Cotissois 31 Posté(e) 1 mai 2020 Brest Partager Posté(e) 1 mai 2020 (modifié) Les anglais ont le mérite de la transparence, montrant leur reconstruction pixel par pixel de la température de février 2020. https://www.metoffice.gov.uk/hadobs/crutem4/ Le cas de la Russie vaut le coup d'oeil. La seule explication logique d'une telle anomalie, à mon avis, est que l'océan est anormalement chaud et qu'il a envoyé des masses d'air à répétition sur le super-continent. On verra. PS : sur les anomalies de CO2 liées à la crise, j'attendrai minimum une reconstruction de qualité et ça peut prendre 1-2 ans avant qu'elle sorte. Modifié 1 mai 2020 par Cotissois 31 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
alsavosges Posté(e) 6 mai 2020 Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m) Partager Posté(e) 6 mai 2020 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yoann44 Posté(e) 12 mai 2020 Chauvé (44) Partager Posté(e) 12 mai 2020 (modifié) https://usbeketrica.com/article/climat-temperatures-invivables-atteintes-plus-tot-que-prevu Extrait de l'article citant l'étude : " Des conditions de température et d’humidité que le corps humain est incapable de supporter ont été atteintes pour la première fois dans l’histoire des mesures météorologiques, souligne une étude parue dans la revue Science Advances. Les climatologues n'attendaient pas l'émergence de telles conditions à cause du réchauffement avant 2050. Des terres gelées du Groenland au désert du Sahara, l’être humain est capable de s’adapter, et même de vivre, dans des conditions extrêmes. Mais il existe une limite à l’adaptation. Des niveaux de températures et d’humidité telles que le corps humain est incapable de survivre. Que vous soyez en parfaite santé, à l’ombre, allongé, immobile, hydraté et ventilé n’y changerait rien : l’être humain meurt en quelques heures à peine dans de telles conditions. Heureusement, ces conditions n’existent plus sur Terre depuis plus de 3 millions d’années. Malheureusement, avec le réchauffement climatique, elles viennent à nouveau d’être atteintes. C’est ce qu’affirme une étude publiée dans la revue scientifique Science Advances le 8 mai 2020 par des chercheurs américains et britanniques. Ils ont étudié les données de nombreuses stations météorologiques en analysant à la fois les températures et le niveau d’humidité, s’intéressant plus précisément ce qu’on appelle la « température humide », notée TW. Résultat : la fréquence des évènements météo extrêmes compris entre 27°C TW et 35°C TW a doublé depuis 1979. Et pour la première fois depuis que l’on enregistre ces données météo, les 35°C TW ont été dépassés « pendant une heure ou deux » à Jacobabad, au Pakistan, et à Ras al Khaimah, dans les Émirats arabes unis (EAU). " L'étude en question : https://advances.sciencemag.org/content/6/19/eaaw1838 Modifié 12 mai 2020 par Yoann44 1 3 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
serge26 Posté(e) 12 mai 2020 Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement Partager Posté(e) 12 mai 2020 Avec +0,543°C au-dessus de la moyenne 1981-2010, le mois d’avril 2020 est le 3e plus chaud des annales NCEP-NCAR qui remontent à 1948. L’anomalie de température mondiale est en hausse par rapport à mars 2020 (+0,457°C). Les six mois d’avril les plus chauds sont tous postérieurs à 2010. Cela correspond a une anomalie de +1,23°C par rapport à l’ère préindustrielle 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 19 mai 2020 Brest Partager Posté(e) 19 mai 2020 (modifié) Je ne pense pas que beaucoup de monde utilise encore le NCEP en mesure globale, les américains ont NCEI (anciennement NCDC) https://www.ncdc.noaa.gov/climate-monitoring/ Tous les flux s'arrangent pour créer une forte chaleur sur la Russie donc on n'est pas étonné de monter haut. Par contre, l'océan est toujours affiché avec une chaleur proche de 2016 et ça reste à expliquer. En 2016 on avait un fort El Nino. Mais là...? Modifié 19 mai 2020 par Cotissois 31 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 28 mai 2020 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 28 mai 2020 2 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
