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Météofun

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Tout ce qui a été posté par Météofun

  1. Merci pour la précision sur les tornades F5 Damien, c'est intéressant. Je ne le savais pas, mais dans le fond ça ne m’étonne pas trop. Y compris dans le cas des supercellules, il faut passer d’une vorticité à cause du cisaillement à une vorticité de coubure. Pour les instabilité de KH avec deux fluides de densité différentes. Mais sur ce lien, on voit que des instabilités similaires se développent lorsque l’on observe un simple cisaillement, ce qui permet non seulement de s’affranchir de la contrainte de stabilité, mais aussi de permettre une formation horizontale.J’ai trouvé un cours très bien fait sur le sujet (il est de niveau master, mais c’est intéressant) : http://www.enseeiht.fr/hmf/enseignants/thual/otoei/poly.pdf Mais tu dois très certainement savoir ça bien mieux que nous ! C’est vrai que c’est intéressant comme rapprochement Cotissois. Mais il n’y a pas besoin de se raccrocher au font polaire. Les ondulations du jet sont tout a fait moderne. On note d’ailleurs, que le principe à petite échelle est plus proche de l’instabilité barotrope que de l’instabilité barocline.Dans notre cas, il faut chercher les éléments qui provoquent la perturbation initiale et déclanche l’instabilité. A ce niveau, effectivement, je comprends mal ton développement Gombervaux. Tu veux dire que les différences d’évaporation génèrent des différences thermiques (logique), d’où divers types d’anomalies (logique), et la présence d’ondulation avec le cisaillement (logique) ? Mais je ne comprends pas bien la base : pourquoi ces zones de différence de pompage d’humidité (si j’ai bien compris ce que tu voulais dire) ? Pourquoi tu parles d’onde de gravité alors que l’on est dans un environnement instable à faible stabilité statique : elles sont donc faibles en théorie, non ? Ha oui, belle prise !Rotation anticyclonique ou pas ? Vue le la position par rapport au front de rafale, j’aurai tendance à dire que oui : liaison entre la vorticité horizontale du front de rafale (arcus) et la vorticité verticale du tourbillon, probablement aidé par la discontinuité en bordure du front de rafales ? Tu confirmes ? Sinon, j’ai de gros doute sur la nature supercellulaire au vu de la photo, mais bon, tu étais sur place. Pour moi, c’est un beau front de rafale. Et en tout cas, je c’est quasiment certain que ce n’est pas une tornade mésocyclonique … Sinon, je le voit plus comme un gustano, il me semble que les landspout nécessite une rotation plus profonde pour pouvoir être qualifiée comme telle, mais après je pense qu’il ay a pas mal de subjectivité.
  2. Bien vu Séziou ! Ce qui c'est passé à Saint-Quentin entre 17 et 17h20 environ (pour mon secteur) était tout simplement MONUMENTAL. Et croyez-moi je n'abuse pas du tout ...Au début de l'après-midi, peu de précipitations mais grondement régulier et plus ou moins proche et très belle vue sur la régeneressences des cellules en coutinue qui nous frôlaient. Puis les précipitations se sont renforcées, avec toujours une activité électique régulière. Et enfin, durant cette petite demi-heure, un déluge de folie (vraiment impressionnant). Pas de chance, mon pluvio a un soucis et est bloqué à 0mm grrr. Les coups de foudre étaient espacés et brefs mais les grondements étaient d'une puissance rare. Et surtout, chute de grêle avec grêlons de 3 à 5mm en général, et même plus de 6 à 8 mm dans le sens de la longueur pour les plus gros (certains faisaient même le petit cm). Mais pour préciser : relativement espacé et peu durable.
  3. Sur Saint-Quentin en Yvelines, ça ne bouge pas trop. (Très) peu de pluies mais tonnerre très fréquent et proche. C'est presque un peu plat finallement. En tout cas, pas mal du du tout cette régenéresence continue !
