Alex25 Posté(e) 19 octobre 2018 Lomont sur Crête (25) 550m / Ouest du massif du Lomont Partager Posté(e) 19 octobre 2018 A nouveau des mesures sans précédants de prise : https://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2018/10/19/haut-doubs-moins-d-eau-relachee-dans-la-riviere-pour-preserver-la-ressource-du-lac-de-saint-point Et donc à craindre, de nouvelles conséquences sur le biotope en aval, sans compter qu'une bien plus grosse agglomération en aval puise son eau ... dans le Doubs ... 1 1 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
th38 Posté(e) 19 octobre 2018 Partager Posté(e) 19 octobre 2018 (modifié) Il y a 6 heures, Lolox a dit : A part que beaucoup de ces récits, rien que sur des principes botaniques liés à la dormance de certains bourgeons (notamment fruitiers), constituent un tissu d'âneries il est important de les garder en référence. Exemple : Le Père Feuillée, cité par Maraldi, qui évoque le fait d'avoir cueilli le 18 décembre des pommes et des cerises complètement mûres, ça doit un peu mettre la puce à l'oreille. Le délais entre la floraison et la fructification de ces deux espèces s'étend de 1.5 mois pour les cerisiers à 5 mois pour les pommiers, ça devrait mettre la puce à l'oreille à ceux qui cherchent à conserver un minimum de sens critique ! De même, un peu plus haut dans le texte, il est écrit que les arbres ayant donné des fruits en juillet, en redonnèrent en septembre… On parle de quoi là ?! En 2 mois les arbres qui avaient déjà donné, ont eu le temps de produire une nouvelle floraison et une fructification en 2 mois de temps. Mais ce sont des rendements à tomber par terre, même dans les laboratoires où sont produits de nouvelles variétés botaniques on n'envisage pas de telles possibilités, parce que c'est tout bonnement impossible. Maintenant, il est possible qu'à proximité de ces arbres certains aient vu apparaitre la Vierge, ce qui donnerait un poil plus de crédit à ce type de récits. J'ai moi même été amené à travailler sur ce genre de recueils, et franchement on y trouve à boire et à manger même si c'est très intéressant et permet de se faire une idée du malaise populaire que l'on pouvait rencontrer dans certaines régions. La première chose que l'on apprend aux étudiants en Histoire, c'est de prendre du recul par rapport à de tels récits souvent issus de registres paroissiaux dans lesquels se mêlent régulièrement des histoires de diable et de saints venus contrecarrer les plans du Malin ! N'oublions pas que ces documents, tenus par des religieux, avaient également comme vocation de maintenir, ou plutôt assoir, les croyances qu'ils prêchaient dans un Royaume où les rites païens avaient encore une large place. C'est dire le niveau d'exactitude que l'on peut leur attribuer, en particulier sur l'évolution du climat ! Enfin ta phrase : [Derrière les propos, on sent une extrapolation du genre "l'assèchement du climat vient du sud" et pourtant les régions méridionales ont été les plus arrosées cette année], toi qui t'intéresse à la météo, tu n'y vois pas une certaine logique, non ?! Les régions Méditerranéennes sont au sec quand le flux est à l'Ouest voire au Nord, et connaissent un plus grand nombre de séquences humides lorsque le flux bascule au Sud et se charge d'humidité au dessus d'une grande flaque que l'on nomme pompeusement "Mer Méditerranée" : il n'y a aucune contradiction là dedans. Vous êtes marrants à vouloir nier la réalité du terrain en vous réfugiant derrière des écrits tenus par des gens illettrés, des relevés météo approximatifs (ou du moins dont la pertinence est discutable), rien que pour pouvoir tenir une position selon laquelle "tout est normal". Sauf qu'à un moment ça relève du pathétique tant les éléments endurés par les gens qui pratiquent le terrain au quotidien (gestionnaires de milieux aquatiques comme moi, agriculteurs, etc.) convergent vers des conclusions qui froissent les fausses certitudes que vous vous êtes construits depuis des années. Attention, En histoire, un récit ne part jamais de rien. Concernant les cerisiers, il n'y a pas besoin de remonter au Moyen Age : En 2003, c'est pas loin, que c'est il passé sur les sols sableux ? En août il n'y avait plus de feuilles sur les cerisiers, et avec les pluies de