Aller au contenu

Ce tchat, hébergé sur une plateforme indépendante d'Infoclimat, est géré et modéré par une équipe autonome, sans lien avec l'Association.
Un compte séparé du site et du forum d'Infoclimat est nécessaire pour s'y connecter.

Météofun

Membres
  • Compteur de contenus

    932
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Météofun

  1. Merci pour rappeler cet exemple Nico ! C’est une erreur : je ne regarde pas les blogs et je suis passé à travers … Perso, j’aurai la même explication que celle de ThierryC sur le forum LeFryseur. C’est en fait assez classique (bon d’accord, le terme n’est pas forcément très adapté …) lorsqu’il n’y a pas de cisaillement directionnel (hélicité) et que du coup aucune des deux cellules n’est favorisé lors de la bascule du tourbillon pour récupéré l’ascendance central en son centre. L’influence du cisaillement à l’échelle de l’orage est donc primordiale. Du coup, au moment de la séparation, avec la mise en place de la subsidence centrale, les deux cellules rament un peu puis s’effondrent … Y’avait visiblement plus assez de puissance. C’est un cas très bien connue théoriquement et qui trouve içi un exemple quasi parfait. Pas besoins d’avoir une puissance monstre en CAPE pour avoir ce genre de structure, la preuve. On le voit bien sur le RS de Bordeaux, pas trop loin géographiquement, on a juste un cisaillement de vitesse, donc aucune des deux cellules n’a vraiment pu être favorisée. http://meteocentre.com/archive/tephi/2007/...42612_07510.gif Ce genre de structure est un peu la poisse puisqu’elle passe en-dehors de la prévision à partir des indices utilisant le cisaillement. Elles ne sont d’ailleurs pas rarissime, le « slitage » n’étant pas toujours aussi franc. Certes, elle tire moins d’énergie que si le cisaillement directionnel était important, mais si l’énergie de départ est importante (mais clairement ce n’était pas le cas là), ça peut quand même donner un truc de correct … Mais ce n’est effectivement pas le sujet, mais super intéressant je trouve. Et puis comme le dit Damien, il reste à trouver les raisons exactes du cisaillement et de la subsidence centrale qui ont amenées à cette séparation.
  2. Pour l’anglais j’hésite encore entre la proposition de CFR et de JS … C’est sûr que pour la physique, comme par exemple ce que nous a présenté Prévi, c’est pas évident, mais je pense qu’avec un an de travail dessus ça ne doit pas être complètement insurmontable (à moins que je sois déraisonnablement optimiste sur mes capacité en la matière ? ). Par contre, il y quelque mois j’avais récupéré les annales 2005 et 2006. Je suppose que le sujet 2007 sera mi en ligne d’içi le prochain concours. Mais il est possible de récupérer quelque part des sujets des années précédentes. Peut-être que l’on peut leur demander par écrit ?
  3. Disons que quand même 700 mm d'eau issus de la neige fondue ça fait plus ou moins 7m de neige fraîche ... /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> je ne savais pas que les Vosges avait été aussi enneigé cet hiver, même en cumul total ... /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Après, je ne pige pas trop à votre histoire ...
  4. Météofun

    fonte des neiges

    Ca fait un peu enfantillage votre affaire … /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20"> Oui, 70 cm de neige fondue fait bien 700 mm d’eau puisque de la neige fondue, c’est de l’eau … Et oui, 1cm de neige, c’est plus ou moins 1mm d’eau, mais c’est très variable en fonction de la neige quand même. En France dans les gros épisodes Méditerrannéens (1999 et 2002 pour les derniers), on arrive sur certains postes à plus de 600 mm en 1 jour.
  5. Salut Charlot /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> En fait, pour être exact, c’est le gradient vertical d’advection de TA qui doit être positif pour générer des ascendances. Pour obtenir un tel gradient, c’est plus facile de partir avec une advection négative en BC, avec quand même la remarque que j’ai faite en liaison avec l’advection de température. On n’ai pas à la méso-échelle là, on est à une plus grande échelle, donc pas de courant de densité. Cette histoire de gradient explique pourquoi on cherche les zones de fortes advection positive en altitude, mais c'est vrai que c'est un racourci. Effectivement, belle zone de convergence, merci de nous la montrer. Je me permet du coup de reprendre l'exempel de cette carte pour explicité mon premier message sur le sujet. Il faut se méfier : ce n’est par ce que les lignes de flux de rapprochent que la convergence est forte. Dans l’est, pas de toute : on a un rapprochement des ligne des flux qui correspond à une baisse du vent. Mais dans le Golfe du Lion, on a aussi un rapprochement des ligne de flux (confluence), mais qui correspond à une accélération : on ne peut pas directement statuer sur la convergence.