bernardt60 Posté(e) 2 juin 2020 56800 Taupont Partager Posté(e) 2 juin 2020 2 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
alsavosges Posté(e) 5 juin 2020 Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m) Partager Posté(e) 5 juin 2020 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
TreizeVents Posté(e) 8 juin 2020 Dax (40) Partager Posté(e) 8 juin 2020 Pour faire un écho aux débats sur les notions d'accélération et/ou de plateau sur l'évolution des températures globales (je précise donc que je ne vais pas évoquer le cas français ici) qui ont d'ailleurs été modérés car hors sujet au regard du topic où ils avaient eu lieu, je partage un billet du blog de Tamino qui date d'il y a quelques mois mais qui reste bien d'actualité. J'en propose une version traduite allégée pour les anglophobes, mais les adeptes de la langue de Shakespeare peuvent se référer directement à l'article original. Est-ce que l'accélération apparente récente (depuis les années 1980 à aujourd'hui) de l'évolution des températures globales est significative ? D'après les données de la NASA, elle l'est. Le graphique montre les moyennes annuelles depuis 1979, mais on obtient le même résultat en utilisant des pas de temps plus courts comme les anomalies mensuelles. La ligne rouge correspond à la tendance parabolique avec sa marge d'incertitude. C'est la manière la plus simple et la plus directe de tester l'existence d'une accélération. Et cela confirme que l'accélération est statistiquement significative, à un taux estimé à 0.0006 ± 0.0005 °C/an/an. Mais selon les données du centre de Hadley (HadCRU), il n'y a pas d'accélération significative. A nouveau, la ligne rouge correspond à une régression parabolique, mais elle ressemble à une droite car le coefficient quadratique est trop faible pour rendre la courbure visible. C'est parce que l'accélération estimée est trop faible pour être statistiquement significative. Ces deux graphiques sont basés sur deux des jeux de données les plus connus d'estimation des anomalies globales. Il y en a au moins trois autres qui sont particulièrement utilisés, produits par la NOAA, par Cowtan et Way, et par l'université de Berkeley. Les données de la NOAA concordent avec celles de la NASA sur le caractère statistiquement significatif de l'accélération ; sur les données Berkeley et Cowtan et Way en revanche l'accélération n'est pas significative comme pour celles de Hadley. Est-ce que cela implique que si ces différentes données se contredisent, c'est que leurs résultats sont suspects ? Pas nécessairement ; elles peuvent donner des résultats différents sur le caractère statistiquement significatif de l'accélération même si leurs résultats sont dans l'ensemble cohérent. Laissez-moi représenter leur valeur estimée de l'accélération avec les barres d'erreur indiquant le niveau d'incertitude de chacune de ces estimations : Juste pour le fun j'ai également indiqué les estimations issues de deux autres jeux de données, ceux de RSS et d'UAH, mais contrairement aux autres jeux ces données ne correspondent pas aux températures de surface de la Terre mais à celles de la basse troposphère (soit approximativement les 10 premiers kilomètres de l'atmosphère). Les différents niveaux d'accélération estimés se recoupent globalement entre les différents jeux de données. Cela permet de montrer visuellement que les résultats obtenus sont dans l'ensemble cohérents entre ces différents jeux de données. Mais si ces données sont aussi cohérentes entre elles, pourquoi donnent-elles des réponses différentes à la question "est-ce que l'accélération est statistiquement significative ? Imaginons que nous ayons tous deux à estimer quelle est la taille de Shaquille O'Neal juste en regardant des vidéos de sa carrière de joueur professionnel de la NBA. Vous avez estimé sa taille à 2,20 mètres et moi à 2,17 mètres. Dans le fond, nous sommes très proches. Mais en considérant que Kareem Abdul-Jabbar mesure 2,18 mètres, nous sommes en désaccord sur la question "est-ce que Shaquille est plus grand que Kareem ?". Tous les jeux de données indiquent une accélération (aucun un ralentissement), mais