  4. Juste pour info les gars. Ce regroupement multicellulaire n'a, pour l'instant pas grand chose à voire avec un écho en arc. C'est un regroupement multi-celulaire de celules qui n'ont q'une intaraction assez limité entre-elles. La forme d'écho en arc qui aparaissait tout à l'heure était simplement du au hasard du renouvellement des cellules. Dans la pratique, il faut modérer un peu mon propos puisque lorsque que le système évolue en groupe comme ça, il y a toujours un minimum d'inraction, mais rien içi qui permet de justifier ça. Bonne journée à tous les francilliens
  5. Ha, bizarre. Normalement en cliquant sur le lien tu devrait tomber dessus. Sinon, je remets toute la doc sur les modèles ici (par contre, à l’origine, c’était en climato, je n’est pas enlever les modèles climato). Mais MESO NH, ARPEGE, GFS et IFS sont purement météo. MESO NH : http://mesonh.aero.obs-mip.fr/mesonh/ http://mesonh.aero.obs-mip.fr/mesonh/doc.html http://mesonh.aero.obs-mip.fr/mesonh/dir_d...1_14122001.html ARPEGE : http://www.cnrm.meteo.fr/gmapdoc/meshtml/g...ARP/arpege.html ARPEGE-Climat : http://www-pcmdi.llnl.gov/ipcc/model_docum...on/CNRM-CM3.htm Notes Météo-France : http://www.cnrm.meteo.fr/gmapdoc/ IFS (CEPMMT) : http://www.ecmwf.int/research/ifsdocs/CY28r1/index.html Notes du CEPMMT : http://www.ecmwf.int/ LMDZ : http://www.lmd.jussieu.fr/~lmdz/LMDZ4/doc.html http://www.lmd.jussieu.fr/~lmdz/manuelGCM/main/node1.html http://www.lmd.jussieu.fr/~hourdin/LMDZ4PU...z4w/lmdz4w.html http://www.lmd.jussieu.fr/~lmdz/TEX/fichelmdz/fichelmdz.html IPSL (lien vers les modèles couplés) : http://www-pcmdi.llnl.gov/ipcc/model_docum...on/IPSL-CM4.htm GFS : Description GFS (1988) : http://wwwt.emc.ncep.noaa.gov/gmb/wd23ja/d...b2/tocold1.html http://wwwt.emc.ncep.noaa.gov/gmb/moorthi/gam.html Notes du NCEP : http://www.emc.ncep.noaa.gov/officenotes/ Page centrale pour les modèles climatiques IPCC : http://www-pcmdi.llnl.gov/ipcc/model_docum...cumentation.php
  6. Ben oui, j’ai complètement déraillé /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> , heureusement que t’as vu ça Simon : je ne suis même plus capable de différentier un signe+ et un - , ça craint ! ! Effectivement, ça doit précisément expliqué pourquoi c’est un indice qui calcul la probabilité de développements convectifs et non leur puissance …http://weather.wpafb.af.mil/forecast-tools/indices.html http://www.srh.noaa.gov/ffc/html/gloss2.shtml
  7. A ces échelles spatiales, il faut absolument chercher d’autres explications que la densité pour le déplacement des fronts. Tous les livres qui en parlent de cette façon ont FAUX ! Le problème de savoir s’il est impossible ou non d’expliquer la chose autrement de façon accessible est tout autre et je ne veux pas rentrer dans le débat déjà mainte fois débattu. Sinon atmosphère, pour ma part, en licence de physique, j’ai eu cette année un cours de physique de la l’atmosphère avec onde de Rosby, TP, TA, jet, … Ces notions ne sont donc pas réservées à MF. Pour modérer un peu mon propos, je dirai que lorsque que l’activité frontale (et notamment le front froid) est marquée par une dynamique convective, alors, là oui, mais juste au niveau de l’échelle convective, la différence de densité joue un rôle important. Mais rien à voire avec la dynamique frontale synoptique …Le meilleur moyen pour ce rendre compte que cette théorie de densité ne tient pas : comment veux-tu que l’air chaud arrive à pousser l’air froid au niveau du front chaud … En ce qui concerne les fronts, on a déjà l’idée développée par Simon et Gombervaux en ce qui concerne l’alimentation en air chaud qui finit par s’épuiser. Pour la vitesse, c’est vrai que ce n’est pas toujours flagrant, surtout au début de la cyclogenèse/frontogenèse. Après, je pense que de façon franchement raccourcie (mais nettement moins fausse que les différences de densité), on observe que la dynamique frontale (et notamment les VV) du front chaud est essentiellement porté par l’advection chaude qui permet de générer les ascendances. Pour le front froid, c’est différent : l’advection chaude n’existe quasiment plus (et est remplacé par une dynamique subsidente post-frontale avec l’advection froide). Les VV sont en fait essentiellement portées par la dynamique d’altitude très véloce (c’est, je pense, ce qu’il ont voulu dire dans l’EAO) avec les divers forçages (advections de TA notamment) qui circulent dans le flux rapide à proximité du jet et provoquent de la divergence. Voilà, c’est franchement raccourci, mais je pense que c’est accessible pour tout le monde. Si ce n’est pas le cas, je (ou quelqu’un d’autre) me ferai un plaisir d’expliquer ce qui croche. En ce qui concerne les flux