Papusa Posté(e) 3 mai 2021 Vanves (92) et Châtenay-Malabry (92) pour le travail Partager Posté(e) 3 mai 2021 (modifié) il y a 54 minutes, Matpo a dit : Au risque de dire une betise, c est pas la mer d aral ? (au vu du lac, pas des coordonnées) Je serais tenté de dire non car la mer d'Aral ressemble à ça : On voit que ce n'est pas la même forme. Ceci dit merci pour ta contribution 👍 Edit : Je remet le post de @Discolulu pour facilité la comparaison Il y a 6 heures, Discolulu a dit : Je plussoie .. incroyable. Modifié 3 mai 2021 par Papusa 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Discolulu Posté(e) 3 mai 2021 Dijon, Bellefond Partager Posté(e) 3 mai 2021 Honnêtement, j'ai fais une sélection au hasard, côté Amérique du sud.. je pense avoir retrouvé ce lac .. : Lago Poopô en Bolivie Et sur le point de disparaître.. https://www.geo.fr/environnement/le-lac-poopo-lun-des-plus-grands-de-bolivie-est-sur-le-point-de-disparaitre-193849 2 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 22 mai 2021 Partager Posté(e) 22 mai 2021 Des solutions pour refroidir la planète? Cette émission d'Arte les résume de façon vulgarisée. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
bernardt60 Posté(e) 26 mai 2021 56800 Taupont Partager Posté(e) 26 mai 2021 https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/rechauffement-climatique-rechauffement-climatique-fait-retrecir-stratosphere-87418/ 3 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Matpo Posté(e) 27 juin 2021 Toulouse, fontaines/Bayonne, en plein ICU, bien trop loin de la neige de mes montagnes tarnaises et cevenoles Partager Posté(e) 27 juin 2021 Resume d une tide qui vient de sortir sur l évolution de l équilibre énergétique (EEI) de la terre https://www.nasa.gov/feature/langley/joint-nasa-noaa-study-finds-earths-energy-imbalance-has-doubled Doublé entre 2005 et 2019 Mix entre forçage radiatif des GES et PDO 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
northern lights Posté(e) 5 juillet 2021 Partager Posté(e) 5 juillet 2021 Comme sur cet article , il s'agit de tempés, donc ça a peut être sa place ici? Sans plus de commentaires, les faits deviennent de plus en plus gros et se suffisent à eux mêmes... https://polarjournal.ch/en/2021/07/05/new-temperature-record-in-antarctica/ 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Matpo Posté(e) 13 juillet 2021 Toulouse, fontaines/Bayonne, en plein ICU, bien trop loin de la neige de mes montagnes tarnaises et cevenoles Partager Posté(e) 13 juillet 2021 Je ne sais si cela a ça place ici, c est du global et pas une donnée chiffrée dans le détail Connu pour une majorité de lecteurs IC mais pédagogique bien illustré 3 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
matheo7125 Posté(e) 13 juillet 2021 Chalon-sur-Saône (71) Partager Posté(e) 13 juillet 2021 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hugo_HK Posté(e) 14 juillet 2021 Hong Kong Partager Posté(e) 14 juillet 2021 11 hours ago, matheo7125 said: On retrouve les gros coups de chauds sur l'ouest du continent Nord Américain, le centre et l'Est de l'Europe et l'Est Sibérien. Au vu de la premiere partie de mois de Juillet les anomalies pourraient avoir la meme tete ce mois ci, avec une chaleur persistante sur l'Ouest des US / Canada, la Russie de l'ouest et la Yakoutie... Le peu d'anomalies negatives fait peur... ca montre a quel point faut avoir un coup de pas bol pour connaitre un mois froid dans la saison estivale de l'HN.... 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
pierre yves Posté(e) 14 juillet 2021 Partager Posté(e) 14 juillet 2021 Il y a 9 heures, Hugo_HK a dit : On retrouve les gros coups de chauds sur l'ouest du continent Nord Américain, le centre et l'Est de l'Europe et l'Est Sibérien. Au vu de la premiere partie de mois de Juillet les anomalies pourraient avoir la meme tete ce mois ci, avec une chaleur persistante sur l'Ouest des US / Canada, la Russie de l'ouest et la Yakoutie... Le peu d'anomalies negatives fait peur... ca montre a quel point faut avoir un coup de pas bol pour connaitre un mois froid dans la saison estivale de l'HN.... Tout dépend sur quelle période de référence on se base pour parler de mois froid. Si on se base sur la période 2000-2020 on peut facilement trouver des anomalies négatives : Si on se base sur une période ancienne, là avec le réchauffement climatique c'est sûr que les anomalies négatives sont beaucoup plus rares, l'antarctique a fait figure d'exception en Juin 2021. 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Hugo_HK Posté(e) 14 juillet 2021 Hong Kong Partager Posté(e) 14 juillet 2021 bien vu j'avais pas fait attention a 51/80! c'est out simplement plus le meme climat par rapport aux années 60-70... 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
