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thib91

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  1. Il s'agit de la première année du siècle (saison 2000-2001), comme mentionné par @Simon 65 avec près de 5m au sol début mai en raison d'un combo quasi parfait à savoir: - un hiver bien doux mais très humide donc favorable à un enneigement important en haute montagne; - un printemps exceptionnellement humide (le + humide à l'échelle nationale depuis 1959) et médiocre (faible ensoleillement) - un début d'été assez frais et lui aussi humide. Il y avait encore 75cm au sol le 1 août, le mètre était dépassé fin juillet, 'enneigement prendra fin le 18 août 2001! On pourrait également retenir l'année 1984 avec 5cm le 4 août, plus de neige le 6 août mais dès le 7 août la neige est à nouveau présente au sol jusqu'au 26 août! Plus récemment il y a eu 2013 avec un enneigement se terminant le 7 août. On peut imaginer ce qu'auraient pu donner les relevés sur ce secteur lors de l'été 1912 qui fut l'été le + froid et humide du 20ème siècle où il ne faire guère de doute que la couche de neige du faire la jonction avec celle de l'automne, ou mieux encore 1816, fameuse année sans été (liée à l'éruption du Tambora), les chroniques haut savoyardes de l'époque mentionnent des alpages gardant la neige tout l'été au dessus de 1700/1800 m d'altitude....
  2. Voici le résultat en graphique. Dommage qu'il manque des données en février et mars, mais on constate la belle amélioration lors du printemps après un décrochage en cœur d'hiver tout à fait surprenant. Au 10 mai l'enneigement peut être considéré comme excédentaire à 3000m d'altitude pour le secteur Écrins-Oisans, avec des hauteurs de neige qui s'approchent du 3ème quartile.
  3. Sympa ce matin en haute montagne, vers 3000m l'enneigement est correcte pour la saison.
  4. La séquence perturbée d'aujourd'hui, issue d'un décrochage polaire maritime, va s'isoler en une goutte froide sur le pays en fin de semaine avec probablement de l'instabilité "d'air froid" sur les 3/4 du pays pour pas mal de temps. Cette goutte froide pourrait/devrait être réalimentée la semaine prochaine en air polaire maritime par le nord. L'alimentation en air frais et humide devrait être ensuite coupée mais l'air froid en altitude mettrait un peu de temps à se résorber. En conséquence l'Europe de l'ouest et la France en particulier pourraient connaître un temps frais et moyennement humide jusqu'au week-end de l'Ascencion, une excellente nouvelle pour les milieux naturels. Le déficit thermique pourrait être assez sensible et associé à des journées globalement assez nuageuses du fait de l'instabilité liée à l'air froid en altitude, avec probablement des averses "froides" se développant de façon anarchiques voir des pluies issues de fronts secondaires de plus fine échelle. Si l'on regarde le diagramme de Toulouse c'est assez net et illustre bien la caractère frais et relativement humide des 10/12 jours à venir. Le diagramme du haut (barres violettes) correspondant à la nébulosité, assez resserré vers le haut jusqu'au 15=> bonne fiabilité vers un temps globalement bien nuageux (entre 6 et 8 octas), plus éclaté par la suite (logique vue l'échéance) mais assez peu de scénarios vers un temps très ensoleillé (0/4 octas). Le diagramme vert, correspondant aux précipitations, là aussi la médiane quotidienne >2 voir 5mm au moins jusqu'au 15/16 avec de scénarios assez pluvieux (>10mm), la probabilité de pluie quotidienne semble donc assez élevée. Après le 15 cela semble plus sec mais toujours pas mal de scénarios humides. Enfin le diagramme du bas correspondant aux températures, on remarque tout de suite la faible probabilité de dépasser les 20° d'ici l’Ascension ce qui est non négligeable en mai à Toulouse. Aucune chaleur à attendre probablement avant la dernière décade de mai.
