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  1. Les prévisions que j'ai faites sont erronées. Je les assume. Est-ce pour autant de la fiction ? C'est-à-dire « qui n'existe que par imagination » (définition) ? Tu cherches à comprendre mon raisonnement dis-tu. Sans me poser de questions mais en disant que les performances sont inexistantes, que les prévisions tombent à plat et que cela te paraît être de la fiction. Chacun sa façon de chercher. Je l'ai déjà écrit plusieurs fois. Mon objectif est de comprendre les mécanismes principaux interagissant à ces échelles de temps. Je tente des analyses que je partage, plutôt que de les faire dans mon coin. Dans l'espoir que d'autres s'y adonnent aussi, afin de mettre en commun les points de vue et les connaissances. Et donc de m'améliorer. C'est toujours mieux que de ne rien faire. Tu remarqueras, je l'espère, que je n'ai pas une lecture brute des cartes issues des modèles. Alors oui je me trompe, les simulations se trompent aussi. Seuls ceux qui arrivent après coup ne se trompent jamais. Tes messages ne m'aident pas mais ce n'est probablement pas ton but. Enfin, ce n'est peut-être pas tant les modèles qui se trompent que l'humain qui les analyse avec amateurisme ou celui qui les évalue sans les comprendre. Nous avons bien eu des échanges méridiens mais pas pour les raisons que j'avais envisagé. (j'ai retourné la carte pour un repérage plus facile)
  2. IFS ENS EXT concorde en effet avec SEAS5, le modèle saisonnier d'ECMWF, pour juillet : Puisque tu parles de prendre du recul, sur tes cartes, chacun peut constater une régression des anomalies neutres ou négatives par l'ouest, concomitantes avec une hausse du champ de pression bien décelée sur les différents modèles saisonniers. - Cette prise de recul serait-elle synonyme de fin des prévisions saisonnières car inutiles sinon fantaisistes (fiction) ? Tu dis en comprendre les enjeux et tu rejettes toutes les tentatives d'en établir une car tu ne les comprends pas... Quoique je ne te vois pas réagir aux prévis de tameteo, meteolaflèche et autres postées sur ce même topic, peut-être les évalues-tu positivement. - Je note ta condescendance à mon égard (je te ressers le terme que tu me sers régulièrement...)
  3. Les dernières données projettent effectivement un arrêt durant ce mois de juin de la récurrence des BG à proximité de / sur l'Europe occidentale. Les anticyclones subtropicaux, sans surprise, remonteraient vers le nord et les dépressions seraient rejetées encore plus au nord. En juillet, des thalwegs parviendraient à s'étirer encore vers le sud (régime EA dégradé ?) alors qu'août verrait une solide ceinture anticyclonique (régime NAO+ ?). Si les températures de juin se maintiendraient en moyenne mensuelle proche des normales, elles devraient remonter fortement en juillet et août. L'anomalie positive pourrait être plus forte en août qu'en juillet car l'influence océanique est vue davantage amoindrie lors de ce dernier mois estival. Le risque caniculaire est ainsi un peu plus présent en août qu'en juillet. Toutefois, les deux mois paraissent offrir des conditions favorables à l'établissement de « dôme de chaleur ». Côté pluviométrie, l'été est prévu sec, autrement dit déficitaire. Juillet, avec des thalwegs descendant plus ou moins profondément sur l'Atlantique, pourrait ainsi s'agrémenter de dégradations orageuses et d'orages à évolutions diurnes. Août semble moins propice aux orages (anomalie négative, ce qui ne veut pas dire qu'ils seront inexistants). PS : pour répondre rapidement à la question de @Nico 14 posée il y a déjà quelques temps, je regarde en premier lieu les fonctions de courant et les vitesses potentielles à 200 hPa ainsi que les régimes de temps et j'affine ensuite (j'utilise assez peu le Z500), par exemple avec les anomalies des vents zonaux et méridionaux à 850 hPa ou encore le rayonnement thermique net. Certaines de ces données sont présentes sur http://seasonal.meteo.fr/ pour le modèle de MF et tous les modèles pour les SF et PV200, sinon je les calcule à partir des données brutes.