sirius Posté(e) 14 juillet 2021 Haut Doubs Partager Posté(e) 14 juillet 2021 (modifié) Citation 'est out simplement plus le meme climat par rapport aux années 60-70.. Et tu trouves ça plus rassurant ? https://twitter.com/SISeneviratne/status/1413026246133485573?s=20 Modifié 14 juillet 2021 par sirius Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
edd Posté(e) 28 juillet 2021 Melun (surtout), montois (Donnemarie-dontilly) dans l'Est 77 (parfois) Partager Posté(e) 28 juillet 2021 Hello à tous, On a en ce moment une théorie qui se développe, pour lier directement la GF allemande et belge au RC (et remettre un coup de dôme chaud au passage). Je dis pas que c'est des âneries mais je crois que c'est une des premières fois que je vois l'hypothèse affirmée. On est dans le propos d'un mec censé visiblement (prof d'université). Mf aussi parle parfois de potentiel précipitant augmenté. C'est vrai que les échos radar de la dernière GF étaient impressionnants. Après c'est un phénomène ponctuel. https://www.la-croix.com/Debats/Comment-expliquer-lien-entre-phenomenes-climatiques-extremes-rechauffement-climatique-2021-07-28-1201168244 J'ai quand même un peu du mal à comprendre le propos qui me semble assez simpliste ou réducteur. Il reprend la fameuse théorie du ralentissement du GF pour émettre l'hypothèse de blocages plus marqués et de GF plus stationnaires. Mais cela a-t-il été montré? La présence de GF "stationnaires" en été en Europe c'est banal en soi. Évidemment bcp moins qd elles précipitent du 10mmh sur de grosses zones. Et des orages violents ponctuels c'est aussi le quotidien de l'Europe estivale. Ce qui est plutôt viable me semble-t-il c'est une tendance à des étés à Hr bas et sécheresse, en raison globalement de la montée graduelle des hauts géo subsahariens qu'on observe à gogo ces dernières années. Bref qu'en pensez-vous ? Hypothèse toute relative ou réalité censée ? Car bcp de papiers relatent cela actu. N'y aurait-il pas une logique de vouloir toujours tout comprendre de suite et en tirer des conclusions hâtives en simplifiant a l'extrême la complexité de la machine climatique (d'autant plus complexe que transformée par le RC) ; par exemple : tempête de 99 = plein de tempêtes a venir car jet de plus en plus fort, canicule de 2003 = plein de canicules , Wilma cat 5 = que des cat 5 à venir, inondations belges de 2021 = plein d'inondations a venir etc etc. ). Manu 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 28 juillet 2021 Partager Posté(e) 28 juillet 2021 (modifié) Il y a 3 heures, edd a dit : N'y aurait-il pas une logique de vouloir toujours tout comprendre de suite et en tirer des conclusions hâtives Chaque fois qu'il y a des événements extrêmes, on reprend en effet cette question de lien avec le RC.. Mais je ne pense plus que l on veuille tout comprendre tout de suite. En 99 ou en 2003 peut être, mais en 2021, on n en n est plus à un balbutiement dans le réchauffement. Il est admis que pour 1°C de réchauffement, on a 7% d évaporation en plus des surfaces en eau, et donc in fine 7% de précipitations en plus. Manifestement, la fréquence des précipitations n'augmentant pas (il y aura toujours 50% de territoires au delà de 1015 hp) ce sont les intensités qui augmentent, et avec elles, les évènements extrêmes. En France, les Cévennes et la Vesubie à l automne dernier, et cet été l Allemagne la Belgique et l Angleterre rentrent malheureusement très bien dans le tuyau des projections... Modifié 28 juillet 2021 par th38 3 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