protonique Patricia, je peux quasiment t’assurer à 99% qu’il n’y a rien de tout cela pour les prévisions à courte échéance dans les modèles. Si tu veux : le contenue des modèles est disponible sur cette dans les liens que j’avais donner sur cette page : /index.php?s=&showtopic=18413&view=findpost&p=407937'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=407937 Vue les modèles, qui arrivent à très bien modéliser la chose, l’explication peut difficilement être essentiellement due à ça … Pour le reste, je te donne mon point de vue personnel (qui n’engage que moi, sachant que je n’ai bien entendu pas les compétences pour critiquer le travail des chercheurs /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> ). Que cela est une influence sur l’activité électrique des orages, pourquoi pas. Mais cela n’a rien à voire avec la prévision des orages par la météo, qui est plutôt une prévision de la convection, sachant qu’à un certain stade, il y a orage. Mais vue le niveau de prévision des orages (y’a qu’a regarder ces derniers jours sur le pays …), pas besoins de s’encombrer avec ça … Ensuite, tant que la théorie ne s’appuiera que sur la prévision de phénomènes extrêmes totalement décousues et sans aucun rapport direct les uns avec les autres, cela n’aura aucune crédibilité. La météo c’est un ensemble de phénomène en interaction, et la grande majorité du temps, c’est un temps calme. Par exemple, j’ai entendu parlé pour des chutes de neige cet hivers (est de la France et Allemagne) qu’elles seraient duent à je ne sais quel phénomène protonique, j’ai du mal à voire comme les protons vont jouer sur le profil thermique des 500 derniers mètres de l’atmosphère (qui expliquent seuls ou presque pourquoi il a neigé et non plu). En ce qui concerne la météo, je veux bien éventuellement croire à une actions dans les hautes couches de l’atmosphère qui se répercutes sur la troposphère de façon indirect, mais dans ce cas cela ne concerne que la prévi à long terme. Un avion vol avec la thermodynamique, l’atmosphère évolue avec la thermodynamique. Mon point de vue ne demande qu’à évoluer avec la recherche, mais pour l’instant, il est clair. Mais là on s’éloigne nettement du sujet initial. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
  8. Hou là là … je parle chinois ? ? /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">/index.php?s=&showtopic=20091&view=findpost&p=463115'>http://forums.infoclimat.fr/index.php?s=&a...st&p=463115 (premier paragraphe de la citation) Nan, je plaisante, c’est vrai que c’est plus clair avec un petit schéma … Plus sérieusement, c’est effectivement pas tout à fait la même chose. Sur les images avec les nuages, il s’agit d’instabilité où la gravité joue un rôle important. Comme le dit Gombervaux, pour les trombe ou autre landspouts, pas besoin d’une bascule de l’axe de rotation : elle se crée souvent directement avec un axe vertical. La gravité ne joue pas directement. Elle se crée simplement par instabilité du au cisaillement où la moindre petite perturbation peut s’amplifier. Par contre, je ne connaît pas les raison de l’instabilité, comme le souligne Damien, y’a encore pas mal de recherche dessus. J’ai trouvé deux liens intéressants, mais je les ai juste parcourue, faut que je regarde ça plus attentivement. http://129.104.25.7/activities/couches_fr.html http://www.enseeiht.fr/hmf/travaux/CD0001/.../kh/kh_theo.htm En tout cas, les tornades qui apparaissent en ligne sont toutes de cette forme. Lorsqu’UNE supercellule produit plusieurs tornades, il n’y en a qu’une seule qui peut être de type supercelulaire (sinon, c’est que l’on a deux mésocyclones). Ensuite, ce type d’ondulation ne donne que rarement des tornades en ligne parce que la vorticité verticale ne se développe et s’amplifie en instabilité dans la pratique qu’avec des anomalies et perturbations placées au bon en droit. Merci pour l’info sur ces anomalies Gombervaux. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  9. La trombe va préférentiellement se former là où le tourbillon est le plus étiré, donc plus ou moins au centre de l’ascendance généralement (là où elles est la plus violente), c’est pas forcément au centre du CB en lui-même.En tout cas, la hauteur de la base n’agit pas directement sur la trombe. Le fait qu’elle atteigne ou pas le sol est en partie lié à la vigueur de l’ascendance dans les très BC (ce qui n’est pas forcément totalement dissocié de la hauteur de la base par contre). Et si l’ascendance est trop haut, la zone cisaillée de BC avec ça vorticité à plus de mal à interagir (le cisaillement qui provoque les instabilité de Kelvin-Helmotz et qui est amplifié par elles, est surtout produit dans les BC).