fin août/septembre, des bourgeons ont éclaté car la végétation a redémarré. Fin septembre on avait des fleurs, en octobre des petites cerises vertes. Ca n'a rien fait, sinon de faire crever les branches concernées, et parfois les arbres entiers dans l'hiver, car la sève était désorientée. Pour info, ça s'était produit sur certaines parcelles aussi en 1976, et j'en étais témoin. Et cette année ça aurait pu se reproduire, car les bourgeons sur les cerisiers sans feuilles sont gros ; mais heureusement (!) il n'y a pas eu de pluie tant qu'il a fait encore chaud, donc je pense que c'est trop tard maintenant si il pleut pour que la végétation démarre. Très probable que le brave curé que tu cites à largement forcé la note, car pour passer des petites cerises vertes à des cerises mûres un 18 décembre, il faut de la chaleur...et de la luminosité qu'il est quasi impossible d'avoir à cette époque. Mais l'exemple n'est pas complètement out, et tous ceux qui ont des cerisiers ont certainement pu vérifier ce que j'ai vu moi-même à plusieurs reprises. Modifié 19 octobre 2018 par th38 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
bernardt60 Posté(e) 19 octobre 2018 56800 Taupont Partager Posté(e) 19 octobre 2018 il y a 11 minutes, th38 a dit : Attention, En histoire, un récit ne part jamais de rien. Concernant les cerisiers, il n'y a pas besoin de remonter au Moyen Age : En 2003, c'est pas loin, que c'est il passé sur les sols sableux ? En août il n'y avait plus de feuilles sur les cerisiers, et avec les pluies de fin août/septembre, des bourgeons ont éclaté car la végétation a redémarré. Fin septembre on avait des fleurs, en octobre des petites cerises vertes. Ca n'a rien fait, sinon de faire crever les branches concernées, et parfois les arbres entiers dans l'hiver, car la sève était désorientée. Pour info, ça s'était produit sur certaines parcelles aussi en 1976, et j'en étais témoin. Et cette année ça aurait pu se reproduire, car les bourgeons sur les cerisiers sans feuilles sont gros ; mais heureusement (!) il n'y a pas eu de pluie tant qu'il a fait encore chaud, donc je pense que c'est trop tard maintenant si il pleut pour que la végétation démarre. Très probable que le brave curé que tu cites à largement forcé la note, car pour passer des petites cerises vertes à des cerises mûres un 18 décembre, il faut de la chaleur...et de la luminosité qu'il est quasi impossible d'avoir à cette époque. Mais l'exemple n'est pas complètement out, et tous ceux qui ont des cerisiers ont certainement pu vérifier ce que j'ai vu moi-même à plusieurs reprises. Effectivement j'ai un jeune cerisier que j'ai planté l'année dernière qui a perdu ses feuilles et j'ai remarqué que les bourgeons étaient bien gros, je me suis fait justement la réflexion "ils ne vont quand même pas s'ouvrir avant la période hivernale" Sinon pour économiser l'eau outre mettre plus de pastis il y a la solution de boire du vin puisqu'il sera excellent tout comme le cidre de Normandie : https://france3-regions.francetvinfo.fr/normandie/emissions/jt-1920-basse-normandie 1 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Big-Winter Posté(e) 20 octobre 2018 Massif du Jura // La-Chaux-de-Gilley (25), 895m (Village Alt. mini/maxi : 880-1120m) Partager Posté(e) 20 octobre 2018 (modifié) Nouveau seuil atteint dans la gravité de cette sècheresse : https://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2018/10/19/haut-doubs-moins-d-eau-relachee-dans-la-riviere-pour-preserver-la-ressource-du-lac-de-saint-point Modifié 20 octobre 2018 par Big-Winter Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thundik81 Posté(e) 20 octobre 2018 Ici dans le Cloud Partager Posté(e) 20 octobre 2018 Il y a 11 heures, boubou07 a dit : et n'oublions pas que pour économiser l'eau, il faut mettre plus de pastis ! Après il va nous sortir qu'il faut « préserver la couche d'eau jaune » Courage aux premiers impactés [Nous le sommes tous mais beaucoup n'en ont pas conscience !] 8 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 20 octobre 2018 Partager Posté(e) 20 octobre 2018 Le Doubs asséché? A peine croyable. Sinon, dans l'article de l'ER, je suppose qu'ils parlent de litres/seconde ou m3/h éventuellement, car des litres par heure, hum, ce n'est même pas ce qui coule d'un robinet! Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
