Higurashi

Je pense que là n'est pas le sujet. Ne pas se laisser piéger par de fausses dichotomies.

Un biais de présentation qui a récemment fait l'objet d'une étude de cas pour l'Europe (disponible en prépublication).

Pendant ce temps en Arizona, phénomène de rotor matérialisé par les fumées des incendies.

Météo plutôt favorable jusqu'à présent. ❄️ ❄️ ❄️

Figure 11.2 du WG1.

Le GIEC nous dit que : 1) Par rapport au réchauffement global, les Txx progressent en effet plus rapidement (c'est ce que montre le /28). Mais cela reflète essentiellement le réchauffement plus rapide des surfaces continentales, ce qui peut prêter à confusion. 2) Par rapport au réchauffement continental, les Txx suivent peu ou prou le décalage de la gaussienne. À une échelle plus fine il y a certainement des exceptions (changements de variance), mais ce n'est pas la règle numéro 1. L'étude postée plus haut étudie les extrêmes par rapport au réchauffement moyen local. Comme pour le 2), on observe essentiellement l'effet d'un décalage de la gaussienne.

Oui, la valeur d'El Azizia est officiellement invalidée. https://public.wmo.int/fr/medias/nouvelles/invalidation-du-record-mondial-de-température-enregistré-il-y-à-90-ans-à-el-azizia

Impressionnant le niveau de détails atteint par ces simulations globales (ici IFS à résolution kilométrique).

Pour être exact, il s'agit de l'augmentation du chauffage lié aux GES anthropiques. Concrètement, + 1,06 W/m² depuis 1990.

Anomalie d’enneigement hémisphérique pour mai 2022 (GSL, Rutgers University).

C'est surtout la végétation tropicale qui joue, avec une capture favorisée par La Niña et défavorisée par El Niño. Le Met Office en parle régulièrement dans ses projections du taux de CO2.

https://public.wmo.int/fr/medias/communiqués-de-presse/la-niña-ne-veut-pas-s’arrêter Il est fort probable que l’épisode prolongé La Niña en cours, qui a affecté les régimes de températures et de précipitations et aggravé les sécheresses et les inondations dans différentes parties du monde, se poursuivra au moins jusqu’en août, voire jusqu’à l’automne et au début de l’hiver de l’hémisphère Nord. Telle est la conclusion du nouveau bulletin Info-Niño/Niña publié par l’Organisation météorologique mondiale (OMM). Certaines prévisions à longue échéance indiquent même que l’épisode pourrait persister jusqu’en 2023. Si cela se vérifie, il ne s’agirait que du troisième «triple-dip La Niña» (trois hivers consécutifs de l’hémisphère Nord sous le régime La Niña) depuis 1950, selon l’OMM.

Point pédagogique très intéressant.

Pour illustrer, vu de près, ça ressemble à cela.

C'est la grêle présente au sol, derrière la cellule. Pas évident à repérer sur ce cas il est vrai.

🤩

Oui, c'est la signature des cycles glaciaires-interglaciaires du Quaternaire associés aux paramètres de Milankovitch.

Nouveau rapport du GIEC : agir coûtera moins cher que le Business as Usual (bonpote.com) Merci. Je trouve ce site "bonpote" vraiment intéressant en termes de pédagogie.

Qui ?

Waouh !