_sb

Les différences s'amenuisent de plus en plus et, à terme courant 2025 ou 2026, le déterministe aura disparu. La tendance de fond reste malgré tout à un réchauffement par rapport aux derniers jours du topic précédent. L'IFS ENS ÉTENDU est également sur cette ligne. Ceci dit, ce signal n'est pas intense (60% ?) et il est possible que la configuration actuelle se maintienne avec quelques nuances plus estivales (40% ?) ou se maintienne tout court. L'humidité est indéfinie, présente comme absente. Les BG demeurent proches dans les simulations du moment. Dans un écoulement de SW à WSW, ce réchauffement sec initié par le SW, avec un peu de foehn pour aider, garde une bonne probabilité mais la question serait surtout de savoir si les régions plus au nord en bénéficieront au-delà d'une ou deux hypothétiques journées. Résumé par IFS ENS 0z en entrée de topic (probabilités vents, précipitations, températures) : La probabilité de Tx > 35°C durant au moins 3 jours consécutifs par GEFS 0z : (https://ftp.cpc.ncep.noaa.gov/) Les clusters d'IFS ENS 0Z illustrent bien le caractère éclaté de la simulation échangé puis haut : Pour la fin du topic précédent, soit VSD -> 2 groupes et pour la début de ce topic, soit LMM -> 6 groupes

Plusieurs causes possibles à cette interruption de la connexion par le serveur distant, avant la fin de la transaction. Cela peut être dû à une surcharge du serveur de MF (serveur sous-dimensionné), ce qui semble arriver régulièrement. Ce peut être aussi par une malformation de la requête, par une configuration inappropriée d'un firewall, etc. Par ailleurs, comme je l'ai déjà indiqué, supprime ce qui est inutile dans ta requête tels que les subset lat et lon. Cela diminuera les sources potentielles de dysfonctionnements.

Si tu n'indiques pas à curl un fichier de sortie, la réponse sera automatiquement transmise à la sortie standard (= STDOUT), par défaut généralement le terminal dans lequel tu as lancé la commande. Dans le cas d'un téléchargement de données binaires (et aussi le plus souvent pour des données textuelles un tant soit peu longues), il est chaudement recommandé d'indiquer une sortie autre que la sortie standard (sauf cas particulier ou pipe). Ainsi, ajoute après wmo-grib « --output mon_dossier/mon_fichier_binaire.grib2 », dont le chemin peut être relatif au répertoire courant (celui dans lequel a été exécuté le script). curl -X 'GET' \ 'https://public-api.meteofrance.fr/public/arpege/1.0/wcs/MF-NWP-GLOBAL-ARPEGE-005-EURAT-WCS/GetCoverage?service=WCS&version=2.0.1&coverageid=CONVECTIVE_AVAILABLE_POTENTIAL_ENERGY_MAX__GROUND_OR_WATER_SURFACE___2024-07-16T06%3A00%3A00Z&subset=time%282024-07-17T18%3A00%3A00Z%29%26subset%3Dlat%2836.94524836739841%2C52.80950617989841%29%26subset%3Dlong%284.4441068397667145%2C36.17262246476672%29&format=application%2Fwmo-grib' --output dossier/fichier.grib2 \ -H 'accept: application/wmo-grib' \ -H 'apikey: XXXX'

Les profils verticaux simulés montrent en effet un profil identique à l'adiabatique sèche en basses couches sur l'ensemble de notre bassin pour ce vendredi. L'air sec favorisera de très fortes valeurs. En contrepoint, on peut aussi noter une intrusion humide à l'étage moyen, aux alentours des 600 à 400 hPa. Celle-ci est unanimement simulée mais son intensité est discutée. Par exemple, la dépression du point de rosée y varie d'une valeur proche de 0 (voile bien en place) à proche de 10 (ciel clair, advection humide insuffisamment forte). La présence ou non de nébulosité à ces niveaux d'altitude affecteront les extrema atteints.

En prévisions immédiates, pour rappel, le DWD propose aussi ces outils : https://www.dwd.de/EN/weather/rsmc_nc/rsmc_node.html

En marge, le DWD a ajouté ce mois-ci quelque paramètres supplémentaires en accès ouvert (ICON-D2, ICON-EU et ICON). https://opendata.dwd.de/weather/nwp/

Il faut bien commencer, donc je te souhaite de continuer à enrichir ton site Je me permettrais une remarque sur la forme : la lisibilité est très médiocre avec le texte en gris sur un fond « photos ».