boubou07 Posté(e) 20 octobre 2018 Aubenas en Ardèche méridionale Partager Posté(e) 20 octobre 2018 concernant les cerisiers, pour chez nous c'est plié vu qu'ils sont absolument tous morts 😥 il semble que ce sont eux les plus sensibles à la sécheresse... les merisiers pareil, une véritable hécatombe. les pommiers sont très très mal aussi, beaucoup n'ont même pas fleurit cette année. les poiriers sont tous claqués (comme beaucoup de pommiers, en plus du sec il choppent le feu bactérien...) les acacias et les frênes sont très impactés aussi. sinon le châtaignier de mon voisin (marigoule) à re-fleurit début octobre mais je ne pense pas qu'il donne des châtaignes en décembre 😄 quant aux rivières elles sont incroyablement basses pour la saison, l'Ardèche ressemble à un ruisseau et on ne nous annonce pas une goutte pour ce qui reste d'octobre, ce qui nous fera le 2eme mois d'octobre complètement sec d'affilée, alors que c'est sensé être de loin le mois le plus arrosé de toute l'année... d'habitude octobre ce sont des orages en série, des trombes d'eau, des brumes matinales et tellement d'humidité que c'est un casse-tête pour faire sécher le linge ! jusqu'en 2015 je n'avais jamais vu de mois d'octobre sans orage et sans fortes pluies. et mon puit est à son niveau normal du mois d'aout... 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lolox Posté(e) 20 octobre 2018 Remiremont - Porte des Hautes Vosges (400 m) Partager Posté(e) 20 octobre 2018 Il y a 10 heures, th38 a dit : Attention, En histoire, un récit ne part jamais de rien. Concernant les cerisiers, il n'y a pas besoin de remonter au Moyen Age : En 2003, c'est pas loin, que c'est il passé sur les sols sableux ? En août il n'y avait plus de feuilles sur les cerisiers, et avec les pluies de fin août/septembre, des bourgeons ont éclaté car la végétation a redémarré. Fin septembre on avait des fleurs, en octobre des petites cerises vertes. Ca n'a rien fait, sinon de faire crever les branches concernées, et parfois les arbres entiers dans l'hiver, car la sève était désorientée. Pour info, ça s'était produit sur certaines parcelles aussi en 1976, et j'en étais témoin. Et cette année ça aurait pu se reproduire, car les bourgeons sur les cerisiers sans feuilles sont gros ; mais heureusement (!) il n'y a pas eu de pluie tant qu'il a fait encore chaud, donc je pense que c'est trop tard maintenant si il pleut pour que la végétation démarre. Très probable que le brave curé que tu cites à largement forcé la note, car pour passer des petites cerises vertes à des cerises mûres un 18 décembre, il faut de la chaleur...et de la luminosité qu'il est quasi impossible d'avoir à cette époque. Mais l'exemple n'est pas complètement out, et tous ceux qui ont des cerisiers ont certainement pu vérifier ce que j'ai vu moi-même à plusieurs reprises. Je n'ai pas dit le contraire. J'ai moi-même vu refleurir des fruitiers ou des Lilas à l'automne lorsque l'arrière saison était douce à l'époque où j'habitais le Sud Ouest de la France. Cela arrive, mais c'est un signal de stress de la part des végétaux ce stress peut être induit soit par le contexte thermique, le stress hydrique, voire la combinaison des deux. C'est un phénomène connu en pépinière Sauf que dans les récits sensationnalistes qui servaient de base à la remarque postée par Anecdote, ce qui était évoqué relève de l'ineptie rien que sur des bases biologiques. De là à se permettre des extrapolations climatiques pour nier l'importance de la situation constatée actuellement, ça relève de la malhonnêteté intellectuelle. 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