  5. L'année dernière j'avais fait un post sur l'exceptionnelle chute de neige du 1 mai 1938 à Nancy qui avait donné 16 cm de neige à Essey et près de 35cm sur le plateau de Malzéville. Et bien je viens de retrouver une vidéo de cet épisode, datée sur le site du 1mai 1939 mais qui doit plus probablement être du 1 mai 1938. A visionner, très impressionnant. https://www.image-est.fr/fiche-documentaire-un-1er-mai-neigeux-a-essey-les-nancy-1284-1299-1-0.html?ref=f685bce7b221c2329364c3d7d338772c#commentForm
  6. Il s'agit d'un repère temporel pour jardinier qui me semble à contrario assez pertinent. Peut-être un peu trop pessimiste pour le SO mais là encore il faut plutôt regarder cela comme la période où le risque de nuit froide au sol (et pas forcément de gel sous un abris météo) est réèl est peut-être dommageable pour pas mal de variétés (les tomates notamment). Si je prend la station d'Agen pour les mois de mai depuis 2015 on a 6 années avec tn<5° sous abris et une gelée même en 2019. Une tn <5° sous abris en mai est suffisante pour avoir des températures négatives à 10cm du sol avec dégâts donc sur des jeunes plants un peu fragiles. Exemple le 2 mai 2018, presque -3° à +10 cm du sol Idem le 3 mai 2021 D'ailleurs ce 3 mai 2021 le gel au sol était quasi généralisé dans le SO, même à la station périurbaine de Blagnac. Donc à mon sens ce repère temporelle de la mi-mai est plutôt intéressant pour le jardinier amateur qui ne possède pas de serre ou n'a pas forcément le nez collez à son thermomètre pour organiser un paillage ou autre protection par nuit froide de printemps.
  7. Merci pour ces cartes intéressantes, j'ai élargi l'échelle pour mieux percevoir l'étendue de la zone de subsidence. Moyenne entre novembre et mars de 1949 à 2014 Moyenne entre novembre et mars depuis 2018 Novembre à mars 2023 J'ai regardé aussi sur des cycles d'hivers secs 1972-1977, il y a aussi eu une remontée de la zone de subsidence vers le nord mais bcp moins étendue plutôt orienté vers le Maroc et le sud de la Péninsule Ibérique 1988-1993, idem remontée moins étendue vers le nord (moins massive) et plutôt vers la péninsule Italienne et les Balkans.
  8. Je ne penses pas qu'il y ait bcp d'acteurs qui se "foutent" du prix si celui ci est multiplié par 3 ou 4! L'eau doit être en 2023 plus cher pour les gros consommateurs que ce soit pour les particuliers et les acteurs économiques, cela permettra à chacun de faire + attention mais stt de financer le travail pédagogique et les mesures de mise à niveau des réseaux et des moyens de contrôle (police de l'eau) pour limiter les gaspillage. Ok avec l'idée de faire payer les consommations extravagantes, je crois que Montpellier à mis cela en place pour les particulier, c'est une piste intéressante qui doit être étendue et pas uniquement aux particuliers.
  9. Malheureusement tant que l'eau ne sera pas plus cher rien ne changera jusqu'à l'épuisement des ressources. C'est comme pour l’énergie il a fallu attendre que les prix soient multipliés par 2 ou 3 pour que l'on daigne commencer à mettre en place un semblant de sobriété, pourtant appelée depuis des décennies par les scientifiques. Dans l'idéal il devrait être prioritaire d'effectivement mettre en œuvre de véritables mesures de sobriété et de préservation pour pérenniser la ressource et permettre de répondre aux besoins de tous. Il y a un gâchis énorme à tous les niveaux et pas uniquement du côté des vendeurs/utilisateurs de piscine... Espérons qu'il ne soit pas trop tard et que l'Etat et les collectivités locales aient le courage politique de porter des mesures fortes à destination de TOUS. Et que l'on ne se contentera pas de mesures en apparences fortes mais qui tiennent plus du symbole en tapant uniquement sur ce qui se voit. Sinon les choix à venir risquent d'être bien plus douloureux et pourraient se résumer pour pas mal de secteurs du SE à des mesures draconiennes du type faire un choix entre tourisme et agriculture.