  10. Un niveau de condensation bas est signe d’humidité dans les BC, donc d’un air qui contient plus de chaleur latente qu’un air plus sec pour une même température. Mais il faut toujours ramener cette info par rapport à la température (la quantité d’eau possible augmente très vite avec la température) et au profil thermodynamique et d’humidité de la masse d’air dans son ensemble.Une humidification de la masse d’air en BC, et si rien d’autre ne change, permet surtout de multiplier les cellules avec une diminution de la CIN, ce qui va à l’opposer de l’effet de l’augmentation de la CAPE ainsi généré. Au contraire si la CIN était trop importante pour que les cellules puissent se produire avec cette humidification, bingo ! Mais c’est un cas idéal bien trop simple pour la réalité … EDIT : Ha oui Damien, rien à voire avec la trombe directement ...
  11. A ce sujet, je mets en citation un copier-coller (avec quelques petites modifications) d'une partie d'un message que j'avais déjà écrit il y a quelques temps : Pour la courone, ça reste à confirmer, mais je vois bien une couche d'air plus stable à ce niveau.
  12. Bon, peut-être que tu as raison Gombervaux, j’ai du comprendre sa question de travers /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> … Dans ce cas, j’espère qu’avec mon analyse (qui ne s’intéressait pas à autre chose qu’aux variations de pression) et les commentaires (notamment les tiens /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> ) qui ont suivit, le message sera passé … De toutes les façons, comprendre les variations de pression est important quand on sait comment les variations de pressions sont sensibles à de petites différences de divergence. Du coup une part importante de la stabilité du modèle numérique (pour ces données à l’état initiale, pour le calcul c’est différent) est issue en analyse de l’assimilation de la pression en surface. C’est du moins ce que j’ai compris de la chose. Sinon, Le-an, c’est vrai qu’un bouquin sur le sujet n’est pas une mauvaise idée (Gombervaux ? ou même toi –d’ailleurs, si c’est pas indiscret, tu fais quoi à MF ? -). Sinon, avec les FdM, un bon bouquin de météo dynamique et quelques références sur Internet on a déjà de bonnes bases sur le sujet.
  13. C'est vrai que c'est un peu bizarre cet affaire avec cette différence entre le TD à 850 ou à 500 hPa (tout le reste est semblable). Il n’y a que sur Wetter3 où j’ai vue cette prise en compte du TD à 500 hPa plutôt qu’à 850. Il faudrait voire si c’est juste sur le texte explicatif ou si c’est aussi sur la génération de la carte.Enfin, si on cherche à comprendre la formule, le cas de Wetter3 est peu compréhensible. De l’air chaud et humide en BC (donc fort TD) est effectivement favorable aux ascendances, donc propre à faire monter le KI ; mais un fort TD à 500 hPa est peu favorable aux ascendances et peu favorable à faire monter le KI. Donc je ne comprends pas bien l’explication de Wetter3. D’ailleurs, cette histoire de TD est plus pour faire intervenir l’humidité de l’air (en lmien avec la température bien sûr) puisque la température est déjà prise en compte avec le T850 – T500. Dans la formule, la prise en compte de l'air sec d'altitude est prise en compte avec le niveau 700 hPa, il est donc plutôt logique de tenir compte aussi de l'humidité de BC.
  14. Gombervaux, là il ne s'agissais pas de déuire le temps qu'il allait faire : à aucun moment on ne parle du nébulosité, où se trouve les pluies, quelle est la force du vent, ...On cherchais simplement à comprendre pourquoi on avait une telle variation de pression. Si on cherchait à faire une vraie prévision (déjà ce n'aurait pas été dans ce forum) , on aurait eu d'autres explications, qui n'auraient pas évoqués la pression de la même façon, et du coup je suis d'accord avec ce que tu dis. Je ne pense pas que l'on puisse dire là qu'il y a opposition ... Sinon, merci Sebaas, c'est vrai que c'est dommage que Hailstone ou JS (pour ne citer qu'eux), ne participe plus aussi souvent ... Les aléas de la vie et des études ...