Les replays de ces deux jours sont dispos : - https://amsweatherband.org/index.cfm/weatherband/articles/attribution-science-helping-to-understand-weather-in-a-changing-climate/ - https://amsweatherband.org/index.cfm/weatherband/articles/global-weather-modeling-where-we-are-and-what-the-future-holds/ - https://amsweatherband.org/index.cfm/weatherband/articles/citizen-science-advancing-weather-and-climate-science-one-observation-at-a-time/

L'intérêt est de partager du code informatique La météo et la climato utilisent l'informatique à foison, suivant les échanges, du code peut être partagé. L'autre intérêt est d'utiliser une coloration syntaxique mettant en exergue la grammaire du langage pour une lecture aisée. Dans le message, le code ne serait pas mis en valeur.

Tu peux trouver des archives « récentes » d'AROME et ARPEGE, un mois max, ici : https://mf-models-on-aws.org/ Je garde trois semaines (pas la totalité des cycles), le stockage devient trop important sinon.

Au nord-ouest immédiat de l'Irlande, Yana, ainsi nommée par l'université de Berlin, est devenu une dépression mature proposant un enroulement caractéristique. Sur le continent, la goutte froide sur l'Italie, hier sur la côte toscane, est ce soir sur l'Emilie-Romagne, particulièrement centrée sur Ferrare. Une faible trace au sol, Zoe, est sur la Bavière générant des axes orageux depuis l'ensemble de notre façade est jusqu'à la Pologne et aux portes de l'Ukraine. La seconde goutte froide continue de tournoyer près des côtes portugaise, favorisant l'éclosion d'orages sur l'Espagne et les côtes kabyles jusqu'à la chaîne pyrénéenne. Conforme à sa définition, cette goutte froide ne donne pas de trace au sol, elle n'est donc pas nommée. Entre les trois, une grande partie de la France est au calme, au soleil, avec des températures en hausse grâce à une légère dorsale d'altitude. L'humidité synoptique se révèle à 700 hPa, niveau standard, avec ces trois éléments identifiables :

Pour une citation, tu as en gros deux solutions pour le même résultat : 1- 2- 1- Tu sélectionnes le passage d'un intervenant du forum que tu souhaites citer et tu auras un petit lien en bout de sélection « citer ceci ». Clique sur « citer ceci » et la citation sera automatiquement créée. 2- Tu sélectionnes le passage d'un intervenant du forum ou n'importe quel autre texte ailleurs sur la toile ou sur ton PC. Tu le copies (clic droit à la souris « copier » ou via le clavier avec CTRL+C). Tu appuies sur l'icône Citation (les guillemets), tu places le curseur de la souris dans le rectangle de la citation et tu colles (clic droit « coller » ou CTRL+V). Comme son nom l'indique, le bouton Code sert à insérer des éléments de programmation (code informatique). Par exemple : import sys import requests r = requests.get (url) with open ("r.grib2", "wb") as fp: fp.write (r.content) sys.exit (0) Pour cela, copie un extrait de code que tu souhaites partager, clique sur le bouton Code, place le curseur dedans et colle le code. Pour les images, plus ton image est à haute résolution et/ou de grande taille, plus son poids sera important (et prendras beaucoup d'espace de stockage). Selon le type/l'intérêt de l'image à insérer, il peut être très judicieux d'abaisser sa résolution et/ou sa taille réelle. Ou encore de la compresser en jpeg si elle est en png ou en tiff (en jpeg, l'image perd de l'information mais dans la plupart des cas ce n'est pas significatif si l'image de départ n'a pas un intérêt particulier). Ou encore de la passer en 8-bits (255 couleurs) si elle est en png et contient peu d'infos, comme des cartes issues des modèles de prévisions numériques du temps.

C'est ça !

Deux gouttes froides sur le sud de l'Europe provoquent des salves orageuses. La plus ancienne se décale très lentement vers la Toscane, permettant l'éclosion d'orages sur l'Italie, les Balkans et un petit tiers sud-est français. La seconde s'enfonce vers le sud en longeant le Portugal. Les orages naissent sur la péninsule ibérique.