  10. Effectivement, pour le 24 juillet 1925 cumuls très hétérogènes sur Paris et la région parisienne. Ce mois de juillet 1925 est marqué par de violentes dégradations orageuses sur tout le pays, voilà ce que dit le Bulletin mensuel de l'Office national météorologique de France de Juillet 1925 (dipso en libre accès => http://bibliotheque.meteo.fr/exl-php/ark/c7305/1010DOC00043534) 40 à 50mm sur les quartiers ouest de Paris, à peine 4mm à Montsouris. Les cumuls de pluie quotidien en juillet 1925 pour le département de la Seine (Paris) En 1927, le mois de juillet est froid et pluvieux, là aussi une période fortement orageuse du 6 au 15 avec dégâts en région parisienne le 11 juillet. Les cumuls de pluie quotidien en juillet 1927 pour le département de la Seine (Paris)
  11. Ce n'est malheureusement qu'un prélude de ce qui nous attend dans les prochaines décennies à l'échelle du pays voir d'ici quelques années/mois à l'échelle du SE.
  12. Pas du tout, probable que les 1er 25° soient enregistrés jeudi à Strasbourg, soit proche de la moyenne des années prè-2010. Date moyenne du premier 25° à Strasbourg Entzheim: 25 avril pour la période 1991-2020 1 mai pour la période 1981-2010 9 mai pour la période 1971-2000 Date la + tardive des 20 dernières années : 9 mai en 2002 8 mai en 2008 7 mai en 2016 3 mai en 2006 29 avril en 2005 Date les + tardives depuis les années 1920: 13 juin en 1984 12 juin en 1975 4 juin en 1936 31 mai en 1983 30 mai en 1978 28 mai en 1928 26 mai en 1936, 1944 et 1999 Globalement : Entre 1990 et 2010 il fallait 1 année sur 3 attendre le mois de mai pour enregistrer les 1er 25° Avant 1990, c'était plutôt un rapport inverse (1 année sur 3 en avril), les 25° avant le 1 mai étaient bcp plus rares (pas une seule occurrence de tx>25° en avril entre 1972 et 1984). Sinon personne ne l'a souligné, mais la journée de vendredi fut exceptionnelle du fait de sa "lourdeur" inhabituelle pour la saison, le ressenti était vraiment particulier sur Nancy humide et très doux ce qui est très inhabituelle en avril. J'ai donc regardé les données et nous avons effectivement établi un record de td moyen quotidien à Nancy pour la période (fin avril) samedi dernier avec 13,2°, valeur jamais enregistré en Avril. Depuis le froid marqué de décembre, ces vagues de douceur humide sont un peu le marqueur des dernières semaines bien visibles sur le graphique ci-dessus : - fin décembre début janvier où l'on a atteint régulièrement sur 3 semaines des valeurs maximums en terme de point de rosée quotidien; - en février également avec deux pics les 17 et le 23. - et donc en cette fin avril avec cette journée de samedi très douce et humide pour un mois d'Avril (il faisait plus chaud dehors que dans les intérieurs). Ceci s'explique par deux phénomènes qui peuvent d'ailleurs se cumuler et sont un marqueur fort du RC dans nos régions (et + globalement l'Europe) : - Des épisodes de douceur subtropicale une lien avec l'influences de masses d'air d'origine subtropicales très douces et très humide (rivières atmosphériques) sans être forcément fortement pluvieuses et qui transitent depuis les Caraïbes et les Açores sur un Océan dont les eaux de surfaces sont anormalement chaudes (records depuis le début des relevés). Elles sont + sensibles en saison froide et leurs occurrences de + en + forte devraient avoir raison d'un enneigement un peu durable dans nos massifs de l'est dans les 20 prochaines années. - Des flux maritimes plus classiques d'ouest ou en provenance de med. mais désormais nettement + doux du fait de mers/océans qui baignent l'Europe et qui sont depuis plusieurs mois très doux // à la normales. Avec des eaux de surface aussi chaudes et un el nino qui point le bout de son nez, à mon avis nous n'en avons pas terminé avec ces séquences humides et très douces dans les prochain(e)s semaines/mois/saisons. A surveiller donc cet été où je pense que le risque de vague de chaleur "humide" (lourdeur) n'a jamais été aussi élevé.