  6. Si y'a que des questions comme ça, j'espère pouvoir réussir ce concours que je vais normalement tenter l'année prochaine ! En tout cas, je trouve que c'est plus clair de parler avec des noms comme ça auquel on voit tout de suite de quoi on parle plutôt que des dénominations barbares ... Merci, mais je vais me faire sortir direct à l'entretien d’Anglais … /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Un an pour le bosser /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> …
  7. Excélente idée Damien ! Du coup, je remet içi les liens que j'avais donné dans le topic précédent : http://www.ofcm.gov/r23/r23-2004/pdf/chapter_3.pdf http://c_turb.club.fr/ventnode2.html
  8. Juste pour préciser parce que je n’ai pas été explicite sur le sujet. Au niveau de l’influence des zones de convergence synoptique.Il est clair qu’une advection de TA négative en BC favorise les ascendances. Mais dans la pratique, elles ont souvent lieu à l’arrière de d’axe e thalweg et sont associé à des advection froide, qui elles favorisent les subsidences … Ensuite, les zones d’ascendance de grande échelle marquées par GFS (on ne peut pas espérer mieux avec ce modèle) ne sont pas forcément lié à un dynamisme orageux. Il ne faut pas confondre les deux. L’aspect négatif des subsidence pour la convection est principalement du à la formation de couche d’inversion, mais non directement à cause des vitesses verticales. C’est une fausse idée largement rependue (au même titre que celle de la pression au sol d’ailleurs) … Le coup des VV est vrai pour un orage pris isolément, celà l'est nettement mins pour les complexes orageux et leur oraganisation (exemples : orage en Méditerannée issu d'un corps pluvieux, orage frontaux ou pré-frontaux, ...)
  9. Ca va vous vous ennuyez ? Vous y avez passé l’après-midi ! Bon, je me permet de reprendre rapidement ce que tu as dis Nico. Après, c’est juste le point de vue d’un passionné de la compréhension de phénomènes météo, et qui est içi bien théorique : je n’ai jamais eu d’étude sous le nez. Je fais juste ces compléments par rapport à ce que je comprends des divers phénomènes en jeu. Très clairement, je fusionnerai tes niveaux 4 et 5 en un seul pour ce qui concerne l’influence « évolutive », que tu as appelé « temporaire ». Au niveau 5, je mettrai simplement la dynamique et les anomalies liées à la structure orageuse. Tout le reste est du domaine supérieur (donc le 4) et du même niveau (à peu près). M’enfin, à chaque fois je trouve que c’est bien artificiel comme genre de traitement de l’information.Dans ton niveau 3, le terme de « rencontre des masses d’air » est je trouve bien réducteur. Certes, l’influence de la convergence est importante, mais on a aussi la création de touts les autres type d’anomalies de méso-échelle (thermique, tourbillon, cisaillement, humidité) et qui contribuent à modifier le niveaux inférieur « variable ». On a un peu la même chose au niveau inférieur, mais plus au niveau de l’échelle de l’environnement de l’orage. Là, je ne pense pas. Quoiqu’il arrive, un orage interagit avec son environnement de méso-échelle. Alors, imaginons qu’il n’y ai aucune anomalies à l’état initial, on a un environnement complètement chaotique, mais c’est purement théorique. Dans la pratique, des tas de micro-anomalies favorisent le développement d’un cumulus içi et non là (par exemple), et du coup cet environnement interagit avec le cumulonimbus. On a bien une interaction avec l’environnement proche, même si les facteurs extérieurs n’apparaissent pas comme déterminant en première approche.En ce qui concerne les échelles, j’ai deux lien pas trop mal qui explique ce qui est le plus communément utilisé, mais c’est pas non plus une règle d’or d’après ce que l’on a pu lire sur Internet. http://www.ofcm.gov/r23/r23-2004/pdf/chapter_3.pdf http://c_turb.club.fr/ventnode2.html
  10. J’approuve aussi, c’est vraiment une excellente idée, d’autant qu’il y a certains articles écrit par une illustre personne … Sinon, je me permets de faire une petite doléance en ce qui concerne la revue « La Météorologie ». Elle est vraiment géniale, mais elle a un énorme point noire : son emballage. Est-ce vraiment utile une superbe enveloppe en papier bulle ? C’est certes très pratique puisque l’on peut la réutiliser pour d’autre envois fragiles, mais dans le cadre d’une revue très sensibilisée à la lutte contre le changement climatique, et donc l’environnement plus en général, je trouve que c’est assez dommageable. Je suis sûr qu’une enveloppe en papier recyclé ferait aussi bien l’affaire pour qu’elle puisse à nouveau être recyclée. Et tant pis si par malheur le coin est peine corné à la réception. Je ne sais pas gbl si vous avez la possibilité de faire remonter l’information, mais je profite de votre présence sur le forum pour tenter ma chance.
