourner au voisinage de Nîmes, avec en plus un mistral pas encourageant pour la suite... -- lc30
  22. ah non surtout pas ! allez à Thouars mais ne pas aller à Jacta-Est, même en vélo ! -- lc30
  23. végétation basse à base de chênes-kermès, il ne manque plus que les cistes, les pistachiers-térébinthe et les viornes ( lauriers-tin), et pour les zones encore boisées le pin d'Alep. Toutes ces espèces dont certaines à fort contenu aromatiques sont des combustibles en puissance... on ne pacage plus parce qu'il faudrait subventionner les bergers pour le parcours des troupeaux, et l'herbe pousse, sèche et un c******* jette un mégot par la portière et c'est parti pour pas mal de tours de canadair et de trackers. Ah oui mais ce n'est pas le même budget ! L'emm****ment majeur c'est que c'est le même c****** de contribuable qui paye la forte note sans qu'on lui ait demandé s'il préférait payer des bergers et des chevriers et voir de moutons et des chèvres (on parle aussi de lamas... quelqu'un -a-t-il des renseignements ?) ou des vols de canadairs, trackers et des pensions aux familles des pilotes victimes de la c******* humaine. -- lc30
  24. on peut voir 6 photos sur le site du journal italien "La Repubblica" avec ce titre l'Afrique du Sud sous la neige, déboires et quatre morts. ce n'était pas arrivé depuis 1988. c'était notre rubrique "le climat se réchauffe, mais on ne sait pas où!" -- lc30
  25. et Georges Brassens répond : parlez moi de la pluie...... le beau temps m'indiffère me fait grincer des dents -- lc30
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