  13. C'est plus révélateur de cette folle anomalie du nouvel an, que de la tempérance du mercure depuis. Je nuancerai bcp cette apparente tempérance, la douceur est restée régulièrement bien excessive en mars, notamment dans le sud du pays. Pour rappel dans le bilan de MF pour mars 2023: des records mensuels de douceur nocturne ont été enregistrés dans le sud du pays les 11 et 12 puis sur le quart nord-est le 23. Les maximales ont dépassé localement 30 °C pour la première fois de l’année le 29 dans le sud de l’Aquitaine, battant des records avec 30.1 °C à Dax et Mont-de-Marsan. Mais nous nous habituons rapidement à ces anomalies chaudes, au point de ne plus vraiment les percevoir à leur juste niveau. Pour en revenir à l'anomalie du nouvel an, qui est à mon sens l'événement météo/climato à retenir de cette hiver, quel était l'écart calculé en termes de sigma sur ton panel national?
  14. Alors j'ai regardé avec la méthode 24h, que personnellement je trouves intéressante car elle permet de bien appréhender le niveau moyen d'une température quotidienne avec un lissage sur 24 relevés s'affranchissant de biais sur des journées particulières, notamment lorsque les tn ou tx sont fugaces et s'écartent fortement du niveau moyen thermique d'une journée, par exemple : - lorsque les tn sont enregistrées lors d'une petite éclaircies en début de matinée qui fait plonger la températures de 3/4° en quelques minutes alors que la nuit fut nuageuse, lors d'une forte averse dans une douce ou chaude journée de printemps, ou avant un fort redoux qui concernera les 3/4 de la journée (en hiver). - tx qui aussi peuvent augmenter de 2/3° pendant quelques minutes lors d'une éclaircies fugace au sein d'une journée très nuageuse, ou d'un fort redoux intervenant en fin de journée d'une journée finalement très froide (en hiver notamment). - Idem en hiver ou automne par temps ensoleillé et sec de saison froide élargie (automne au printemps), les températures douces de l'après-midi ne comptent que peu d'heures (2à 3 ) comparativement à l'ensemble d'une journée où le mercure se maintient à des niveaux assez bas longtemps (nuit + longue, réchauffement + lent), pourtant en donnant le même poids à ces tx qu'à la tn on tire la moyenne vers le haut. - A l'inverse, en saison chaude, il n'est pas rare que les températures fraîches ne concernent que 3/4 heures en fin de nuit.... Ces exemples illustrent le cas ou finalement ces tn/tx ne concernent qu'un temps très court d'une journée entière et peuvent donc tirer artificiellement les moyennes vers le bas/haut. Sur 1 mois on ne va pas trouver de différences énormes (pas plus de 1 ou 2 dixième) mais sur certaines journées la différence peut-être importante et cela peut permettre de détecter des journées "extrêmes" qui sortent des radars du fait de tn ou tx fugaces venant artificiellement augmenter ou baisser la tm quotidienne. Ce fut le cas les 31 décembre et 1 janvier derniers avec des températures se maintenant au dessus de 10 voir 11/12° pendant + de 24h et souvent au dessus des 14/15° pendant 5 à 10 heures! Tout ceci pour dire qu'en regardant avec la méthode 24h, Châteauroux et Orléans ne sont plus concernés, Avec cette méthode c'est dans le NE que l'on retrouve le + de stations qui placent le 31 décembre ou 1 er janvier en journée les + douces depuis le 1 décembre dernier et jusqu' à aujourd'hui 19 avril! : Nancy, Besançon, Dole, Reims, Colmar, Troyes, Luxeuil, Belfort! C'est très remarquable car contrairement aux régions du NO, il est généralement assez rare de trouver des températures de cœur d'hiver aussi hautes que celles du printemps. Parmi ces stations certaines placent plusieurs journées du cœur de l'hiver dans le top 10 des journées les + douces (température quotidienne calculée avec 24 relevés) depuis le 1 décembre (et jusque aujourd'hui!), la palme aux stations champenoise (5 dans le top 10) et de Franche-Comté: On retrouve également quelques stations du nord de la France, avec pour certaines comme St-Quentin ou Charleville des journées du 31 encore 2° + douce que n'importe quelle journée jusqu'au 18 avril! Dans le NO également mais je n'ai pas eu le temps de tout balayer, Brest, Caen, Rouen, Rennes. Pour Brest et globalement le NO c'est je penses un peu moins remarquable du fait d'une influence océanique + forte, il n'est pas rares que de douces journées d'hiver soient en températures moyennes équivalentes à des fraîches journées de mai ou de juin.