  11. Alors là, je ne connais pas ligne exact de MF sur le sujet, mais je peut te répondre sans me tromper je pense : la réponse est non. En revanche, beaucoup d’espoirs est fondé, je crois bien, pour prévoir l’évolution et le risque de systèmes convectifs de méso-échelle. Les monocellulaires sont probablement trop petits pour être correctement décrit par un modèle qui restera, pour l’instant, à 2.5km. A partir de là, on peut éventuellement trouve un certain risque de phénomène tourbillonnaires, mais pour l’instant, faut pas trop rêver … Tu veux dire en opérationnel ? Aucune idée. Ce que je sais c’est que AROME est d’ors et déjà utilisé dans le situations délicates, mais aucune idée de la façon (domaine limité ? cycle d’assimilation ? …).Sinon, sur le net, on trouve un certain de nombre de simulation effectuées a posteriori avec Méso-NH. C’est sûr y’a qu’a voire les Australien : ils sont pas mal gâté parfois … Y’a parfois aussi des trucs sympas en Europe de l’est ou en Asie, mais visiblement l’air chaud de BC à tendance à être un peu trop sec.
  12. Globalement, lorsqu’il y a des soucis, ils viennent principalement d’un mauvais positionnement des anomalies (thermiques, etc) de GFS lui-même. Mais ça n’a rien d’étonnant. Il faut le savoir. Un modèle à maille fine n’est pas un remède miracle. C’est une pièce parmi d’autre. En tout cas je remercie içi publiquement cette évolution de Météociel, bravo ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">
  13. Pour info, une règle de base lorsque l’on navigue, c’est à la louche +ou- 1cm/hPa avec une élévation pour une baisse de pression et une baisse pour une hausse de pression.Le pompage d’Ekman joue par contre l’effet inverse avec une hausse lorsque la force de tension du vent sur la surface de l’eau est anticyclonique et une baisse lorsqu’elle est cyclonique. En revanche elle agit sur une échelle temps relativement longue (typiquement au moins la journée, et plutôt quelques jours pour l’influence du vent sur une côte, et bien plus pour les énormes masses d’eau ainsi déplacé au centre des gyres océaniques). En gros, dans l’hémisphère nord, la tension du vent produit un courant de surface à 90°vers la droite de la direction du vent (45° pour les premiers mètres) à cause de l’influence de Monsieur Coriolis. Les upwelling côtiers sont dus à cet effet, et ont une influence sur les anomalie de hauteur d'eau sur les côtes. Ce sont donc effectivement deux choses bien distincts.