  4. tu ne l'ajoutes pas dans le subset, il est déjà dans le coverageid. exemple : https://public-api.meteofrance.fr/public/arpege/1.0/wcs/MF-NWP-GLOBAL-ARPEGE-005-EURAT-WCS/GetCoverage?service=WCS&version=2.0.1&coverageid=TOTAL_PRECIPITATION__GROUND_OR_WATER_SURFACE___2024-06-15T00.00.00Z_P1D&subset=time(2024-06-16T00:00:00Z)&format=application%2Fwmo-grib
  5. MF organise un webinaire de démonstration des API open data, le 20 juin de 14 à 16h. https://donneespubliques.meteofrance.fr/
  6. On peut aussi citer le passage à la version 9.0 du modèle global (« GEM »), la résolution horizontale de l'ensemble qui s'affine de 39 à 25 km et qui passe à la version 8.0, la fin de la version régionale déterministe, l'ajout en open data de l'ozone (sur la totalité de la colonne) dans la version déterministe globale (« O3Eatm »), les simulation vagues nord américaines possèdent désormais 4 cycles (0, 6, 12 et 18Z), le modèle océan-glace opérationnel passe à la version 3.5, etc. Bref, une évolution majeure des différents modèles émis par le Canada. Comme d'habitude, le CMC publie une doc importante à chaque mise à niveau de ces modèles numériques : https://eccc-msc.github.io/open-data/msc-data/changelog_nwp_fr/#2024
  7. Ça chante parcimonieusement sur Aubagne (13) ou encore La Seyne s/mer (83)
  8. Si cela se fait effectivement. Un thalweg se centrerait du côté de l'Irlande s'étirant vers le Cap Finisterre. Cela nous vaudra une masse d'air fraîche comme cela a été souligné plus haut. Une incertitude est présente sur une anomalie d'altitude déboulant du Groenland en amont du thalweg. C'est elle qui affaiblit la prévision pour le week-end et le début du topic suivant. GEFS et IFS ENS 0z incertains. Le scénario majoritaire serait pour le moment donc un dégradé thermique frais pour la saison NW ou W (fort) -> SE ou E (léger). L'humidité est bien représentée mais avec un écoulement hésitant entre l'W et SSW, le caractère orageux ou uniquement pluvieux demeure incertain. En faisant une moyenne, l'écoulement d'WSW ressort mais c'est une moyenne bien peu significative. Résumé de la semaine selon la dernière sortie de l'ensemble européen : - en haut la probabilité de vents moyens à 10m > 36 km/h et 54 km/h - au milieu, la probabilité de cumuls pluvieux par 24h (on distingue des possibilités pluvieuses sur une grande partie du pays précédent, pour le week-end, à des possibilité orageuses vers le sud du pays) - les anomalies de T850 en référence à la climatologie du modèle (< 8 et 4K, > 4 et 8 K) avec un maintien de conditions fraîches toute la semaine surtout en se dirigeant vers l'Atlantique.
  9. Plus de 40 mm simulés en PWAT. IFS 0z et AROME-PI 9z sont au plus proche de l'observation précipitante.
  10. Bonsoir, tu peux noter les altitudes très différentes entre le bassin aquitain (le plus souvent entre 50 et 200 m) et le nord-ouest de l'Espagne (entre 1000 et 1500 m). Le vent en basses couches s'orienterait au NW sur l'Aquitaine et le sud-ouest en général, apportant la tempérance océanique. Sur le nord-ouest de l'Espagne, le vent serait davantage orienté au N, franchissant les Cantabriques et générant un léger foehn suffisant pour assécher ces basses couches. Un air plus sec limite fortement la tempérance de l'Atlantique avec des Tn nettement plus froides d'où une anomalie plus marquée. Tu peux aussi constater que le flux de chaleur sensible (le transfert thermique entre le sol et l'atmosphère) est négatif sur notre sud-ouest (impliquant un transfert de l'atmosphère vers le sol) et l'inverse sur le nord-ouest espagnol. Dans le même genre, tu verras une évaporation journalière plus importante sur le sud du pays, avec une humidité plus forte du coup, que sur le nord.