anecdote Posté(e) 20 octobre 2018 Partager Posté(e) 20 octobre 2018 il y a 17 minutes, Lolox a dit : Je n'ai pas dit le contraire. J'ai moi-même vu refleurir des fruitiers ou des Lilas à l'automne lorsque l'arrière saison était douce à l'époque où j'habitais le Sud Ouest de la France. Cela arrive, mais c'est un signal de stress de la part des végétaux ce stress peut être induit soit par le contexte thermique, le stress hydrique, voire la combinaison des deux. C'est un phénomène connu en pépinière Sauf que dans les récits sensationnalistes qui servaient de base à la remarque postée par Anecdote, ce qui était évoqué relève de l'ineptie rien que sur des bases biologiques. De là à se permettre des extrapolations climatiques pour nier l'importance de la situation constatée actuellement, ça relève de la malhonnêteté intellectuelle. Je ne suis pas malhonnête Merci de ne pas juger les gens sans les connaître Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lolox Posté(e) 20 octobre 2018 Remiremont - Porte des Hautes Vosges (400 m) Partager Posté(e) 20 octobre 2018 il y a 24 minutes, anecdote a dit : Je ne suis pas malhonnête Merci de ne pas juger les gens sans les connaître C'est la démarche qui l'est sur la base des éléments utilisés, ça ne veut pas dire que tu es malhonnête. 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Posté(e) 20 octobre 2018 Partager Posté(e) 20 octobre 2018 (modifié) Oui, enfin, l'Histoire permet aussi, accessoirement, de relativiser le temps présent. Donc, rien n'est simple et les démarches malhonnêtes ne sont pas toujours le fait de l'autre... Modifié 20 octobre 2018 par meteor Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
JOJO_KERMIT Posté(e) 20 octobre 2018 15 km à l'est de Dijon Partager Posté(e) 20 octobre 2018 La sécheresse a dépassé les seuils les plus bas en Bourgogne Franche Comté sur la période 1958-2017 selon les statistiques de Météo-France. Nous parlons ici des sols superficiels pas des nappes phréatiques. Il s'agit du paramètre SWI (soil wetness index) indice de sécheresse définition voir ici http://www.drias-climat.fr/accompagnement/section/183 voici quelques images relatives au SWI montrant l'ampleur de la sécheresse, notamment du centre au nord-est (courbes pour le Doubs) 3 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paul1305 Posté(e) 20 octobre 2018 Marseille (13) (alt : 40m) et Gap (05) (alt : 780m) Partager Posté(e) 20 octobre 2018 https://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/secheresse-la-france-manque-d-eau_2995669.html 2 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Aldébaran Posté(e) 21 octobre 2018 Le Voide (49-Maine et Loire), à 35 km au sud d'Angers et à 135 mètres d'altitude. Partager Posté(e) 21 octobre 2018 (modifié) Il y a 10 heures, Adrien Potier a dit : Sur le NE et la Vendée, la sécheresse pourrait à terme se rapprocher de 1976 et certains cours d'eau ou lac pourraient avoir leurs niveau comparables à cette année de grande sécheresse datant de 42 ans (qui était la sécheresse centenaire au moins). Si je regarde rapidement les relevés de Météo-France de La Roche-sur-Yon pour la Vendée, tout au long de cette année 2018, je ne vois pas vraiment de similitude avec la sécheresse de 1976. Mais peut-être que nous utilisons pas les mêmes références pour comparer. As-tu un élément important, une source pour appuyer ton affirmation sur le département de la Vendée? Modifié 21 octobre 2018 par Aldébaran 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
alsavosges Posté(e) 22 octobre 2018 Goldbach-Altenbach (68) 705 m Versant Sud du Grand Ballon (1424 m) Partager Posté(e) 22 octobre 2018 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Responsable Technique Matt67 Posté(e) 22 octobre 2018 Kogenheim (67) Responsable Technique Partager Posté(e) 22 octobre 2018 il y a 11 minutes, alsavosges a dit : Dans le même ordre d’idée on a Colmar-Meyenheim avec 17,6mm ... 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paul1305 Posté(e) 24 octobre 2018 Marseille (13) (alt : 40m) et Gap (05) (alt : 780m) Partager Posté(e) 24 octobre 2018 Vu tout à l'heure sur TF1, le niveau très bas du Rhin engendre du chômage technique... Du jamais vu depuis 70 ans. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
EXPRESS04 Posté(e) 24 octobre 2018 Sisteron Partager Posté(e) 24 octobre 2018 Patience... dans 1 semaine se sera terminé. 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Big-Winter Posté(e) 24 octobre 2018 Massif du Jura // La-Chaux-de-Gilley (25), 895m (Village Alt. mini/maxi : 880-1120m) Partager Posté(e) 24 octobre 2018 (modifié) Ah bon parce que 1 semaine (supposée) de pluie ou neige = 5 mois de sécheresse ? Modifié 24 octobre 2018 par Big-Winter 5 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