  14. Je me permet simplement d’intervenir juste sur deux points pour aller dans la ligné de ce qui vient d’être dit. Là-dessus, il ne faut pas voire le terme « en plus » de façon brutale. Je suis d’accord pour les modèles à maille large (type GFS ou ARPEGE), mais les futur modèles à maille fine situeront bien mieux le problème. Les mailles (de l’ordre de 2.5 km) comme AROME commenceront à cerner les structure orageuses suffisamment grande. Ces modèles tiendront bien compte de l’échelle locale (type de sol, humidité, topographie fine, …).Ceci dit, certes, il verront se développer des structures orageuses, et ils donneront des indications globales, mais bien sûr, ce ne sera pas (à moins d’une chance énorme) au même endroit, et de toute les façons, tous les paramètres ne sont pas forcément très bien maîtrisés. Donc effectivement, là, on rejoins un peu ce que tu dis. En gros, il ne faut pas sur-estimer ces modèles, mais ils donneront des idées inconnues jusqu’à présent … mais pour nous, ça ne change pas grand-chose puisque qu’on y aura pas accès ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> Ensuite, il y a tellement de situations différentes qui donnent des petites tornades, gustnadoes ou autres trucs du genre que c’est difficile de pouvoir en tirer des indices précis. Et combien de situation quasiment semblables ne vont rien donner et juste une, avec un simple petit grain de sable comme changement va déclancher une petite F1. C’est par contre moins vrai pour les tornades supercellulaires qui obéissent à des situations météo plus stricts. Pour résumer, en gros, pour les phases de risque, l’influence locale passe au second plan, ce qui n’est pas le cas pour la prévi immédiate ou à quelques heures. Après, c’est juste mon opinion perso. /emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20">
  15. En fait c’était juste pour insister sur la nécessiter d’isoler des concepts clef théorique, aussi bien d’un points de vu modélisation, pour justifier par ordre de grandeurs les approximations employées dans les codes météo que d’un point de vu théorique pour comprendre le fonctionnement atmosphérique. En sachant que l’on est capable d’atteindre la précision la plus fine possible tant que l’on reste dans l’état macroscopique et du domaine de connaissance de l’état initial (si on excepte les dérives du à l’état chaotique). Mais je t’accorde avec toi, c’était un peu une phrase pour pas dire grand-chose … T’inquiète, t’es pas le seul … /emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">
  16. Il faut absolument se méfier des cartes qui présentent les lignes de flux pour étudier la convergence. Le vent eut confluer (les lignes de flux se reprochent) et en même temps accélérer, et donc au final ne pas donner de convergence notable. Touts les cas sont bien entendu possibles, mais on ne peut pas statuer facilement comme cela. Donc l’utilisations des cartes de vent « avec les flèches » mais en les utilisant comme les cartes de lignes de flux sont à prendre avec des pincettes … Dans ton exemple, c’est clair, que l’on peut quand même dire qu’il y a une superbe convergence au large de la Cornouaille, mais c’est un cas un peu extrême … Incontestable, le must, c’est la carte de lightningwizard … On a les lignes de flux, mais la couleur permet de bien statuer sur la convergence réelle. On sait aussi qu’une advection négative de TA entraîne une convergence, donc l’utilisation des cartes de TA en BC n’est pas forcément idiote si on cherche des convergences d’échelle synoptique. Les cartes en temps réels avec le vent sont pas mal aussi mais elles présentent quelques soucis. A l’échelle fine, les différences dan l’orientation du vent ne sont pas toujours relié à une modification importante « en vrai » et peuvent être du à des effets locaux sur les conditions de la station (topographie, par exemple). Donc, très bien, mais en faisant gaffe à ça (en plus de ce que l’on a déjà dit sur la différence entre convergence et confluence). Là où c’est vraiment bien, c’est quand on les couple avec une image sat ou une image RADAR … Ca c’est le must. Surtout pour les liens à petite échelle. Il ne faut pas compter sur GFS pour matérialiser une ligne de convergence de méso-échelle … PS : beau carton à prévoir pour dimanche d'ailleurs ...