  15. Je ne sais pas si d'autres ont relevé cela chez eux, mais sur Nancy depuis le début d'année il n'y a pas eu une seule journée aussi douce en température moyenne (24 relevés-quotidien) que le 31 décembre dernier. Pire le mois d'Avril (au demeurant à peine frais // à la moyenne), n'a pour l'instant enregistré aucune tm quotidienne supérieure aux 31 décembre et 1 janvier dernier! @Arkus @fran39 retrouvez-vous ce type d'anomalie ailleurs sur le pays?
  16. Salut à tous et merci pour les messages sympathiques que j'ai pu lire ou recevoir. J'ai pris un peu de recul avec le forum par nécessité, mais je continuerais à lire et intervenir de temps à autre. Pour en revenir à cette première moitié de printemps, cette dernier renoue avec l'humidité et l'agitation et c'est une excellente nouvelle 🙂. Sur Nancy, c'est la première moitié de printemps la plus humide depuis 22 ans! Il faut ainsi remonter à 2001 pour trouver un cumul de pluie supérieure sur la période. C'est d'autant plus intéressant que ces pluies ne se concentrent pas sur 1 ou 2 épisode(2) violent(s) mais ont été plutôt bien réparties et régulières, une excellente chose. A cela s'ajoute : - un thermomètre qui en moyenne ne s'est pas écarté de la moyenne (tm +0,5°) des 30 dernières années (1991-2020), sans excès ni dans le chaud (txx 20,9°) ni dans le froid (tnn -4,3°). - un ensoleillement un peu timide mais sans déficit très marqué (-10%) Bref les conditions semblent être réunies pour un démarrage tout en douceur de la végétation, sans excès de chaleur, de froid ou de soleil et bien alimenté en eau du tout bon pour la fin du printemps qui on l'espère gardera cette caractéristique à la tempérance. Et notre début avril est quand à lui plutôt timide par rapport aux dernières années mais au final assez proches des début avril avant que le RC ne s'accélère. Si ce début avril est nettement plus humide et un peu plus frais que la moyenne des 30 dernières années, il pourrait être qualifié de finalement assez normal même plutôt beau par rapport au climat sans l'important RC. Une dernière statistique insolite et qui illustre parfaitement la douceur anormale et inédite de notre fin d'année, nous n'avons toujours pas dépassé la température moyenne quotidienne (24 relevés) du 31 décembre 2022! Et avril n'a pour l'instant enregistré aucune journée aussi douce (en température moyenne calculée sur 24h) que les 31 décembre et 1 er janvier dernier!
  17. Non Lolox, la station météo de Laval sur Vologne n'as pris que 6,8mm en 6 minutes c'est rien du tout et puis le vent n'a pas dépassé les 45km/h, je penses que tu te fourvoie car cela fait longtemps qu'il ne s'est rien passé chez toi.