  15. En fait, je suis navré Yann, comme j’avais déjà commencé hier, je n’est pas tout recommencé en me basant sur l’exemple de la tempête des d’Amérique, que je n’ai d’ailleurs pas particulièrement suivit. Mais je trouve que même en prévi, ce type d’exemple n’était pas inintéressant à plus d’un titre : Croissance en deux temps Différences notables entre les deux temps de cette croissance Rapide atténuation J’ai peut-être été un peu rapide sur certains poins, s’il reste des points ou des notions incomprises, n’hésitez pas, je compléterai ce week-end ou la semaine prochaine. Je trapel simplement qu'il s'agit juste d'expliquer le comportement du modèle : en aucun cas il ne s'agit de faire une prévision sur le phénomène. Je me suis tout le temps basé sur le GFS de 12h, même si à la réfection, j’aurai du prendre la sorte de 6h comme sur les cartes que tu propose Alexy, mais peu importe, ça change pas grand-chose. En étant assez rapide, c’est un exemple classique forte cyclogenèse (interaction barocline) à cause d’importants forçages. Pour la mise en place, on a un jet, certes modéré, mais classique d’une situation à gros forçage avec le double jet : on a une zone de divergence importante entre les deux (courbes avec le +). On suppose effectivement une anomalie de tropo qui génère des forçages importants avec son advection. C’est effectivement ce que l’on remarque ici pour l’anomalie de tropo et pour le forçage ici et ici. On a donc une première phase de cyclogenèse, dont voici la réponse en terme d’anomalie de pression. La divergence d'altitude a permis à la pression de bien baisser en surface. Mais ce n'est pas tout. En fait, cette anomalie d'altitude va péricliter, mais va être remplacer par une autre pulsion, très importante. Vue la hauteur de la tropo, il vaut mieux chercher les forçages à 500 hPa (300 hPa, c'est un peu trop haut là). La réponse est en effet cinglante pour la pression. En BC, on note bien l'advection chaude et l'anomalie chaude qui, avec les précipitations qu'elle génère permettent d'apporter de l'énergie et d'étirer le tourbillon. C’est surtout vrai pour le premier développement, moins pour le second, entièrement concerné par l’advection froide et où l’advection est partie plus loin au nord. Comme quoi, une advection froide n’empêche pas la pression de baisser. En fait, il ne faut pas oublier que les variations de la pression ne sont pas dues aux VV (la pression peu parfois tout à fait baisser avec des subsidences), mais à la divergence intégrée sur toute la couche. Le lien entre VV et divergence est pourtant direct, mais dans les zones actives, la divergence/convergence qui génère les VV est bien supérieure à ce qui est nécessaire pour engendrer des variations de pressions. En gros, le déséquilibre n’est pas facile à voire, et peu importe finalement qu’il y a ai des ascendances ou pas. Dans la pratique, c’est un peu abusé ce que je dis puisque l’étirement du tourbillon de BC, est aidé par une augmentation des ascendances par l’altitude. Or, étirement du tourbillon dit renforcement de celui, donc augmentation, du tourbillon, et notamment, de la composante cyclonique du tourbillon (celle qui est issue de la rotation, par opposition à celle issue du cisaillement), par conservation, on doit donc faire baisser la pression en surface. Mais en fait, on s’aperçoit que l’on tourne en rond puisque que précisément cet augmentation des ascendances avec l’altitude est amenée par une augmentation de la divergence en altitude (et heureusement que les deux explication s’accordent bien entre elles …). Je n’en suis pas parfaitement certain (c’est une analyse perso de ce que j’ai compris), mais on doit certainement rejoindre ce que l’on disait plus haut : à savoir que la les valeurs de divergence qui fond baisser la pression sont bien plus faibles que celles qui servent aux VV. Si on regarde les VV pour la première phase, on voient quelles sont bien plus importante que pour la seconde phase, bien que la baisse de pression a été plus impressionnante sur la seconde phase. La suite peut surprendre, mais est tout à fait compréhensible. L'instabilité barocline et ses forçages ont été forts davantage grâce à la puissance des anomalies qu'au jet. Très rapidement, il n'y a plus de jet, plus aucun éléments n'est là pour entretenir le système : c'est la mort barocline. D'autant plus que la remonté vers le nord ne favorise pas la concervation du TR vu la diminution du paramètre de Coriolis f (le TA (TA=TR+f) est globalement conservatif, surtout vers 400 hPa dans ce genre de situation, une remonté vers le nord avec un f en augmentation, tend en premier ordre de grandeur à diminuer le tourbillon). Il n'y a plus aucune divergence en altitude, l'anomalie de pression se comble rapidement avec la convergence de BC. La différence avec les sytèmes issus de rail dépressionnaire qui se comblent très lentement au nord du jet, c'est que là, il n'y a plus de jet (ou presque) qui permet de réinjecter régulièrement du forçages en altitude comme le fond les cyclogenèses secondaires vis à vis de leur « mère » (pas toujours très loin de l'évolution des gouttes froides) qui entretient le jet plus au nord avec leur zone de basse tropo et d'air froid d'altitude. C'est comme ça que j'interprète cette évolution, mais bon, je peux me tromper ou être incomplet ... /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pour répondre rapidement à Sebaas, ce type d’évolution à creusement très rapide est pas trop mal vue par les modèles (tout est relatif, bien entendu !). Ca n’a rien à voire avec les bombes qui circule dans un jet rapide. Dans un cas, on a de grosse anomalie d’altitude, assez bien cerner, dans les advection qui provoquent les forçages sont d’avantages dues à la valeur de l’anomalie qu’a la vitesse d’advection. Dans l’autre, les forçages sont dus à des anomalies assez peu marquées dans un premier temps (avant de très nettement se renforcer par rétroaction) mais importante grâce à une vitesse d’advection très importante. Cependant c’est clair que ce genre de phénomène est toujours assez instable dans ces évolutions. Mais la plus belles preuve, c’est que tous les runs la représente un peu de la même manière (pas dans les détailles, bien sûr, mais de façon globale) et surtout avec un schéma assez proche. Voilà, bon week-end à tous ! /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> EDIT : En fait, en lisant mon post, tu verra qu'on ne peut pas vraiment dire qu'elle bute sur de l'air plus frais. Effectivement, ils y de gros contrasts thermiques, mais la baroclinie est assez peu organisé, que ce soit en BC ou en altitude.