edd Posté(e) 28 juillet 2021 Melun (surtout), montois (Donnemarie-dontilly) dans l'Est 77 (parfois) Partager Posté(e) 28 juillet 2021 (modifié) Moi je retiens surtt des derniers étés anormalement chauds, secs (en particulier encore une fois en Hr), et surtout et avant tout stables ! Et c'est justement cette stabilité estivale (associée à une hausse globale des geopotentiels) qui pourrait devenir bcp plus fréquente (et bcp plus problématique pour nous et surtt la nature que des inondations) . C'est du coup contradictoire avec une instabilité plus marquée. Après on pourrait résumer en un potentiel plus marqué qd tous les ingrédients sont réunis et lors des phases humides ponctuelles, mais de là à ce que les phénomènes précipitants forts deviennent plus fréquents en été en Europe de l'ouest il y a pas. Pareil pour les cévenols, sont-ils réellement de plus en plus forts et fréquents ? Pas trivial. Je ne veux pas du tout remettre en cause la théorie mais juste mieux la comprendre et la démontrer scientifiquement. Modifié 28 juillet 2021 par edd Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 28 juillet 2021 Partager Posté(e) 28 juillet 2021 Il y a 2 heures, th38 a dit : Il est admis que pour 1°C de réchauffement, on a 7% d évaporation en plus des surfaces en eau, et donc in fine 7% de précipitations en plus. Euh, non. La pression de vapeur saturante augmente certes de 7% par degré mais pas l'évaporation ni les précipitations, globalement. D'après le GIEC, les précipitations globales devraient augmenter de 1.8% par degré, environ, car ce n'est pas si simple à simuler numériquement. Par contre 1°C d'augmentation de température entraîne une augmentation de l'eau précipitable de 7%. Mais précipitable ne veut pas dire que cela va précipiter. Pour que çà précipite il faut que les conditions s'y prêtent, par exemple l'arrivée d'une goutte froide ou d'une masse d'air suffisamment froid au contact d'un air chaud et humide. C'est le cas quand se produit un orage, par exemple. En général il n'y a pas assez d'eau précipitable dans une colonne statique pour expliquer des phénomènes aussi exceptionnels que ce qui s'est passé en Allemagne et en Belgique. Je ne suis pas spécialiste de ce genre de chose mais à l'évidence il faut qu'il y ait alimentation continue en air humide venant des régions avoisinantes et de la mer en particulier. C'est donc avant tout un problème de circulation atmosphérique et quant à savoir si le RC en est responsable, c'est une autre affaire. J'ai le souvenir que c'est plutôt les précipitations hivernales qui devraient augmenter dans des régions aussi septentrionales et que les étés devraient être plus secs. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
edd Posté(e) 28 juillet 2021 Melun (surtout), montois (Donnemarie-dontilly) dans l'Est 77 (parfois) Partager Posté(e) 28 juillet 2021 (modifié) Merci bcp de ta réponse. Pour citer mf : " les rivages de la Baltique et la Scandinavie connaissent actuellement un été très chaud, qui ont contribué d’une certaine manière à un fort contenu en vapeur d’eau sur une grande partie de l’Europe du nord. Ce fort contenu en eau de l’atmosphère est souvent invoqué par les climatologues comme la principale raison de l’augmentation de la fréquence des événements pluvieux extrêmes, déjà observée, à cause du réchauffement climatique." Très complexe pour moi, alors j'imagine pour le commun des mortels non sensibilisé à la météo... Ça pourrait éventuellement lier surchauffe (bien réelle) de la Baltique et épisode allemand. Mais c'est qd même pour le moins complexe à quantifier... Pour pousser le trait, la canicule scandinave de 2018 n'était pas vraiment synonyme d'épisodes pluvieux en Europe. Modifié 28 juillet 2021 par edd Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
clem11 Posté(e) 28 juillet 2021 Toulouse Partager Posté(e) 28 juillet 2021 @edd oui comme l’ont dit les collègues au dessus ce qu’il faut globalement retenir je pense c’est le fait que plus tu augmentes la température des mers plus l’évaporation augmente. Si par dessus tu cales un mécanisme atmosphérique comme une GF stationnaire, un forçage méditerranéen automnal ou tout autre forçage tu vas développer beaucoup plus d’eau precipitable. Engendrant in fine une augmentation des précipitations horaires et des désastres qui suivent. 