boubou07 Posté(e) 24 octobre 2018 Aubenas en Ardèche méridionale Partager Posté(e) 24 octobre 2018 c'est clair, une semaine de petite pluie après 5 mois de sec, l'eau pénètre à peine dans la terre durcie ! ça sert juste à humidifier le dessus du sol, j'ai pu observer ça de près chez moi il y a un an... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Paul1305 Posté(e) 24 octobre 2018 Marseille (13) (alt : 40m) et Gap (05) (alt : 780m) Partager Posté(e) 24 octobre 2018 Oui ce ne sera pas terminé dans 1 semaine loin de là... D'autant que le Nord-Est du pays pourrait ne pas recevoir autant d'eau. Aux infos ils disaient qu'il faudra attendre la fin de l'Hiver et la fonte des neiges pour que tout redevienne normal à 100%. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
Martini Posté(e) 25 octobre 2018 Altkirch 301m / Retzwiller 315m dans le Sundgau Partager Posté(e) 25 octobre 2018 Même si les prévisions se confirment, à savoir 20 à 30mm d'ici le 31 octobre, ce mois d'octobre finirait avec plus de 50% de déficit par rapport aux normales dans le nord est. Pas de quoi effacer la sécheresse, le Rhin en sortie d'Alsace a aujourd'hui un débit inférieur à celui qu'avec l'Argens lors de la crue du 11 octobre dernier. Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
PAPY BOYINGTON Posté(e) 25 octobre 2018 Neuville-de-Poitou Partager Posté(e) 25 octobre 2018 Pour le Centre-Ouest, avec les prévisions, peu de pluie nous concernant. Une sécheresse toujours d'actualité... Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
meteomettra Posté(e) 25 octobre 2018 Lausanne, Suisse (650 m) Partager Posté(e) 25 octobre 2018 Un résumé de la sécheresse et les problématiques liées à la sécheresse en Suisse romande. Sur les images d'archives visibles de 1976, l'herbe paraît vraiment bien verte par rapport à cette année !!!https://www.rts.ch/play/tv/mise-au-point/video/la-suisse-touchee-par-une-secheresse-historique?id=9934877&startTime=12.744058&station=a9e7621504c6959e35c3ecbe7f6bed0446cdf8da 2 1 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
gab75 Posté(e) 26 octobre 2018 Meuse Sud - Bar le duc Partager Posté(e) 26 octobre 2018 (modifié) Il y a 13 heures, meteomettra a dit : Un résumé de la sécheresse et les problématiques liées à la sécheresse en Suisse romande. Sur les images d'archives visibles de 1976, l'herbe paraît vraiment bien verte par rapport à cette année !!!https://www.rts.ch/play/tv/mise-au-point/video/la-suisse-touchee-par-une-secheresse-historique?id=9934877&startTime=12.744058&station=a9e7621504c6959e35c3ecbe7f6bed0446cdf8da Il y a bien longtemps que la sécheresse de 1976 n'est plus la référence, sauf peut-être dans certaines régions de l'Ouest de la France où elle fut bien marquée et où les sécheresses de juillet 2016-juin 2017 et de 2018 sont moins virulentes qu'ailleurs (ex : la Normandie). Toujours 3 mm pour le mois d'octobre qui se finit. Nous devrions avoir 5 à 10mm si tout va bien mardi prochain (mais c'est encore loin!). Et novembre commencerait aussi sous des auspices bien secs... Les nappes sont encore d'un niveau satisfaisant (merci les pluies de l'hiver dernier) mais en très forte baisse. La situation pourrait devenir inquiétante en fin d'hiver côté nappes si il ne pleut pas sérieusement d'ici là. Et quel drôle d'impression d'entendre météo-France nous chanter le vent de la pluie une bonne partie de ce mois d'octobre... La semaine qui s'achève devait être pluvieuse = pas une seule goutte. Alerte info (excusez du peu!!) ce matin : le week-end s'annonce humide et froid comme un mois de décembre (!!??!!). Très faible risque de pluie dimanche, pas une gelée. Mais des températures max qui passent en dessous des 10°, c'est frais, certes, mais on arrive en novembre... Du coup les discussions de ce matin des collègues, c'est : "tu as vu, il va pleuvoir tout le week-end et faire froid comme en décembre"". Oui, j'ai vu, et "ils" nous bassinent avec la sécheresse et le réchauffement climatique". Sur ce coup, Météo-France est en dessous de tout. Quelques jours en dessous des normes de saisons (ce qui n'était pas arrivé depuis 7 mois...) et c'est une alerte info ! Modifié 26 octobre 2018 par gab75 11 3 Lien à poster Partager sur d’autres sites More sharing options...
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