  11. Dernière analyse saisonnière estivale globale de l'agence japonaise (26 pages, en anglais) : JMA_seasonal_latest.pdf On remarquera l'analyse de la situation observée avant de discuter de la prévision estivale. Les simulations multi modèles (pressions au niveau de la mer) tablent pour la période de mai à septembre pour des basses pressions sur la Méditerranée centrale / orientale plutôt que sur l'Ibérie ou le proche Atlantique.
  12. Si tu donnais ta requête ou un bout de code (en anomysant ta clé d'API) tout en indiquant de quelle API il s'agit (obs ? radar ? prévis ? etc), se serait probablement plus simple pour te répondre. Peut-être ceci si c'est pour des obs ? https://portail-api.meteofrance.fr/web/fr/api/DonneesPubliquesPaquetObservation Ce topic peut aussi être utile / adaptable :
  13. Concernant les précédentes maj d'ICON et ICON-D2 : https://www.dwd.de/DE/fachnutzer/forschung_lehre/numerische_wettervorhersage/nwv_aenderungen/_functions/DownloadBox_modellaenderungen/icon/pdf_2024/pdf_icon_22_05_2024.pdf?__blob=publicationFile&v=4 https://www.dwd.de/DE/fachnutzer/forschung_lehre/numerische_wettervorhersage/nwv_aenderungen/_functions/DownloadBox_modellaenderungen/icon_d2/pdf_2024/pdf_icon_d2_22_05_2024.pdf?__blob=publicationFile&v=2 IFS 49r1 : le replay de la présentation d'Andy Brown du 23 mai est disponible. Enfin, l'ensemble du modèle canadien (« GEM ENS » / SGPE en français) aura, à compter du 11 juin, une échéance maximale de 39 jours pour les cycles 0z des lundis et jeudis. Toujours chez nos amis canadiens, le modèle saisonnier et décennal SPISCan passera de 20 membres actuellement à 40 membres. D'autres mises à jour concernent les modèles régionaux canadiens.
  14. Aujourd'hui une masse d'air froide d'altitude se maintient sur la Grande Bretagne tandis qu'en surface, une dépression se situe au sud-sud-est immédiat d'Édimbourg. Plus au sud et plus à l'est, l'Europe est soumise à un champ de pression en altitude comme en surface avec un faible gradient (marais barométrique). De fait, l'humidité et la douceur atlantique (vent d'ouest) et méditerranéenne (vent de sud) apportée en basses couches permet l’éclosion de nombreux orages et averses sur le continent. Sur l'océan, l'échange méridien est marqué, depuis le sud des Acores jusqu'aux confins du Groenland et des mers au-delà de l'Islande. On le voit par ce long ruban nuageux matérialisant l'advection subtropicale en direction de l'Arctique. Ces prochains jours, le système dépressionnaire sur les îles britanniques se comblera ; l'advection d'humidité faiblira par l'ouest. Les orages régresseront progressivement vers les frontières suisses et allemandes. Samedi serait ainsi une journée globalement ensoleillée avant l'approche dimanche d'un nouveau thalweg par l'ouest, permettant le développement d'averses ou d'orages sans doute localisés, à l'avant.
  15. 2 à 3°C en moins sur les T850 moyennes au-delà de J6/J7, T500 inchangées, précipitations sans signal particulier. Si c'est une claque, que peut être une baisse (ou une hausse !) de 10°C ou un doublement des précipitations ? Un mur du son ?
  16. C'est ta question que je ne comprends pas. Sinon, tu peux contacter MF, le DWD ou meteoetradar si tu le souhaites...
  17. Je ne comprends pas. Le DWD récupère ces données depuis MF pour les intégrer à la phase d'assimilation d'ICON-D2. Le DWD ne les rediffuse pas.