  16. J'ai commencé à faire un truc mais maintenant je suis un ordi qui réussi la performance de m'afficher une page du forum sur une durée de l'ordre d'une bonne dizaine de seconde. Impossible regarder des cartes, surtout avec du 256 couleurs ... Je pense que je posterai un truc demain, mais comme dit Sebaas, ce sera une "vision modèle" (ni une prévision discuté, ni une observation à postériori), mais qui doit donner les principaux éléments je pense. Ce double enchaînement s'explique assez bien finalement.
  17. Je me permets de faire remonter ce sujet puisque le site principal propose aussi des choses intéressantes pour comprendre le fonctionnement de l’atmosphère. http://www.eumetrain.org.uk/ On a la possibilité de superposer à l’image satellite divers champs dynamiques du CEPMMT. La description des abréviations des champs est disponible içi : http://www.zamg.ac.at/docu/Manual/SatManu/Help/Glossary.htm On peut soit utiliser le mode « personnel », très libre, soit le mode « conceptuel » (en bas de la page) où en fonction de ce que l’on cherche on nous guide dans les champs à chercher et on peut annoter les cartes pour synthétiser les phénomènes : très formateur. On peut comparer notre résultat avec le traitement automatique qui est effectué. Attention à l’heure des cartes, au besoin, rechercher la même heure dans le site d’utilisation des cartes déjà connu (http://www.knmi.nl/satrep/ ). Bref, je vous encourage vraiment à faire un tour régulièrement et prendre le temps d’analyser des situations.
  18. Oui, d’ailleurs, c’est moi qui ai écrit ça … Et alors ! J'assume... /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> (pas de bol que se sois moi qui devait m'en occuper hier ...)Le bulletin d’IC est destiné au grand public comme du public averti. Pour ma part j’évite de trop utiliser directement les termes de d’anticyclone et de dépression, mais c’est purement personnel, juste pour rester cohérent moi même avec ma vision des choses. Mais tu as justement remarqué qu’il n’y a pas le mot anticyclone, mais anticyclonique. Dans le BN, le mot anticyclonique est en lien et est proposé en définition dans le lexique. http://www.infoclimat.fr/previsions/ C’est une définition que j’ai rajouté expressément pour les BN et BS « » Il y a la même chose pour dépressionnaire. C’est une position qui ne concerne que moi, et je comprends tout à fait l’usage de telles notions dans ce contexte qui ne sert qu’à décrire ce qui se passe et aucunement à expliquer quoique ce soit (rien à voire avec des bouquins universitaires).Bon, ça va, tu m'accordes cet argumentaire Le-an ? /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Dans le même genre d’idée, je donne de temps à autre des cours de météo (bénévole) pour un organisme et dans le support de cours que je dois suivre, il y a explicitement écrit : « », je dois faire le grand écart pour les fronts … Bref, c’est pas facile du tout. J’explique que c’est pour simplifier, que l’on ne fait que décrire et non expliquer, … mais c’est vrai que je me renie moi-même dans ce cours. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20">
  19. Météofun

    Kéraunos

    Bravo ! Excellent projet qui vient de voire le jour ! Félicitation à tout les contributeurs et aux responsables. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  20. Je te comprends tout à fait Yann. J’avoue que parmi les bouquins sur la météo/climato que la FAC possède (je suis en licence de physique à Versailles), on en a de deux types : les « scientifiques », qui proviennent notamment de MF, mais pas seulement, et les « géographes » qui proviennent de divers éditeurs. Ce n’est absolument pas à prendre contre une réaction négative par principe envers la géographie climatologique, mais c’est vrai que la façon d’aborder la météo n’est pas du tout la même. Dans le meilleurs des cas, l’aspect d’altitude y est décrit rapidement comme une complexité supplémentaire qui est juste parcouru ; dans le pire des cas, les AMP sont mis sur le même plan que la vision thermodynamique.A titre d’info, mais que je trouve assez révélateur dans le cadre de ce petit HS, au semestre dernier, j’ai eut un cours de physique de l’atmosphère d’un peu moins de 15h qui s’inscrivait dans un cours plus global sur la physico-chimie de l’atmosphère et de l’océan. Les fronts n’ont pas été évoqués, par contre, les ondes de Rosby, les anomalies de tropo, le tourbillon potentiel ont été abordé … A part moi (même si dit comme ça, ça fait franchement prétentieux), tout