seulement la NASA et la NOAA l'estiment suffisant pour dépasser le seuil du statistiquement significatif. Les températures globales ne sont pas affectées que par l'activité humaine. En particulier, on connait trois facteurs naturels qui les influencent de manière importante : l'ENSO, les éruptions volcaniques, et les variations de l'activité solaire. Il est possible de retirer leurs influences respectives sur les variations de la température globale ; cela permet d'isoler l'évolution qui est due à l'activité humaine, et peut-être que cela nous aidera à voir s'il y a ou pas une accélération liée à cette activité humaine. Voici le résultat avec les données de la NASA : Comme vous pouvez le voir, les fluctuations (bruit) sont beaucoup plus faibles. Mais l'accélération est toujours présente, au moins d'après ces données. On peut procéder de même sur tous les jeux de données, et comparer les évolutions obtenues après neutralisation des variations d'origine naturelle. Voici les niveaux obtenus : Les résultats sont plus précis, comme en témoignent les barres d'erreur plus faibles, mais le résultat est inchangé. Pour la NASA et la NOAA l'accélération est statistiquement significative, mais pour les autres jeux de données elle ne l'est pas. Quelle conclusion à celà ? Je ne suis pas prêt à dire qu'il y a une accélération. Pas encore. Mais clairement, il y a des signes. Les données de la NASA et de la NOAA le montrent, et d'autres jeux de données non présentés ici comme ERA5 le montrent aussi. Mais il y a aussi des résultats contradictoires. Les données de Hadley, de Cowtan and Way, de Berkeley, de RSS ou encore d'UAH n'indiquent pas d'accélération, même après y avoir neutralisé les évolutions liées à l'ENSO, aux volcans et aux cycles solaires. Quand vous cherchez quelque chose de statistiquement significatif, plus vous testez un nombre important de données, plus vous augmentez vos chance de le trouver par hasard. Mais je me répète, il y a des signes. J'espère que d'ici 2025, nous seront davantage fixés. 8 7 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Cotissois 31 Posté(e) 9 juin 2020 Brest Partager Posté(e) 9 juin 2020 (modifié) On voit bien que ça touche un symbole : identifier une légère convexité. Par contre, il faut l'avis des experts sur l'intérêt de considérer cela au-delà du symbole. Si Internet (Tamino en fait partie) décide sans les experts que c'est important, c'est encore le mauvais ordre des choses. Dans le vocabulaire, j'ai déjà fait un débat là-dessus, mais la significativité statistique ne signifie pas l'importance. Il y a des choses significatives statistiquement mais négligeables en pratique. C'est aux experts de décider ce qu'ils veulent négliger. A choisir, un scientifique préfère généralement les approximations linéaires aux courbures. C'est uniquement si la courbure prend de l'importance qu'il abandonne l'approximation linéaire. Modifié 9 juin 2020 par Cotissois 31 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 9 juin 2020 Partager Posté(e) 9 juin 2020 Heu, les experts? Un peu comme les experts médicaux? Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Higurashi Posté(e) 12 juin 2020 Partager Posté(e) 12 juin 2020 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebinnis Posté(e) 14 juin 2020 Frontonas (230 m) Partager Posté(e) 14 juin 2020 (modifié) Les excédents relevés sont à nuancer légèrement, car ce ne sont pas les normes 81/2010 qui sont prises en compte, déjà qu'elles sont obsolètes à ce jour, 51/80 c'est encore pire. cette carte-là est la plus parlante selon moi, on voit bien là où cette première moitié d'année a été la plus remarquable, sans surprise on retrouve la Russie dans son intégralité après la fin d'hiver et début de printemps absolument inédits à Moscou. Sans surprise non plus, pas de "bleu", autrement dit aucune région du monde n'a connu un de ses débuts d'année les plus frais ; toutefois on peut là aussi relativiser un peu, toute la planète n'est pas en surchauffe, en tout cas pas en même temps, en témoignent ces zones "blanches" (sans excès) qui restent assez nombreuses. Modifié 14 juin 2020 par sebinnis 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