4 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Barth61 Posté(e) 29 juillet 2021 Cherbourg-L'aigle Partager Posté(e) 29 juillet 2021 Il y a 17 heures, meteor a dit : Euh, non. La pression de vapeur saturante augmente certes de 7% par degré mais pas l'évaporation ni les précipitations, globalement. D'après le GIEC, les précipitations globales devraient augmenter de 1.8% par degré, environ, car ce n'est pas si simple à simuler numériquement. Par contre 1°C d'augmentation de température entraîne une augmentation de l'eau précipitable de 7%. Mais précipitable ne veut pas dire que cela va précipiter. Pour que çà précipite il faut que les conditions s'y prêtent, par exemple l'arrivée d'une goutte froide ou d'une masse d'air suffisamment froid au contact d'un air chaud et humide. C'est le cas quand se produit un orage, par exemple. En général il n'y a pas assez d'eau précipitable dans une colonne statique pour expliquer des phénomènes aussi exceptionnels que ce qui s'est passé en Allemagne et en Belgique. Je ne suis pas spécialiste de ce genre de chose mais à l'évidence il faut qu'il y ait alimentation continue en air humide venant des régions avoisinantes et de la mer en particulier. C'est donc avant tout un problème de circulation atmosphérique et quant à savoir si le RC en est responsable, c'est une autre affaire. J'ai le souvenir que c'est plutôt les précipitations hivernales qui devraient augmenter dans des régions aussi septentrionales et que les étés devraient être plus secs. Merci ! Parce que quand c'est trop sec et chaud, c'est le RC. Quand c'est trop humide, c'est le RC. A un moment donné, il y a aussi, sur du très court terme, des éléments qui font qu'il y a eu ce qu'il y a eu. Même si le RC augmente quelques paramètres, ce n'est pas forcément lui le responsable. Quelques stations de pp sur différentes villes (Belgique et Allemagne) : Personnellement, je ne vois pas de tendance clair dans ces stations. L'unique chose que l'on peut souligner, c'est des valeurs exceptionnelles de pp dans une journée, par exemple à Cologne, où nous sommes arriver à prés de 85/88 mm d'eau, contre un ancien record d'une 50e de mm d'eau. Malheureusement, on a des données depuis 1960 grosso-modo, et c'est un peu juste en terme de données pour établir une tendance. Si ça se trouve, cette valeur, ne sera revue que dans 100 ans. C'est décidément un été bien humide sur l'Europe de l'Ouest.... 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dionysos Posté(e) 29 juillet 2021 Grenoble - Eybens Partager Posté(e) 29 juillet 2021 (modifié) Le réchauffement climatique est une réalité. Il suffit de voir l'évolution sur "seulement" 150 ans des glaciers et, sur une plus courte période encore , la diminution rapide de l'enneigement à basse et moyenne altitude. Ça se voit "à l’œil nu " . Mais à cette évolution climatique se rajoutent des éléments "artificiels" qui viennent encore accentuer le phénomène, et en particulier la sur-urbanisation 2 exemples : Dans la cuvette grenobloise, la sur-urbanisation particulièrement marquée (3ème agglomération la plus dense de France) dans une cuvette globalement peu ventée, conduit à un ilot de chaleur assez impressionnant : 1° d'écart de tm annuelle entre les stations du Versoud et de SMH, distantes de seulement quelques kilomètres à vol d'oiseau ... (et encore, la station de SMH n'est pas située dans le plein centre-ville de Grenoble ...) Dans la zone méditerranéenne , les feux de forêt et les inondations sont probablement plus nombreux qu'avant, mais ils font aussi plus de dégâts car la sur-urbanisation a conduit la population à occuper des zones à risque, qui pour beaucoup étaient inhabitées autrefois ... ( cette même sur-urbanisation contribuant probablement aussi à la plus grande fréquence des feux de forêt ) Modifié 29 juillet 2021 par Dionysos 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dionysos Posté(e) 29 juillet 2021 Grenoble - Eybens Partager Posté(e) 29 juillet 2021 (modifié) . Modifié 29 juillet 2021 par Dionysos Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