  18. Observé depuis 3 mois avec une récurrence qui s'installe ? Simulé pour les 15 prochains jours (« force » du blocage simulé en vert) :
  19. Le monde se divise en deux catégories : il y a les creusois et ceux qui creusent leur tombe. Eux creusent !
  20. Je te répondrais d'ici quelques jours, là je suis parti sur autre chose. Si j'oublie, fais-moi un up aimable. En attendant, je ne consulte pas ce paramètre où des infos sont perdues (c'est mon avis).
  21. Une nouvelle situation orageuse traverse la France, depuis les Pyrénées vers le nord, accompagnée d'une intrusion d'air froid en altitude
  22. Manifestement j'y arrive mais ce n'est pas pour cela que j'aurai raison. Tu remarqueras aussi que j'indique aucune tendance émergente certains mois. C'était en avril pour le mois suivant où les simulations optaient plus franchement pour une circulation méridienne dominante... Il y a une différence entre émettre une prévision basée sur la statistique et la climatologie et une prévision basée sur l'analyse des simulations numériques. Les deux peuvent se rejoindre, ça n'amoindrit pas l'une par rapport à l'autre. L'idéal étant de mixer plusieurs angles, ce que j'encourage dans la conclusion.
  23. Bonjour, Pour répondre à @Aubracois et sur l'ensemble de la saison écoulée... NB : Les citations sont des auto-citations postés au mois et à l'échéance considérés. Non pas pour me mettre en avant mais pour ne pas viser un ou des intervenant(s) en particulier. Mars : -> Observations : Les précipitations ont été abondantes du Maroc aux Îles britanniques jusqu'au Danemark et l'Italie, Méditerranée occidentale comprise. À l'inverse, la Méditerranée et l'Europe orientale et centrale ont subi un déficit. Côté températures, on retrouve le même zonage : un excédent modéré du Maroc à la France et à la Grande-Bretagne, un excédent important sur l'Europe centrale. La carte des évènements extrêmes confirme. => L'écoulement dominant fut de sud-ouest. Il a étendu l'influence océanique sur l'Europe de l'ouest, modérant le mercure et remplissant les pluvios. Cela correspond à des thalwegs atlantiques progressant relativement peu dans l'intérieur du continent et une dépression d'Islande solidement installée, plus au sud qu'habituellement (d'où un courant de SW plutôt que d'W avec une NAO+ classique). En s'éloignant vers l'est de l'Europe, l'influence continentale africaine s'est accentuée, tirant vers le haut les températures et augmentant les précipitations sur le sud-est de l'Europe (humidification des masses d'air remontant la Méditerranée). -> Les prévisions (je réanalyse brièvement) : En décembre : L'influence océanique était perceptible mais non franche encore. L'humidité était tranchée avec deux options : l'une humide, très océanique, avec courant de SW, l'autre plus sèche avec une influence continentale ou nordique. Dans ce contexte, les températures suivaient, avec une douceur subtropicale d'hiver d'un côté, et une fraîcheur nordique voire anticyclonique de l'autre. Le modèle de MF était le plus proche de l'observation, suivi par les modèles allemands et américains. Les modèles européens, anglais et italiens étaient les plus éloignés. En janvier : L'influence océanique devient largement majoritaire. L'écoulement de SW s'impose de plus en plus. La prévision devient logiquement plus humide tout en confirmant une relative douceur. Le modèle américain était encore le plus proche de l'observation, suivi par celui italien puis par l'allemand et le français. Le modèle européen, bien que s'étant rapproché, est encore assez éloigné. En février : L'évolution des deux mois précédents se confirme, avec un écoulement de SW doux et humide : excédent thermique modéré, excédent pluviométrique élevé. Le modèle allemand est en meilleure position suivi de près par l'italien. L'américain reste correct, rejoint par l'européen et l'anglais. Le modèle français est, cette fois, bon dernier. Avril : -> Observations : Les pluies sont abondantes au nord du 45eN, elles sont faibles au sud et sur l'Europe arctique. Les températures sont douces sans excès sur l'Europe occidentale et centrale, plutôt chaudes sur l'Europe orientale, le Moyen-Orient et le sud-ouest de l'Asie. Elles sont déficitaires de la Scandinavie à la Russie arctique. Les évènements records traduisent cette tendance : sécheresse autour de la Méditerranée et au-delà jusqu'à l'Iran, fortes pluies des îles britanniques aux pays Baltes via l'Allemagne et le nord de la France. On y retrouve aussi de fortes chaleurs de l'Italie à la Russie d'Europe, et du froid en Scandinavie. => Cette répartition en fonction de la latitude est évidemment caractéristique d'un régime zonal dominant. On a des basses pressions persistantes sur le nord de l'Europe, des hautes pressions près de la Méditerranée ainsi qu'en Arctique (de l'est du Canada à la mer de Barents). -> Les prévisions (je réanalyse brièvement) : En janvier : Aucune tendance claire se dégage. Je note mais c'est après coup, donc facile, une simulation d'une tendance anticyclonique sur l'Europe centrale ou orientale chez quelques modèles. Un autre voit les hautes pressions en Arctique et en Méditerranée. Tous les types de temps auraient pu dominer. En février : L'influence océanique marque de nombreux points mais la prévision demeure brouillonne. Encore un écoulement de SW ou d'W, plutôt anticyclonique ou cyclonique... Le modèle italien semble le mieux aborder ce virage, suivi du français puis de l'européen et de l'américain. L'allemand et l'anglais ferment la marche. En mars : L'échéance proche ne permet pas d'éclaircir la prévision. L'océan est prépondérant, ce qui permet d'affirmer une douceur relative et des précipitations excédentaires. Les modèles américain et européen ne collent pas trop mal, l'anglais est le plus distant. Mai : -> Observations : L'observation des deux premières décades montrent des conditions changeantes, alternant entre périodes fortement humides et conforme aux normales, très douces et fraîches. La première semaine par exemple a connu des évènements chauds sur l'Europe du nord et centrale, froid sur l'ouest asiatique. Cependant, lors de la semaine suivante, c'est l'Europe du nord-ouest et l'Asie centrale qui eurent chaud alors que l'Europe centrale et orientale subirent des températures froides. Côté pluies, l'Europe occidentale connut des évènements de fortes pluies la première semaine alors que l'Europe orientale et l'Asie demeuraient au sec. Durant la seconde, hormis son nord-ouest, l'Europe connut un déficit parfois marqué, contrairement à l'Asie. On a ainsi eu des échanges méridiens récurrents. -> Les prévisions (je réanalyse brièvement) : En février : Une tendance méridienne se dégage faiblement sans qu'elle puisse être qualifiée. En mars : La tendance méridienne est toujours d'actualité En avril : je me permets cette ultime auto-citation : À voir dans une quinzaine de jours, la moyenne générale du mois et les évènements à plus hautes fréquences qui s'y seront produits. Comme d'habitude, la lecture brute des cartes n'apporte pas grand chose. Pour l'heure, l'écoulement me paraît être l'élément premier sur lequel s'appuyer puis ensuite les natures anticycloniques et cycloniques. Plus finement, l'apport de la climatologie et des réanalyses présente un intérêt certain. Enfin, les saisons franches comme l'hiver sont souvent mieux appréhendées que les saisons intermédiaires comme le printemps.
  24. Outil probabiliste (sous licence non ouverte) proposé par ECMWF à partir des sorties de l'ensemble d'IFS : orage et grêle > 2 cm Au fur et à mesure de l'avancée dans la semaine, le risque diminue sur l'Europe de l'ouest au profit de l'Europe centrale. Aujourd'hui : Lundi après-midi : probabilité d'orages à gauche, de grêle > 2 cm à droite (à agrandir) Mardi après-midi : (0% pour la grêle > 2 cm)
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