mathias Posté(e) 14 juin 2020 Grenoble gare et Monestier de Clermont pour le travail. Précieux dans la plaine du Forez pour les vacances. Partager Posté(e) 14 juin 2020 (modifié) Et qui vous dit qu'il n'y a pas du bleu en grande quantité sur la face cachée? Non non, je ne suis pas un climatosceptique...😇 Modifié 14 juin 2020 par mathias 8 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebinnis Posté(e) 20 juin 2020 Frontonas (230 m) Partager Posté(e) 20 juin 2020 (modifié) Modifié 20 juin 2020 par sebinnis 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 22 juin 2020 Partager Posté(e) 22 juin 2020 Pour une raison que j'ignore, NCEP, au cours des derniers mois, indique une anomalie globale nettement en deçà des autres organismes. Toutefois, je trouve bien "reposante", presque zen, cette carte de l'anomalie de température du 01 au 20 juin 2020 (attention lien provisoire): Pas vous? Sinon, le calcul donne une valeur de 0.33°C, ce qui est à prendre avec circonspection, mais cela placerait, pour le moment, ce mois de juin à la 10ème place des plus chauds... On notera, la forte baisse en Asie sauf en Sibérie orientale dont j'ai lu quelque part qu'on avait enregistré dernièrement, un 38°C ! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
edd Posté(e) 23 juin 2020 Melun (surtout), montois (Donnemarie-dontilly) dans l'Est 77 (parfois) Partager Posté(e) 23 juin 2020 (modifié) Je mets ça là car c'est en lien direct aux analyses de juin, entamées par meteor. Guillaume Séchet nous informe que le RC est déjà au niveau de 2100. Je partage parce que c'est quand même sur un site assez grand public et que ça doit être exemplaire. Tout n'est pas à jeter dans l'article, mais que de sentimentalisme et de jugements de valeur ("sidérant, inquiétant, affolant..."), de généralisations et de conclusions hâtives. Je reste persuadé que cette communication qui fait peur est contre productive pour les gens. Des gens effrayés (et notre époque produit cela sur tous les sujets c'est bien le pb) sont des gens qui se replient et qui n'agissent pas. Des sujets fondamentaux traités sous un angle médiatique (tel qu'on le connaît aujourd'hui, saturé anxiogène et à effets) ça ne va pas. On traite pas le RC comme le covid ou daesch. http://www.meteo-paris.com/actualites-meteo/chaleur-et-incendies-en-siberie-un-risque-pour-le-climat-mondial-22-juin-2020.html Modifié 23 juin 2020 par edd 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 23 juin 2020 Partager Posté(e) 23 juin 2020 il y a une heure, edd a dit : Je mets ça là car c'est en lien direct aux analyses de juin, entamées par meteor. Guillaume Séchet nous informe que le RC est déjà au niveau de 2100. Attention, il faut citer l article fidèlement sans introduire un biais, sinon toi aussi tu perds en crédibilité. L article dit " les valeurs enregistrées ces derniers jours sont celles attendues en 2100" C'est pas tout à fait pareil. On peut dire que l été 2003 est l été standard attendu à la fin du siècle, ca ne veut pas dire qu en 2003 on avait déjà le climat prévu en 2080... 6 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebb Posté(e) 23 juin 2020 Partager Posté(e) 23 juin 2020 Il y a 2 heures, edd a dit : Guillaume Séchet nous informe que le RC est déjà au niveau de 2100. "Ah ben si c'est que ça, je lèverai pas le petit doigt contre le RC, mais le majeur contre les mesures " Selon un sondage, le pays qui se sent désormais le moins concerné par le RC est désormais la Suède... des pincettes sur la précision, une info sur le fond<. C'est face à la provoc' et l'indignation que l'humain réagi le plus, faut alors gérer le degré... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 23 juin 2020 Partager Posté(e) 23 juin 2020 Il n'empêche que le carbone stocké en Arctique constitue bien, en cas de libération violente provoquée par les évènements décrits par G Séchet, un point de bascule climatique très important, voire cataclysmique. A surveiller de très près donc. Réaction rapide souhaitée et pas seulement avec une réduction de vitesse sur les autoroutes françaises, si vous voyez ce que je veux dire...