  18. @LuckyFrenchy117 c'est la forme de tes messages qui posent problème, tes messages étaient moqueurs pour un événement qui méritait largement d'être qualifié de fort ou violent, merci d'avoir l’honnêteté de le reconnaître . Sinon je maintien mes dires, le phénomène était tout à fait notable en centre ville, dans ces situations instables il peu y avoir des différences en quelques km, Essey n'est pas le centre ville. Mon pluviomètre de jardin en centre ville à pris une dizaine de millimètre en quelques minutes. L'archive radar est explicite, les intensités ont été probablement dignes d'un fort orage estival (>100/150 mmh) Il y a bien eu de l'activité électrique sur la ville, perso les cartes de blitzortung ne sont pas les seules à faire foi.
  19. Bon c'est plutôt 7 mm en 10 minutes, me suis trompé néanmoins cela tombait vraiment fort et cela fait du bien de voir un peu d'agitation. Sinon hier quelques records mensuels de RR en 24h des reliefs de l'Argonne (55) à la Moselle: 46,2mm à Metz-Frescaty - ancien record 32,4mm le 24/03/1986 (dps. 1940) 45mm à Seignbouse (57) - ancien record 28,6mm le 11/03/2008 (dps. 2003) 43,7mm à Bonzée (55) - ancien record 29,4mm le 05/03/2020 (dps. 2009) 41mm à Chaumont (55) - ancien record 28mm le 05/03/2020 (dps. 2007) 37,2mm à Argers (51) - ancien record 20,6mm le 11/03/2018 (dps. 2003) 35,5mm à Aubréville (55) - ancien record 25,6mm le 05/03/2020 (dps. 2008) 35,3mm à Mouterhouse (67) - ancien record 35,1mm le 25/03/1988 (dps. 1975) 29,4mm à Berg (67) - ancien record 25mm le 22/03/2007 (dps. 2003) 26,3mm à Kappelkinger (57) - ancien record 22,4mm le 11/03/2008 (dps. 2007) Tu es vraiment dans un secteur très venteux, j'ai l'impression qu'en flux d'OSO rapide tu prends souvent de grosses valeurs! Ton anémomètre est perché à combien de mètres?
  20. Il est tombé 10 mm en 10 minutes le vent a soufflé à 80km/h, il y a eu des flash et du tonnerre, mais tu ne comprends pas qu'en étant dehors dessous j'avais l'impression d'être sous des intensités dignes d'un fort/violent (peu importe ya pas de définition officielle), ce que le Metar d'essey confirme. Non tu préfères bien au chaud à l'abri venir dire avec une ironie mal placée, qui nous fait passer pour des débiles : Donc oui celui qui racontes n'importe quoi c'est bien toi et stt en me faisant passer pour un ravi de la crèche face a un évènement météo sympa...Ne t'étonnes pas d'être repris de volé de la sorte, et je maintiens, abstiens toi de poster s'il s'agit de se moquer.
  21. Oui mais non tu comprends c'était juste une averse sans rien de spécial parce que sur l'ordi il y a pas les petits points sur Nancy. Le metar de Nancy doit déconner avec la détection d'un orage violent, je vais me recoucher, appelez moi quand il y aura 100kmh de vent et 50 mm en 20 minutes pour parler d'autre chose qu'une averse...
  22. Désolé mais tu racontes n'importe quoi, abstinent toi de poster si c'est pour dire cela. J'ai du marcher dehors pendant 1/4 d'heure entre le quartier Charles 3 et le faubourg c'était un vrai déluge, je suis rentré trempé. Il y a eu des flashs et du tonnerre, ce n'était pas un orage estival en terme d'activité électrique mais l'intensité des pluies et du vent ont été digne d'un fort orage estival.
  23. Oui un gros coup de tonnerre mais pas mal de flash, surtout bcp de vent et grosses intensités pluvieuses, pour les archives.
  24. Digne d'un violent orage estival, ça se calme même si les intensités restent fortes, je suis allée voir mon pluviomètre de jardinier, 20mm tombé ce soir.
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