edd Posté(e) 29 juillet 2021 Melun (surtout), montois (Donnemarie-dontilly) dans l'Est 77 (parfois) Partager Posté(e) 29 juillet 2021 (modifié) On pourrait aussi citer la monoculture et les terres érodées, qui participent pour bcp aux ruissellements. La crue historique du loing de 2016 en est un exemple connu, outre les gros amas de pluie générées par la GF (100mm en 2 jours sur le BV loing). Ceci étant les orages diluviens en Idf ce n'est pas une rareté en soi. L'exemple le plus impressionnant reste le 192mm dans Paris en quelques heures en 1992. Aussi évidemment la nuit du 6 au 7 juillet 2001 avec 130mm dans l'ouest de Paris et 200mm dans la Somme. Juin et juillet 2021 sont aussi un beau cru avec 350mm cumulé très localement. Le souci, en plaine, ce n'est pas d'avoir 100mm sur une commune c'est d'avoir 100mm sur une partie de bassin versant. A évaluer donc si ce type de phénomène devient plus récurrent et comment. Je laisse les forçages d'épisodes cévenols ou azuréens un peu de côté car c'est un cas spécifique. Et de mémoire ce n'est pas forcément les années où la mer est très chaude que ça dégénère le plus. Modifié 29 juillet 2021 par edd 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 29 juillet 2021 Partager Posté(e) 29 juillet 2021 il y a une heure, edd a dit : Et de mémoire ce n'est pas forcément les années où la mer est très chaude que ça dégénère le plus. C'est pas aussi simple Un épisode cevenol c'est d abord et avant tout une configuration météorologique. C'est pas avec une année où la mer est particulièrement chaude en automne que tu vas assister à un gros phénomène. Mais forcément sur la durée tu pourras faire une lecture, et en particulier sur les extrêmes. Et c'est en 2020 que les 500mm jour y ont été relevés....et par 2 fois ! 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
edd Posté(e) 29 juillet 2021 Melun (surtout), montois (Donnemarie-dontilly) dans l'Est 77 (parfois) Partager Posté(e) 29 juillet 2021 Il y a 3 heures, th38 a dit : C'est pas aussi simple Un épisode cevenol c'est d abord et avant tout une configuration météorologique. C'est pas avec une année où la mer est particulièrement chaude en automne que tu vas assister à un gros phénomène. Mais forcément sur la durée tu pourras faire une lecture, et en particulier sur les extrêmes. Et c'est en 2020 que les 500mm jour y ont été relevés....et par 2 fois ! Oui tu as raison. On a aussi 2002 et les mythiques 600mm de sommieres. 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
meteomettra Posté(e) 4 août 2021 Lausanne, Suisse (650 m) Partager Posté(e) 4 août 2021 Quelques jours avant les inondations catastrophiques, cette étude était publiée : https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/full/10.1029/2020GL092361 "Quasi-Stationary Intense Rainstorms Spread Across Europe Under Climate Change" C'est basé sur de la simulation (resolution de 2,2 km !!!), quelques extraits : (EPP=Extreme Precipitation Potential ; SEPP=Slow-moving Extreme Precipitation Potential ; AA=Arctic Amplification) "Our results from CPM projections suggest substantial future increases in hourly precipitation extremes across Europe. We find that by 2100, climate change will significantly increase the number of storm systems with high moisture and higher vertical velocity; the main drivers of high precipitation rates. Importantly for flood impacts, we find a considerable increase in the number of slow-moving storms, leading to high hourly and 3-hourly precipitation accumulations. Furthermore, these systems increase more sharply over land, compared to over sea." "The increased frequency of SEPP cases appears related to the seasonal weakening of the jet stream due to AA, which overlaps with the timing of frequent high precipitation-rate storm systems (i.e., high EPP) in Europe." "In summary, our study uses a novel method to examine changes to the ingredients of heavy precipitation. Our results suggest that storms will have higher peak intensity, longer duration and will be more frequent across the whole of Europe. Current storms already produce a large number of flash floods, with their potential impact depending on land use, terrain slope, drainage, and other factors. SEPP increases would significantly increase this flash flood potential, as an MCS would be more likely to “stagnate” on a locality, exposing it to extreme precipitation of longer duration. Additionally, storm system movement is associated with upper level winds and, hence, large-scale dynamics. This may increase fluvial flood risk through consecutive events in one favorable synoptic setting spanning days or more; blocking is also favored by large-scale meandering patterns associated with slower flows." 3 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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