le monde (on était qu’une petite dizaine sur ce cours) était perdu ! Je ne remet pas du tout en cause le prof (très intéressant), mais plus le contenu du module qu’il est obligé de suivre. Après, entre ça ou le sentiment de trahison qu’à subit Damien et qu’il nous évoque dans la douleur, y’a probablement un juste milieu à trouver. /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Pour les bouquins qui font le lien de façon soft entre les théoriques thermodynamiques et les théories Norvégiennes, on peut citer, le cours N°14 de MF « Météorologie Générale et maritime » et aussi, « Météorologie du vol à voile » de Tom Bradbury aux éditions Cépaduès. Vis-à-vis du Mistral, j’aurai tendance à être un peu moins extrême que toi Gombervaux. L’aspect de foehn du Mistral existe vraiment. Disons, plus que de foehn, on devrait plutôt parler de subsidence, qui ont nécessairement une influence sur la température et l’humidité relative, mais effectivement, de façon partielle. Tout dépent de la situation aussi, come ous le fait remarquer lmk.Pour évoquer les advections thermiques, je vous conseille de reprendre les cartes de Wetter3 archivées sur les advections d’épaisseur (schichtdickenadvekion) entre 1000 et 500 hPa, qui ne représente rien d’autre que l’advection thermique moyenne entre ces deux couches. Systématiquement ou presque, au moment de la mise en place du Mistral, on remarque l’advection chaude au fond du Golfe de Gêne ou dans les régions proches. C’est vraiment que c’est quand même souvent le cas, tu as raison Simon … J’y vois deux raisons principales, mais il y en a probablement d’autres :1) les frottements au sol qui imposent une convergence dans les BC pour les basses pressions et une divergence dans les hautes pressions. A ne pas oublier non plus que la variation de pression par la divergence est valable de façon Eulérienne. Le déplacement d’une anomalie de pression (de masse) est dynamique est non simplement par transport. 2) L’importance de l’altitude avec une grande vitesse de vent vitesse de vent, malgré une masse volumique plus faible. On note d’ailleurs, que si la pression est parfois la plus basse au niveau du front froid, là où les VV sont plus intenses, c’est pas là du tout où la pression baisse le plus en général. Par contre, les grosses hausses de pression à l’arrière sont assez bien corrélées. A l'avant des systèmes perturbées, bien que les VV soient franchement faiblardes (dans un sens ou dans l’autre d’ailleurs), on observe parfois des chutes de pression spectaculaires. Bon, ben tant qu’à faire, allons-y aussi … Merci à tous pour l’intérêt des échanges que l’on a sur le forum : c’est vraiment passionnant et instructif. Oui, bien sûr, en fait par VV je n’entendais que les VV synoptique, ou plus généralement, celles représentées par les modèles hydrostatique. Là, je suis peut-être moins catégorique. Il est intéressant de noter que la marée barométrique a souvent une oscillation semi-diurne, alors que l’oscillation thermique est plutôt diurne. Je ne connais pas l’explication exacte, mais elle doit être très loin d’être triviale (il me semble que les petites oscillations sont la somme de tout un tas de facteurs et notamment aussi (en plus de ce qu'on a déjà dit) des réactions en haute atmosphère, l’influence de vraie marées –solaire et lunaire-, et d’autres explications).Si tu enfermes de l’air dans un tube, que tu le places dans ton frigo ou au feu, la masse ne va changer … Pour l’atmosphère, c’est la même chose. Tu peux contester la validité de l’exemple en disant qu’il y a un changement de volume, mais si tu prends une colonne d’air jusqu’à l’espace, le changement de volume ne joue que sur la hauteur de la colonne, donc ça ne change rien. Il est intéressant de noter que si on prend la formule des gaz parfaits (auquel on peut assimiler l’air) : PV = nRT, une baisse de température entraîne une baisse de pression à volume constant ! En fait, on a bien une baise de volume qui joue avec la diminution de l’épaisseur, mais point de variation de pression là dedans (du moins de façon directe). Je rappel, je raisonne simplement de façon hydrostatique, dont les modèles assez fin de ce type arrive à esquisser les dépressions thermiques par exemple. C’est sûr que de façon non-H, on arriverait à des résultats plus fins, qui s’adapteraient mieux à la topographie locale, par exemple. /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20"> Bizarrement, j’aurai plutôt pensé le contraire. Notre petit pois-chiche ne peut