😁 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sebinnis Posté(e) 24 juin 2020 Frontonas (230 m) Partager Posté(e) 24 juin 2020 (modifié) Sauriez-vous estimer le nombre d'épisodes caniculaires (selon les seuils établis par MF) avant l'instauration de la vigilance, soit en 2004, qui auraient concerné plus de 50 pour cent du territoire ? 2003 bien sûr, Juillet 1983 je pense, pour le reste je ne sais pas... à mon avis il y en a eu déjà + depuis 5/6 ans qu'en l'espace de 100 ans... au moins un épisode par an depuis quelques étés... Modifié 24 juin 2020 par sebinnis 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Damien49 Posté(e) 25 juin 2020 La-Chapelle-Saint-Florent - 49 (proche 44, bord Loire) Partager Posté(e) 25 juin 2020 Le 23/06/2020 à 15:03, meteor a dit : Il n'empêche que le carbone stocké en Arctique constitue bien, en cas de libération violente provoquée par les évènements décrits par G Séchet, un point de bascule climatique très important, voire cataclysmique. A surveiller de très près donc. L'alerte d'alain coustou de 2005 sur ce forum n'a pas pris une ride : Je vous invite à le relire, il a été le premier sur ce forum à nous alerter de ce risque et peu en avaient pris conscience encore. On pense bien à toi alain 😥 6 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
serge26 Posté(e) 25 juin 2020 Pierrelatte (confluent 26/07/30/84) - et Saint Palais sur mer (17) occasionnellement Partager Posté(e) 25 juin 2020 Et la vague de chaleur exceptionnelle que connait les cotes arctiques sibériennes depuis plusieurs jours ne vont certainement pas arranger les choses 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 28 juin 2020 Partager Posté(e) 28 juin 2020 (modifié) Question : Est ce que la température à la surface du globe (qui varie tous les jours), et telle que la calcule NCEP, est passée depuis le 1er janvier au moins un jour en dessous de la moyenne 81/10 ? Merci si quelqu'un a la réponse. Modifié 28 juin 2020 par th38 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Yoann44 Posté(e) 28 juin 2020 Chauvé (44) Partager Posté(e) 28 juin 2020 https://global-climat.com/2020/06/28/cloud-models/ Extrait : Le réchauffement de la dernière génération de modèles climatiques probablement causé par les nuages " Les scientifiques tentent de déterminer pourquoi les derniers modèles climatiques suggèrent une plus grande sensibilité climatique prévu. Une étude fait la synthèse de la recherche, confirmant le rôle des nuages. Pour la nouvelle génération de modèles du projet CMIP6, la plage de sensibilité climatique à l’équilibre (ECS, la valeur du réchauffement climatique à l’équilibre pour un doublement du CO2) va de +1,8° C à +5,6°C. C’est l’éventail le plus large parmi les différentes générations de modèles qui se sont succédées depuis les années 1990. La réponse climatique transitoire (TCR, la température de surface au moment du doublement du CO 2 au rythme de 1% par an) pour les modèles CMIP6 est de +1,7°C (de +1,3°C à +3,0°C). Ce qui est légèrement au-dessus des modèles CMIP3 et CMIP5. Une nouvelle étude, publiée dans Science Advances, sous la direction de Gerald Meehl (NCAR), donne un aperçu de 39 modèles mis à jour qui font partie d’un effort climatique international majeur. Ces modèles entrent dans le cadre de la sixième phase du projet de comparaison de modèles couplés (CMIP6) qui doit alimenter le prochain rapport du GIEC. L’article passe en revue les derniers développements des valeurs ECS et TCR. Il en ressort que les rétroactions des nuages et les interactions nuages-aérosols sont les contributeurs les plus probables aux valeurs élevées et à la gamme accrue d’ECS dans CMIP6. La génération actuelle de modèles CMIP6 a une plus grande gamme d’ECS, avec des valeurs plus élevées à l’extrémité supérieure de la gamme que les générations précédentes de modèles. Dans le nouvel article, les auteurs ont ainsi cherché à comparer systématiquement les modèles CMIP6 avec les générations précédentes pour déterminer les raisons probables de l’élargissement de la plage de sensibilité. " 4 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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