  17. Effectivement, une partie de la station de Trappes est prévu être délocalisé … Je ne suis pas sûr avoir tout bien compris, mais je crois bien qu’il s’agit uniquement la partie sur la recherche instrumentale. Il faut savoir que la station de Trappes est composé du CDM des Yvelines, et de tout un centre sur la recherche instrumental où sont testé tout plein de matériel différent : il y a un champs spécialisé dans la culture de stations ! ! ! C’est un reste historique puisque la station de Trappes a été pinière dans le développement instrumental de la météo, notamment pour les sondages verticaux, notamment sous l’impulsion de Léon-Philippe Teisserenc de Bort (nom de la rue de la station de Trappes) avec des serf-volants au début ! Il me semble que seule cette partie doit déménager, je crois bien à Toulouse, là où se concentre maintenant l’essentiel de la recherche météo au Météopôle. Je vous tiendrai informé des évolutions "extérieures" s’il y en a puisque je passe deux fois par jour à pied devant pour rejoindre la gare. Mais depuis maintenant de nombreuses semaines les panneaux syndicaux n’ont pas beaucoup bougé … Non, il me semble que le trajet actuellement retenue passe à 100m de là, sur un couloir laissé en friche depuis des années pour précisément l’éventualité du prolongement de la A12. En tout cas, elle doit passer à 200 m (voire moins, j'ai pas mesuré) de chez moi … /emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/sad@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/happy@2x.png 2x" width="20" height="20">
  18. Je ne suis pas sûr que ce soit la bonne rubrique, mais sinon tu as : Pour la station : http://www.infoclimat.fr/archives/index.ph...-15&s=07299 Pour la situation : http://www2.wetter3.de/Archiv/ Pour les images sat : http://www.sat.dundee.ac.uk/ Il y a des tas d’autres trucs possibles sur Internet /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  19. Effectivement, très sympas Damien ce petit reportage /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> . Je me permets simplement de faire deux remarques sur le contexte global sur l’orage final. J’ai pris l’image sat de 18h UTC (donc 20h loc) en vapeur d’eau. http://www.hiboox.com/image.php?img=btwkco6p.jpg Elle est issus du site de Dundee, gratuit, et dont tout passionné digne de ce nom ce doit d’avoir un compte. http://www.sat.dundee.ac.uk/ et http://www.sat.dundee.ac.uk/registerql.html Je l’ai sur-contrasté, et on remarque que l’orage en question, noté en 1, est baigné par une petite advection sèche d’altitude, noté en 2. Je ne sais pas si elle peut avoir une influence dans l’affaire, mais peut-être … En ce qui concerne le cisaillement, il est par contre quasiment uniquement lié à la vitesse et quasiment pas directionnel. Le RS de Brest, le plus proche météorologiquement parlant, est très clair sur le sujet. Le RS de Trappes est un peu du même tonneau, même si il st de l’autre côté de la limite de BC, et pas dans la même masse d’air de BC. Le RS de Bordeaux est assez similaire si on ne prend pas compte de la franche advection de BC, très différente. Donc le bilan sur le cisaillement, c’est que j’aurai tendance à dire que ce genre de cisaillement est quand même peut favorable à des cellules organisées, en-dehors des lignes. Donc, j’aurai tendance à être du même avis que toi en ce qui concerne les rotations éventuelles : dans ce cas, ce serai plutôt du à de l’influence de BC (et notamment avec la topographie ou l’influence de divers anomalies –thermique, tourbillon, …-) qui se répercutent en altitude avec le brassage vertical convectif. Sinon, peut-être que cette forme évasées est du à l’étalement avec le cisaillement de vitesse sous une couche plus stable ?
  20. Concernant cette histoire d’isobare « plat », c’est aussi une question d’illusion en quelque sorte. Il suffis de prendre une carte pour voire que des isobares « plat », on en voit très régulièrement, et pas seulement entre des fronts. On remarque surtout ceux des fronts puisque les front marquent les zones actives avec du TA, notamment, (et donc une rupture des isobares). Entre les deux, la situation est moins active, et le champs de pression est moins évolutif, d’où cette impression. Mais il ne faut pas trop ce faire abuser par cette impression directement due à la représentation norvégienne. Globalement, les isobares « plat » sont courants dans les situations dynamiques mais peu actives. Mais c’est le genre de raccourcie déraisonnable que je n’aime pas du tout. /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20">
  21. Ben là, j’avoue que c’est gagné d’avance pour moi … J’ai investie cet hiver dans le bouquin de de Moor sur la turbulence et la couche limite, et bien, c’est du costaud … Bien plus par exemple que son autre bouquin sur les base de la météo dynamique, que je trouve beaucoup plus accessible.Bref, j’essaierai de voire ça un peu plus tard … (j’avoue que ça me manque vraiment de ne pas avoir encore suivi de cours de méca-flu …) /emoticons/tongue@2x.png 2x" width="20" height="20"> Oui, /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> , mais bon, c’est quand même pratique d’isoler des cas idéaux pour faire ressortir les principes fondamentaux de l’évolution de l’atmosphère. Sinon, on ferait des modèles avec les équations de Navier-Stockes sous leur forme brut, et basta … (d’ailleurs, il me semble que de tels modèles existent, mais ils doivent être réservé à des échelles très petites et des applications particulières).