aucunement prétendre faire mieux qu’un modèle. Par contre, l’intérêt de comprendre le fonctionnement thermodynamique vu par le modèle permet, en prévi immédiate de contrôle la vison modèle avec la réalité (issu de tout les types d’observations possible et imaginable) et éventuellement de faire les adaptations nécessaires ; et en prévi à courte échéance de comparer la vision des différents modèle et quelques sont les raisons de leurs écart afin de pouvoir statuer sur la vision la plus représentée parmi les modèles étudiés mais aussi de choisir le modèle le plus proche de la réalité observée en prévi à quelques heures.Par contre, à plus longue échéance, on ne peut rien faire d’autre que de croire le modèle qui, comme le dit Gombervaux, « reste cohérent avec lui-même ». A ce moment, comprendre la dynamique peut aider à comprendre les enchaînements, mais aucunement de trancher. La vison ensembliste et probabiliste s’avère une nécessité absolu. On peut éventuellement repérer quelques sont éléments dynamiques qui engendre les différences. Mais bon, tu connais sûrement mieux que moi ce genre de problèmes, vue ta présence sur le forum long terme. /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  21. Lol Damien ! /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Sinon, pour la séparation dynamique/thermique, je suis très perplexe moi aussi. Il ne faut pas oublier que la pression n’est rien d’autre que le poids de l’air et que dans les modèles hydrostatique, qui arrivent pourtant à matérialiser les évolutions « thermiques » de la pression, les VV n’ont rien à voire (ou indirectement avec la divergence) avec l’évolution de la pression au sol. Autrement dit, une ascendance peut entraîner une hausse de pression et inversement. L’évolution de la pression au sol dans les modèles hydrostatiques est déterminée grâce à l’intégration verticale de la divergence sur toute la colonne. Je reconnais que c'est plus compliquée à petite échelle ce que représente les modèles non-hydrostatiques, mais ce n'est visiblement pas primordial içi. Si par exemple, on observe une baisse de la pression lorsque l’on chauffe le sol (dep thermique), c’est parce que on augmente les épaisseurs en BC, d’où des hauts géopotentiel qui apparaissent en altitude, cette apparition entraîne un déséquilibre dans le géostrophisme, d’où de la divergence en altitude qui « s’échappe » de ce haut géopotentiel, d’où la baisse de pression au sol. Le même raisonnement peut être appliqué pour les anti-thermiques. Autrement-dit, le thermique est quand même franchement dynamique et le raccourcie qui dit que la pression augmente parce que (lien direct) l’air se refroidit et est plus dense me paraît faux (même si on l’entend tout le temps !) puisque le poids de la colone d'air change pas avec la température ! Je peux me tromper , mais ce que j’ai compris du sujet.
  22. Ben cette EAO est dispo gratuitement ici : l’EAO anasyg-Presyg de Météo-France. Le lien doit pourtant être officiel puisque cité dans les FdM. Sinon, voici une liste de liens intéressants que j’avais déjà mi à un endroit : Meteo France (connus de tous, avec notamment son très bon lexique). Le CNRM (connu de tous aussi) EUMETCAL (une vraie mine, beaucoup de liens ! : et notamment : http://www.zamg.ac.at/eumetrain/ http://www.zamg.ac.at/docu/Manual/start.htm http://eumetcal.meteo.fr/Euromet,14 et plein d'autres possibilités ! ) COMET Virtuallab (où on peut trouver l’EAO de Météo-France). Avec ça, y'en as pour quelques semaines à temps plein si on veut tout exploiter à fond ... /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> En tout cas, plus d’excuse pour éviter le sujet ! /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">
  23. Oui, merci à vous deux ! Mais ce n'est que partie remise !
  24. Oui et puis il faut voire l'impacte psychologique, pour le grand public, mais aussi à la limite pour le passionné, entre une F4/F5 supercellulaire ou un minable gustnado F0/F1 … D’ailleurs j’ai lu je ne sais plus trop où que si on estime rater pas mal de petites tornades en Europe, c’est encore pire pour les USA où certes celles issus de supercellules ne sont quasiment plus ratés (dans leur majorité) mais qu’il en va tout autrement pour les petites de fronts de rafales passe aussi largement inaperçues qu’en Europe.
  25. Je suis certain que se sera une superbe rencontre ! Mais je ne pourais pas être des votres : c'est plein pendant ma période de partiels. Navré ...
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