Bonjour et sois le bienvenu. Si tu es sur PC, 1- tu peux glisser et déposer une image depuis ton gestionnaire de fichier dans le bandeau en bas où il y a le « trombone ». 2- Tu peux aussi cliquer sur « Choisir les fichiers » et sélectionner les images que tu souhaites insérer. 3- Tu peux aussi directement coller l'adresse d'une image présente chez un hébergeur, elle s'affichera automatiquement. 4- Tu peux cliquer sur « Insérer un autre média » et choisir « Insérer une image depuis une Url ». 5- Tu peux réinsérer une image que tu avais déjà placé dans un ancien message. Pour cela, clique sur « Insérer un autre média » et choisir « Insérer une pièce jointe déjà existante » (sous-entendu, stockée dans ton espace personnel, méthode 1 ou 2). En tant que membre, tu as un espace personnel de stockage de 100 Mo (1 Go en tant qu'adhérent). Les images que tu ajoutes avec les méthodes 1 et 2 y seront placées. Tu pourras les réutiliser avec la méthode 5. Les méthodes 3 et 4 ne grèvent pas ton espace de stockage mais tu dois en effet trouver un hébergeur pérenne (nombreux sont ceux qui limitent le stockage dans le temps). Si une image ne s'affiche pas, le plus souvent c'est que soit l'image n'est plus disponible (-> hébergement non pérenne) soit la connexion est lente voire réinitialisée (entre l'hébergeur et ton PC par exemple) Pour ce qui est de la taille affichée des images, une fois insérées, double-clique sur l'image. Tu auras une popup te permettant d'ajouter un titre, une balise et d'en modifier la taille affichée (la taille réelle est inchangée).

Le bug est corrigé ce matin côté MF, j'en ai eu confirmation aujourd'hui. Il était présent depuis le 18 juin mi-journée. Tous les coverageid de la version EURAT1S20 était désadressés. L'url que je t'avais donné en exemple fonctionne à nouveau. Dans ton exemple, mets au moins 1 jour entre la date du cycle et la date de l'échéance. Il est également totalement inutile de mettre une hauteur, ce n'est qu'un unique champ de surface. Un autre exemple fonctionnel avec un subset spatial bien que cela te retourne malgré tout la totalité du domaine : dans ce cas, ce sera à toi de faire le redimensionnement le cas échéant (via wgrib2 ou cdo par exemple) # requete : https://public-api.meteofrance.fr/public/arpege/1.0/wcs/MF-NWP-GLOBAL-ARPEGE-005-EURAT-WCS/GetCoverage?service=WCS&version=2.0.1&coverageid=TOTAL_PRECIPITATION__GROUND_OR_WATER_SURFACE___2024-06-24T00.00.00Z_P1D&subset=time(2024-06-25T00:00:00Z)&long(5.21600)&lat(43.437667)&format=application%2Fwmo-grib # shell : curl -X 'GET' \ 'https://public-api.meteofrance.fr/public/arpege/1.0/wcs/MF-NWP-GLOBAL-ARPEGE-005-EURAT-WCS/GetCoverage?service=WCS&version=2.0.1&coverageid=TOTAL_PRECIPITATION__GROUND_OR_WATER_SURFACE___2024-06-24T00.00.00Z_P1D&subset=time(2024-06-25T00:00:00Z)&long(-5,5.216000)&lat(43.437667,52)&format=application%2Fwmo-grib' \ -H 'accept: application/wmo-grib' \ -H 'apikey: xxxxxx

Bel enroulement autour d'un couple goutte froide / dépression de surface au-dessus du golfe de Gênes ! Les forçages orographiques (Apennins, Carpates, Alpes) profitent à la convection, jusqu'à l'orage. Les bandes de cumulus orientées perpendiculairement au vent (ondulations) sont parfaitement visibles sur un tiers est du pays. Ailleurs, le soleil domine largement excepté sur la Bretagne, le Pays basque et le littoral atlantique où l'humidité océanique profite d'un léger thalweg de surface pour rendre le ciel nébuleux, allant jusqu'à de faibles averses sur les versants côtiers exposés (PA, Cantabriques).

Ce sont essentiellement des configurations régionales d'interface qui sont appréhendées avec difficultés. La configuration en elle-même est stable. En revanche, nous sommes à l'interface entre une influence polaire (-> thalweg sur le proche-Atlantique) et une influence subtropicale (-> dorsale sur l'est de l'Europe) dans un déplacement W->E lent. Nous sommes ainsi dépendants de modulations dans les advections de températures, de tourbillon et d'humidité peu robustes à MT et LT sur un tel contexte. Ceci dit, nous avons malgré tout les grandes lignes, avec des orages essentiellement diurnes des Alpes à la Méditerranée en début de semaine puis des orages s'étendant à l'ensemble de la moitié sud, littoraux exceptés (?), et pouvant gagner vers une partie de la moitié nord. Enfin, un thalweg est très probable en fin de semaine, par l'Atlantique. Son amplitude n'est pas définie si bien qu'il est encore délicat de déterminer son potentiel orageux. Pour les amateurs de cartes concrètes, en voici quelques unes issues du déterministe ou de l'ensemble européen de ce matin, sous licence non ouverte : Précipitations/6h - Pressions au niveau de la mer - Simulation infrarouge (animation taille réelle 22 Mo ici) La durée de l'ensoleillement par jour : Probabilité d'orages sur les dernières 24h : Pour terminer une moyenne des modèles subsaisonniers pour la semaine du topic (moyenne des simulations hebdomadaires des modèles européen, américain, français, japonais, chinois et coréen) :