  22. Bonjour à tous ! A partir du site de l’INM (le Météo-France espagnol), on trouve pas mal de choses intéressantes sur les images satellites. http://www.inm.es/web/sup/ciencia/i_d/i_d.html Voici la page d’accueil du site en question. http://nwcsaf.inm.es/ Ici, on trouve pas mal de choses sur des images disponibles toutes les 3 heures seulement, mais qui permettent d’avoir pas mal d’info connexes. http://nwcsaf.inm.es/MeteorolProducts.html Attention, ce sont des programmes automatiques ! En les couplant avec les images des produits dérivées RGB d’Eumetsat, qui sont elles disponibles toutes les heures, on peut en tirer certaines informations intéressantes. http://www.eumetsat.int/Home/Main/Image_Ga.../index.htm?l=en Sinon, disponibles à partir de différents liens, on peut retenir : http://www.meteorologie.eu.org/safnwc/ Va voire notamment à : SAVIRI routine , pas de bol, les images date de la veille, sinon, ça aurai été trop beau … Mais ce n’est pas inintéressant. Celui-là est pas mal non plus (on peu avoir des images Metop !) mais la France n’est pas vraiment couverte : http://www.smhi.se/saf/cloudproducts.html (en tout cas, j’ai pas retrouvé la zone qui est montré en exemple, le mieux pour la France, c’est Spain et MesanX il me semble) Ce lien est intéressant aussi : http://www.zamg.ac.at/satweb/SAF/SAF2/main.html
  23. Le pauvre Vincent, il est déjà en train de faire ses valises pour partir direct à Lourdes là !
  24. C’est tout simple : par deux fois tu as eu un traceur ascendant qui partait de ta tête … /emoticons/biggrin@2x.png 2x" width="20" height="20"> Et si l’orage n’a pas donné de coup de foudre, c’est que pour le coup t’as été super chanceux ! /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20">/emoticons/wink@2x.png 2x" width="20" height="20"> Plus sérieusement, j’en sais absolument rien … Mais c’est vrai que c’est possible qu’avec les antennes, le champ était particulièrement fort dans le coin (en fait je ne sais pas trop, parce que c'est quand même censé se limiter juste à la très proche proximité de la pointe le maximum du champ, non ?) … Tient d’ailleurs, c’était plutôt des intra de début d’orage ou des intra de fin d’orage sous stratiforme ?
  25. D’accord, mais les ondes de gravité sont bien, elles aussi, issues d’un phénomène de résonance si je ne m’abuse ?Ensuite, quand on regarde ce lien, c'est visiblement validé numériquement, sachant que l’instabilité de KH est un cas un peu particulier (cas limite) de l’instabilité de cisaillement (dite d’écoulement parallèle). Bon, après, je veux bien admettre qu’il y a un abus de langage lorsque l’on parle d’instabilité de KH ou découlement parallèle à l’état pur dans le cas des trombes (entre labo et réalité, y'a un monde ...). http://redrock.ncsa.uiuc.edu/AOS/publicati...6/nst-blee.html Sachant que j’ai toujours du mal à comprendre précisément ces histoires d’ondes de gravité pour la formation des trombes ou tornades : on rentre là dans des truc que je ne maîtrise pas bien –pas du tout en fait /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> - (mais néanmoins passionnant). Bon, je ne sais si tu as revue ou pas Simon, mais le fait que les anomalies se conserve ne signifie pas grand-chose sur l’état de stabilité du système puisque c’est variable en fonction du paramètre utilisé. C’est sûr que l’on peut choisir des paramètres qui se conservent malgré l’instabilité (comme la thêtaE pour l’instabilité verticale, par exemple –excepté l’effet de brassage par turbulence-). En l’occurrence, l’instabilité barotrope à l’échelle des ondulations du jet joue précisément sur la conservation du Ta et la non conservation du Tr (hypothèse du béta plan). Les ondes de Rossby sont bien issues, entre autre, de ce type d’instabilité :http://amsglossary.allenpress.com/glossary...p;submit=Search Plus globalement, l’instabilité barotrope est liée à la distribution du tourbillon. Mais attention, quand je faisais un lien entre instabilité de KH et instabilité barotrope, j’ai dit : « est plus proche », mais ce n’ai pas exactement la même chose. Mais dans le fond, je dois bien avouer que les profondeurs exacts de ces différences m’échappent un peu : je n’est jamais fais de module de méca des fluides en licence. Mais bon, après, j’espère ne pas me tromper … Damien, oui, pour le CD, j’en n’avais plus, il fallais que j’en achète. Et entre temps, je me suis un peu laisser aller … /emoticons/smile@2x.png 2x" width="20" height="20"> T’inquiète pas, je l’envoie lundi !
×
×
  • Créer...