Je comprends la lassitude de nombre d'entre vous, mais c'est aussi grâce à ces conditions que par ici le temps est moins sec et moins chaud que plusieurs des juin récents. Avec même des coups de tonnerre de temps en temps. Mon souhait : si ça pouvait durer l'été sans franchir les 35°C mais entre 28 et 32°C, avec un peu d'eau de temps à autre et sans longs épisodes de Mistral (ce qui a les plus grandes chances d'arriver si le temps devient (très) estival sur le nord du pays), j'en serais déjà très satisfait.

ou trop bu ... ça fait écrire des âneries. --> [ ]

Sur les échéances en discussions (derniers jours de la semaine), la confiance de l'ensemble européen pour les HG est élevée sur l'Europe du nord et orientale (plages vertes, indiquant l'écart-type des simulations sur les 30 derniers jours aux échéances correspondantes). Sur l'est de l'Atlantique et l'Europe occidentale, les BG entre Groenland - Islande et Royaume-Uni se renouvellent. Les thalwegs associés s'isoleront plus ou moins bas en latitude et plus ou moins ouest en longitude. Ces « décalages sous-synoptiques » comme évoqués plus haut moduleront le niveau des températures et de l'humidité. L'évolution sur le TLT est tout de même plutôt stable, avec un excédent thermique globalement plus important sur l'Atlantique-ouest et l'Europe orientale et l'humidité subsiste sur l'Europe. Les HG subtropicaux atlantiques (« AA ») respirent en fonction notamment des advections froides de basses couches en provenance des cyclogénèses labradoriennes régulières. Au niveau hémisphérique, la stabilité domine également, le Pacifique renouvelle aussi ses conditions. Rien d'« estival » sur la durée. Il reste donc des évènements hautes fréquences, lors du passage d'une crête d'altitude advectant un air plus sec et plus chaud, pour espérer un temps estival. Et avant l'arrivée de l'humidité lors de l'évacuation des dorsales par l'est. Il est ainsi possible que les situations orageuses soient récurrentes. La vitesse du Jet affaiblie devant la vitesse de phase des ondes (-> anomalies d'altitude) peut permettre une durée accrue des conditions pluvio-orageuses (déplacement lent des thalwegs).

Bonsoir, je n'ai pas l'application en question mais par convention le nord est en haut.

C'est pourtant ce que j'utilise au quotidien. Comme déjà dit, sans un extrait de code reproductible, c'est difficile de t'aider.

Y avait à boire, presque autant que dans le lac !! Toujours sympa vos rencontres 😉

Les prévisions que j'ai faites sont erronées. Je les assume. Est-ce pour autant de la fiction ? C'est-à-dire « qui n'existe que par imagination » (définition) ? Tu cherches à comprendre mon raisonnement dis-tu. Sans me poser de questions mais en disant que les performances sont inexistantes, que les prévisions tombent à plat et que cela te paraît être de la fiction. Chacun sa façon de chercher. Je l'ai déjà écrit plusieurs fois. Mon objectif est de comprendre les mécanismes principaux interagissant à ces échelles de temps. Je tente des analyses que je partage, plutôt que de les faire dans mon coin. Dans l'espoir que d'autres s'y adonnent aussi, afin de mettre en commun les points de vue et les connaissances. Et donc de m'améliorer. C'est toujours mieux que de ne rien faire. Tu remarqueras, je l'espère, que je n'ai pas une lecture brute des cartes issues des modèles. Alors oui je me trompe, les simulations se trompent aussi. Seuls ceux qui arrivent après coup ne se trompent jamais. Tes messages ne m'aident pas mais ce n'est probablement pas ton but. Enfin, ce n'est peut-être pas tant les modèles qui se trompent que l'humain qui les analyse avec amateurisme ou celui qui les évalue sans les comprendre. Nous avons bien eu des échanges méridiens mais pas pour les raisons que j'avais envisagé. (j'ai retourné la carte pour un repérage plus facile)